Au commencement était moi, petit gamin de 5 ans fasciné par les trains. On m’emmenait à la « gare des trains » histoire d’assouvir ma fascination pour une machine roulant sur des rails. Cette fascination, comme les allergies, a changé de forme au fil du temps. Après avoir acheté Roller Coaster Tycoon 2 totalement par hasard, le petit Kalistos, 10 ans, se promet de rider toutes ces montagnes russes qui le fascinent. Un seul problème barrait son chemin : la peur.
Parce que, ouais, je suis depuis toujours assez peureux et j’avais jusque là jamais réussi à rider quelque chose de plus violent que le train de la mine de DLP !
Les 20 et 21 avril derniers, j’ai enfin eu l’occasion de me mettre à l’épreuve. Je décide mon partenaire à faire un Barcelone + Salou/Port Aventura/Ferrari. Je sais combien les TR de ce parc sont communs, j’espère que le mien présentera un petit intérêt du fait que je découvre totalement les sensations d’un vrai coaster pour la toute première fois (tout-toute première fois)
Je précise que je connais très mal le sociolecte dédié aux montagnes russes et parc à thèmes, donc ne vous étonnez pas si je dis de bêtises
Je poste d'abord ce 1er jour à Port Aventura puis je posterai Ferrari Land, il me manque encore quelques photos de mon partenaire !
Et en parlant de photos, je n'en ai pas abusé parce que c'est une galère sans nom à héberger
JOUR 1 : FIRST RIDE
Le but, c’était d’y aller doucement en commençant par Stampida, histoire de se mettre en forme. Le problème à PAV, c’est qu’ils prennent leur temps pour ouvrir les attractions : Stampida c’était pas avant 11h30 : on tue donc le temps avec Grand Canyon, des bouées bien merdiques, puis avec El Secreto de los Mayas : première bonne surprise dans ce palais des glaces dans lequel on a bien galéré.
Suis-je vraiment là où vous croyez ?
Puis on attaque enfin Stampida après une queue relativement longue pour un duelling.
Difficile d’obtenir une jolie photo de ce coaster
Je ne sais pas ce qu’il en est dans les autres parcs, mais le premier constat que je me suis fait, c’est que les opérateurs raaaaament. Les débits sont très mauvais pour tous les coasters : sans doute en premier lieu pour la simple raison que les employés sont en sous-effectif et doivent parfois gérer l’accueil, le placement, le fast-pass et le security check tous seuls ou à deux (comme on a pu le voir par la suite dans DK). Comme on peut le voir sur la photo, Furious Baco a atteint un temps d’attente affiché d’1 heure 50 un 20 avril ! Ce qui nous permet d’aborder le second problème de PAV sur les temps d’attente : ils sont TOTALEMENT sous estimés ! Les opérateurs sont si lents que FB atteignait bien les 2h30 d’attente en matinée comme nous l’ont dit plus tard des français qu’on a croisé et qui avaient fini par abandonner.
Stampida sera donc la première sensation onride, et je dois l’avouer, j’ai eu peur sur ce ride qui m’a quand même beaucoup amusé. J’ai pu lire à quel point le wooden est décrié par la communauté, notamment parce qu’il vibre. Je parle avec prudence en tant que néophyte, mais pour moi les vibrations sur un wooden font partie du jeu. Entre les vibrations et le bruit de tous les diables, on a vraiment l’impression d’etre sur un train en perte de contrôle et ça a son charme. Le duelling est aussi très agréable, en particulier sur le moment où on croise l’autre train.
Bref on repart tout excités et craintifs pour la suite : ce sera Shambala immédiatement après vu la vitesse à laquelle les temps d’attente se rallongent. 40 minutes de queue à se bouffer les doigts pour ma part … Finalement le train part, avec nous au 1er rang (coup de bol), monte, nous sommes au bord de la première descente …
Une petite photo inutile pour préserver le suspens.
Et là la claque quoi ! Meilleure sensation de ma vie, un rêve de gamin qui se réalise, la first drop de Shambala me fait jubiler d’une sensation nouvelle. Puis c’est le déchaînement entre les air times et la fluidité du ride. J’en ressort les larmes aux yeux, complètement grisé … Bon OK le vent a contribué aux larmes . Bref, c’est reparti pour un deuxième tour en file alone, avec une pointe de tristesse de se dire que je ne retrouverai jamais plus cette première sensation.
