Effets physiologiques d'un coaster sur le cerveau

Bien sûr, ça affecte le cerveau ! Je m'explique : les sensations éprouvées lors d'un coaster intense, comme l'adrénaline et l'euphorie, sont en effet similaires aux effets à court terme de certaines substances stimulantes. Cependant, ces sensations sont naturelles et sans les risques associés aux drogues. Par curiosité, certaines personnes comparent ces effets à ceux de substances comme le 2 fdck, mais il est important de souligner que les drogues, même celles perçues comme « douces », présentent des risques pour la santé. Les montagnes russes offrent une alternative sûre pour ressentir des sensations fortes sans les dangers des substances illicites.

Oui bien sûr je reprécise encore que le but de mon topic n'est pas d'inciter quiconque à consommer des substances.

Mais uniquement de la curiosité relative à la biologie du cerveau, je suis quelqu'un qui aime se questionner.
 
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Bien sûr, ça affecte le cerveau ! Je m'explique : les sensations éprouvées lors d'un coaster intense, comme l'adrénaline et l'euphorie, sont en effet similaires aux effets à court terme de certaines substances stimulantes. Cependant, ces sensations sont naturelles et sans les risques associés aux drogues. Par curiosité, certaines personnes comparent ces effets à ceux de substances comme le 2 fdck, mais il est important de souligner que les drogues, même celles perçues comme « douces », présentent des risques pour la santé. Les montagnes russes offrent une alternative sûre pour ressentir des sensations fortes sans les dangers des substances illicites.
Je ne suis pas certain qu'on puisse dire qu'un tour de Bandit, de Goudurix ou d'un SLC est sans danger. 😅

Pour ma part, la sensation de planer, ce qu'on pourrait rapprocher des effets des drogues, je l'ai davantage ressentie dans des flats que dans des coasters.
 
Je ne suis pas certain qu'on puisse dire qu'un tour de Bandit, de Goudurix ou d'un SLC est sans danger. 😅

Pour ma part, la sensation de planer, ce qu'on pourrait rapprocher des effets des drogues, je l'ai davantage ressentie dans des flats que dans des coasters.

Effectivement, après un tour de Tonnerre 2 Zeus, j'ai eu une douleur aux côtes pendant 48 heures et un torticolis aux cervicales pendant 5 jours, tellement j'avais été secouée, c'était infernal 🥴😵‍💫
Donc sans danger vital oui, mais pas sans "danger léger" 😅
 
Cet intitulé de post faisant complètement résonance à mon parcours de vie, j'apporte ici mon témoignage car ma passion des montagnes russes est liée de trés près à mon cerveau de part mon passif médical.

En effet, en début d'année 2012, suite a une perte de vision soudaine et une dégradation de mon état de santé, on m'a diagnostiqué in extremis une Thrombophlébite cérébrale. Pour vulgariser, c'est l'obstruction d'une veine dans le cerveau par un caillot. A l'annonce du diagnostique, la première question qui m'est venu en tête était de savoir si j'allais pouvoir refaire un jour des montagnes russes. Pourtant à cette époque, je n'étais pas spécialement Coasterfan et le seul parc dans lequel je mettais les pieds c'était Port Aventura, mon "home" Park.

C'est donc une des premières questions que j'ai posé à ma neurologue qui était dans l'incapacité de m'apporter une réponse précise et de se positionner la dessus. En effet, à l'époque j'avais 26 ans, ce genre d'occlusion arrive en général à un âge avancé et bien évidemment aucune étude sur la question n'avait jamais été faite auparavant. Du coup, les premières réponses à cette interrogation m'incitaient à mettre de côté cette passion, à l'oublier. Pour ma neurologue, il fallait clairement faire le deuil de cette dernière.

