Préambule
Comme cette fin de septembre s'annonçait pas trop mal, et que TravelMix avait des offres vraiment intéressantes, nous sommes descendu 4 jours en Italie. Pas n'importe où, à Gatteo Mare en Emilia Romanna, lieu où Dawa a passé la majorité de ses vacances avec ses parents. D'ailleurs, ils s'y trouvaient encore 3 semaines auparavant..., et parasol.
700km pour un bout de plage, un hôtel pension complète où l'on se gave de pasta et de poissons en tout genres.
Un endroit où le vin est si doux que l'on peut en boire au réveil et une grappa si forte qui vous fait rater le déjeuner, et le midi.
Déambuler pour digérer, acheter pour dépenser, boire pour digérer, manger pour dépenser, se dépenser pour digérer, acheter pour se dépenser et j'en oublie pour toutes ces riches activités touristiques proposée sur les 500 km de la cote Adriatique.
C'est une station balnéaire située a 10km de Cesenatico, une ville de bord de mer historique qui l'hiver dénombre 23'000 âmes pour passer à 300'000 l'été.
Du 21 avril au 21 septembre,c'est immuable, les 23'000 personnes se gavent de 300'000 270000 autres et du 21 septembre au 21 avril, ils digèrent.
30 septembre, c'est 8 jours après l'entrée en léthargie que nous avons débarqué dans ce que l'on peut appeler un no-man's land, une ville fantôme.
Gatteo Mare doit compter 500 âmes en hiver et visiblement les 3/4 se sont vite barrés sitôt la saison terminée pour aller peut être en vacances ailleurs, sur une plage , … ?
Tout est fermé ! Des rues abandonnées, des lignées d'hôtels fermés, barricadés. Les grand accès des salles à manger aux terrasses clos par des planches clouées, lugubre.
Stores tirés sur tout les magasins, salles de jeux, restaurants, bistrots.
Un seul restaurant, un tabachi, une mercerie et encore quelques hôtels d'ouverts pour ceux qui en ferment et c'est tout.
Heureusement, il y avait encore la douceur de l'automne mais pour la baignade c'était un peu foutu, eau trop froide, ils ont coupé le chauffage il y a 8 jours...
A notre enregistrement à l'hôtel, il y a avait un problême, on ne devait visiblement pas venir ce jour là mais j'ai pas tout compris et ils nous ont trouvé une chambre mais on avait l'impression d'être les seuls dans cet établissement.
Coté confort, on était à 12'000 km des Etats-unis et inversement pour la nourriture !
1 lit, une douche-wc, un tv 36cm avec une qualité de réception a se demander si même les émetteurs sont parti en vacances, et la bible mais plus petite qu'aux US.
On a vite oublié tout ça une fois rentré du restaurant (le seul) dans notre chambre le soir, remplis, gavés par notre premier souper en Italie...
Vino bianco, rosso. Tagliatelles en entrée, escalopes funghi avec frites, glace, café, déambulation et dodo...
Réveil 10h30 sortie impossible de l'hôtel, porte fermée.
Un aimable jeune homme nous demande si nous voulons bien changer d'hôtel, de ville, on nous expatriait !
C'est à Cesenatico que nous avons dû nous rendre. Sur la rue principal et heureusement pour nous car c'était un tout petit plus animé. Il y avait plus de gélaterias d'ouvertes et un peu plus d'âmes au 100m2.
Nous avons passé notre première journée a nous promener sur les lieux que voulait revoir Dawa. Nous avons vite fait le tour parce quand on est petit, on voit les choses en grand et quand on est grand …
Il faisait franchement moche, il a même plut un moment et par endroits, ça ressemblait un peu à Tchernobyl.
Intéressant comme lieu de vacances !
Le but
On était pas là pour être en vacances mais pour aller découvrir dès le lendemain ce que nous resservait Mirabillandia comme coasters et je peux vous dire déjà que je n'ai pas été déçue sur ce coup là !
