Aaahh, le Futuroscope, un parc que j'avais visité en 2012 et qui m'avait laissé un sentiment mitigé. J'avais passé une bonne journée mais sans plus. Seule une nouveauté qui vaille le coup me ferait revenir. Une montagne russe ? Oui ! Et c'est cette année que le parc a enfin ouvert son 1er coaster (le butterfly ne " compte pas "). Intamin aux commandes et 22 millions d'€ de budget, ça va être lourd ! Mais qu'en est-il vraiment ? Lisez nos aventures pour le découvrir !
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C'est en un échange de quelques SMS que ce trip naquis aux alentours du 1er août. Un appel à participants est lancé sur le forum, qui, une fois de plus, a eu beaucoup de succès. Une semaine plus tard, Léo débarqua dans ma ville.
Samedi 8 août, 6h56. Je me réveille, je mange de quoi bien tenir. Léo ne mange pas grand chose, je ne sais pas comment il fait. J'aurais la dalle dans l'heure qui suit et agirais avec agressivité pour obtenir de quoi me nourrir
Le parc ouvre à 9h30 et nous avons 1h40 de route. Mmm... n'y aurait-il pas eu une erreur de calcul si l'on voulait arriver pour l'ouverture ? Pourtant, nous arriverons bien en avance pour l'ouverture de notre première destination. Nous faisons même une halte à un Intermarché pour un ravitaillement.
Il aurait été fort dommage de louper un autre parc d'attractions, situé à seulement quelques kilomètres de notre point d'ancrage. L'accès est assez fastidieux : le parc se voit depuis la route mais pour y accéder, il faut passer dans une zone artisanale puis sur une route de campagne et ne pas oublier de tourner à gauche sur une route de cailloux et de trous.
L’Île aux Géants et sa mascotte de clown très creepy possède deux montagnes russes. L’entrée, pour les adultes, ne coûte que 2 €. Pour le coup, pas cher les crédits !
© Léo
Je précise que nous sommes littéralement deux glandus, plantés sur le parking à 10h45. Le parc n’ouvre qu’à 11h.
Le Zyklon et la Pomme nous narguent. Les caisses ouvrent quelques minutes avant, qu’est ce que ça fait d’être les premiers visiteurs ? Surtout, qu’est ce que ça fait d’être salement jugés par les regards des employés ? C’est tellement fort que j’en perds ma langue de Molière.
« Bonjour… » … « euh vos montagnes russes sont bien ouvertes ? » . « Oui, mais elles n’ouvrent qu’à 14h » C’est la dé-grin-golade. Tout ça pour ça. Un plan d’attaque qui tombe à l’eau en un clignement d’yeux. On a beau « négocier », c’est peine perdue. « Il faut systématiquement remplir les trains sinon ils ne reviennent pas en gare » . O-K. On ne perd pas plus de temps que ça, on fait demi-tour sous le regard interloqué des visiteurs. La journée a à peine commencé que notre niveau de jugement a déjà explosé.
Après ce fail sans précédent, direction le Futuroscope, qui se voit de loin sur notre route. 11h15, le parking est peu rempli, ça s’annonce bien ! On paie les 9 € en avance avant d’entrer dans le parc.
– Avant de continuer à narrer nos aventures : je n’avais pas rédigé de TR à l’époque car la fainéantise avait pris le dessus [je n’ai (presque) pas recommencé depuis, je cravache maintenant à faire un TR à chaque visite] mais aussi comment décrire un simulateur sans spoiler le film ? Je vais donc pour cette fois-ci faire un comparatif entre mes souvenirs et mes ressentis tout frais –
Bon, la question ne se pose pas quand il s’agit… du Balancier (butterfly) !
© Léo
On préfère le faire de suite, une petite dizaine de minutes d’attente pour que Léo puisse obtenir son crédit. Sans commentaire.
Toute la zone pour les enfants a été refaite en 2019. Elle se nomme désormais « Futuropolis » (anciennement « Le monde des Enfants »).
Le Futuroscope, c’est le futur, c’est la technologie ! Le parc met à disposition une carte interactive sur smartphone indiquant les temps d ‘attente à la minute près !
Il y a aussi l’application Lineberty sur les attractions suivantes : Arthur / l’Extraordinaire Voyage / La Vienne Dynamique. Cette application fait la file d’attente à votre place ; mieux encore, on peut réserver plusieurs tickets pour différentes attractions en même temps !