On enchaîne directement sur DK, ma première inversion. Le premier ride ne sera pas aussi jubilatoire, par contre il le sera plus volontiers à long terme. Là où Shamballa est assez vite lassant puisqu’il repose essentiellement sur la vitesse, à laquelle on s’accoutume, les inversions de DK sont plus surprenantes et dépendent beaucoup de la position dans le train (je l’aurai fait un peu partout tout au long du séjour).
Pour se remettre de nos émotions, direction Angkor, dans lequel on se fait tremper la gueule.
Objectif : inonder le bateau suivant ou précédent dans les virages (comme sur la photo), ou bien les badots non avertis qui marchent au bord de l’attraction, ça devient vite très marrant (et le décor est somptueux).
On profite d’être mouillés pour faire l’autre ride/douche : Tutuki Splash. 1er rang, avec deux français équipés de k-way qui nous narguent en mode « pauvres fous, vous savez pas dans quoi vous vous êtes lancés ». Effectivement on savait pas et on a presque regretté.
Tutuki Splash étape 1
Tutuki Splash étape finale
Bien qu'il fasse beau, Tutuki n'affiche jamais de queue de toute la journée. Faut dire que personne n'a jamais envie de faire 500 fois cette machine à vendre des k-ways.
Par la suite, on se lancera dans la nouveauté Dino Escape 4D. Une bouse sans intérêt, le Futuroscope fait bien mieux dans le genre. Trop peu dynamique et une 3d qui fait très mal aux yeux, c'est à peine si j'arrivais à comprendre l'image.
Enfin, FB. Il faut évidemment le rider en fin de journée pour le voir se désemplir. Il faut savoir que si PAV traîne à ouvrir ses attractions, il en est de même pour les fermer le soir. Si le parc indique une fermeture à 20h00, c’est fermeture des files d’attente à cette heure là ! La meilleure solution consiste donc à se pointer dans FB à 19h55 pour répartir au mieux la plus longue perte de temps, à savoir la file interminable de ce ride. Prévoyez 150% du temps indiqué en attente pour le rider.
FB sera mon ride préféré à la fin de cette journée tant il m’a provoqué une sensation de surprise (ça ne durera pas plus d’une journée). L’accelerator m’a complètement estomaqué au point de me faire oublier les vibrations au cours du ride. Il y a aussi un côté jouissif à entendre partir les trains du ride (et les cris des gens) comme dans un cartoon, quand on arrive sur la fin de la file d’attente. En général ça fait « une fois de plus la team rocket s’envole vers d’autres cieuuuuuuuuuux !».
BILAN PREMIERE JOURNEE :
Ce First Ride confirmera ma passion latente pour les montagnes russes. La peur a complètement disparu pour laisser place au pur plaisir.
PAV en revanche me laisse un petit sentiment de déception. J’imagine qu’il serait naïf de penser que ce soit différent ailleurs mais cette ambiance « passe moi ton fric » est omniprésente dans le parc. Le coût des photos et de la bouffe frisent le ridicule : il ne fait aucun doute que PAV fait la majorité de ses rentrées par ce biais plutôt que par le modeste prix du ticket. Pour moi il y a cher et cher. Payer 10 € leur bout de tissu pour se protéger de l'eau, c'est plus que cher, c'est abusé, mais encore on peut s'en passer. En revanche, interdire de bouffer et ne proposer aucun service low cost, je trouve ça éxagéré et on se sera pas privé d'amener discrètement notre propre bouffe.
Le lendemain j’ai découvert Ferrari Land et j’ai compris que PAV à côté, c’était des petits joueurs.
BILAN COASTERS PAV :
Stampida (2 rides) : j’ai adoré le 1er tour en début de séjour, on l’a refait tout à la fin le dernier jour pour mesurer le changement après avoir acquis l’expérience des autres rides. Et bien je l’ai tout autant aimé et j’avoue avoir le début d’un faible pour les wooden.
