[Parc Astérix] Plan d'investissements (2026 -> 2030)
- Auteur du sujet Zig-Zou
- Date de début
La thématisation de SOS Numérobis s'améliore avec la surpression des gros arbres qui laissent maintenant place a une végétation Égyptienne :
On peut maintenant espérer une nouvelle peinture...
Source : http://www.potionmagix.fr/forumix/post65663.html#p65663
EDIT : Sinon, remplissage terminé, les bateaux sont de retour dans la Croisière Epidemais !
On peut maintenant espérer une nouvelle peinture...
Source : http://www.potionmagix.fr/forumix/post65663.html#p65663
EDIT : Sinon, remplissage terminé, les bateaux sont de retour dans la Croisière Epidemais !
Information:
La croisière Epidemais est ouverte depuis le samedi 13 avril 13H.
Sinon, il y a eu ce soir (22h10) un reportage rapide sur le parc Astérix, niveau technique et exploitation attraction.
On apprends pas grand chose, mais toujours sympa, puis on apprends quelques choses du grand patron sur la future zone qui ouvre l'an prochain pour les enfants...
L'émission sera en replay sur france 5
La croisière Epidemais est ouverte depuis le samedi 13 avril 13H.
Sinon, il y a eu ce soir (22h10) un reportage rapide sur le parc Astérix, niveau technique et exploitation attraction.
On apprends pas grand chose, mais toujours sympa, puis on apprends quelques choses du grand patron sur la future zone qui ouvre l'an prochain pour les enfants...
L'émission sera en replay sur france 5
C'est déjà beaucoup plus propre, ça fait plaisir à voir.pierre-ep a dit:EDIT : Sinon, remplissage terminé, les bateaux sont de retour dans la Croisière Epidemais !
Pour SOS numérobis, c'est vrai que ce vieux jaune est en train de moisir
J'ai du mal à me plonger dans l'univers de l'Egypte avec SOS Numérobis. C'est pas les quelques palmiers plantés au milieu qui permettent une intégration de l'attraction. Y a pas moyen de mettre du sable partout pour ça ressemble un peu à l'Egypte ? Voir toute cette herbe, ces arbres et cette terre comme ça, perso je trouve pas ça très égyptien.
Pour Epidemais c'est vraiment du beau boulot.
Pour Epidemais c'est vraiment du beau boulot.
Pour numérobis, c'est vrai qu'il faut leurs laisser le temps, ils sont au four et au moulin et à tout faire en même temps finalement ça ralentit les "travaux" - sinon des nouvelles du bassin devant Oz' et du retracking de goudu' ?
En fait c'est assez utile (mais moche) car ça permet de cacher et protéger les travaux pour la nouvelle boutique qui se trouve juste derrière.
Un article dans Le Monde d'il y a 2 jours, je vous le copie-colle car il est uniquement dans la version abonnés du site.
J'ai cru m'évanouir en lisant la citation du président du directoire de la CDA.
Le reste de l'article semble être du remâché de dossier de presse et de discours de service de presse.
Le Parc Astérix a retrouvé la formule de la potion magique
LE MONDE Julien Dupont-Calbo07.05.2013 à 18:57
Demandez-lui comment vont les affaires, et il vous répondra comme un agriculteur : "Il fait encore froid, la nature a beaucoup de retard... donc on se maintient." Pascal Fliche est le directeur général du Parc Astérix, dont l'affluence dépend largement des aléas climatiques. "On va se rattraper cet été !", lance-t-il.
Si Pascal Fliche est aussi sûr de lui, c'est qu'il semble avoir trouvé la recette pour doper les résultats de son village gaulois. Avec 73 millions d'euros de recettes et 1 720 000 visiteurs en 2012 (8 % de plus qu'en 2011), le Parc Astérix a retrouvé sa place de numéro deux en France au détriment du Futuroscope (1 698 000 visites), Disneyland Paris (16 millions de visiteurs) restant, bien sûr, hors concours. Belle saison pour ce parc ouvert il y a vingt-quatre ans à Plailly, dans l'Oise.