Plusieurs bâtiments prônent dans le parc. Ces bâtiments sont historiquement des « Pavillons » ; ces derniers ont chacun leur nom et comportent une ou plusieurs attraction(s) / spectacle(s)
Malgré l’heure d’attente, on ne résiste pas à la nouvelle montagne russe ! Objectif Mars prend la place du Solido, un ancien pavillon qui abritait un écran hémisphérique et une technologie poussée mais trop coûteuse.
© Léo
Le début de la file se fait en extérieur, sans ombre par endroit. Cela dit, ça avance bien. Nous écoutons à chaque tour le bruit du 2nd launch qui n’attend que d’être plus poussé !
© Léo
Une fois à l’intérieur, nous passons plusieurs salles à la Futuroscope : grandes, hautes de plafond, couleurs futuristes mais qui restent dans l’air du temps.
© Léo
Plus on avance, plus les salles et les couloirs deviennent étroits. En tout cas, j’aime bien la théma !
C’est confirmé, Objectif Mars est bien un In-TA GUEULE / © Léo
Nous arrivons enfin dans la gare, encore quelques mètres et nous sommes sur le quai. Nous n’avons pas le choix de nos places mais nous sommes au dernier rang
Les laps bars sont désinfectées à chaque tour par les opérateurs. Les sièges sont plutôt confortables mais les « supports » de la lap bar sont mal foutus. Si vous ne faites pas gaffe à l’étroitesse de l’espacement, vous allez vous donner un bon coup aux jambes !
Le train démarre. Je ne spolierai pas le début (même si tout a déjà été dit sur Captain). Nous arrivons à la zone de launch. C’est aussi ici que vous avez la photo. Alors oui, le launch n’est vraiment pas puissant. Malgré ça, nous avons un très bon floating sur le camel back. Nous passons sous l’entrée, notre wagon se met à tournoyer gentiment. Grand virage au dessus de la file d’attente avant d’attaquer le second launch. Nous rentrons sur ce dernier de côté, on va pouvoir expérimenter notre 1er launch latéral ! Et c’est très surprenant, d’autant plus que le 2nd launch est plus puissant ! On rigole bien tout le reste du parcours ; la dernière section est aussi sympa, bien que je me sois accrochée à Léo :roll:
Bilan de ce coaster : aux premiers abords, quand on pense qu’ils ont mis 22 millions d’euros sur la table et que l’on a « ça »… C’est sûr que l’on préférerait avoir une grosse tuerie. Après, il a fallu détruire un bâtiment, refaire le terrain, construire le coaster et un nouveau bâtiment… Le ride en lui-même est un condensé de technologies. Objectif Mars est un prototype qui va bien à l’ambiance atypique du parc. La couleur des rails est superbe. Quant à la longueur du ride, on aurait aimé 200m de plus.
Nous sortons du ride, on veut voir nos têtes sur les photos. Ah bah non, il n’y a pas d’écran pour voir les photos. On en refera plus tard…
Pendant que nous étions dans la file d’attente d’Objectif Mars, nous avions réservé des entrées pour l’Extraordinaire Voyage et Arthur. A la base, EV était prévu à 13h, puis 14h, puis… pendant que nous étions dans la file. Une notification nous a prévenu que c’était notre tour. Impossible pour nous, nous avons annulé le ticket.
A peine sorti du coaster que c’est notre tour pour Arthur.
© Léo
Pas besoin de courir, nous sommes juste à côté. L’attraction se situe dans le pavillon Imax 3D Dynamique. Quand c’est votre tour, vous avez 20 min pour aller vous présenter à l’attraction. Il y a une file dédiée pour la Lineberty. On « double » (ce n’est qu’une impression) tout le monde, on se sent royal D’ailleurs, très peu de personnes utilise ce système.
© Léo
J’avais adoré Arthur en 2012. Sera-t-il toujours de même ? Les lunettes 3D sont spécifiques à l’attraction. Nous embarquons dans le véhicule de gauche au dernier rang. Les opérateurs sont pour le coup assez stricts dans la voix et leur manière d’être.
