Europa Park – 8 octobre 2021
3h30…
*yeux qui s’ouvrent*… merde, une des fenêtres n’est pas pourvues de rideaux, les luminaires sont assez puissants pour me réveiller. Léo aussi d’ailleurs. Il bricole quelque chose avec une serviette pour cacher la lumière. On va dire que ça fonctionne. …
*yeux qui se ferment*
7h, sonnerie de portable retentissante. Mmmm, Europa Park, ja! Debout, petit déjeuner sur le pouce composé de gaufres au miel, habillage en vitesse. On regarde si on n’oublie rien et go !
Nous ne sommes qu’à quelques minutes du parc en voiture mais nous souhaitons y être en avance. On fait une halte expresse dans une boulangerie sur le chemin et m’achète 2 bretzels. Je n’allais pas me priver de savoureux bretzels, non ?
Il n’est même pas 8h que nous franchissons les barrières du parking. 8 ans que je n’étais pas venue ici. Ma seule visite. Je ne connais même pas ce point vue sur Sista depuis le parking puisqu’en 2013, lors du Mega Meeting, nous nous étions garés sur un parking d’hôtel. La brume est omniprésente.
Un parking peu rempli… pour le moment ?
On nous contrôle le pass puis analyse des masques. « Is it a chirurgical mask? ». « Oh, yes of course! » It is just blanc because maintenant you have beaucoup de colours au choix ! Une petite marche vers l’entrée puis contrôle des sacs.
Je n’ai même plus idée de comment est fait le parc. J’ai des flash back de quartiers, mais aussi de coasters sympathiques (et d’autres beaucoup moins). Depuis 2013, il y a eu du changement et des ajouts : Arthur, Baaa Express, Voletarium, Cancan coaster et sûrement d’autres trucs encore. C’est le bon moment pour redécouvrir le parc.
Les anciens trains d’Eurosat, exposés pour un événement ?
8h20, nous franchissons l’entrée du parc. Les attractions ouvrent à 9h, excepté
Voletarium qui accueille ses passagers dès 8h30. On attend sagement dehors.
La file ouvre par anticipation. C’est parti, la journée est lancée ! La file d’attente est composée de plusieurs pièces, très joliment décorées. «« Malheureusement »», on n’a pas le temps d’observer tous les détails vu que la foule nous pousse derrière. C’est que la file intérieure pour atteindre les portes d’embarquement est loooongue !
Nous sommes désignés au rang 3, c’est à dire la plus haute rangée. Ce n’est pas la meilleure pour l’immersion mais qu’importe. Ici au moins, pas de blabla écolier comme au Futuroscope avant le décollage. Le film vous envole vers des pays d’Europe. C’est sympa, l’effet de vol est bien là mais je préfère l’Extraordinaire Voyage, film mieux réalisé et moins cliché. Le Voletarium c’est : Aaah Paris et la Tour Eiffel, aahh Venise et ses canaux… ah l’Allemagne et son célèbre EP. Et aussi des écrans à changer.
Il n’est toujours pas 9h donc on attend désormais derrière une corde avant le fameux lâcher de visiteurs. Qu’est ce qu’on va faire dès que le top à la vachette sera lancé ? Léo est mon guide pour cette journée, je lui délègue l’ordre et le choix des attraction à faire, n’ayant pas tellement de préférence. La foule commence à s’amasser derrière nous, pour un vendredi hors vacances scolaires, c’est un peu étonnant. Ils ne sont pas à l’école les gamins ?
9h, les cordes tombent. Notre attraction suivante est
Arthur, le Mack Inverted Powered Coaster. Ici aussi on marche beaucoup avant d’atteindre le quai, toujours pas le temps pour observer la file. Mince alors
On nous donne un ticket pour 2 afin de mettre les sacs dans les casiers. Fiouf, 2 sacs et le casier est complet. L’attraction fonctionne en continu grâce au tapis roulant lors de l’embarquement / débarquement. Le ride alterne parcours scéniques et passages en roues libres, dans le bâtiment et en extérieur. On se prend vraiment dans l’histoire. Impressionnant, c’est toute la technologie de synchronisation : les wagons sont dynamiques et tournent en fonction des scènes à voir. J’accroche à ce coaster ! Et je suis aussi d’avis que l’on devrait considérer Droomvlucht comme un crédit
Après ce tour, nous décidons de rester dans cette zone afin d’y faire
Tourlicot, la free fall Zierer. Particularité : nous sommes obligés de prendre une nacelle par personne, le poids étant limité à 125kg par nacelle. Première fois que je vois ça. Ça reste toujours rigolo.