Les lieux appartiennent depuis 2002 à la Compagnie des Alpes (CDA), également propriétaire du Futuroscope (Poitiers) ou du réseau Walibi. "Entre les stations de ski et les parcs, il n'y a pas tant de synergies de revenus. Mais ce sont les mêmes compétences : cela reste des câbles et des poulies ! ", s'amuse Dominique Marcel, président du directoire de la CDA.
Pourtant, le métier n'est pas seulement une affaire de mécanique. "Le secteur s'est beaucoup développé et professionnalisé depuis les années 1990 et l'arrivée des grands parcs comme Disney, constate Arnaud Bennet, président du Syndicat national des espaces de loisirs, d'attractions et culturels (Snelac). Désormais, il faut être à la fois industriel, restaurateur, commerçant, communicant..." Sans oublier météréologue...
Chez Astérix, Pascal Fliche semble manier adroitement tous ces leviers. Effort industriel, adaptation à la météo et marketing malin, voilà les ingrédients qui semblent réussir à son parc.
MÉCANIQUE RAFRAÎCHIE
L'avantage d'appartenir à un grand groupe, c'est la visibilité apportée par son assise financière - la CDA est soutenue par la Caisse des dépôts et consignations. Cela fait six ans que la Compagnie des Alpes s'est mis en tête de relancer ses grandes marques, dont Astérix.
Les deux premières années du plan ont été consacrées à la remise à neuf des installations. "A mon arrivée, il y avait une rame sur trois qui fonctionnait dans les montagnes russes. Aujourd'hui, nous en avons cinq qui tournent en permanence ", constate M. Fliche.
Tous les ans, en novembre, les nacelles sont envoyées à Chambéry, le fief de la CDA, pour maintenance. Elles sont remontées en mars, avant la réouverture du parc à la fin de la trêve hivernale. Le taux d'immobilisation a été réduit de 80 %. "La disponibilité est au moins supérieure de 30 % par rapport à chez Disney", affirme M. Fliche, qui a passé une décennie dans le royaume de Mickey.
Depuis quatre ans, c'est l'heure de la relance. Dans un parc à thème encore plus qu'ailleurs, l'investissement est le nerf de la guerre. Les nouveautés, c'est ce qui permet d'attirer les familles, mais surtout de les faire revenir. Actuellement, chez Astérix, le client régulier vient tous les deux ans et demi.
5 MILLIONS D'EUROS POUR LES NOUVEAUTÉS
Le parc peut désormais planifier ses investissements cinq ans à l'avance, "sans claquer des dents en attendant les chiffres de la dernière saison", dit M. Fliche, qui investit entre 12 % et 14 % de ses recettes chaque année dans la maintenance et l'agrandissement, dont 5 millions d'euros pour les nouveautés.
Depuis 2011, la capacité du parc a augmenté de 25 %. C'est l'effet Oziris - 20 millions d'euros de budget -, qui projette les téméraires les pieds dans le vide à 90 km/h depuis une hauteur de 40 mètres. L'attraction a déjà séduit un million de personnes. Le Parc Astérix entend toutefois éviter la course au gigantisme. "Nous n'avons pas les moyens de Disney, donc nous devons innover et étonner", souligne M. Fliche. Une équipe de la CDA parcourt le monde pour dénicher de bonnes idées... qu'elle trouve aussi dans les jeux vidéo.
S'adapter à la contrainte climatique est l'autre grande obligation pour les parcs d'attractions. "C'est une économie de coûts fixes. Une mauvaise année, et on peut perdre beaucoup", explique Stéphane Durand, consultant associé chez Horwath HTL. Au Futuroscope, Dominique Hummel, le patron, confirme : "Il faut bien "dimensionner" le parc en fonction des prévisions météo, une semaine à l'avance. Déclencher des recrutements, décider des heures d'ouverture, faire préparer les sandwichs..."