Et c’est parti pour suivre les aventures des Minimoys. J’avais oublié que la tige de la feuille gâchait un peu la vue (les sièges sont en forme de feuille, enfin je pense). Ça bouge beaucoup, parfois violemment mais la 3D fonctionne très bien. On est pris dans le film… Pas Léo car ses lunettes ne fonctionnent pas Ça dure suffisamment longtemps pour ne pas rester sur sa faim, ni pour avoir une éventuelle nausée.
Petite pause pipi avant de tester La Machine à Voyager dans le Temps avec nos amis les Lapins Crétins. 20 minutes d’attente, c’est tout bon ! L’attraction remplace « Les Animaux du Futur » depuis 2014. J’avais assez apprécié l’ancienne attraction mais c’est sans regret de l’avoir remplacé par les Lapins. On en profite aussi pour prendre un ticket pour la Vienne Dynamique. J’adore l’humour des Lapins. Quelques interactions à l’extérieur pour nous divertir mais la palme d’or revient à l’intérieur : c’est adorable comme tout, j’adore !
La gare et les trains mettent dans l’ambiance :
Nous voilà partis pour voyager à travers le temps… à la manière des Lapins ! Effets spéciaux, rigolades sont au RDV ! J’ai kiffé (pour mettre un autre mot que « adoré ») ! A refaire à une autre place pour voir plus de détails.
A peine sortis de l’attraction que nous rejoignons la file d’attente de La Vienne Dynamique. Encore une fois, on « gruge » une belle file. La Vienne Dynamique est au Futuroscope ce que le Nigloshow est à Nigloland : historique, mythique, unique, authentique ! Tout est d’époque -avec des améliorations apportées au fil du temps-. Et ça secoue beaucoup aussi, tenez-vous bien ! J’avais oublié ça. Et vous voulez savoir le concepteur du dispositif des sièges ? Intamin ! Tiens donc ! Ça n’en reste pas moins un film rigolo et plutôt long.
On regrettera juste les immondes odeurs de pets des voisins de devant…
Aussi, avant et après le film, les opérateurs interviennent pour nous demander si ça va, pour nous souhaiter un bon film, si ça nous a plu… Je trouve que ça casse un peu l’ambiance. Ce que je veux dire c’est que la forme de leur intervention ressemble plus au début d’un spectacle de kermesse avec Bozo le Clown. On aura plusieurs fois ce genre d’intervention dans différentes attractions.
14h20, je mange un bout de mon premier sandwich avant d’aller faire L’Extraordinaire Voyage, situé dans le pavillon Le Tapis Magique. Bonjour tout le monde, laissez-nous pass… Merci, vraiment, merci Lineberty. Avant d’atteindre le Flying Theatre, nous avons 2-3 pré-show bien foutus. Plus les pré-shows passent, plus l’immersion change ; avant d’embarquer, les consignes de sécurité sont omniprésentes.
Installés au rang B au milieu, je pense que l’on a une bonne place. C’est mon premier Flying Theatre ! Le show commence : on voyage à travers différents pays, la qualité de l’image est excellente ! Et puis cette petite sensation de voler est présente. Éblouissant, on en redemanderait encore !
On décide de se poser pour prendre le temps de manger un bout. Je termine mon sandwich, Léo part se chercher un steak frite. Notre pause durera finalement que 15 min.
Nous repartons se promener dans le parc. Objectif Mars est en panne. #ObjectifPanne / © Léo. Le parc ferme à 23h, les mécaniciens ont le temps de le réparer ! Nous entrons dans une zone de jeux d’arcades. Bon, pas grand chose à faire ici… à part des jeux d’arcades.
Nous entrons dans le pavillon du Futuroscope, contenant des jeux ludiques (test de rapidité, saut le plus haut, faire avancer une bille avec sa pensée…). Mais il y a aussi ceci :
Des TOBOGGANS, et de beaux spécimens ! Malheureusement, ces derniers sont fermés car il fait une chaleur à faire tomber mémé On retentera plus tard dans la journée. On fait une pause vélo pour recharger le portable de Léo.
Nous repassons devant Objectif Mars, aucun signe de vie. Les employés sont postés devant l’entrée et répondent aux questions des visiteurs. « Quand est-ce que ça rouvre ? » / « On ne sait pas ». En attendant, on le prend en photos :
En quelques photos, on réussit à prendre l’ensemble du parcours.