Le parc.
Parking 8 Euro le premier jour, 5 le suivant malgré le bracelet qu'on nous a mis à la sortie et qu'il a fallut garder toute la nuit, sous la douche, à souper, partout.
Mais à part ça, une fois passé l'entrée en toute liberté, sans portiques détecteurs de métaux ou fouille
d'un vigile, ce parc est ma-gni-fi-que !
Les attractions sont bien cachées dans une nature luxuriante. Il n'y a pas de magasins tous les 20 mètres, c'est cosy.
Il y a un Mac Do pour ceux qui ne sont pas fanatiques des multiples plat proposés
qu'il vous cuisent devant vous dans un des 15 fours micro-ondes en guise de cuisine.
Il y a la plus grande roues qu'on a vu jusqu'à présent et aussi le plus gros splash.
Une petite attraction a retenu notre attention, c'est ses buches pour enfants qui sont vraiment format de poche.
Je sais pas si c'est fixe comme show mais à Mira il y a des cascadeurs qui ont monter un bon spectacle. C'est longuet sur le début mais c'est pour mettre en place le scénario et après, ça part dans tous les sens avec des as du volent, des vrais !
Il n'y a pas de casse mais ils vont bien vite, c'est plein d'humour, on a bien aimé.
Sinon quelques gerbotrons, un ciné 4-D qui nous a foutu la nausée mais qui était bien sympa et le clous, un train-fantôme des plus ennuyeux, et poussiéreux. Amusant.
C'était aussi notre premier parc en Italie. Autre mentalité, autres coutumes, autres règles.
On fume partout même dans les lignes où c'est interdit. On dépasse partout. Comme sur les routes avec la double ligne blanche.
Ça dépasse, ça colle, ça vole une place pour un rien. Une inadvertance et hop on perd une place.
Un exemple ? On attend pour monter le familly coaster en Font, dans les barrières.
Elles s'ouvrent, je m'avance, je me retourne pour prendre les affaires à Dawa et voilà qu'un môme me passe devant suivit de son père.
Je me dit qu'ils vont traverser le wagonnet mais non, ils s'assiègent tranquillement l'aire de rien sans nous regarder.
J'observe l'opératrice qui nous fait signe d'aller au 4em rang ! Je lui indique juste qu'on attendait au premier rang et que ces deux personnage nous avait bien eu.
On se met au 4 rang et voilà qu'ils font sortir les méchants voleurs de places mais Dawa, mon noble prince* leur a laissé la place pour faire plaisir à l'enfant. Étonnant, non ?
* Sous la contrainte !
Pas étonnant alors que l'on ne peut pas accéder directement au quai d'un coaster. Il y a un portique avant doté d'un décompte du nombre de places.
Il est activé à chaque départs de trains. Ça laisse pas beaucoup de choix de places pour les deux derniers qui le passe.
Mais c'est pas trop grave car les Italiens se déplace rarement à deux … Ils ont de quoi remplir un train ou deux sans problème et ils s'arrangent bien pour qu'ils soient bien tout ensemble a monter sur la bête.
Ils font des calculs savants et font des politesses pour ne pas passer le portique en hurlant qu'il y a une, deux places de libre.
Mais le temps que l'info passe dans le brouhaha (oui ils sont un peu bruyant aussi), que les personnes derrières se mettent d'accord a qui va se lancer dans une chevauchée pour remonter la ligne et arriver devant un portique fermé car le train va partir.
Donc, il va se retrouver en bonne position pour le suivant si il y a encore de la place disponible ou encore le suivent, le temps que tout le monde oublie comment il s'est ou, se sont retrouvés là.
C'est un peu le bordel mais c'est agréable car il n'y a aucune agressivité, le sourire est toujours présent et comme ce sont des grands trouillards, c'est très intéressant d'écouter les commentaire sur
les deux plus merveilleux , uniques coasters au monde qu'ils possèdent, Katun et I-Speed !