Retour à l’extérieur, le parc commence gentiment à se remplir…
Restons dans la gamme e-Powered avec Alpen Express. La gare est déserte. La train arrive pour nous embarquer mais loupe son freinage. Un tour à vide est nécessaire pour le stationner correctement. La balade est familiale, j’avais ce souvenir dans le passage dans la grotte de diamants. Deux tours et puis s’en vont.
Léo me propose d’aller faire des dark rides. Direction l’autre bout du parc pour Piraten in Batavia. L’attraction avait pris feu en mai 2018 et seuls 6 animatroniques avaient pu être sauvés. C’est deux ans après que l’attraction rouvre ses portes, avec de nouveaux animatroniques, plus modernes. La file d’attente est sublime. Il n’ y a pas d’attente et comme personne ne pousse aux portillons, on observe, analyse ce beau travail de décoration et de musique.
L’attraction est souvent comparée à PotC. Comme je n’ai pas fait PotC, pas de comparaison ! A bord d’une barque, on traverse différentes salles, toutes plus immersives les unes que les autres. Il y a tellement de choses à voir ! Les animatroniques sont d’un réalisme ! Je suis bluffée. Les 6 rescapées ont été installés dans une barque. Roland Mack a même sa place dans une petite maison. Ce boulard je vous jure. Je parie qu’il ne peut même plus skier à cause de ses chevilles trop enflées. Passons outre, PiB est une très belle réussite !
9h45, on a faim ? Je vais piocher dans ma réserve de biscuits. Léo se laisse tenter par des petites crêpes hollandaises, sucre et cannelle. 3€50 les 10… ah ouais, on pourrait ajouter le superlatif « très » devant. J’en goûte une ou deux… Aaah je vais succomber avant la fin de la journée !
Après cette première petite pause, Léo tente de me convaincre d’aller faire Koffiekopjes. Thématisée Halloween. «
Il y a quelque chose dedans » . Bon, au pire, si j’ai peur, je ferme les yeux. Mais, c’est quel type d’attraction au juste ? Je m’approche de quelques pas pour voir qu’il parlait… de tasses. Très drôle ta blague. Hors de question de monter dedans.
Des fois, je me demande comment fonctionne ma logique : je refuse de faire les tasses mais accepte de monter dans
Euromir, tout en ayant conscience que c’est une bouse qui peut facilement donner mal au crâne.
Nouvelle traversée du parc en passant par le quartier italien puis français. Première pause pipi du jour. J’observe la nouvelle devanture de Cancan Coaster. C’est quand même original d’avoir refait le théma sur ce thème. On verra ça plus tard.
5 min d’attente donc pour kitsch vibrations. En arrivant face à la structure, je me rends compte que l’ensemble vieillit. Ni en mal, ni en bien… on sens que c’est passé, ce côté sci-fi
Avec tout le remodelage actuel du parc, ça commence à faire tâche -je le pensais déjà, à l’époque !-. Je pensais au moins retrouver la musique techno kitsch qui va avec mais c’est la bande son d’Halloween qui a pris la place. Toujours à l’époque, je souhaitais limite que cette musique disparaisse. Finalement, elle manque à l’ensemble.
Plus qu’à prier que l’on soit à l’endroit pendant la plupart du parcours. Je suis déçue d’avoir une musique neutre pendant le lift. Une fois au sommet, les wagons tournent, la loterie est lancée. Profitons pour regarder au loin et observer le parc. Ça prend de plus en plus de vitesse, c’est saccadé. Mon souvenir de 2013 reste le même : ça va être douloureux. Mon ride reste le même : en avant dans la drop… et le reste en arrière. Arh, ouïe, naan, p*tain. J’en avais conscience, j’en ai la certitude.
