Bobbejaanland : 8 mai 2025
C’est avec grand plaisir que j’ai décidé de me mettre à l’écriture de trip reports après ce premier véritable trip en Belgique, placé sous le signe de l’improvisation. Malgré mon trip au resort d’Europa-Park et à Phantasialand que je n’ai pas documenté, j’ai décidé qu’il fallait que je garde une trace de ces visites pour le passionné que je suis, afin de pouvoir me souvenir de ces moments et de partager mes observations sur les différents parcs que j’ai visités.
Nous commençons donc ce trip belge par rejoindre la Belgique en voiture, et plus précisément Bobbejaanland, puisque nous avons visité dans l’ordre : Bobbejaanland, Walibi Belgium et Plopsaland De Panne. Ce sera donc après quasiment 8h de route que l’on arrivera sur un parking pour se reposer. Car oui, la spécificité de ce trip est que nous avons dormi dans ma voiture, car tout a été organisé au dernier moment.
Nous commençons donc ce trip belge par rejoindre la Belgique en voiture, et plus précisément Bobbejaanland, puisque nous avons visité dans l’ordre : Bobbejaanland, Walibi Belgium et Plopsaland De Panne. Ce sera donc après quasiment 8h de route que l’on arrivera sur un parking pour se reposer. Car oui, la spécificité de ce trip est que nous avons dormi dans ma voiture, car tout a été organisé au dernier moment.
Le trip peut commencer !
Jour 1 :
Bobbejaanland : Un parc sur la bonne voie !
Premier jour de trip et première visite pour ma part. Déjà réveillé à 8h alors que le parc n’ouvre qu’à 10h et que nous n'avons que 40 minutes de trajet, je trépigne déjà d’impatience de fouler les allées de ce parc qui fait rêver peu de passionnés, mais qui contient en son sein une montagne russe qui m’interpelle depuis quelques années et qu’il me tarde d’essayer.
Il est 9h45 et nous attendons déjà devant les portes d’accès au parc. Premier constat : la main street est jolie, même si le dinosaure en son centre n’a pas de sens. Ouverture des portes à 10h, nous sommes peu nombreux aujourd’hui dans le parc et il n’y a pas foule (7 % d’occupation). Nous nous dirigeons d’abord vers Bob Express, le powered Mack, premier crédit du j… Eh bien non, car à Bobbejaanland les opérateurs arrivent en même temps que les visiteurs, et nous voyons donc les opérateurs marcher vers leurs postes.
Par conséquent, nous nous rabattons sur Terra Magma. Je n’en avais jamais entendu parler, mais j’avais vu que c’était une attraction populaire du parc. Nous arrivons devant une zone à la “Rulantica”, joliment thématisée, et rentrons dans le bâtiment. Rien à dire, la file est jolie, même si nous n’avons pas eu le temps de nous attarder sur les détails car nous étions pressés de découvrir cette attraction. Terra Magma est un flume indoor signé Intamin qui a été re-thématisé. Eh bien, on peut dire que j’ai été cueilli par ce flume, qui est d’une part très beau, très bien réalisé, et qui propose une petite storyline très sympathique. Mise à part l’antre du serpent qui est en deçà, le reste de l’expérience reste cohérent et immersif, avec pas mal de détails. De plus, la drop finale rince vraiment bien. Sûrement le plus beau flume que j’ai fait avec Chiapas, mais aussi le plus original.
Nous allons enfin pouvoir commencer à créditer ! C’est parti pour Bob Express, un powered Mack qui est sur le lac du parc. Pour faciliter l’écriture du trip, je citerai mes avis Captain Coaster pour chaque coaster, tout en ajoutant des détails si besoin.
Critique de Bob Express :“Un powered Mack avec beaucoup de punch. Il est bien situé sur le lac du parc et est joliment intégré dans cette zone. Le coaster en lui-même est un powered sous amphétamines pendant les descentes.”
À la sortie de Bob Express, nous découvrons un petit dark ride shooter : El Paso Special. Quasiment pas d'attente, une bonne réactivité du pistolet, beaucoup de scènes animées grâce à des objets physiques. Finalement, un très bon petit shooter. Tellement bon qu'on en aura fait un deuxième tour, puis un troisième pour découvrir, sans réellement tirer, toutes les scènes disponibles.