Dragon Khan (4 rides) : j’ai appris à apprécier ce ride qui me laisse le meilleur souvenir sur le long terme parmi l’ensemble des rides. Outre le plaisir d’observer son lay-out plein d’inversions, je ressens moins de lassitude pour DK que pour les autres rides, sans doute grâce à ces mêmes inversions pour lesquelles j’ai un autre petit faible (en particulier la 3ème dont je ne connais plus le nom (tire bouchon ?) bien bourrine).
Shamballa (3 rides) : je n’oublierai jamais la sensation offerte par la première drop qui est à couper le souffle. Les air times m’emballent moins. Le problème des mega montagnes russes, c’est donc qu’elles reposent sur des éléments plus sensibles à la lassitude, et c’est effectivement une forme de lassitude qui m’a gagnée pour ce coaster. De manière générale, mais sensations ne sont pas encore dégrossies et je n’ai rien pour comparer, d’où mon incapacité à vraiment donner une analyse pointue.
FB (3 rides) : si le premier ride m’a complètement conquis, l’emballement ne survivra pas au deux tours suivants du lendemain, après s’être habitué à l’accélération à cause du Red Force. Déjà, je trouve la séquence introductive avec le petit singe exaspérante. Mais surtout les vibrations provoquent un gros mal de tête qui vient couronner l’attente interminable pour un temps de ride ridicule (heureusement j’ai pu discrètement (ou pas) gruger un tour supplémentaire le deuxième jour. En fin de journée le train part à moitié vide et il ne faut pas hésiter à demander à compléter un trou quand on est seul). Quel dommage pour ce coaster qui sert de vitrine à l’entrée du parc (sa qualité esthétique est indéniable).
Hurakan Condor : je ne l’ai fait que le second jour, avec une grosse appréhension (qui ne m’a pas empêché de demander le ride debout penché en avant à l’opératrice :p). J’ai été assez déçu de la sensation, c’est surtout la vue qui m’a le plus intéressé. En fait je trouve la sensation de chute trop courte : elle a lieu à l'extrême début, mais rapidement on se sent plutôt tiré vers le bas que voler. Je crois que je ne serais jamais un grand client de free fall.
Les flats et autres : à part les aquatiques, rien qui casse trois pattes à un canard. Il manque de flats à sensations comme on peut en trouver dans des fêtes foraines (un top spin ( ?) ou comme ça).
A suivre ...
Parce que, ouais, je suis depuis toujours assez peureux et j’avais jusque là jamais réussi à rider quelque chose de plus violent que le train de la mine de DLP !
Les 20 et 21 avril derniers, j’ai enfin eu l’occasion de me mettre à l’épreuve. Je décide mon partenaire à faire un Barcelone + Salou/Port Aventura/Ferrari. Je sais combien les TR de ce parc sont communs, j’espère que le mien présentera un petit intérêt du fait que je découvre totalement les sensations d’un vrai coaster pour la toute première fois (tout-toute première fois)
Je précise que je connais très mal le sociolecte dédié aux montagnes russes et parc à thèmes, donc ne vous étonnez pas si je dis de bêtises
Je poste d'abord ce 1er jour à Port Aventura puis je posterai Ferrari Land, il me manque encore quelques photos de mon partenaire !
Et en parlant de photos, je n'en ai pas abusé parce que c'est une galère sans nom à héberger
Tibidabo depuis le parc Guëll à Barcelone. A 30 € l’entrée, grosso modo autant que Port Aventura, on a préféré passer notre tour.
JOUR 1 : FIRST RIDE
Le but, c’était d’y aller doucement en commençant par Stampida, histoire de se mettre en forme. Le problème à PAV, c’est qu’ils prennent leur temps pour ouvrir les attractions : Stampida c’était pas avant 11h30 : on tue donc le temps avec Grand Canyon, des bouées bien merdiques, puis avec El Secreto de los Mayas : première bonne surprise dans ce palais des glaces dans lequel on a bien galéré.
Suis-je vraiment là où vous croyez ?
Puis on attaque enfin Stampida après une queue relativement longue pour un duelling.