On va repartir sur des attractions moins douloureuses ?
Petit flocon de neige Ah oui, on va faire la plupart des DR du parc. Celui-ci est particulièrement ancien, au parcours court et niché dans un mouchoir de poche. Ça se laisse regarder sans grande prétention ; c’est mignon. Peut-être que ça partira dans les années à venir ?
Après la vodka, le yodle. Un petit tour de Bobsleigh. 20 minutes, ah, ça commence à attendre. Mais ça reste très raisonnable. L’odeur du quartier stimule mes papilles. Qu’est-ce que ça sent bon, ça donne envie d’aller chercher à manger… « Résiste, prouve que tu es capable de résister ! » (reconnaîtra qui reconnaîtra). J’en avais un bon souvenir du bob, bien que ce n’était pas transcendant. Mon avis reste le même : une vitesse en constante progression, de bonnes transitions et peu de vibrations. J’en avais juste oublié cette longue zone de freins.
A peine descendue que je me délecte de nouveau de cette fabuleuse odeur, tout en redécouvrant le quartier : un bel aménagement, entre les chalets, la rivière, les ponts… l’un de mes quartiers préférés !
Atterrissage au quartier italien : Piccolo Mondo, on visite plusieurs villes d’Italie en compagnie d’un perroquet en plastique à l’arrière de notre wagon. Moins de 5 minutes d’attente.
Nous enchaînons sur Geisterschloss. Ça reste un manoir hanté qui vieillit (mais dites-voir, pas mal de DR sont en train de vieillir là !) et qui ne fait pas peur.
Tenez, en parlant de réhabilitation, Madame Freudenreich Curiosités a été rénové en 2018 (auparavant ça s’appelait Universum der Energie). J’ai connu l’ancienne version avec des dinosaures partout et où l’on s’ennuyait. Dorénavant, la musique est plus présente, les décors sont moins étouffants et plus enfantins, certaines odeurs on aurait pu s’en passer mais c’est immersif.
Je remercie Léo d’alterner entre DR et MR. Maintenant, c’est
Cancan Coaster. Je n’avais pas si bien apprécié Eurosat ; la réhab’ de 2018 a amélioré le bousin. On va voir !
25 minutes d’annoncé, dans tous les cas il faut le faire ! Moi qui me plaignais de ne pas pouvoir observer la théma de certaines files d’attente, je vais au moins pouvoir voir celle-ci. Je regarde surtout la file et voir comment elle circule. «
Oh, bah au bout, ça fait demi-tour puis ça revient là et ça va vers le quai » . On avance, avance, avant de voir la supercherie : au bout ça ne fait pas demi-tour mais ça tourne à gauche dans une autre pièce puis ça passe dehors avant de repartir vers le hall principal
au moins, je vois la décoration sous tous les angles. Les pièces sont fournies, l’extérieur un peu moins. On y voit Mme Freudenreich grâce aux fenêtres ouvertes. Malgré l’efficacité des opérateurs, on se retrouve par intermittence à stagner. Merci la VR (et ce, malgré le double quai).
Après plus de 30 minutes, nous entrons enfin dans la boule. Un objet hommage à Eurosat se « cache » parmi tous les éléments. Tout porte à croire que l’on va rentrer dans un cabaret, avec les portes estampillées « Entrée des artistes », vestiaires, loges… Mais le quai qui s’offre à nous nous rappelle que l’on va rider ! Les trains sont confortables, petite musique d’ambiance tout le long du lift qui ne fait pas tellement penser à Paris mais plus en hommage (encore) à Eurosat. Bon, prêt pour danser ?
Bienvenue à Paris ! La célèbre musique du french Cancan résonne dans toute la sphère. Nous passons sous des décors qui s’illuminent lors de notre passage, le tout dans un mouvement fluide et une sensation de vitesse présente. Je pensais que ça durerait plus longtemps ! Le temps passe vite quand on s’amuse. Aussi, au vu de la quantité de décors dans la file d’attente, j’en attendais tout autant dans la sphère, ce qui n’est pas le cas. Peut-être du à la structure en elle-même ? En tout cas, la réhabilitation est réussie !