Il est l’heure du deuxième crédit du parc, qui n’est ni plus ni moins qu’un junior Vekoma ouvert il y a plus de 20 ans, rien que ça. Enfin, il est l’heure… Il faudrait déjà pouvoir trouver l’entrée ! Après l’avoir enfin trouvée, nous embarquons dans des trains bien évidemment trop petits pour mon mètre 85, mais bon, je ne suis pas la cible ! Rien à signaler pour ce junior Vekoma, qui profite encore une fois de sa vue sur le lac et qui nous propose une balade tout en fluidité, ce qui est étonnamment positif pour un Vekoma de plus de 20 ans.
Critique de Oki Doki: “Un junior vekoma qui est vieux mais qui n'accuse pas son âge. Un bon modèle pour la famille.”
Bobbejaanland : Un parc sur la bonne voie !
Premier jour de trip et première visite pour ma part. Déjà réveillé à 8h alors que le parc n’ouvre qu’à 10h et que nous n'avons que 40 minutes de trajet, je trépigne déjà d’impatience de fouler les allées de ce parc qui fait rêver peu de passionnés, mais qui contient en son sein une montagne russe qui m’interpelle depuis quelques années et qu’il me tarde d’essayer.
Il est 9h45 et nous attendons déjà devant les portes d’accès au parc. Premier constat : la main street est jolie, même si le dinosaure en son centre n’a pas de sens. Ouverture des portes à 10h, nous sommes peu nombreux aujourd’hui dans le parc et il n’y a pas foule (7 % d’occupation). Nous nous dirigeons d’abord vers Bob Express, le powered Mack, premier crédit du j… Eh bien non, car à Bobbejaanland les opérateurs arrivent en même temps que les visiteurs, et nous voyons donc les opérateurs marcher vers leurs postes.
Par conséquent, nous nous rabattons sur Terra Magma. Je n’en avais jamais entendu parler, mais j’avais vu que c’était une attraction populaire du parc. Nous arrivons devant une zone à la “Rulantica”, joliment thématisée, et rentrons dans le bâtiment. Rien à dire, la file est jolie, même si nous n’avons pas eu le temps de nous attarder sur les détails car nous étions pressés de découvrir cette attraction. Terra Magma est un flume indoor signé Intamin qui a été re-thématisé. Eh bien, on peut dire que j’ai été cueilli par ce flume, qui est d’une part très beau, très bien réalisé, et qui propose une petite storyline très sympathique. Mise à part l’antre du serpent qui est en deçà, le reste de l’expérience reste cohérent et immersif, avec pas mal de détails. De plus, la drop finale rince vraiment bien. Sûrement le plus beau flume que j’ai fait avec Chiapas, mais aussi le plus original.
Nous allons enfin pouvoir commencer à créditer ! C’est parti pour Bob Express, un powered Mack qui est sur le lac du parc. Pour faciliter l’écriture du trip, je citerai mes avis Captain Coaster pour chaque coaster, tout en ajoutant des détails si besoin.
Critique de Bob Express :“Un powered Mack avec beaucoup de punch. Il est bien situé sur le lac du parc et est joliment intégré dans cette zone. Le coaster en lui-même est un powered sous amphétamines pendant les descentes.”
À la sortie de Bob Express, nous découvrons un petit dark ride shooter : El Paso Special. Quasiment pas d'attente, une bonne réactivité du pistolet, beaucoup de scènes animées grâce à des objets physiques. Finalement, un très bon petit shooter. Tellement bon qu'on en aura fait un deuxième tour, puis un troisième pour découvrir, sans réellement tirer, toutes les scènes disponibles.
Il est l’heure du deuxième crédit du parc, qui n’est ni plus ni moins qu’un junior Vekoma ouvert il y a plus de 20 ans, rien que ça. Enfin, il est l’heure… Il faudrait déjà pouvoir trouver l’entrée ! Après l’avoir enfin trouvée, nous embarquons dans des trains bien évidemment trop petits pour mon mètre 85, mais bon, je ne suis pas la cible ! Rien à signaler pour ce junior Vekoma, qui profite encore une fois de sa vue sur le lac et qui nous propose une balade tout en fluidité, ce qui est étonnamment positif pour un Vekoma de plus de 20 ans.
