Bon ben voila, comme prévu, nous sommes allés, Matt, mon lambda de pote et moi-même, faire un petit tour au pays du hérisson, tellement sa soif (oui oui le mot soif lui va si bien) de rider et de poursuivre son intronisation dans notre monde merveilleux des parcs d’attractions et de leurss coasters étaient inssoutenables depuis la fin du trip allemand (Phanta & EP).
Vendredi matin, après une soirée bien arrosée et une nuit très courte, la sonnerie de BF en guise de iRéveil résone dans l’appart : « oula que c’est tôt ».
Par amour du goût (ou pas), nous partons donc de Dijon - Cote d’Or, (la ville que tout le monde connaît mais ou personne ne va), et avons droit à un début de parcours plutôt fastidieux, grâce au traditionnel GPS qui comptais nous faire aller au parc en mode « safari », comprennez par là, en passant par les petites routes de campagnes, chemins de terres et à travers champs. Mince on aurait dû prendre le 4x4.
Au bout d’une vingtaine de bornes, après moultes détours, alors que nous n’étions encors qu’à 6 Km de notre point de départ, nous décidons de prendre l’autoestrada : sage décision car aller de la sorte à Dolancourt, c’est long. Une heure après nous apercevons une grande roue blanche au milieu d’une vallée verdoyante, surplombant un grand parking :
- « ça doît être la » me dit dit mon collègue
- « euh … bah oui je crois bien »
Nous longeons donc les grilles du parc afin de nous rendre à l’entrée, et aussi surprennant que ça puisse parâitre, de l’exterieur, on à vue sur l’attraction « dinosaures adventure » comme si nous y étions (pas de protection). Malgrès l’affluence aux caisses, on passe assez rapidement (15 min d’attente environs). Carément pas mal, même mieux qu’à Carrefour.
Petite balade à travers les allées du parcs pour nous rendre sur la première attraction de la journée, on à une très bonne première impression, et on remarque que le cadre est « mignon tout plein », avec son lac, beaucoup de verdure, très propre et pas mal entretenu (pour ce qui aiment les fleurs, y’a de quoi faire aussi).
- Oh des bateaux !
- Cooool !
- Ah ben non là ils flottent ! (je vous dirais pas de qui elle est celle-la, j’en ai presque honte).
Gold Mine Train ...
On arrive dans le « Village Canadien » avec ses (faux) cheveaux, ses roulotes qui rendraient fou de jalousie Charles Ingals, ses cabanes en rondins, son flume et ... son « ipopo » plutôt bien thématisé à la sauce « mine train ». On tape la pose au passage ...
La file d’attente rappelle un peu beaucoup celle de BTM ! Tabernacle ! Mais c’est bizare ce qu’est-ce que tu me dis là calis !
Signé Mack, le ride tranquile, comme souvent sur ce type de coasters, croise le parcours du flume voisin. Rien d’exceptionnel mais nous avons droit à deux tours ! Youpi ! on reviendra plus tard pour les autres attractions du land … euh du village.
Spatial experience ...
On se dirige ensuite vers le « Village Rock N’Roll » et découvrons un tout autre univers : l’amérique des années 50. Tout y est : cafés, voitures anciennes, statue de la libertée (qui aurait bien besoin d’une bonne réhab), boulvard « hollyvoodien», ...
L’experience spatiale nous attire donc nous entrons dans les locaux de la très épurée « Space Travel Agency », dont la déco de la file d’attente est plutôt sommaire : 2 affiches, 3 loupiotes et des murs en alu ! Domage, surtout quand il y a personne, ça fait vide.
10 minutes d’attente et on arrive sur le quai de la gare, un peu kitshe avec ses éclairages roses, bleus et son armée d’automates. Moi y’aime bien moi. Le train d’une longeur interminable arrive, on s’installe, grimpe lentement le lift grâce à ce bon vieil Archimède, compte à rebours, stroboscopes dans la tronche et … let’s go !