Du coup les mois passant, mon état de santé se stabilise peu à peu mais le caillot peine à se résorber et je commence peu à peu à me faire à l'idée que je vais devoir vivre avec en faisant une croix définitive sur mon amour des montagnes russes.
Pourtant, nous sommes en 2012 et je m'inscris pour la première fois sur un forum de passionnés où je découvre par le biais des actualités qu'une belle nouveauté vient d'éclore en Espagne, Shambhala.
Et là, mon engouement pour ces monstres d'aciers et les sensations qu'ils procurent émerge à nouveau en moi et je me fixe pour objectif de rider la bête cette année, malgré la réticence du corps médical et de certains de mes proches.

Nous sommes le 8 décembre 2012 et je suis à Port Aventura. Le dernier examen révélait la persistance du caillot dans mon cerveau, du coup je m'apprête à rider pour la première fois avec ce diagnostique et un "contre avis médical".
Le premier ride de la journée sera Furius Baco car je me dis quitte à mettre mon cerveau à rude épreuve, autant y aller franchement 😆
Beaucoup d'appréhension avant le Launch, suis je en train de me mettre en danger inutilement pour assouvir une passion.. Verdict : non !
C'est incroyable à dire, mais ce premier ride est trés bien passé. Du coup je ressors plutôt rassuré en me disant que cette petite chose dans mon cerveau ne va peut être pas finalement m'empêcher de vivre pleinement ma passion.

Dans un élan d'euphorie, je me dirige alors vers Shambhala, en me disant que ça ne peut que bien se passer. Et pourtant, c'est lui qui va me procurer (sans savoir ce que c'était à l'époque) mon premier voile gris..
Du coup c'est l'ascenseur émotionnel. Je suis inquiet de ce qui vient de m'arriver et je me dis que finalement au vue de mon état de santé il fallait mieux que je m'arrête là, que je dise définitivement adieu à ma passion. Pourtant, pendant que nous nous posons pour manger, mes amis me demandent si au vue de ce qui m'était arrivé, je voulais qu'on rentre pour me reposer, question à laquelle j'ai répondu par la négative.
Je voulais retenter l'expérience, prouver au corps médical que mon état de santé n'était pas incompatible avec cette passion qui coule dans mes veines.
Je retente alors un tour de Shambi avec l'appréhension d'y perdre à nouveau la vue et peut être de m'endommager le cerveau.
Et là, je vis peut être un des meilleurs rides de toute ma vie. Tout se passe à merveille, je suis en extase totale. Finalement, je vais peut être pas devoir tirer ma révérence à ma passion ?
Dans la journée, nous riderons à nouveau 2 ou 3 fois Shambi et finiront même par le casse cervicale de chez Intamin. Je rentre rassuré, avec une seule envie, raconter cette journée à ma neurologue, qui risque de tomber de sa chaise lorsque je lui raconterai toutes mes aventures 😁

Deux semaine après cette escapade, je passe un examen qui révèle que mon caillot a diminué alors que ça faisait des mois qu'il ne se résorbait plus !
Alors à l'heure où j'écris ce récit, il m'est impossible d'affirmer la corrélation entre cette évolution soudaine et les effets physiologiques des montagnes russes, mais même ma neurologue n'arrivait pas à l'expliquer. Pour moi c'est indéniable, il s'est passé quelque chose..
Et l'histoire ne s'arrête pas là. Suite à ce souci de santé, j'ai été pendant des années migraineux et eu des épisodes de céphalées chroniques dont aucun traitement n'arrivait à bout. Et pourtant, de la même manière, je suis parti dans cet état faire une journée parc pour rentrer.. sans migraine !
L'euphorie, un effet physiologique, psychologique ?
Là non plus je n'aurai jamais de réponse concrète et les spécialistes non plus.
Pourtant aujourd'hui, ma santé s'est stabilisé depuis des années et je n'ai plus de suivi neurologique. Et c'est une certitude, ma passion a été indéniablement salvatrice dans mon processus de guérison, de résilience. Encore aujourd'hui, elle m'apporte beaucoup 😌

Et pour finir ce témoignage, je reprendrai les derniers mots de ma neurologue à ma dernière consultation : "Faite autant de montagnes russes que vous voulez Christophe" 😄
 
Dernière édition:
Cet intitulé de post faisant complètement résonance à mon parcours de vie, j'apporte ici mon témoignage car ma passion des montagnes russes est liée de trés près à mon cerveau de part mon passif médical.