Pour éviter que le ciel ne lui tombe sur la tête, Le Parc Astérix a pris ses précautions. Chaque nouveau manège dispose d'une file d'attente couverte. Surtout, le parc fermant l'hiver, la direction a mis en place un système particulier pour ses salariés (220 postes en CDI et 1 000 saisonniers).
Ces derniers, baptisés "les irréductibles", travaillent huit mois, puis prennent un mois de vacances. Les trois mois restants... sont du ressort de Pôle emploi. Les meilleurs saisonniers repartent avec une promesse de réembauche à la fin de la saison.
UN MARKETING FUTÉ
Souvent perçu comme un parc à sensation prisé des adolescents, Astérix a élargi sa clientèle en misant sur un marketing malin. Car chez Disney, Walibi ou Astérix, ce sont partout les mêmes montagnes russes.
Seule la mise en scène diffère. D'où l'importance de "l'histoire" que raconte le parc. Celle d'Astérix repose sur les Gaulois, et l'humour. Sur Oziris, la file d'attente est truffée de hiéroglyphes loufoques inspirés de la bande dessinée'Astérix et Cléopâtre.
Pour séduire les plus jeunes, la direction du parc est en train de construire une zone aquatique sur le lac, à côté de "Lutèce Plage", où les bambins peuvent se défouler à l' Idéfix Club tandis que leurs parents se reposent sur des transats.
Pour convaincre les professeurs d'amener leurs élèves, la direction leur propose depuis trois ans un programme à la carte, avec sensibilisation à l'écologie grâce au spectacle des dauphins, et découverte des métiers d'antan. Dans un autre genre, le parc organise les 8 et 9 mai le Festival Electronix, en parallèle avec la Techno Parade, pour les amateurs de musique techno.
Enfin, plutôt que de payer des spots TV, la direction épluche régulièrement les données de l'Insee pour déceler les zones propices : dernièrement, la ville de Chantilly a été l'objet d'une campagne d'affichage intense : "On y trouve beaucoup d'enfants, avec des parents aisés", explique M. Fliche. Dernière astuce, le Parc Astérix s'offre des écrans publicitaires au cinéma juste avant le début des films de... Disney.
J'ai cru m'évanouir en lisant la citation du président du directoire de la CDA.
Le reste de l'article semble être du remâché de dossier de presse et de discours de service de presse.
Le Parc Astérix a retrouvé la formule de la potion magique
LE MONDE Julien Dupont-Calbo07.05.2013 à 18:57
Demandez-lui comment vont les affaires, et il vous répondra comme un agriculteur : "Il fait encore froid, la nature a beaucoup de retard... donc on se maintient." Pascal Fliche est le directeur général du Parc Astérix, dont l'affluence dépend largement des aléas climatiques. "On va se rattraper cet été !", lance-t-il.
Si Pascal Fliche est aussi sûr de lui, c'est qu'il semble avoir trouvé la recette pour doper les résultats de son village gaulois. Avec 73 millions d'euros de recettes et 1 720 000 visiteurs en 2012 (8 % de plus qu'en 2011), le Parc Astérix a retrouvé sa place de numéro deux en France au détriment du Futuroscope (1 698 000 visites), Disneyland Paris (16 millions de visiteurs) restant, bien sûr, hors concours. Belle saison pour ce parc ouvert il y a vingt-quatre ans à Plailly, dans l'Oise.
Les lieux appartiennent depuis 2002 à la Compagnie des Alpes (CDA), également propriétaire du Futuroscope (Poitiers) ou du réseau Walibi. "Entre les stations de ski et les parcs, il n'y a pas tant de synergies de revenus. Mais ce sont les mêmes compétences : cela reste des câbles et des poulies ! ", s'amuse Dominique Marcel, président du directoire de la CDA.
Pourtant, le métier n'est pas seulement une affaire de mécanique. "Le secteur s'est beaucoup développé et professionnalisé depuis les années 1990 et l'arrivée des grands parcs comme Disney, constate Arnaud Bennet, président du Syndicat national des espaces de loisirs, d'attractions et culturels (Snelac). Désormais, il faut être à la fois industriel, restaurateur, commerçant, communicant..." Sans oublier météréologue...