Personellement je le préfère à son grand frêre Eurosat puisqu’il est bien moins violent et nous propose quelques petites senssations en traversant les planètes de polystirene « mises en valeur » par des éclairages toutefois un peu vieillots (effets disco des années 90). Mon compère me fait remarquer à juste titre qu’il « manque les lasers d’Eurosat.
Rock N’Roll ...
La sortie de l’attraction nous mène droit sur Juke Box, une pieuvre, mais avec des voitures américaines flashy en guise de nacelles et un gros Juke Box au centre : on le fait. Cette attraction classique est bien sympa, bon ça tourne ça tourne et c’est « fluide ».
En hommage à nos ladies, nous choisissons the pink monture ... spéciale dédicasse.
La ronde des canards ...
Ras la casquette de la ville, on file se mettre au vert, à la campagne ... à la ferme d’Antonin. Yeah, ça c’est rock n’roll ! A vrai dire, c’est en allant vers la wild mouse du parc que je bug sévère, alors que retenti dans les hauts parleurs ... « la danse des canards qui en sortant de la marre se secouent le bas des reins en faisant COIN COIN » ! On se retourne et on tombe face à cette attraction réservée aux enfants, sur laquelle, conaissant mes délires avec ces bestioles, c’est obligé qu’on y monte.
Nous passons devant deux opératrices pétées de rire à l’idée de nous voir chevaucher nos palmipèdes respectifs après avoir longement choisi nos couleurs : j’en voulais un jaune et bleu mais y’en avait pas, tant pis ça sera un vert.
L’attraction démarre et bien sur, c’est lent, ça dure longtemps, très longtemps, mais la bande son est la, entre la danse des canards et la chanson de la ferme d’Antonin on est dans l’ambiance. Youhou ...
Tellement c’est pour les petis ce trucs, Matt me dit « fais gaffe quand même, faudrait pas qu’on nous prenne pour des pédophiles ».
La ferme d’Antonin ...
Bon ça, c’est fait ! On va pouvoir passer aux choses serieuses maintenant. On passe devant les tracteurs de la ferme en se disant « ça, on oublie ». Eh ben non ! C’est sans compter sur l’apparition devant mes yeux d’un magnifique tracteur aux couleurs d’Oblivion.
J’inssiste donc (lourdement) pour monter sur CE tracteur orange. Il n’y en à qu’un seul de cette couleur sur le parcours, alors qu’il y a 2 ou 3 bleus, verts et rouges. Pas grave, on laisse passer quelques tracteurs devant nous, dont un à vide afin de satisfaire mes envies. Quand on sait le débit de ce genre de trucs, je devrais avoir honte.
Enfin le voila, mon tracteur Oblivion, on embarque pour de formidables rencontre au pays des vaches et autres cochons, au pied de l’éolienne et de la grande roue, qui au passage, n’a pas trop à sa place dans cette zone : elle n’a rien a voir avec le reste. A croire qu’ils l’ont posée ou ils pouvaient.
Vin diou, qu’on y touche à mon tracteur !
Le Schlitt’ Express ...
Bon, cette fois on arrête les conneries, on se trouve au pied de la wild mouse Mack donc on y va.
Elle est lente, molle, on se sent à peine ejectés dans les virages, les drops n’ont rien d’exceptionnel. Et tout ça, même quand le ride est chaud. Décevant pour ce type de coasters. Du coup à bord, ben ça faisait « visite touristique » tipicaly lambda touch :
- Tiens y’a des camping car la-bas
- Ah ouais y’a un camping
- Ah y’a vue sur la ferme, LES CANARDS, la ferme, les vaches et yooooouhouuuu ... drop
- Moi jdis que c’est pas mieux qu’au Parc Asterix, moi jpréfère Goudurixx hein
- Roooh la blague spèce de lambda
- Pffff les freins ils sont tout mous
- Bah tant mieux s’ils sont mous
- Mais non c’est un truc fait pour te bastonner normalement
No coment !
La courses de bobsleigh ...
Un peu sur notre faim, et passant tout près du bon vieux Schwarzkopf, nous décidons de tenter cette aventure enneigée. On n’à pas été déçu : ce ride confirme une fois de plus que c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleurs soupes (dans une certaine mesure bien sur). Certes le lift est un peu long, mais les drops, nous plongeant au coeur des rochers en carton pâte, sont bien punchy. La position type « bobsleig » dans les trains est un plus.