Critique de Oki Doki: “Un junior vekoma qui est vieux mais qui n'accuse pas son âge. Un bon modèle pour la famille.”
Fury qui ne tourne toujours pas !
Ho le vieux Vekoma au fond du parc !
Après ce petit arrêt photo, nous retournons à l’entrée du parc et nous nous dirigeons ensuite vers Typhoon. Voyant que Fury venait juste d’ouvrir ses portes, nous décidons de nous engouffrer dans la file.
Le beau loop circulaire de Typhoon
Nous arrivons directement en gare d’embarquement où nous découvrons une gare qui paraît bien petite mais qui est plutôt joliment intégrée à sa zone
L'entremêlement de rails de Fury
Fury :“Un très bon Infinity de chez Gerstlauer qui, contrairement à son voisin Typhoon, possède des lap bars bien confortables. Commençons par dire que son launch est très sympa, que ce soit en avant ou en arrière, de même que la feature qui permet de faire le coaster en avant ou en arrière est très cool. Fury nous propose des moments de hangtime sympas mêlés à des airtimes souvent surpuissants (mais peu nombreux). Son layout est plutôt original, et s'il est parcouru en avant, il se positionne déjà comme un bon coaster ; mais quand on l'expérimente à l’arrière, eh bien là, c’est une autre histoire. On ne voit pas arriver les éléments, on se fait surprendre par du G- et surtout du G+ à gogo dans les inversions. De plus, les flèches font leur petit effet avec du hang et de l’airtime.
Malheureusement, Fury n’est pas dénué de défauts : déjà, il est légèrement trop court, mais surtout, il a un débit bien trop faible pour être le coaster flagship de Bobbejaanland, en plus d’être une galère à opérer. Il souffre aussi de quelques vibrations notables, notamment dans les moments de haute intensité en G- (top hat) et en G+ (les deux corkscrews). Pour finir, la théma est globalement sympathique et bien réalisée sans être révolutionnaire ; par ailleurs, la musique d’IMAscore est tout simplement épique. Fury fait passer une nouvelle étape pour Bobbejaanland, mais rate le coche pour devenir le banger dont aurait besoin ce parc pour se placer comme un cador européen dans sa catégorie.”
Fury qui grimpe son top-hat
Après notre premier tour à l’avant, nous refaisons la queue pour tester un tour en arrière. Après ces deux tours de Fury, nous partons à la conquête de Sledgehammer, un giant frisbee Huss qu’il me tardait d’essayer.La file, comme celle de Fury est simple et ornementée parfois de quelques éléments de décors comme une main géante en pierre.
La main des légendes !
J’en profite également pour dire que la zone “Land of Legends” est très bien réalisée et qu’elle est sûrement la plus immersive du parc. Elle profite également d’une bande son signée IMA Score de 20 titres qui est tout bonnement somptueuse.
Le plan très photogénique de Fury et de l’emblème du Land of legends
Pour revenir à Sledgehammer, c’est très court mais très intense, c’est bien planant comme il faut, et c’est beaucoup moins gerbo que certains flats pendulaires auxquels on est habitué. On ressent d’ailleurs très bien la puissance du ride.
En sortant de Sledgehammer et voyant que la file de Typhoon est passée à 10 minutes, nous décidons de le créditer avant de continuer notre tour du parc.
La file de Typhoon est très longue, et trouver l’entrée est d’ailleurs assez peu intuitif si l’on n’est pas encore dans le Land des Légendes. Même si l’attraction est considérée comme étant dans le Land des Légendes, elle n’a finalement aucun rapport avec les deux autres, qui elles, sont un minimum thématisées sur ce thème (train de Fury, armature de Sledgehammer et leurs files respectives). Là, ici, on a droit au minimum syndical, c’est-à-dire un hangar en métal comme gare, et le coaster, et c’est tout.
Le coaster en lui-même était mon tout premier Euro-Fighter. Il se prête très bien à des points de vue photographiques grâce à son loop, et même si l’ensemble fait un petit peu forain, la végétation autour du coaster permet de masquer cet effet.