Chez Astérix, Pascal Fliche semble manier adroitement tous ces leviers. Effort industriel, adaptation à la météo et marketing malin, voilà les ingrédients qui semblent réussir à son parc.
MÉCANIQUE RAFRAÎCHIE
L'avantage d'appartenir à un grand groupe, c'est la visibilité apportée par son assise financière - la CDA est soutenue par la Caisse des dépôts et consignations. Cela fait six ans que la Compagnie des Alpes s'est mis en tête de relancer ses grandes marques, dont Astérix.
Les deux premières années du plan ont été consacrées à la remise à neuf des installations. "A mon arrivée, il y avait une rame sur trois qui fonctionnait dans les montagnes russes. Aujourd'hui, nous en avons cinq qui tournent en permanence ", constate M. Fliche.
Tous les ans, en novembre, les nacelles sont envoyées à Chambéry, le fief de la CDA, pour maintenance. Elles sont remontées en mars, avant la réouverture du parc à la fin de la trêve hivernale. Le taux d'immobilisation a été réduit de 80 %. "La disponibilité est au moins supérieure de 30 % par rapport à chez Disney", affirme M. Fliche, qui a passé une décennie dans le royaume de Mickey.
Depuis quatre ans, c'est l'heure de la relance. Dans un parc à thème encore plus qu'ailleurs, l'investissement est le nerf de la guerre. Les nouveautés, c'est ce qui permet d'attirer les familles, mais surtout de les faire revenir. Actuellement, chez Astérix, le client régulier vient tous les deux ans et demi.
5 MILLIONS D'EUROS POUR LES NOUVEAUTÉS
Le parc peut désormais planifier ses investissements cinq ans à l'avance, "sans claquer des dents en attendant les chiffres de la dernière saison", dit M. Fliche, qui investit entre 12 % et 14 % de ses recettes chaque année dans la maintenance et l'agrandissement, dont 5 millions d'euros pour les nouveautés.
Depuis 2011, la capacité du parc a augmenté de 25 %. C'est l'effet Oziris - 20 millions d'euros de budget -, qui projette les téméraires les pieds dans le vide à 90 km/h depuis une hauteur de 40 mètres. L'attraction a déjà séduit un million de personnes. Le Parc Astérix entend toutefois éviter la course au gigantisme. "Nous n'avons pas les moyens de Disney, donc nous devons innover et étonner", souligne M. Fliche. Une équipe de la CDA parcourt le monde pour dénicher de bonnes idées... qu'elle trouve aussi dans les jeux vidéo.
S'adapter à la contrainte climatique est l'autre grande obligation pour les parcs d'attractions. "C'est une économie de coûts fixes. Une mauvaise année, et on peut perdre beaucoup", explique Stéphane Durand, consultant associé chez Horwath HTL. Au Futuroscope, Dominique Hummel, le patron, confirme : "Il faut bien "dimensionner" le parc en fonction des prévisions météo, une semaine à l'avance. Déclencher des recrutements, décider des heures d'ouverture, faire préparer les sandwichs..."
Pour éviter que le ciel ne lui tombe sur la tête, Le Parc Astérix a pris ses précautions. Chaque nouveau manège dispose d'une file d'attente couverte. Surtout, le parc fermant l'hiver, la direction a mis en place un système particulier pour ses salariés (220 postes en CDI et 1 000 saisonniers).
Ces derniers, baptisés "les irréductibles", travaillent huit mois, puis prennent un mois de vacances. Les trois mois restants... sont du ressort de Pôle emploi. Les meilleurs saisonniers repartent avec une promesse de réembauche à la fin de la saison.
UN MARKETING FUTÉ
Souvent perçu comme un parc à sensation prisé des adolescents, Astérix a élargi sa clientèle en misant sur un marketing malin. Car chez Disney, Walibi ou Astérix, ce sont partout les mêmes montagnes russes.