Spéciale dédicasse à mon meilleur pote italien ...
On le refera plusieurs fois de suite pour, ce qui semble vouloir être une coutume (de dj’s ou pas) entre mon pote et moi : nous filmer on ride, chantant une chanson en raport avec le dit ride. Après «I believe I can fly » sur Blue Fire, cette fois-ci, ça sera le grand classique de Jean-Claude Dus on lift ...
Quand te reverais-je
Pays merveilleurx
Ou ceux qui s’aimeuuuuh
S’aimmmmeuuh ta deux ...
Pas de chance, malgèrs toutes nos tentatives, l’enregistrement n’a pas fonctionné mais nous avons eu loisir d’aprécier ce ride.
Miaaaaam ...
Nous quittons cette zone pour aller nous restaurer, après avoir re-ridé Spatial Experience 2 fois (il y apersonne et c’est sur notre route) et pris quelques fotos de la zone. Lors de notre premier passage en fin de matinée, nous avons repèré une pizzeria sur « Hollywood Boulevard », face au Juke Box. Pour 6E le menu, les pizzas sont faites devant nous, il y a du choix et c’est relativement bon. C’est pas excessif mais à ce prix la, on a qu’une boisson 25cl et la part de pizza est un peu juste : on en reprendra une deuxième.
Le manoir hanté ...
Pour digèrer tranquilement, rien de tel qu’une petite visite en la demeure d’un certain Patricius Philippus. Belle propriété nichée au coeur du parc, protègé par un grand portail, que nous passons afin de pénètrer le bâtiment.
Dans la file d’attente, il fait chaud, c’est sombre, ça colle avec l’idée de l’attraction. Mais le débit est carrément merdique, il faut donc être patients, très patients. Notre véhicules thématisés « fauteuil de grand-mère » est plutôt original, il arrive lentement vers nous, on s’installe et nous voila prêts à perturber la tranquilité du propriétaire des lieux. Les décors sont vieillots, kitshes et la promenade est très courte.
Le Grizzli ...
Ni convaincus ni affolés par les frayeurs d’outre-tombe, nous décidons de retourner au Village Canadien pour cette fois-ci, tenter des frayeurs plus animales, dans l’antre de la bête ... le Grizzli. Pour nous y rendre, nous passons devant le King Of Missipi, bateau plutôt joli et bien réalisé, contrairement à celui du PSP qui ressemblerait plus à 2 cagettes posées l’une au dessus de l’autre.
A l’entrée de sa zone, notre gros nounours poilu nous aceuille ...
Je vous vois venir, eh non je ne me suis pas fait enfiler par un ours ... c’était un grizzly !
Implanté au milieu d’une forêt d’arbres, accessoirisé d’une belle petite gare en bois d’arbre, l’attraction n’est ni plus ni moins qu’un banal disco Zamperla comme il en existe tant d’autres. Cela dit, c’est très drôle quand on est accompagné d’un lambda et que vu d’en-bas, il croit qu’il n’y à pas de système de retenue : Ah ben va falloir bien te tenir mon gars si tu veux pas tomber ! En sortant, lui-même à trouvé ça plutôt moyen et dépourvu de senssations. Tu m’étonnes.
La rivière canadiene ...
Tans que nous sommes dans le coin, nous montons sur les bûches du parc équipées d’une si grosse gare toutefois bien thématisée, pour un si court parcours : une seule drop, on à vu mieux.
La chenille ...
Relativement secs, nous redescendons dans le sud est du parc vers le « Village Magique » histoire de voire ce qu’il manquait à notre palmarès de la journée. Dès notre arrivée dans la zone, nous sommes attirés par un message presque subliminal surement posé là par un disciple de Steve Jobs ...
Bon ben voila, comme d’habitude, c’est l’histoire d’un chenille qui monte, qui descend, qui tourne, qui traverse une grosse pomme rouge à l’exterieur, grise à l’interieure et qui recommence. On à un +1 yes !