Le lift vertical et le loop de Typhoon
Typhoon : “Mon premier Euro-Fighter : pas le meilleur, mais pas le pire d’après sa réputation. Bonne surprise : le lift vertical est impressionnant, suivi d’une bonne first drop avec éjectors rapides. Le loop est passé assez rapidement, mais n’est pas forcément intense pour autant. La suite est moins intéressante, mais n’est pas sans intérêt non plus : on nous propose du hangtime avec des heartline rolls sympatoches, et du G+ avec les turns à la fin qui nous écrasent bien.
Du côté des points négatifs, on pourra noter les harnais guillotine de chez Gerstlauer, un pacing totalement aléatoire, mais surtout une forte impression que le coaster est trop compact, ce qui l’empêche de vraiment s’imposer dans sa zone. Ce côté compact donne un aspect forain/wild mouse à ce coaster, qui est pourtant plutôt photogénique grâce à son iconique loop.”
Par ailleurs, j’ai été surpris que le coaster ne donne (quasiment) pas de baffes et qu’il ne souffre pas du syndrome Gerstlauer, même après 20 ans de bons et loyaux services. L’intensité du looping n’est pas un problème, car on le passe à une vitesse tellement élevée que ce moment ne dure qu’une fraction de seconde. Par contre, comme dit dans ma review, le pacing du coaster est assez douteux, à cause notamment de ces zones de block qui sont placées étrangement pour un Euro-Fighter.
Passées ces réjouissances, nous décidons de continuer notre tour du parc et partons à la découverte de Révolution, tout en laissant de côté Naga Bay, qui accusait un temps d’attente supérieur à 15 minutes. Sur le chemin, nous faisons un tour sur Big Bang, un toboggan aquatique de chez Van Egdom. Une fois arrivés en bas, l’opérateur nous explique (en anglais) que nous ne devions pas pousser avec nos bras pour descendre, comme cela est la coutume par chez nous pour prendre de la vitesse. Cela m’a valu un grand fou rire intérieur que je n’ai bien sûr pas partagé avec l’opérateur, de peur qu’il se dise que les Gaulois sont vraiment fous.
Pour en revenir à Révolution, là encore, il n’est pas bien intégré à sa zone : son thème est plutôt psychédélique, alors que sa zone se trouve sur le thème de l’aventure. Mais bon, nous lui pardonnons cette incohérence, car Révolution possède une file plutôt bien thématisée. Quand nous arrivons dans le bâtiment, c’est là que l’expérience commence : avant même d’embarquer, on sent le train faire vibrer toute la structure du bâtiment grâce à la longueur de ses trains. Je dis bien expérience, car pour moi, Révolution est plus qu’un coaster, c’est une expérience.
Arrivés sur le quai d’embarquement, nous découvrons ces trains totalement bizarroïdes, avec un tuyau d’aspirateur comme lap bar, et qui, de plus, sont constitués de 30 voitures pour une capacité maximale de 60 personnes, ce qui lui confère un débit théorique de 1200 personnes par heure — autant qu’un Inverted B&M ! Le coaster en lui-même n’est simplement qu’une hélice montante et une hélice descendante, mais agrémentées de headchoppers, avec de la musique à fond la caisse.
La front-car de Révolution
Révolution : “Révolution est plus qu’un coaster, c’est avant tout une expérience. Un train de 30 wagons avec 60 places disponibles et des tuyaux d’aspirateur en guise de lap bar, un lift plus long que la drop. La drop n’est simplement qu’une hélice descendante qui ne fait qu’accélérer la vitesse du train jusqu’à la station, que l’on traversera à pleine blinde si l’on se situe à l’avant du train. On a l’impression que l’arrière du train a du ping quand il se fait tirer dans la descente par l’avant.
Le lift en lui-même est une expérience : avec un volcan en contrebas, vous êtes face au train qui serpente en haut ou en bas, et enfin une énorme horloge au plafond. La descente, elle, s’effectue avec une vitesse qui s’accroît de plus en plus, et tout ça avec de la musique à fond les oreilles, en passant par des portes qui font office de headchopper.
Quand vous sortez de là, vous vous demandez ce que vous venez de vivre, et vous réalisez que c’était du génie. Un coaster avec énormément de charme, qui ne plaira pas à tout le monde car il n’a en vérité rien de spécial pour lui, mis à part cet aspect bizarre et complètement décalé qui lui procure un charme fou.”