Deux coasters différents, toujours la même bataille celle des ''suisses-allemands'' contre les suisses-romands. Un Intamin contre un B&M. Un 'petit' lancé contre un gros inversé.
Pour les italiens pas de doute ce sont les pires au monde un point c'est tout ! Mamamia !
I-Speed
C'est un roller-coaster lancé par un système magnétique. Il n'y a pas de câble.
Un transport de pneus amène le train sur des plaques de céramiques et il prend plus ou moins directement la vitesse voulue. Ce n'est pas aussi brutal qu'un câble mais l'accélération est nettement plus intense car plus courte. Sur celui-ci, elle est vraiment bonne meilleur que sur Mawerick mais c'est un peu normal car ici, au lieu de prendre un contour serré, on monte un hat à 55m.
5-100km/h en 2.2 sec c'est ce qu'il faut pour le gravir.
Les trains sont splendides, la gare super mais c'est un petit coaster, la surface au sol est pas de la grandeur d'un Méga-coaster.
Une fois en haut du hat, on a pas le temps d'admirer la vue on redescend vite pour traverser par dessus la gare par une bonne drope. Petit air-time mais je sais pas pourquoi, il y a un petit trim (frein) juste avant de prendre un gros 360. Dommage ce petit frein,..
Après un vrille (zero-G-roll) qui passe à raz un poteau de la gare, surprenant ! On retourne à l'opposé, vers le hat. On revient vers la gare avec encore un zero-G-roll, un contour et on monte sur un frein. Le coaster prend un contour serré qui fait mal au dernier rang et après, encore un frein pour un petit bunny sans air-time, on fait un grand 180 tout lentement pour passer devant les caméras et on arrive sur les frein finaux. Retour en gare.
Conclusions est constatations :
C'est un bon roller-coaster mais qui lasse vite. Il n'y avait aucune attente mais on l'a fait 7 ou 8 fois sur les deux journée passées à Mira. Une fois en Font et tous les autres derrière car il est plus mieux bien pour nous à cette place.
Les harnais sont vraiment problématiques, Ils s'écrasent sur le jambes au fur à mesure du ride. On fini en gare avec les jambes complètement écrasées si on a pas fait gaffe pendant le ride.
On s'y fait à la longue, on trouve la parade mais ça fait perdre de la liberté .
Katun.
C'est un gros inversé dans un décor de temple Maya. Décor franchement bluffant. De la gare on ne voit rien où il vas nous emmener. Il part se perdre dans la nature.
En Font, c'est un magnifique spectacle qui s'offre. C'est du lourd, ça va vite, il y a plusieurs passages en sous terrain, à raz les pâquerettes.
Il enchaine des passage classiques comme le cobra-rolle pour de moins comme un 360 de la mort en fin de parcours. C'est doux, fluide mais pas d'énormes sensations, un beau voyage.
Sur un inversé, les rangs qui suivent le premier sont pas très intéressants car on ne voit rien devant . Mais comme sur les normaux, le dernier wagonnet et tiré par la force du train et les sensations sont différentes.
Sur Katun, whoua, c'est extrême ! Extrêmement puissante comme différence. Un air-time monstrueux pour la first drop. Une sortie de cobra-roll comme j'en avait jamais passée. Un sent un truc sur cet engin, miam qui fait que l'ont en redemande et on s'en est pas privé.
Conclusions est constatations :
Il y avait un avant Katun celui où l'on se demandait si ça valait encore le coup de retenir ce genre de ride pour nos trips futurs et il y a un après Katun qui se demande pourquoi comme EGF, ils ne sont pas tous comme ça. C'est de loin pour l'instant notre préféré des inversés.
Voilà pour ce trip qui était certainement le dernier de cette fabuleuse année 2010.