Le point commun entre les opérateurs de cette chenille et les stroumphes :
la maison en champignon !
En sortant de là, se retrouve devant ça ...
C’est Les hérissons de la forêt magique, comme vous vous en doutez, je veux le faire, mais impossible, c’est comme les petits ecoliers de LU, ce n’est que pour les enfants. Tans pis, on va bien trouver un autre truc à la con pour s’occuper jusqu’à la fermeture.
Les dragons volants ...
Et ben justement le voila, le bien nommé « Lady Thing ». Il y en à un dans chaque parc. Chez certains il prend la forme de dinausores, chez d’autres, de cygnes, et bien chez le hérisson ça ne sera pas des hérissons comme on pourrait le penser mais des ... dragons volants.
Of coz, nous respectons la tradition. Ils nous permettent de faire le tour du parc et de prendre quelques fotos.
Pas besoin d’en dire plus, les images parlent d’elles-mêmes ...
Les bestioles ...
Coté tête ...
Coté queue ...
Suite à ça nous fesons Le petit poucet (sorte de tasses), et Les caravelles de Jacques Cartier.
Matt fait bien la feuille
Le circuit de Nigloland ...
Classique circuit de voiture de tous constructeurs, dont Mercedes Benz (tiens ils ne sponsorisent pas que des megacoasters eux ?), ou j’explose le derche du conducteur de devant en arrivant frein desseré et pédale au plancher, sans faire gaffe bien sur. Je me fais allumer par l’opérateur « les freins, les freins », normal.
La journée se termine par et un tour de Galion Pirate.
En sortant je rencontre les Frêres Gelis et le neveu, on bavarde vite fait.
Pour conclure mon premier TR, ce petit parc famillial est plutôt sympatique, même s’il ne possède pas encore de gros coaster, il propose des attractions pour lesquelles la thématisation est parfois kitshissime, mais accessible à tous. Il y à moyen de bien s’éclater et de passer une bonne journée en pleine cambrousse.
Grosse déception par contre, à aucun moment de la journée nous avons vu des personnages, ni même la mascotte du parc.
Encore quelques fotos (toutes les fotos et videos sont disponibles http://picasaweb.google.fr/DJChab) ...
Vendredi matin, après une soirée bien arrosée et une nuit très courte, la sonnerie de BF en guise de iRéveil résone dans l’appart : « oula que c’est tôt ».
Par amour du goût (ou pas), nous partons donc de Dijon - Cote d’Or, (la ville que tout le monde connaît mais ou personne ne va), et avons droit à un début de parcours plutôt fastidieux, grâce au traditionnel GPS qui comptais nous faire aller au parc en mode « safari », comprennez par là, en passant par les petites routes de campagnes, chemins de terres et à travers champs. Mince on aurait dû prendre le 4x4.
Au bout d’une vingtaine de bornes, après moultes détours, alors que nous n’étions encors qu’à 6 Km de notre point de départ, nous décidons de prendre l’autoestrada : sage décision car aller de la sorte à Dolancourt, c’est long. Une heure après nous apercevons une grande roue blanche au milieu d’une vallée verdoyante, surplombant un grand parking :
- « ça doît être la » me dit dit mon collègue
- « euh … bah oui je crois bien »
Nous longeons donc les grilles du parc afin de nous rendre à l’entrée, et aussi surprennant que ça puisse parâitre, de l’exterieur, on à vue sur l’attraction « dinosaures adventure » comme si nous y étions (pas de protection). Malgrès l’affluence aux caisses, on passe assez rapidement (15 min d’attente environs). Carément pas mal, même mieux qu’à Carrefour.
Petite balade à travers les allées du parcs pour nous rendre sur la première attraction de la journée, on à une très bonne première impression, et on remarque que le cadre est « mignon tout plein », avec son lac, beaucoup de verdure, très propre et pas mal entretenu (pour ce qui aiment les fleurs, y’a de quoi faire aussi).
- Oh des bateaux !
- Cooool !
- Ah ben non là ils flottent ! (je vous dirais pas de qui elle est celle-la, j’en ai presque honte).