En effet, en début d'année 2012, suite a une perte de vision soudaine et une dégradation de mon état de santé, on m'a diagnostiqué in extremis une Thrombophlébite cérébrale. Pour vulgariser, c'est l'obstruction d'une veine dans le cerveau par un caillot. A l'annonce du diagnostique, la première question qui m'est venu en tête était de savoir si j'allais pouvoir refaire un jour des montagnes russes. Pourtant à cette époque, je n'étais pas spécialement Coasterfan et le seul parc dans lequel je mettais les pieds c'était Port Aventura, mon "home" Park.

C'est donc une des premières questions que j'ai posé à ma neurologue qui était dans l'incapacité de m'apporter une réponse précise et de se positionner la dessus. En effet, à l'époque j'avais 26 ans, ce genre d'occlusion arrive en général à un âge avancé et bien évidemment aucune étude sur la question n'avait jamais été faite auparavant. Du coup, les premières réponses à cette interrogation m'incitaient à mettre de côté cette passion, à l'oublier. Pour ma neurologue, il fallait clairement faire le deuil de cette dernière.

Du coup les mois passant, mon état de santé se stabilise peu à peu mais le caillot peine à se résorber et je commence peu à peu à me faire à l'idée que je vais devoir vivre avec en faisant une croix définitive sur mon amour des montagnes russes.
Pourtant, nous sommes en 2012 et je m'inscris pour la première fois sur un forum de passionnés où je découvre par le biais des actualités qu'une belle nouveauté vient d'éclore en Espagne, Shambhala.
Et là, mon engouement pour ces monstres d'aciers et les sensations qu'ils procurent émerge à nouveau en moi et je me fixe pour objectif de rider la bête cette année, malgré la réticence du corps médical et de certains de mes proches.

Nous sommes le 8 décembre 2012 et je suis à Port Aventura. Le dernier examen révélait la persistance du caillot dans mon cerveau, du coup je m'apprête à rider pour la première fois avec ce diagnostique et un "contre avis médical".
Le premier ride de la journée sera Furius Baco car je me dis quitte à mettre mon cerveau à rude épreuve, autant y aller franchement 😆
Beaucoup d'appréhension avant le Launch, suis je en train de me mettre en danger inutilement pour assouvir une passion.. Verdict : non !
C'est incroyable à dire, mais ce premier ride est trés bien passé. Du coup je ressors plutôt rassuré en me disant que cette petite chose dans mon cerveau ne va peut être pas finalement m'empêcher de vivre pleinement ma passion.

Dans un élan d'euphorie, je me dirige alors vers Shambhala, en me disant que ça ne peut que bien se passer. Et pourtant, c'est lui qui va me procurer (sans savoir ce que c'était à l'époque) mon premier voile gris..
Du coup c'est l'ascenseur émotionnel. Je suis inquiet de ce qui vient de m'arriver et je me dis que finalement au vue de mon état de santé il fallait mieux que je m'arrête là, que je dise définitivement adieu à ma passion. Pourtant, pendant que nous nous posons pour manger, mes amis me demandent si au vue de ce qui m'était arrivé, je voulais qu'on rentre pour me reposer, question à laquelle j'ai répondu par la négative.
Je voulais retenter l'expérience, prouver au corps médical que mon état de santé n'était pas incompatible avec cette passion qui coule dans mes veines.
Je retente alors un tour de Shambi avec l'appréhension d'y perdre à nouveau la vue et peut être de m'endommager le cerveau.
Et là, je vis peut être un des meilleurs rides de toute ma vie. Tout se passe à merveille, je suis en extase totale. Finalement, je vais peut être pas devoir tirer ma révérence à ma passion ?
Dans la journée, nous riderons à nouveau 2 ou 3 fois Shambi et finiront même par le casse cervicale de chez Intamin. Je rentre rassuré, avec une seule envie, raconter cette journée à ma neurologue, qui risque de tomber de sa chaise lorsque je lui raconterai toutes mes aventures 😁