Difficile d’obtenir une jolie photo de ce coaster
Je ne sais pas ce qu’il en est dans les autres parcs, mais le premier constat que je me suis fait, c’est que les opérateurs raaaaament. Les débits sont très mauvais pour tous les coasters : sans doute en premier lieu pour la simple raison que les employés sont en sous-effectif et doivent parfois gérer l’accueil, le placement, le fast-pass et le security check tous seuls ou à deux (comme on a pu le voir par la suite dans DK). Comme on peut le voir sur la photo, Furious Baco a atteint un temps d’attente affiché d’1 heure 50 un 20 avril ! Ce qui nous permet d’aborder le second problème de PAV sur les temps d’attente : ils sont TOTALEMENT sous estimés ! Les opérateurs sont si lents que FB atteignait bien les 2h30 d’attente en matinée comme nous l’ont dit plus tard des français qu’on a croisé et qui avaient fini par abandonner.
Stampida sera donc la première sensation onride, et je dois l’avouer, j’ai eu peur sur ce ride qui m’a quand même beaucoup amusé. J’ai pu lire à quel point le wooden est décrié par la communauté, notamment parce qu’il vibre. Je parle avec prudence en tant que néophyte, mais pour moi les vibrations sur un wooden font partie du jeu. Entre les vibrations et le bruit de tous les diables, on a vraiment l’impression d’etre sur un train en perte de contrôle et ça a son charme. Le duelling est aussi très agréable, en particulier sur le moment où on croise l’autre train.
Bref on repart tout excités et craintifs pour la suite : ce sera Shambala immédiatement après vu la vitesse à laquelle les temps d’attente se rallongent. 40 minutes de queue à se bouffer les doigts pour ma part … Finalement le train part, avec nous au 1er rang (coup de bol), monte, nous sommes au bord de la première descente …
Une petite photo inutile pour préserver le suspens.
Et là la claque quoi ! Meilleure sensation de ma vie, un rêve de gamin qui se réalise, la first drop de Shambala me fait jubiler d’une sensation nouvelle. Puis c’est le déchaînement entre les air times et la fluidité du ride. J’en ressort les larmes aux yeux, complètement grisé … Bon OK le vent a contribué aux larmes . Bref, c’est reparti pour un deuxième tour en file alone, avec une pointe de tristesse de se dire que je ne retrouverai jamais plus cette première sensation.
On enchaîne directement sur DK, ma première inversion. Le premier ride ne sera pas aussi jubilatoire, par contre il le sera plus volontiers à long terme. Là où Shamballa est assez vite lassant puisqu’il repose essentiellement sur la vitesse, à laquelle on s’accoutume, les inversions de DK sont plus surprenantes et dépendent beaucoup de la position dans le train (je l’aurai fait un peu partout tout au long du séjour).
Pour se remettre de nos émotions, direction Angkor, dans lequel on se fait tremper la gueule.
On profite d’être mouillés pour faire l’autre ride/douche : Tutuki Splash. 1er rang, avec deux français équipés de k-way qui nous narguent en mode « pauvres fous, vous savez pas dans quoi vous vous êtes lancés ». Effectivement on savait pas et on a presque regretté.
Tutuki Splash étape 1
Tutuki Splash étape finale
Bien qu'il fasse beau, Tutuki n'affiche jamais de queue de toute la journée. Faut dire que personne n'a jamais envie de faire 500 fois cette machine à vendre des k-ways.
Par la suite, on se lancera dans la nouveauté Dino Escape 4D. Une bouse sans intérêt, le Futuroscope fait bien mieux dans le genre. Trop peu dynamique et une 3d qui fait très mal aux yeux, c'est à peine si j'arrivais à comprendre l'image.
Enfin, FB. Il faut évidemment le rider en fin de journée pour le voir se désemplir. Il faut savoir que si PAV traîne à ouvrir ses attractions, il en est de même pour les fermer le soir. Si le parc indique une fermeture à 20h00, c’est fermeture des files d’attente à cette heure là ! La meilleure solution consiste donc à se pointer dans FB à 19h55 pour répartir au mieux la plus longue perte de temps, à savoir la file interminable de ce ride. Prévoyez 150% du temps indiqué en attente pour le rider.