Gold Mine Train ...
On arrive dans le « Village Canadien » avec ses (faux) cheveaux, ses roulotes qui rendraient fou de jalousie Charles Ingals, ses cabanes en rondins, son flume et ... son « ipopo » plutôt bien thématisé à la sauce « mine train ». On tape la pose au passage ...
La file d’attente rappelle un peu beaucoup celle de BTM ! Tabernacle ! Mais c’est bizare ce qu’est-ce que tu me dis là calis !
Signé Mack, le ride tranquile, comme souvent sur ce type de coasters, croise le parcours du flume voisin. Rien d’exceptionnel mais nous avons droit à deux tours ! Youpi ! on reviendra plus tard pour les autres attractions du land … euh du village.
Spatial experience ...
On se dirige ensuite vers le « Village Rock N’Roll » et découvrons un tout autre univers : l’amérique des années 50. Tout y est : cafés, voitures anciennes, statue de la libertée (qui aurait bien besoin d’une bonne réhab), boulvard « hollyvoodien», ...
L’experience spatiale nous attire donc nous entrons dans les locaux de la très épurée « Space Travel Agency », dont la déco de la file d’attente est plutôt sommaire : 2 affiches, 3 loupiotes et des murs en alu ! Domage, surtout quand il y a personne, ça fait vide.
10 minutes d’attente et on arrive sur le quai de la gare, un peu kitshe avec ses éclairages roses, bleus et son armée d’automates. Moi y’aime bien moi. Le train d’une longeur interminable arrive, on s’installe, grimpe lentement le lift grâce à ce bon vieil Archimède, compte à rebours, stroboscopes dans la tronche et … let’s go !
Personellement je le préfère à son grand frêre Eurosat puisqu’il est bien moins violent et nous propose quelques petites senssations en traversant les planètes de polystirene « mises en valeur » par des éclairages toutefois un peu vieillots (effets disco des années 90). Mon compère me fait remarquer à juste titre qu’il « manque les lasers d’Eurosat.
Rock N’Roll ...
La sortie de l’attraction nous mène droit sur Juke Box, une pieuvre, mais avec des voitures américaines flashy en guise de nacelles et un gros Juke Box au centre : on le fait. Cette attraction classique est bien sympa, bon ça tourne ça tourne et c’est « fluide ».
En hommage à nos ladies, nous choisissons the pink monture ... spéciale dédicasse.
La ronde des canards ...
Ras la casquette de la ville, on file se mettre au vert, à la campagne ... à la ferme d’Antonin. Yeah, ça c’est rock n’roll ! A vrai dire, c’est en allant vers la wild mouse du parc que je bug sévère, alors que retenti dans les hauts parleurs ... « la danse des canards qui en sortant de la marre se secouent le bas des reins en faisant COIN COIN » ! On se retourne et on tombe face à cette attraction réservée aux enfants, sur laquelle, conaissant mes délires avec ces bestioles, c’est obligé qu’on y monte.
Nous passons devant deux opératrices pétées de rire à l’idée de nous voir chevaucher nos palmipèdes respectifs après avoir longement choisi nos couleurs : j’en voulais un jaune et bleu mais y’en avait pas, tant pis ça sera un vert.
L’attraction démarre et bien sur, c’est lent, ça dure longtemps, très longtemps, mais la bande son est la, entre la danse des canards et la chanson de la ferme d’Antonin on est dans l’ambiance. Youhou ...
Tellement c’est pour les petis ce trucs, Matt me dit « fais gaffe quand même, faudrait pas qu’on nous prenne pour des pédophiles ».
La ferme d’Antonin ...
Bon ça, c’est fait ! On va pouvoir passer aux choses serieuses maintenant. On passe devant les tracteurs de la ferme en se disant « ça, on oublie ». Eh ben non ! C’est sans compter sur l’apparition devant mes yeux d’un magnifique tracteur aux couleurs d’Oblivion.