Encore une montagne russe ? Et pas des moindres !
Sista, annoncée 25 minutes, en réalité 15 à tout péter. Je ne vais pas parler de la thématisation de la file car il n’y en a pas tellement. Pas de préférence de placement pour ce tour, on tentera le 1er rang plus tard. Mon tout premier tour m’avait déçue, en le laissant chauffer c’était mieux.
Lift, puis la drop qui ne procure toujours rien. Par contre, qu’est-ce que ça vibre en bas
C’était si puissant que ça en 2013 ? Nan mais c’est tellement puissant que je remets les vibrations du dernier rang de Taron au placard. Les bosses procurent de bons floattings, il y a également des vibrations dans les creux mais bien moindre qu’en bas de la first drop. Sista est une belle balade aérienne, qui j’espère (et je le sais) va se relever plus agressif ce soir.
Encore une montagne russe avant d’aller manger. Direction le quartier irlandais pour rider le plus terrible des crédits :
Ba-a-a-a Express Ça ne casse pas trois pattes à un mouton mais ça rajoute +1 au compteur.
Alors que nous sommes posés sur un banc pour choisir quel restaurant allons nous dévaliser, nous croisons notre Mathis national avec l’un de ses collègues. Ce soir, on se mange une pizza au Colosseo ensemble
Marché conclu !
Pour ce midi, nous avons plusieurs préférences, mais certains restos sont fermés ou trop bondés. On choisit le
Restaurant du Lac dans le quartier Autrichien. 15 minutes à attendre pour des frites, une escalope et un Apfelschorle. Moui qui me voyait manger une plâtrée de verdure. Il y en avait en entrée, mais 10 € trois feuilles de salade et un bout de jambon, il ne faut pas pousser Madame Freudenreich dans les orties. Installés au chaud, le repas se mange tout seul.
Digestion sur
Snorri Touren, une publicité en forme de dark ride sur Rulantica. Aah, Rulantica hier soir, c’était quand même super
On y retrouve cette ambiance si reposante que dans Snorri’s Saga.
L’entrée (très discrète)
Pour plaquer le tout au fond de l’estomac, Blue Fire ! 20 minutes d’attente ; ça débite : 3 trains sur le parcours, un départ toutes les minutes… si tous les parcs pouvaient faire de même ! Pas de thématisation particulière à l’extérieur mais rien que de regarder BF fait rapidement passer le temps.
Pas le choix de la rangée, on est plutôt vers l’arrière. Allez, schnell, sac dans les casiers, tu t’assoies, tu baisses ta lap bar et go go go. Petit pré-show rendant hommage aux vibrations de Sista, fumée, ouverture de la porte et launch ! Qui est plutôt sympa mais un poil molo ; il pourrait être plus vif car en arrivant sur le top hat, le train se traîne. Passage dans le tunnel puis dans le loop, 2-3 virages avant les freins de mi-parcours. La drop procure un petit airtime. Nous enchaînons les 2 corskcrews puis, avant les freins finaux, la célèbre heartline roll bien pendante.
Blue Fire, aussi bien au niveau de sa structure que dans son layout vieillit bien et fait toujours ses preuves, en démontre la nouveauté Steel Taipan (avec quelques modifications comme le triple launch et la flèche).
Pour rester dans le quartier islandais, Fjord-Rafting n’a pas d’attente. Je n’ai presque aucun souvenir de celui-ci. Notre bouée est presque au complet. C’est que ça tourne ! Et l’eau, ce n’est pas ce qui manque. Le long du parcours, les visiteurs peuvent actionner des geysers d’eau. Ouff, pour le coup, personne n’a actionné cet effet ; sinon, c’était la douche assurée. Une vague mesquine arrive à s’introduire sur le côté, et voilà, pantalon mouillé. C’est le jeu !