Seule la mise en scène diffère. D'où l'importance de "l'histoire" que raconte le parc. Celle d'Astérix repose sur les Gaulois, et l'humour. Sur Oziris, la file d'attente est truffée de hiéroglyphes loufoques inspirés de la bande dessinée'Astérix et Cléopâtre.
Pour séduire les plus jeunes, la direction du parc est en train de construire une zone aquatique sur le lac, à côté de "Lutèce Plage", où les bambins peuvent se défouler à l' Idéfix Club tandis que leurs parents se reposent sur des transats.
Pour convaincre les professeurs d'amener leurs élèves, la direction leur propose depuis trois ans un programme à la carte, avec sensibilisation à l'écologie grâce au spectacle des dauphins, et découverte des métiers d'antan. Dans un autre genre, le parc organise les 8 et 9 mai le Festival Electronix, en parallèle avec la Techno Parade, pour les amateurs de musique techno.
Enfin, plutôt que de payer des spots TV, la direction épluche régulièrement les données de l'Insee pour déceler les zones propices : dernièrement, la ville de Chantilly a été l'objet d'une campagne d'affichage intense : "On y trouve beaucoup d'enfants, avec des parents aisés", explique M. Fliche. Dernière astuce, le Parc Astérix s'offre des écrans publicitaires au cinéma juste avant le début des films de... Disney.
5 MILLIONS D'EUROS POUR LES NOUVEAUTÉS
Le parc peut désormais planifier ses investissements cinq ans à l'avance, "sans claquer des dents en attendant les chiffres de la dernière saison", dit M. Fliche, qui investit entre 12 % et 14 % de ses recettes chaque année dans la maintenance et l'agrandissement, dont 5 millions d'euros pour les nouveautés.
J'espère que dans planifier 5 ans à l'avance ne veut pas dire que la prochaine nouvelle attractions arrivent dans 4-5 ans
Par contre dans ce projet on peut voir qu'il y avait d'autres attractions prévus par la suite alors que dans le projet qui a été pris on a très peu entendus des attractions futurs. En fait je suis assez étonné qui ne savait pas à l'avance les attractions qu'ils allait mettre par la suite quand ils ont construit la zone égyptienne, par ce que la zone certes est très jolie mais ne propose pas beaucoup de solution d'agrandissement hormis de s'étaler à la place de la zone à travers le temps qui malgrés tout est une zone pour moi qui devrait resté ou sinon il y a moyen de caler un truc entre le dive loop et l'overbank . mais sinon je ne vois pas grand chose...
Le parc peut désormais planifier ses investissements cinq ans à l'avance, "sans claquer des dents en attendant les chiffres de la dernière saison", dit M. Fliche, qui investit entre 12 % et 14 % de ses recettes chaque année dans la maintenance et l'agrandissement, dont 5 millions d'euros pour les nouveautés.
J'espère que dans planifier 5 ans à l'avance ne veut pas dire que la prochaine nouvelle attractions arrivent dans 4-5 ans
Par contre dans ce projet on peut voir qu'il y avait d'autres attractions prévus par la suite alors que dans le projet qui a été pris on a très peu entendus des attractions futurs. En fait je suis assez étonné qui ne savait pas à l'avance les attractions qu'ils allait mettre par la suite quand ils ont construit la zone égyptienne
, par ce que la zone certes est très jolie mais ne propose pas beaucoup de solution d'agrandissement hormis de s'étaler à la place de la zone à travers le temps qui malgrés tout est une zone pour moi qui devrait resté ou sinon il y a moyen de caler un truc entre le dive loop et l'overbank . mais sinon je ne vois pas grand chose...
Bonjour,
l'image que tu as posté Tamo78 est magnifique.
Personnellement, je trouve que la zone à travers le temps est un non sens, on n'est pas dans l'univers d'Astérix et je trouve que ça fait tache. Je pense qu'il pourrait, avec l'aide de la BD ou avec le film, trouver une bonne ligne de conduite et réaménager cette zone.
Mais bon avec les différents aménagement et rénovation des divers attractions dans cette zone du parc, ça m'étonnerais que ça ce fasse ou avant de nombreuse année.