J’inssiste donc (lourdement) pour monter sur CE tracteur orange. Il n’y en à qu’un seul de cette couleur sur le parcours, alors qu’il y a 2 ou 3 bleus, verts et rouges. Pas grave, on laisse passer quelques tracteurs devant nous, dont un à vide afin de satisfaire mes envies. Quand on sait le débit de ce genre de trucs, je devrais avoir honte.
Enfin le voila, mon tracteur Oblivion, on embarque pour de formidables rencontre au pays des vaches et autres cochons, au pied de l’éolienne et de la grande roue, qui au passage, n’a pas trop à sa place dans cette zone : elle n’a rien a voir avec le reste. A croire qu’ils l’ont posée ou ils pouvaient.
Vin diou, qu’on y touche à mon tracteur !
Le Schlitt’ Express ...
Bon, cette fois on arrête les conneries, on se trouve au pied de la wild mouse Mack donc on y va.
Elle est lente, molle, on se sent à peine ejectés dans les virages, les drops n’ont rien d’exceptionnel. Et tout ça, même quand le ride est chaud. Décevant pour ce type de coasters. Du coup à bord, ben ça faisait « visite touristique » tipicaly lambda touch :
- Tiens y’a des camping car la-bas
- Ah ouais y’a un camping
- Ah y’a vue sur la ferme, LES CANARDS, la ferme, les vaches et yooooouhouuuu ... drop
- Moi jdis que c’est pas mieux qu’au Parc Asterix, moi jpréfère Goudurixx hein
- Roooh la blague spèce de lambda
- Pffff les freins ils sont tout mous
- Bah tant mieux s’ils sont mous
- Mais non c’est un truc fait pour te bastonner normalement
No coment !
La courses de bobsleigh ...
Un peu sur notre faim, et passant tout près du bon vieux Schwarzkopf, nous décidons de tenter cette aventure enneigée. On n’à pas été déçu : ce ride confirme une fois de plus que c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleurs soupes (dans une certaine mesure bien sur). Certes le lift est un peu long, mais les drops, nous plongeant au coeur des rochers en carton pâte, sont bien punchy. La position type « bobsleig » dans les trains est un plus.
Spéciale dédicasse à mon meilleur pote italien ...
On le refera plusieurs fois de suite pour, ce qui semble vouloir être une coutume (de dj’s ou pas) entre mon pote et moi : nous filmer on ride, chantant une chanson en raport avec le dit ride. Après «I believe I can fly » sur Blue Fire, cette fois-ci, ça sera le grand classique de Jean-Claude Dus on lift ...
Quand te reverais-je
Pays merveilleurx
Ou ceux qui s’aimeuuuuh
S’aimmmmeuuh ta deux ...
Pas de chance, malgèrs toutes nos tentatives, l’enregistrement n’a pas fonctionné mais nous avons eu loisir d’aprécier ce ride.
Miaaaaam ...
Nous quittons cette zone pour aller nous restaurer, après avoir re-ridé Spatial Experience 2 fois (il y apersonne et c’est sur notre route) et pris quelques fotos de la zone. Lors de notre premier passage en fin de matinée, nous avons repèré une pizzeria sur « Hollywood Boulevard », face au Juke Box. Pour 6E le menu, les pizzas sont faites devant nous, il y a du choix et c’est relativement bon. C’est pas excessif mais à ce prix la, on a qu’une boisson 25cl et la part de pizza est un peu juste : on en reprendra une deuxième.
Le manoir hanté ...
Pour digèrer tranquilement, rien de tel qu’une petite visite en la demeure d’un certain Patricius Philippus. Belle propriété nichée au coeur du parc, protègé par un grand portail, que nous passons afin de pénètrer le bâtiment.
Dans la file d’attente, il fait chaud, c’est sombre, ça colle avec l’idée de l’attraction. Mais le débit est carrément merdique, il faut donc être patients, très patients. Notre véhicules thématisés « fauteuil de grand-mère » est plutôt original, il arrive lentement vers nous, on s’installe et nous voila prêts à perturber la tranquilité du propriétaire des lieux. Les décors sont vieillots, kitshes et la promenade est très courte.
Le Grizzli ...
