Bon sujet pas forcément intéressant vu la taille du parc, mais ca peut faire un parc de plus en France est c'est pas mal et un +1 accessoirement.
GrandAngoulême cherche un cabinet indépendant pour le conforter -ou non- dans son ambition de créer un parc d’attractions.
Nouvelle étape dans le projet de créer un parc d’attractions sur le thème de la bande dessinée.
Trois mois après avoir confirmé son ambition d’édifier, «quelque part» dans le Grand-Angoulême, un petit paradis pour les enfants aux couleurs des héros du neuvième art, l’agglomération lance une «étude d’expertise».
Par le biais d’un avis d’appel public à la concurrence publié jeudi, la collectivité part en quête d’un cabinet prêt à plancher sur le sujet. Il devra lui dire si l’idée est réaliste, concevable et si elle a toutes les chances d’être rentable.
Les candidats ont jusqu’au 3 juin pour se faire connaître. Le marché, annonce l’avis, porte sur une prestation qui devra être «inférieure à 90.000 euros».
Le prestataire recherché doit avoir «une connaissance précise des activités des parcs de loisirs et de tourisme au niveau international» et réunir un certain nombre de compétences: «expertise technique en matière de développement touristique et de loisirs» (...) «expertise financière en matière de business plan».
«Nous sommes à la recherche d’experts indépendants capables de nous dire si la direction que nous prenons est la bonne, justifie Jacky Bouchaud, vice-président de GrandAngoulême en charge des politiques de l’économie, l’élu qui porte le chantier.
Le recours a une structure neutre, c’est l’assurance d’avancer sur ce projet en toute sécurité». Une façon de «garantir l’acheteur public de tout confit d’intérêt», détaille l’avis d’appel à la concurrence.
Des maires prêts à accueillir le parc
Sur la base de ces éléments et du travail déjà mené par les services de GrandAngoulême d’un côté et de la société Parexi de l’autre (Parexi c’est le privé censé devenir gestionnaire du parc ) «nous présenterons le projet en conseil communautaire en toute objectivité», reprend Jacky Bouchaud.
Aux élus de dire alors «si on y va ou non».
Sans préjuger des résultats de l’étude, GrandAngoulême qui travaille sur le sujet depuis un an et demi y croit plus que jamais. La collectivité et Parexi ont déjà tout chiffré et établi leur propre business plan: un investissement de 35 millions d’euros pour lancer la machine mais qui viendrait culminer à 58 millions au bout de dix ans.
La collectivité estime le seuil de rentabilité à 190.000 visiteurs par an, considère que le potentiel est 400.000 visiteurs par an après trois à quatre années d’exploitation. Elle estime que 100 emplois directs pourraient être créés. «Ce sont tous ces éléments que nous voulons confronter avec ceux que fournira le cabinet mandaté», décrit Jacky Bouchaud.
Le parc à thème prendrait place sur une emprise de 30 hectares, les attractions en elles-mêmes s’implantant sur 5 hectares.
Le lieu précis ? C’est encore trop tôt pour le dire, glisse les élus. «Rien n’est encore décidé», dit Jacky Bouchaud.
Les équipes de GrandAngoulême étudient un site précis depuis des mois mais l’annonce du projet en février a suscité l’intérêt de plusieurs maires: «Trois ou quatre sont venus nous proposer des terrains qui pourraient accueillir le parc».
L’autre information nouvelle que l’on découvre avec le lancement de l’étude, c’est le nom du projet et donc du possible parc d’attractions: «Imagiland». Il figure sur l’avis public d’appel à la concurrence.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/charente/angouleme/grand-angouleme-un-projet-de-parc-d-attraction-de-la-bd-927777.html
GrandAngoulême cherche un cabinet indépendant pour le conforter -ou non- dans son ambition de créer un parc d’attractions.
Nouvelle étape dans le projet de créer un parc d’attractions sur le thème de la bande dessinée.
Trois mois après avoir confirmé son ambition d’édifier, «quelque part» dans le Grand-Angoulême, un petit paradis pour les enfants aux couleurs des héros du neuvième art, l’agglomération lance une «étude d’expertise».
Par le biais d’un avis d’appel public à la concurrence publié jeudi, la collectivité part en quête d’un cabinet prêt à plancher sur le sujet. Il devra lui dire si l’idée est réaliste, concevable et si elle a toutes les chances d’être rentable.
Les candidats ont jusqu’au 3 juin pour se faire connaître. Le marché, annonce l’avis, porte sur une prestation qui devra être «inférieure à 90.000 euros».
Le prestataire recherché doit avoir «une connaissance précise des activités des parcs de loisirs et de tourisme au niveau international» et réunir un certain nombre de compétences: «expertise technique en matière de développement touristique et de loisirs» (...) «expertise financière en matière de business plan».
«Nous sommes à la recherche d’experts indépendants capables de nous dire si la direction que nous prenons est la bonne, justifie Jacky Bouchaud, vice-président de GrandAngoulême en charge des politiques de l’économie, l’élu qui porte le chantier.
Le recours a une structure neutre, c’est l’assurance d’avancer sur ce projet en toute sécurité». Une façon de «garantir l’acheteur public de tout confit d’intérêt», détaille l’avis d’appel à la concurrence.
Des maires prêts à accueillir le parc
Sur la base de ces éléments et du travail déjà mené par les services de GrandAngoulême d’un côté et de la société Parexi de l’autre (Parexi c’est le privé censé devenir gestionnaire du parc ) «nous présenterons le projet en conseil communautaire en toute objectivité», reprend Jacky Bouchaud.
Aux élus de dire alors «si on y va ou non».
Sans préjuger des résultats de l’étude, GrandAngoulême qui travaille sur le sujet depuis un an et demi y croit plus que jamais. La collectivité et Parexi ont déjà tout chiffré et établi leur propre business plan: un investissement de 35 millions d’euros pour lancer la machine mais qui viendrait culminer à 58 millions au bout de dix ans.
La collectivité estime le seuil de rentabilité à 190.000 visiteurs par an, considère que le potentiel est 400.000 visiteurs par an après trois à quatre années d’exploitation. Elle estime que 100 emplois directs pourraient être créés. «Ce sont tous ces éléments que nous voulons confronter avec ceux que fournira le cabinet mandaté», décrit Jacky Bouchaud.
Le parc à thème prendrait place sur une emprise de 30 hectares, les attractions en elles-mêmes s’implantant sur 5 hectares.
Le lieu précis ? C’est encore trop tôt pour le dire, glisse les élus. «Rien n’est encore décidé», dit Jacky Bouchaud.
Les équipes de GrandAngoulême étudient un site précis depuis des mois mais l’annonce du projet en février a suscité l’intérêt de plusieurs maires: «Trois ou quatre sont venus nous proposer des terrains qui pourraient accueillir le parc».
L’autre information nouvelle que l’on découvre avec le lancement de l’étude, c’est le nom du projet et donc du possible parc d’attractions: «Imagiland». Il figure sur l’avis public d’appel à la concurrence.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/charente/angouleme/grand-angouleme-un-projet-de-parc-d-attraction-de-la-bd-927777.html