Bonne journée
l'image que tu as posté Tamo78 est magnifique.
Personnellement, je trouve que la zone à travers le temps est un non sens, on n'est pas dans l'univers d'Astérix et je trouve que ça fait tache. Je pense qu'il pourrait, avec l'aide de la BD ou avec le film, trouver une bonne ligne de conduite et réaménager cette zone.
Mais bon avec les différents aménagement et rénovation des divers attractions dans cette zone du parc, ça m'étonnerais que ça ce fasse ou avant de nombreuse année.
Bonne journée
Si on regarde ce concept art, on note que la zone 'à travers le temps' est un peu sacrifiée pour permettre l'agrandissement de la zone 'egypte'.
Les travaux semblent énormes puisque non seulement il faudrait détruire pas mal de choses dans cette zone mais de plus, il serait nécessaire également de virer l'attraction Nationale 7 pour permettre d'ajouter l'attraction aquatique du phare d'alexandrie.
Le concept art est vraiment bien fait, et pouvoir se promener le long du nouveau lac me fait penser à ce qui existe déjà au parc Isla Magica.
Je m'interroge pour la pyramide, peut-être qu'elle peut se caser derrière l'attraction 'les chevaux du roy'.
Au final, si ce concept art a été réalisé c'est bien que le parc a l'intention de faire des modifications au sein même de ce qui existe déjà, ce qui nous laisse penser qu'il n'y aura pas d'extension pour la zone Egypte sur des terrains vierges hormis peut-être la pyramide qui d'ailleurs peut renfermer une attraction nouvelle. Et que deviendrait Nationale 7, les chevaux du roy ??? Peut-être une extension ailleurs, à savoir l'éventuelle future zone Idefix. Ça me parait pas illogique.
Les travaux semblent énormes puisque non seulement il faudrait détruire pas mal de choses dans cette zone mais de plus, il serait nécessaire également de virer l'attraction Nationale 7 pour permettre d'ajouter l'attraction aquatique du phare d'alexandrie.
Le concept art est vraiment bien fait, et pouvoir se promener le long du nouveau lac me fait penser à ce qui existe déjà au parc Isla Magica.
Je m'interroge pour la pyramide, peut-être qu'elle peut se caser derrière l'attraction 'les chevaux du roy'.
Au final, si ce concept art a été réalisé c'est bien que le parc a l'intention de faire des modifications au sein même de ce qui existe déjà, ce qui nous laisse penser qu'il n'y aura pas d'extension pour la zone Egypte sur des terrains vierges hormis peut-être la pyramide qui d'ailleurs peut renfermer une attraction nouvelle. Et que deviendrait Nationale 7, les chevaux du roy ??? Peut-être une extension ailleurs, à savoir l'éventuelle future zone Idefix. Ça me parait pas illogique.
Ce concept-art ne reflète qu'une possibilité qui a été imaginée il y a des années de cela, mais le coût trop élevé de l'opération a eu raison de ce projet.
Désolé, mais ce concept-art n'est plus très frais !
Cette vision ne se réalisera pas.
Désolé, mais ce concept-art n'est plus très frais !
Cette vision ne se réalisera pas.
La Fuga a dit:
Nan, car en 2009 j'avais déjà vu le concept art complet de la version actuelle d'Oziris... Or, cette version ci-dessus est encore plus vieille. Donc elle date de bien avant 2009, donc minimum 4 ans.
Désolé du petit remontage de topic mais je reviens de la nocturne et j'ai quelques petits trucs à dire qui ne méritent pas non plus un TR.
Bon alors à cette nocturne j'y étais de 18h à 23h, les petits bracelets roses sont biens contrôlés la sécurité a été renforcée ça se voit et ça c'est bien, le problème c'est que c'est surement le seul truc bien de la soirée...