Tu veux faire Objectif Mars ? / © Léo
C’est ce que tu veux vraiment ? / © Léo
Eh bien, ride ! / © Léo
Il serait bête de passer à côté de Danse avec les Robots, encore une attraction unique en son genre. Je l’avais fait en 2012 en mode niveau 1 (y avait la grande sœur). Je peux vous dire qu’après une heure d’attente peu agréable… je faisais un peu la gueule.
L’attraction a changé de « promoteur » l’année d’après ma visite. C’est maintenant Martin Solveig à l’honneur. La file d’attente a été revue : les robots animatroniques ont disparu pour laisser place à une pièce plus aérée, sobre et sympathique. De la musique connue passe en vidéo sur un mur avec des jeux de lumières.
Après 35 min, c’est enfin notre tour ; le niveau 3, ça envoie ! Ça tourne, changements de direction brusques, passages en rase motte la tête à l’envers. On rigole sans s’arrêter !
© Léo
Danse avec les Robots n’est à louper sous aucun prétexte, tant pour son côté unique que fendard. Le seul loup : le débit.
On fait pas mal de marche dans le parc, heureusement que certaines zones sont ombragées. Nous n’avons pas de plan d’attaque particulier, on y va au feeling.
Derrière, le pavillon Kinémagic / © Léo
Nous passons devant le pavillon Imagic, qui accueille le spectacle Illusio. Et pourquoi pas ? En 2012, c’était le spectacle iMagic qui était présenté.
Le spectacle est assez interactif. En attendant que le spectacle démarre, vous pouvez vous prendre en photo en train de faire une grimace et l’envoyer sur un lien spécifique afin que celle-ci apparaisse sur l’écran de la scène.
Le spectacle en lui-même ne compte pas beaucoup de tours mais est très captivant, je n’y pige jamais rien.
Nous restons dans la zone et décidons de nous rafraîchir et d’aller faire Mission : Éclabousse ! Il y a un peu d’attente et le tout sous le soleil. On a oublié comme 2 idiots la crème solaire.
Sur le parcours, on peut toucher des cibles afin de déclencher des effets. Le bateau se conduit manuellement sur une voie délimitée. Je prends les commandes, Léo se chargera d’actionner les effets… ou d’arroser les autres ! On a(vait) chaud, on va être servi ! Il est possible de contrôler la vitesse du bateau ; on décide d’attaquer celui de devant. C’est pendant 3 min non stop une douche intégrale. Trempés jusqu’au slip !
Trempés je vous dis !
Nous nous amusons ensuite aux Apprentis Pompiers. Le principe : arriver sur les lieux d’un incendie, éteindre les « flammes » puis revenir en 1er sur le point de départ. Autant dire que l’on a explosé la famille qui était contre nous.
Toujours trop de monde à Sauvetage Academy, le Jet ski, on repart près des pavillons. Nous arrivons à côté du Kinémax, qui propose le film (ou plutôt mini documentaire) : Dans les yeux de Thomas Pesquet. La séance est… maintenant. Une fois dans la salle, nous somme sur le cul de la taille de l’écran : il est immense. Impressionnant !
Je suis vraiment minuscule
Le film montre de belles images mais je reste sur ma faim.
19h20. Objectif Mars n’a toujours pas rouvert. Nous décidons de faire notre repas du soir. J’ai un second sandwich dans mon sac. Léo se prend des ribs. Les serveurs sont très arrangeants : alors que je ne mangeais même pas la nourriture du self, un des serveurs me propose une carafe d’eau et un verre ! Au top
Nous retournons dans le pavillon du Futuroscope, avec l’espoir de retrouver des toboggans ouverts.
Une petite pause digestion ?
Les toboggans n’ont toujours pas rouvert, et n’ouvriront pas Nous faisons de nouveau du vélo pour recharger les portables. Je recharge le portable d’une dame pour accompagner Léo. Une fois assez de %, nous décidons de faire un duel : le Mindball Game, faire avancer la balle avec sa pensée. J’explose Léo sans aucune pitié !
Quel joueur suis-je ?
Le pavillon « Le tapis Magique »
Au premier plan : le pavillon IMagic, au centre : le pavillon Imax 3D
© Léo
Léo et l’arbre aux mille et un… pe…tits capteurs solaires pour fournir un peu d’énergie
Le pavillon de la Vienne Dynamique
Nous retournons aux Lapins, quand je vois sur le panneau d’affichage : Objectif Mars : 26 min On fait l’attraction puis on y fonce.