FB sera mon ride préféré à la fin de cette journée tant il m’a provoqué une sensation de surprise (ça ne durera pas plus d’une journée). L’accelerator m’a complètement estomaqué au point de me faire oublier les vibrations au cours du ride. Il y a aussi un côté jouissif à entendre partir les trains du ride (et les cris des gens) comme dans un cartoon, quand on arrive sur la fin de la file d’attente. En général ça fait « une fois de plus la team rocket s’envole vers d’autres cieuuuuuuuuuux !».
BILAN PREMIERE JOURNEE :
Ce First Ride confirmera ma passion latente pour les montagnes russes. La peur a complètement disparu pour laisser place au pur plaisir.
PAV en revanche me laisse un petit sentiment de déception. J’imagine qu’il serait naïf de penser que ce soit différent ailleurs mais cette ambiance « passe moi ton fric » est omniprésente dans le parc. Le coût des photos et de la bouffe frisent le ridicule : il ne fait aucun doute que PAV fait la majorité de ses rentrées par ce biais plutôt que par le modeste prix du ticket. Pour moi il y a cher et cher. Payer 10 € leur bout de tissu pour se protéger de l'eau, c'est plus que cher, c'est abusé, mais encore on peut s'en passer. En revanche, interdire de bouffer et ne proposer aucun service low cost, je trouve ça éxagéré et on se sera pas privé d'amener discrètement notre propre bouffe.
Le lendemain j’ai découvert Ferrari Land et j’ai compris que PAV à côté, c’était des petits joueurs.
BILAN COASTERS PAV :
Stampida (2 rides) : j’ai adoré le 1er tour en début de séjour, on l’a refait tout à la fin le dernier jour pour mesurer le changement après avoir acquis l’expérience des autres rides. Et bien je l’ai tout autant aimé et j’avoue avoir le début d’un faible pour les wooden.
Dragon Khan (4 rides) : j’ai appris à apprécier ce ride qui me laisse le meilleur souvenir sur le long terme parmi l’ensemble des rides. Outre le plaisir d’observer son lay-out plein d’inversions, je ressens moins de lassitude pour DK que pour les autres rides, sans doute grâce à ces mêmes inversions pour lesquelles j’ai un autre petit faible (en particulier la 3ème dont je ne connais plus le nom (tire bouchon ?) bien bourrine).
Shamballa (3 rides) : je n’oublierai jamais la sensation offerte par la première drop qui est à couper le souffle. Les air times m’emballent moins. Le problème des mega montagnes russes, c’est donc qu’elles reposent sur des éléments plus sensibles à la lassitude, et c’est effectivement une forme de lassitude qui m’a gagnée pour ce coaster. De manière générale, mais sensations ne sont pas encore dégrossies et je n’ai rien pour comparer, d’où mon incapacité à vraiment donner une analyse pointue.
FB (3 rides) : si le premier ride m’a complètement conquis, l’emballement ne survivra pas au deux tours suivants du lendemain, après s’être habitué à l’accélération à cause du Red Force. Déjà, je trouve la séquence introductive avec le petit singe exaspérante. Mais surtout les vibrations provoquent un gros mal de tête qui vient couronner l’attente interminable pour un temps de ride ridicule (heureusement j’ai pu discrètement (ou pas) gruger un tour supplémentaire le deuxième jour. En fin de journée le train part à moitié vide et il ne faut pas hésiter à demander à compléter un trou quand on est seul). Quel dommage pour ce coaster qui sert de vitrine à l’entrée du parc (sa qualité esthétique est indéniable).
Hurakan Condor : je ne l’ai fait que le second jour, avec une grosse appréhension (qui ne m’a pas empêché de demander le ride debout penché en avant à l’opératrice :p). J’ai été assez déçu de la sensation, c’est surtout la vue qui m’a le plus intéressé. En fait je trouve la sensation de chute trop courte : elle a lieu à l'extrême début, mais rapidement on se sent plutôt tiré vers le bas que voler. Je crois que je ne serais jamais un grand client de free fall.
Les flats et autres : à part les aquatiques, rien qui casse trois pattes à un canard. Il manque de flats à sensations comme on peut en trouver dans des fêtes foraines (un top spin ( ?) ou comme ça).
A suivre ...