Goudurix, il baffe un peu moins qu'avant j'ai l'impression mais c'est toujours une bouse pas possible, next. Tonnerre de Zeus ! Bah c'est plus le tonnerre, c'est la petite giboulée là... Il est d'une lenteur incroyable, la dernière bosse on se demande si ça passe à chaque train, aucun airtime, les trains en plastoc font mal, seule la first drop reste sympa. Trace du Hourra, rien à dire c'est rigolo c'est tout. Le défi de César, la catastrophe... Nous étions une trentaine à attendre devant le portillon depuis 10 min en entendant les opés rigoler entre eux dans la pièce d'à côté, puis d'un coup l'un d'eux apparait : "bonjour nous sommes en sous effectif aujourd'hui alors merci de patienter encore 5/10min que quelqu'un vienne vous chercher au revoir" et on a re-glander pendant 10min... Une fois dedans on a traversé les 2 premières scènes de préshow avec des beaux "en panne" partout, nous avons eu droit qu'à la fontaine & la mad house en elle même, du grand n'importe quoi. Puis Oziris la queue débordait de plusieurs dizaines de mètres, on a attendu une heure et demi en voyant les trains attendre 15/20 secondes derrière la station que l'autre parte tellement les opés sont lents... Pour finir c'est bien beau de faire des nocturnes ventes privées mais si la fréquentation reste la même qu'en journée ça ne sert à rien de limiter la vente de places à ce site. D'ailleurs si quelqu'un (BenJ, Panoramix) sait combien ils ont vendu de places pour cette soirée j'aimerais bien savoir si c'est possible.. Parce que il y avait pas mal de monde malgré que ce soit "privé" ! Merci
Bref le PA fini pour moi, parce que les attractions qui marchent à moitié et le personnel qui blablate au lieu de faire tourner leur coaster avec 1h30 derrière et les caissières gaies comme une porte de prison au resto ce n'est pas ce que j'attends d'un parc d'attraction de cette taille, même avec un très bon inverted B&M.
Voilà voilà
Bon alors à cette nocturne j'y étais de 18h à 23h, les petits bracelets roses sont biens contrôlés la sécurité a été renforcée ça se voit et ça c'est bien, le problème c'est que c'est surement le seul truc bien de la soirée...
Goudurix, il baffe un peu moins qu'avant j'ai l'impression mais c'est toujours une bouse pas possible, next. Tonnerre de Zeus ! Bah c'est plus le tonnerre, c'est la petite giboulée là... Il est d'une lenteur incroyable, la dernière bosse on se demande si ça passe à chaque train, aucun airtime, les trains en plastoc font mal, seule la first drop reste sympa. Trace du Hourra, rien à dire c'est rigolo c'est tout. Le défi de César, la catastrophe... Nous étions une trentaine à attendre devant le portillon depuis 10 min en entendant les opés rigoler entre eux dans la pièce d'à côté, puis d'un coup l'un d'eux apparait : "bonjour nous sommes en sous effectif aujourd'hui alors merci de patienter encore 5/10min que quelqu'un vienne vous chercher au revoir" et on a re-glander pendant 10min... Une fois dedans on a traversé les 2 premières scènes de préshow avec des beaux "en panne" partout, nous avons eu droit qu'à la fontaine & la mad house en elle même, du grand n'importe quoi. Puis Oziris la queue débordait de plusieurs dizaines de mètres, on a attendu une heure et demi en voyant les trains attendre 15/20 secondes derrière la station que l'autre parte tellement les opés sont lents... Pour finir c'est bien beau de faire des nocturnes ventes privées mais si la fréquentation reste la même qu'en journée ça ne sert à rien de limiter la vente de places à ce site. D'ailleurs si quelqu'un (BenJ, Panoramix) sait combien ils ont vendu de places pour cette soirée j'aimerais bien savoir si c'est possible.. Parce que il y avait pas mal de monde malgré que ce soit "privé" ! Merci
Bref le PA fini pour moi, parce que les attractions qui marchent à moitié et le personnel qui blablate au lieu de faire tourner leur coaster avec 1h30 derrière et les caissières gaies comme une porte de prison au resto ce n'est pas ce que j'attends d'un parc d'attraction de cette taille, même avec un très bon inverted B&M.
Voilà voilà