Et quitte à être mouillés, autant continuer sur
WhaleAdventures – Northem Lights (rien que ça)
Pas d’attente non plus. Par contre, quelque chose me choque. Il y a du changement sur cette attraction. Il n’y avait pas ces « icebergs » au centre. Car je me souviens d’un splash-battle qui pouvait être très humide. Avec ces nouveaux décors, presque aucune interactions n’est possible avec les autres bateaux. Ça diminue fortement le niveau d’amusement… Bon après, nous sommes seuls sur l’attraction donc pour les potentielles interactions, on repassera. Ce sera donc interactif avec les décors : ces derniers sont assez simples à viser et les effets (canons à eau, musique…) fonctionnent. La manivelle du canon est pratique et ne se bloque pas au demi-tour comme j’ai pu expérimenter ces derniers temps.
Pour sécher, le canapé qui va vite (Wodan) va s’en charger. 35 minutes annoncée, c’est presque 1h que l’on attend, pour cause de rangement de train pour le sortir 15 minutes après. On a le temps de toucher toutes les pierres de la file, de regarder tous les effets de maping et les écrans. J’avais un bon souvenir de Wodan mais, après lui, tous les woodens GCI, CCI, GG sont, on va dire, mal passés, dû aux vibrations typiques des woodens.
On est placé au milieu. Je ne tente aucune méthode pour éviter les vibrations. On va voir ce que cela advienne. Le lift est rapide et sommes vite déployés sur le demi-tour avant d’être aspirés par la drop. Les vibrations sont présente, mais ne me gène pas, alors je profite ! C’est énergique, vif, il n’y pas d’airtime mais pour cette fois, on s’en passera. Et c’est déjà fini.
Alors : Blue Fire ou Wodan ? Je ne statue pas.
Point de vue classique sur la statue à l’entrée de Wodan, je vous en propose une version absolument pas cadrée.
On a fait à peu près tout ce qu’on voulait faire ? C’est que l’on carbure ! Et il n’est que 15h30 ! Nous revenons au centre du parc, nous y croisons les mascottes habillées aux couleurs d’Halloween.
On en profite pour déambuler dans des quartiers plus discrets et moins fournis, tel que le quartier anglais qui comporte peu d’attractions, dont Laser Adventure – un parcours dans le noir où il faut être le plus rapide sans toucher les lasers. On peut voir le chrono de chaque participant. Chacun son tour, on attend une petit dizaine de minutes. Léo passe le premier, il est assez rapide, mais moins que le gamin qui a torché ça en 11 secondes. A mon tour, ne connaissant ni le chemin, et avec mon sac à dos blindé, ce n’est pas pratique. J’ai beau être souple, mon sac me fait défaut : 4 pénalités et un temps de plus de 30 secondes. C’était rigolo.
Nous passons dans le quartier grec, en s’y arrêtant quelques secondes, le temps de prendre ce classique panorama. Nous ne sommes pas tentés par Poséidon.
Cette vue, on dirait vraiment un photomontage avec Sista au fond… mais non !
On se repose de nouveau dans une attraction calme, Les Radeaux de la jungle, 5 minutes d’attente, dont le parc a annoncé sa réhabilitation pour 2022.
On retourne au quartier hollandais, la file de PiB est impressionnante : elle arrive au niveau du quartier islandais. Et pourtant, elle n’annonce que 25 minutes. Bon, on ne vient pas pour ça mais pour que je puisse m’acheter des petites crêpes : je craque. Trop – bon
17h20, il nous reste 1h10 (le parc a décidé de pousser son heure de fermeture à 18h30). Nous retournons à
Blue Fire. La file commence désormais depuis le hall. Les écrans sont impressionnants, de part leurs tailles et de la qualité d’image. Ce qui est diffusé n’en est pas moins que de la pub pour Nord Stream 2, le partenaire de BF.
Blue Fire a chauffé, le top hat est un peu moins lent et le tout est plus nerveux.