Ni convaincus ni affolés par les frayeurs d’outre-tombe, nous décidons de retourner au Village Canadien pour cette fois-ci, tenter des frayeurs plus animales, dans l’antre de la bête ... le Grizzli. Pour nous y rendre, nous passons devant le King Of Missipi, bateau plutôt joli et bien réalisé, contrairement à celui du PSP qui ressemblerait plus à 2 cagettes posées l’une au dessus de l’autre.
A l’entrée de sa zone, notre gros nounours poilu nous aceuille ...
Je vous vois venir, eh non je ne me suis pas fait enfiler par un ours ... c’était un grizzly !
Implanté au milieu d’une forêt d’arbres, accessoirisé d’une belle petite gare en bois d’arbre, l’attraction n’est ni plus ni moins qu’un banal disco Zamperla comme il en existe tant d’autres. Cela dit, c’est très drôle quand on est accompagné d’un lambda et que vu d’en-bas, il croit qu’il n’y à pas de système de retenue : Ah ben va falloir bien te tenir mon gars si tu veux pas tomber ! En sortant, lui-même à trouvé ça plutôt moyen et dépourvu de senssations. Tu m’étonnes.
La rivière canadiene ...
Tans que nous sommes dans le coin, nous montons sur les bûches du parc équipées d’une si grosse gare toutefois bien thématisée, pour un si court parcours : une seule drop, on à vu mieux.
La chenille ...
Relativement secs, nous redescendons dans le sud est du parc vers le « Village Magique » histoire de voire ce qu’il manquait à notre palmarès de la journée. Dès notre arrivée dans la zone, nous sommes attirés par un message presque subliminal surement posé là par un disciple de Steve Jobs ...
Bon ben voila, comme d’habitude, c’est l’histoire d’un chenille qui monte, qui descend, qui tourne, qui traverse une grosse pomme rouge à l’exterieur, grise à l’interieure et qui recommence. On à un +1 yes !
Le point commun entre les opérateurs de cette chenille et les stroumphes :
la maison en champignon !
En sortant de là, se retrouve devant ça ...
C’est Les hérissons de la forêt magique, comme vous vous en doutez, je veux le faire, mais impossible, c’est comme les petits ecoliers de LU, ce n’est que pour les enfants. Tans pis, on va bien trouver un autre truc à la con pour s’occuper jusqu’à la fermeture.
Les dragons volants ...
Et ben justement le voila, le bien nommé « Lady Thing ». Il y en à un dans chaque parc. Chez certains il prend la forme de dinausores, chez d’autres, de cygnes, et bien chez le hérisson ça ne sera pas des hérissons comme on pourrait le penser mais des ... dragons volants.
Of coz, nous respectons la tradition. Ils nous permettent de faire le tour du parc et de prendre quelques fotos.
Pas besoin d’en dire plus, les images parlent d’elles-mêmes ...
Les bestioles ...
Coté tête ...
Coté queue ...
Suite à ça nous fesons Le petit poucet (sorte de tasses), et Les caravelles de Jacques Cartier.
Matt fait bien la feuille
Le circuit de Nigloland ...
Classique circuit de voiture de tous constructeurs, dont Mercedes Benz (tiens ils ne sponsorisent pas que des megacoasters eux ?), ou j’explose le derche du conducteur de devant en arrivant frein desseré et pédale au plancher, sans faire gaffe bien sur. Je me fais allumer par l’opérateur « les freins, les freins », normal.
La journée se termine par et un tour de Galion Pirate.
En sortant je rencontre les Frêres Gelis et le neveu, on bavarde vite fait.
Pour conclure mon premier TR, ce petit parc famillial est plutôt sympatique, même s’il ne possède pas encore de gros coaster, il propose des attractions pour lesquelles la thématisation est parfois kitshissime, mais accessible à tous. Il y à moyen de bien s’éclater et de passer une bonne journée en pleine cambrousse.
Grosse déception par contre, à aucun moment de la journée nous avons vu des personnages, ni même la mascotte du parc.
Encore quelques fotos (toutes les fotos et videos sont disponibles http://picasaweb.google.fr/DJChab) ...