Vous pouvez trouvez l'intégralité des photos ici.
http://picasaweb.google.ch/117026852675312675291/Italie2010?authkey=Gv1sRgCJSm_ce4u5ygygE&feat=directlink
Comme cette fin de septembre s'annonçait pas trop mal, et que TravelMix avait des offres vraiment intéressantes, nous sommes descendu 4 jours en Italie. Pas n'importe où, à Gatteo Mare en Emilia Romanna, lieu où Dawa a passé la majorité de ses vacances avec ses parents. D'ailleurs, ils s'y trouvaient encore 3 semaines auparavant..., et parasol.
700km pour un bout de plage, un hôtel pension complète où l'on se gave de pasta et de poissons en tout genres.
Un endroit où le vin est si doux que l'on peut en boire au réveil et une grappa si forte qui vous fait rater le déjeuner, et le midi.
Déambuler pour digérer, acheter pour dépenser, boire pour digérer, manger pour dépenser, se dépenser pour digérer, acheter pour se dépenser et j'en oublie pour toutes ces riches activités touristiques proposée sur les 500 km de la cote Adriatique.
C'est une station balnéaire située a 10km de Cesenatico, une ville de bord de mer historique qui l'hiver dénombre 23'000 âmes pour passer à 300'000 l'été.
Du 21 avril au 21 septembre,c'est immuable, les 23'000 personnes se gavent de 300'000 270000 autres et du 21 septembre au 21 avril, ils digèrent.
30 septembre, c'est 8 jours après l'entrée en léthargie que nous avons débarqué dans ce que l'on peut appeler un no-man's land, une ville fantôme.
Gatteo Mare doit compter 500 âmes en hiver et visiblement les 3/4 se sont vite barrés sitôt la saison terminée pour aller peut être en vacances ailleurs, sur une plage , … ?
Tout est fermé ! Des rues abandonnées, des lignées d'hôtels fermés, barricadés. Les grand accès des salles à manger aux terrasses clos par des planches clouées, lugubre.
Stores tirés sur tout les magasins, salles de jeux, restaurants, bistrots.
Un seul restaurant, un tabachi, une mercerie et encore quelques hôtels d'ouverts pour ceux qui en ferment et c'est tout.
Heureusement, il y avait encore la douceur de l'automne mais pour la baignade c'était un peu foutu, eau trop froide, ils ont coupé le chauffage il y a 8 jours...
A notre enregistrement à l'hôtel, il y a avait un problême, on ne devait visiblement pas venir ce jour là mais j'ai pas tout compris et ils nous ont trouvé une chambre mais on avait l'impression d'être les seuls dans cet établissement.
Coté confort, on était à 12'000 km des Etats-unis et inversement pour la nourriture !
1 lit, une douche-wc, un tv 36cm avec une qualité de réception a se demander si même les émetteurs sont parti en vacances, et la bible mais plus petite qu'aux US.
On a vite oublié tout ça une fois rentré du restaurant (le seul) dans notre chambre le soir, remplis, gavés par notre premier souper en Italie...
Vino bianco, rosso. Tagliatelles en entrée, escalopes funghi avec frites, glace, café, déambulation et dodo...
Réveil 10h30 sortie impossible de l'hôtel, porte fermée.
Un aimable jeune homme nous demande si nous voulons bien changer d'hôtel, de ville, on nous expatriait !
C'est à Cesenatico que nous avons dû nous rendre. Sur la rue principal et heureusement pour nous car c'était un tout petit plus animé. Il y avait plus de gélaterias d'ouvertes et un peu plus d'âmes au 100m2.
Nous avons passé notre première journée a nous promener sur les lieux que voulait revoir Dawa. Nous avons vite fait le tour parce quand on est petit, on voit les choses en grand et quand on est grand …
Il faisait franchement moche, il a même plut un moment et par endroits, ça ressemblait un peu à Tchernobyl.
Intéressant comme lieu de vacances !
Le but
On était pas là pour être en vacances mais pour aller découvrir dès le lendemain ce que nous resservait Mirabillandia comme coasters et je peux vous dire déjà que je n'ai pas été déçue sur ce coup là !