On fait l’impasse sur un second tour de Wodan, préférant tenter
Sista au premier rang. Ce sera très probablement notre dernière attraction de la journée. 25 min au total, le premier rang a une file d’attente spécifique. On voit les trains partir, à débit impressionnant : à peine un train dévale la 1st drop qu’un autre est envoyé sur le lift. On cligne des yeux et un nouveau train est lancé.
Au 1er rang avec de la marge, parfait. Outre les vibrations, les floattings se transforment en airtime, surtout après les middles brakes et l’helix où ces derniers sont bien brutaux. C’est un très bon ride pour conclure la journée
18h30, on sort de l’attraction, c’est aussi l’heure de fermeture. Léo souhaite s’acheter du pop corn, très bien il y a une boutique juste à côté de nous qui en vend et où il n’y a pas d’attente. «
Nan, mais je verrai à l’entrée… ». une fois à l’entrée, tout le monde se rue sur les stands de bouffe. C’est pas comme si je l’avais dis
Du coup, j’en profite aussi pour acheter un truc à ramener en France. Et puis, nous avons du temps avant de retrouver Mathis au Colosseo.
Au revoir Europa Park, une petite photo avec la mascotte avant de partir.
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La journée à Europa Park : Nous avons passé une très bonne journée au parc : des attractions multiples et variées, globalement familiales. La qualité et la variété de la nourriture sont au rendez-vous. Le parc est très propre et pointilleusement décoré pour cette période d’Halloween. Les débits sont impressionnants. Pas de regrets d’avoir zappés des montagnes russes telles que Pegasus ou encore Atlantica SuperSplash. Même si ce n’est pas un parc que je porte à cœur, cette nouvelle visite n’était pas inutile ! J’y retournerai volontiers quand la « grosse montagne russe (méga impressionnante) » ouvrira ses portes, et ça ne sera pas dans 8 ans !
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Direction la voiture pour faire quelques centaines de mètres et rejoindre le parking de l’hôtel Colosseo. Entre un essuie-glace et le pare-brise ; un sticker Europa Park & Rulantica est coincé. Léo m’en fait cadeau. Magnifique, je pourrai l’apposer sur ma voiture en fin de vie.
19h10, nous voilà sur le parking de l’hôtel… du Bel Rock. De ce fait, un peu de marche est nécessaire avant de rejoindre le Colosseo. Nous passons par des petits chemins peu éclairés, laissant l’hôtel Bel Rock s’imposer dans cette nuit de plus en plus sombre. Le phare en jette ! Passage sur le pont, le Colosseo dévoile toute sa splendeur de nuit. Nous préférons attendre Mathis au chaud.
19h30, tous les trois réunis, on se présente au restaurant. Hic, il est plein. Bon, on peut attendre ! 30 min à attendre. Ça va le faire.
20h05, à table ! Une bière sans alcool et une pizza svp. J’ai le chic de choisir une pizza pleine de fromage. Idiote. C’est qu’elle est balèze en plus. Je n’en peux plus
après avoir mangé tout le long de la journée, puis grignoter les gressins dans l’attente de la pizza, je cale au 1/5ème de celle-ci. Pas de gâchis, je demande un doggy bag. Tout du long du repas, on discute, de tout et de rien. Léo tient à préciser à Mathis que Jiraya a parlé de Captain Coaster lors d’un stream ! Je ne connaissais pas ce streameur (j’en connais aucun pour être honnête).
21h20, il faut bien rentrer à Nancy. Nous disons au revoir à Mathis dans le hall de l’hôtel, c’était très sympa de te revoir ! Nous montons 5 minutes sur les marches du Colisée, l’idée est bien trouvée. On peut voir de loin EP illuminé, se reposant dans l’attente d’une nouvelle journée.
Avec tout ça, on n’est pas rentrés avant minuit… Tout en sachant que l’on décolle demain à 6h du mat’ pour Walibi Belgium. Je n’arrive pas rester éveillée sur le trajet du retour, je sombre
Leo fait la route presque tout seul. C’est aux alentours de minuit trente que nous sommes de retour, je trouve la force de prendre une douche avant de ne faire qu’un avec le canapé lit. Ça va piquer… dans 4h.