Deux semaine après cette escapade, je passe un examen qui révèle que mon caillot a diminué alors que ça faisait des mois qu'il ne se résorbait plus !
Alors à l'heure où j'écris ce récit, il m'est impossible d'affirmer la corrélation entre cette évolution soudaine et les effets physiologiques des montagnes russes, mais même ma neurologue n'arrivait pas à l'expliquer. Pour moi c'est indéniable, il s'est passé quelque chose..
Et l'histoire ne s'arrête pas là. Suite à ce souci de santé, j'ai été pendant des années migraineux et eu des épisodes de céphalées chroniques dont aucun traitement n'arrivait à bout. Et pourtant, de la même manière, je suis parti dans cet état faire une journée parc pour rentrer.. sans migraine !
L'euphorie, un effet physiologique, psychologique ?
Là non plus je n'aurai jamais de réponse concrète et les spécialistes non plus.
Pourtant aujourd'hui, ma santé s'est stabilisé depuis des années et je n'ai plus de suivi neurologique. Et c'est une certitude, ma passion a été indéniablement salvatrice dans mon processus de guérison, de résilience. Encore aujourd'hui, elle m'apporte beaucoup 😌

Et pour finir ce témoignage, je reprendrai les derniers mots de ma neurologue à ma dernière consultation : "Faite autant de montagnes russes que vous voulez Christophe" 😄

Merci beaucoup pour ton témoignage, très émouvant !

J'aurais plutôt cru de base qu'après un AVC (ou autre soucis de santé cardiovasculaire) il est fortement déconseillé de tenter l'expérience des montagnes russes.

D'ailleurs c'est souvent mentionné comme critère, que les personnes ayant des troubles cardiovasculaires ne doivent pas tenter l'expérience (c'est déconseillé).

Après vaut mieux rester prudent car corrélation ne veut pas pas forcément dire causalité, peut être que ton état de santé se serait amélioré dans tous les cas, même s'il est vrai qu'il y a de quoi se poser la question du rapport entre les 2.
 
Merci beaucoup pour ton témoignage, très émouvant !

J'aurais plutôt cru de base qu'après un AVC (ou autre soucis de santé cardiovasculaire) il est fortement déconseillé de tenter l'expérience des montagnes russes.

D'ailleurs c'est souvent mentionné comme critère, que les personnes ayant des troubles cardiovasculaires ne doivent pas tenter l'expérience (c'est déconseillé).

Après vaut mieux rester prudent car corrélation ne veut pas pas forcément dire causalité, peut être que ton état de santé se serait amélioré dans tous les cas, même s'il est vrai qu'il y a de quoi se poser la question du rapport entre les 2.

Alors en effet tu as raison, il est trés souvent mentionné dans les règles de sécurité des attractions à sensations fortes qu'elles sont fortement déconseillées (voir interdites) aux personnes présentant un souci de santé cardiovasculaire.

Dans mon cas, c'était plus un souci neurovasculaire et le caillot dans mon cerveau a été pris juste à temps avant d'obstruer totalement la veine et de déclencher un AVC.
Et le souci, c'est qu'il n'y pas d'études concrètes sur les effets physiologiques des montagnes russes (ou attractions à sensations fortes) sur le cerveau et encore moins sur des personnes ayant tenté l'expérience après un AVC.
Du coup j'ai laissé la passion prendre le dessus sur la prise de risque en devenant volontairement un "cobaye" même si mon expérience singulière n'a aucune valeur scientifique bien entendue 🧐