Le parc.
Parking 8 Euro le premier jour, 5 le suivant malgré le bracelet qu'on nous a mis à la sortie et qu'il a fallut garder toute la nuit, sous la douche, à souper, partout.
Mais à part ça, une fois passé l'entrée en toute liberté, sans portiques détecteurs de métaux ou fouille
d'un vigile, ce parc est ma-gni-fi-que !
Les attractions sont bien cachées dans une nature luxuriante. Il n'y a pas de magasins tous les 20 mètres, c'est cosy.
Il y a un Mac Do pour ceux qui ne sont pas fanatiques des multiples plat proposés
qu'il vous cuisent devant vous dans un des 15 fours micro-ondes en guise de cuisine.
Il y a la plus grande roues qu'on a vu jusqu'à présent et aussi le plus gros splash.
Une petite attraction a retenu notre attention, c'est ses buches pour enfants qui sont vraiment format de poche.
Je sais pas si c'est fixe comme show mais à Mira il y a des cascadeurs qui ont monter un bon spectacle. C'est longuet sur le début mais c'est pour mettre en place le scénario et après, ça part dans tous les sens avec des as du volent, des vrais !
Il n'y a pas de casse mais ils vont bien vite, c'est plein d'humour, on a bien aimé.
Sinon quelques gerbotrons, un ciné 4-D qui nous a foutu la nausée mais qui était bien sympa et le clous, un train-fantôme des plus ennuyeux, et poussiéreux. Amusant.
C'était aussi notre premier parc en Italie. Autre mentalité, autres coutumes, autres règles.
On fume partout même dans les lignes où c'est interdit. On dépasse partout. Comme sur les routes avec la double ligne blanche.
Ça dépasse, ça colle, ça vole une place pour un rien. Une inadvertance et hop on perd une place.
Un exemple ? On attend pour monter le familly coaster en Font, dans les barrières.
Elles s'ouvrent, je m'avance, je me retourne pour prendre les affaires à Dawa et voilà qu'un môme me passe devant suivit de son père.
Je me dit qu'ils vont traverser le wagonnet mais non, ils s'assiègent tranquillement l'aire de rien sans nous regarder.
J'observe l'opératrice qui nous fait signe d'aller au 4em rang ! Je lui indique juste qu'on attendait au premier rang et que ces deux personnage nous avait bien eu.
On se met au 4 rang et voilà qu'ils font sortir les méchants voleurs de places mais Dawa, mon noble prince* leur a laissé la place pour faire plaisir à l'enfant. Étonnant, non ?
* Sous la contrainte !
Pas étonnant alors que l'on ne peut pas accéder directement au quai d'un coaster. Il y a un portique avant doté d'un décompte du nombre de places.
Il est activé à chaque départs de trains. Ça laisse pas beaucoup de choix de places pour les deux derniers qui le passe.
Mais c'est pas trop grave car les Italiens se déplace rarement à deux … Ils ont de quoi remplir un train ou deux sans problème et ils s'arrangent bien pour qu'ils soient bien tout ensemble a monter sur la bête.
Ils font des calculs savants et font des politesses pour ne pas passer le portique en hurlant qu'il y a une, deux places de libre.
Mais le temps que l'info passe dans le brouhaha (oui ils sont un peu bruyant aussi), que les personnes derrières se mettent d'accord a qui va se lancer dans une chevauchée pour remonter la ligne et arriver devant un portique fermé car le train va partir.
Donc, il va se retrouver en bonne position pour le suivant si il y a encore de la place disponible ou encore le suivent, le temps que tout le monde oublie comment il s'est ou, se sont retrouvés là.
C'est un peu le bordel mais c'est agréable car il n'y a aucune agressivité, le sourire est toujours présent et comme ce sont des grands trouillards, c'est très intéressant d'écouter les commentaire sur
les deux plus merveilleux , uniques coasters au monde qu'ils possèdent, Katun et I-Speed !