Nous avons une autre place, nous voyons plus de détails, comme des 2ndes surprises !
Nous sortons de l’attraction… Le coaster est de nouveau en panne. Pas son jour le pauvre… On décide quand même de retourner à son chevet.
Le soleil commence à se coucher, les gradins vont bientôt se remplir
Toujours pas d’espoir du côté d’Objectif Mars… Nous sommes juste à côté du pavillon de l’imaginaire. Et pourquoi pas faire l’Age de Glace ? La dernière séance commence à 21h15, soit dans 25 min. On nous fait entrer vers 21h dans le grand hall d’attente. Cette attraction remplace le Voyage du Petit Prince que j’avais fait à l’époque. J’aime bien la licence de l’Age de Glace et l’humour est toujours là, les effets aussi (quoique ça claque pas mal les mollets spoil) !
On ressort de l’attraction, il fait presque nuit. On n’a plus beaucoup d’espoir d’Objectif Mars. On doit savourer notre unique tour du 13h…
Nous refaisons Arthur, peut être que Léo pourra enfin voir le film correctement ! On est au même sièges que tout à l'heure. J’essaie maintenant de me concentrer sur les défauts Je me suis aussi focalisée sur le bruit des vérins, que l’on entend bien.
22h05, nous sortons d’Arthur ; la première séance du spectacle nocturne a déjà commencé. J’avais moyennement apprécié celui de 2012. Celui de 2020 me fera le même effet. Mieux encore, on n’en regarde qu’un petit bout car nous ne sommes pas sur les gradins.
On préfère se diriger vers la sortie du parc avec un petit détour par la boutique souvenirs où Léo s’achète quelques goodies. Je craquerai pour une spécialité du Poitou pour mes parents.
22h45, nous sommes dans la voiture. Fatigués de notre journée, il faut rentrer maintenant. 1h40 de route (comme à l’aller tenez !), avec des phares un peu bancals. Un coup de barre m’attaque vers 23h20. Nous nous arrêtons sur un parking d’un Intermarché pour faire une sieste. La sécurité avant tout !
Minuit, on reprend la route, ça semble interminable, à traverser tous ces petits patelins. Tout ça parce qu’on a suivi Google Maps comme des veaux et que ça nous faisait gagner 3 min… Alors que la route à 110 fait Poitiers → Cholet … :roll:
C’est sur les coups d’une heure du mat’ que l’on arrive enfin au bercail. Crevant.
Fin
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On ne fera aucun commentaire sur notre intention d’aller gratter des crédits à l’Île aux Géants, encore moins sur ce fail.
Je me suis fait un nouvel avis sur le Futuroscope et celui-ci est positif ! Je pense tout d’abord au fait qu’en 2012, j’y étais en famille ; entre la grande sœur qui a facilement peur, la petite casse-couille (qui a bien grandi depuis), le père qui gueule pour un rien [rassurez-vous : j’aime ma famille, hein ? ], ça n’aide pas à bien apprécier la journée. Avec Léo, c’est rigolo ! Les autres points : un parc assez peu rempli, où l’on a pu faire tout ce qui nous intéressait. Le renouvellement des attractions : en 8 ans, ça a beaucoup changé. En nouveaté j’ai eu La Machine à remonter le temps, l’Age de Glace, Objectif Mars, le changement de spectacle de Magie, puis le relooking de Danse avec les Robots et la refonte du Monde des Enfants.
Chaque attraction a son unicité : soit dans son histoire, soit dans ses effets, soit dans sa technologie.
Petite déception pour Objectif Mars et le fait qu’il n’ait ouvert que quelques heures… Les joies des caprices de prototypes… Je reviendrai, c’est sûr ! Mais dans quelques années, vu le projet d’investissement que le Futuroscope nous propose ; autant attendre que tout soit fini !
Au niveau des restaurants, je ne les ai pas testé mais Léo a dans l’ensemble apprécié (peut être pas les ribs) ; au niveau tarif, c’est très correct !
Le Futuroscope reste un parc unique en son genre, une sorte d’OVNI parmi les parcs français, européens voire même mondiaux. Il sait se renouveler sans tomber dans le futur du passé et n’hésite pas à détruire ou remplacer ce qui ne plait plus.