Pourtant, ce caillot qui ne voulait plus diminuer depuis des mois (on m'a même dit que je vivrai toute ma vie avec) s'est pratiquement résorbé après mon passage à Port Aventura.
Et comme mentionné, mes plus grosses séquelles relatives à cet épisode thrombotique étaient des maux de têtes chroniques que j'ai eu pendant des années et dont un des seuls remèdes efficaces était..les montagnes russes 😄
Là aussi les spécialistes n'arrivent pas l'expliquer pourtant j'ai réussi à faire changer son fusil d'épaule à ma neurologue (et c'était pas gagné crois moi) qui a bien fini par constater elle même les effets positifs de cette passion.

Il n'y a aucune corrélation avérée c'est sure mais sans cette incroyable passion je reste persuadé que mon processus de guérison et de résilience n'aurait pas été le même, c'est une certitude aujourd'hui 😌

Pour info je suis en route pour faire mon 500 ème crédit et je reviens du Japon où j'ai fais encaissé à mon cerveau des gros G (coucou Eajanaika 😄 )
Alors même si à chaque fois que je fais une machine trés intense j'ai toujours une petite appréhension, je ne peux m'empêcher de vivre pleinement chaque ride (même les plus pourris) tant que je peux le faire.

Car si un jour mon corps m'envoi des signaux d'alertes en me disant qu'il est plus sage d'arrêter, je n'aurai aucun regret d'avoir vécu cette passion à fond et d'avoir rencontré de belles personnes grâce à cette dernière 😌
 
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Alors en effet tu as raison, il est trés souvent mentionné dans les règles de sécurité des attractions à sensations fortes qu'elles sont fortement déconseillées (voir interdites) aux personnes présentant un souci de santé cardiovasculaire.

Dans mon cas, c'était plus un souci neurovasculaire et le caillot dans mon cerveau a été pris juste à temps avant d'obstruer totalement la veine et de déclencher un AVC.
Et le souci, c'est qu'il n'y pas d'études concrètes sur les effets physiologiques des montagnes russes (ou attractions à sensations fortes) sur le cerveau et encore moins sur des personnes ayant tenté l'expérience après un AVC.
Du coup j'ai laissé la passion prendre le dessus sur la prise de risque en devenant volontairement un "cobaye" même si mon expérience singulière n'a aucune valeur scientifique bien entendue 🧐

Pourtant, ce caillot qui ne voulait plus diminuer depuis des mois (on m'a même dit que je vivrai toute ma vie avec) s'est pratiquement résorbé après mon passage à Port Aventura.
Et comme mentionné, mes plus grosses séquelles relatives à cet épisode thrombotique étaient des maux de têtes chroniques que j'ai eu pendant des années et dont un des seuls remèdes efficaces était..les montagnes russes 😄
Là aussi les spécialistes n'arrivent pas l'expliquer pourtant j'ai réussi à faire changer son fusil d'épaule à ma neurologue (et c'était pas gagné crois moi) qui a bien fini par constater elle même les effets positifs de cette passion.

Il n'y a aucune corrélation avérée c'est sure mais sans cette incroyable passion je reste persuadé que mon processus de guérison et de résilience n'aurait pas été le même, c'est une certitude aujourd'hui 😌

Pour info je suis en route pour faire mon 500 ème crédit et je reviens du Japon où j'ai fais encaissé à mon cerveau des gros G (coucou Eajanaika 😄 )
Alors même si à chaque fois que je fais une machine trés intense j'ai toujours une petite appréhension, je ne peux m'empêcher de vivre pleinement chaque ride (même les plus pourris) tant que je peux le faire.

Car si un jour mon corps m'envoi des signaux d'alertes en me disant qu'il est plus sage d'arrêter, je n'aurai aucun regret d'avoir vécu cette passion à fond et d'avoir rencontré de belles personnes grâce à cette dernière 😌

Et tu as bien raison 😀