Deux coasters différents, toujours la même bataille celle des ''suisses-allemands'' contre les suisses-romands. Un Intamin contre un B&M. Un 'petit' lancé contre un gros inversé.
Pour les italiens pas de doute ce sont les pires au monde un point c'est tout ! Mamamia !
I-Speed
C'est un roller-coaster lancé par un système magnétique. Il n'y a pas de câble.
Un transport de pneus amène le train sur des plaques de céramiques et il prend plus ou moins directement la vitesse voulue. Ce n'est pas aussi brutal qu'un câble mais l'accélération est nettement plus intense car plus courte. Sur celui-ci, elle est vraiment bonne meilleur que sur Mawerick mais c'est un peu normal car ici, au lieu de prendre un contour serré, on monte un hat à 55m.
5-100km/h en 2.2 sec c'est ce qu'il faut pour le gravir.
Les trains sont splendides, la gare super mais c'est un petit coaster, la surface au sol est pas de la grandeur d'un Méga-coaster.
Une fois en haut du hat, on a pas le temps d'admirer la vue on redescend vite pour traverser par dessus la gare par une bonne drope. Petit air-time mais je sais pas pourquoi, il y a un petit trim (frein) juste avant de prendre un gros 360. Dommage ce petit frein,..
Après un vrille (zero-G-roll) qui passe à raz un poteau de la gare, surprenant ! On retourne à l'opposé, vers le hat. On revient vers la gare avec encore un zero-G-roll, un contour et on monte sur un frein. Le coaster prend un contour serré qui fait mal au dernier rang et après, encore un frein pour un petit bunny sans air-time, on fait un grand 180 tout lentement pour passer devant les caméras et on arrive sur les frein finaux. Retour en gare.
Conclusions est constatations :
C'est un bon roller-coaster mais qui lasse vite. Il n'y avait aucune attente mais on l'a fait 7 ou 8 fois sur les deux journée passées à Mira. Une fois en Font et tous les autres derrière car il est plus mieux bien pour nous à cette place.
Les harnais sont vraiment problématiques, Ils s'écrasent sur le jambes au fur à mesure du ride. On fini en gare avec les jambes complètement écrasées si on a pas fait gaffe pendant le ride.
On s'y fait à la longue, on trouve la parade mais ça fait perdre de la liberté .
Katun.
C'est un gros inversé dans un décor de temple Maya. Décor franchement bluffant. De la gare on ne voit rien où il vas nous emmener. Il part se perdre dans la nature.
En Font, c'est un magnifique spectacle qui s'offre. C'est du lourd, ça va vite, il y a plusieurs passages en sous terrain, à raz les pâquerettes.
Il enchaine des passage classiques comme le cobra-rolle pour de moins comme un 360 de la mort en fin de parcours. C'est doux, fluide mais pas d'énormes sensations, un beau voyage.
Sur un inversé, les rangs qui suivent le premier sont pas très intéressants car on ne voit rien devant . Mais comme sur les normaux, le dernier wagonnet et tiré par la force du train et les sensations sont différentes.
Sur Katun, whoua, c'est extrême ! Extrêmement puissante comme différence. Un air-time monstrueux pour la first drop. Une sortie de cobra-roll comme j'en avait jamais passée. Un sent un truc sur cet engin, miam qui fait que l'ont en redemande et on s'en est pas privé.
Conclusions est constatations :
Il y avait un avant Katun celui où l'on se demandait si ça valait encore le coup de retenir ce genre de ride pour nos trips futurs et il y a un après Katun qui se demande pourquoi comme EGF, ils ne sont pas tous comme ça. C'est de loin pour l'instant notre préféré des inversés.
Voilà pour ce trip qui était certainement le dernier de cette fabuleuse année 2010.
Vous pouvez trouvez l'intégralité des photos ici.
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