J’étais très heureux de pouvoir rider Révolution, car il est le dernier survivant du modèle Illusion de chez Vekoma, et c’est bien dommage, car ce type de coaster est vraiment fun et très atypique. Petite mention spéciale à la zone intérieure du bâtiment de Révolution, qui est très sympa visuellement.
Nous enchaînons ensuite sur la bouse Dreamcatcher, qui aura été notre plus longue attente de la journée — c’est-à-dire une grosse vingtaine de minutes. Rien de spécial à dire sur la machine, à part qu’elle est molle et sans saveur. Un coaster à raser de toute urgence pour être remplacé par un family de plus grande qualité.
Dreamcatcher : “Un suspended vekoma des années 80 comme on aimerait pas en croiser, nul sans intérêt avec un débit de chiottes et il se permet même de taper ce bougre. Seul point positif le ride se déroule au dessus de l'eau mais c'est une bien maigre consolation compte tenu du fait que ce suspended ne se balance que très peu (le comble pour un suspended !). C'est un vestige d'une autre époque qui est quand même sympa d'avoir dans son compteur de crédit :) ”
Nous serons ensuite voir à quoi ressemblait l’aire de jeu en intérieur qui évoque étrangement la pizzeria de Five Night’s at Freddy’s.Une ambiance vraiment années 80 se dégage du lieu et on se dit qu’un petit coup de re-théma ne serait pas de trop pour perdre le côté kitch de la zone. Enfin, je vous rassure nous ne sommes restés que 5 minutes le temps de profiter d’une pause toilette qui eux, heureusement pour nous, ne sont pas sur le thème du cirque.
Ils ne nous resté donc que deux crédits à aller chercher et sur le chemin nous sommes allés visiter l’exposition sur les dinosaures qui était plutôt bien réalisée, même si Universal n’a pas dû être consulté au vu de la copie de l’IP sur bon nombre de scènes inspirés du film.
Regarde Jamy, un dinosaure !
Sur le chemin, nous nous baladons dans ce qui semble être la partie western du parc plutôt vide alors qu’elle est très jolie. Une partie très sous-exploitée du parc qui mériterait un petit peu d’attention.
Les restes des vestiges du parc
Nous arrivons enfin à l’avant dernier crédit qui n’est autre qu’une Wild mouse Mack copie conforme du modèle que l’on a chez nous en France à la Mer de Sable. Pour l’histoire, cette wild mouse était en faite en dueling avant que Parques Reunidos décide déplacer l’une d’elles à Parque de attractiones de Madrid pour obtenir une nouveauté à moindre coût.
(Parc dont la TR devrait arriver dans les mois qui suivent).
(Parc dont la TR devrait arriver dans les mois qui suivent).
Photo d’archives des deux parcours côtes à côtes
Speedy Bob: “Une wild mouse ni meilleur ni moins bonne qu'une autre, plus fluide qu'une Maurer mais sans être le crédit du siècle, elle a au moins le bon goût de ne pas nous tabasser sur ses freins comme certaines wild mouse (même si ça reste inconfortable). De plus les opé l'opéraient très rapidement durant notre jour de visite.” +½
Avant de passer au dernier crédit, je vous propose de découvrir El rio, le meilleur Raft que j’ai fait à ce jour grâce à sa drop surprise et à sa très belle thèma (je n’ai pas fait River Quest à Phanta, Wintertraum oblige).
+½Avant de passer au dernier crédit, je vous propose de découvrir El rio, le meilleur Raft que j’ai fait à ce jour grâce à sa drop surprise et à sa très belle thèma (je n’ai pas fait River Quest à Phanta, Wintertraum oblige).
Et hop aspiré dans la drop !
Les décors Inca/Maya sont plutôt jolis et les rafts (de chez Afema) sont joliment décorés.
Nous enchainerons sur un Music express de chez Mack Rides répondant au nom de Aztek Express très joliment intégré à sa zone Inca/Aztèque.
En revenant vers le land des légendes nous faisons le King Kong de chez Huss, le même qu’au Pal et ouvert la même année. En écrivant ce trip report j’ai appris à ma grande surprise que ce modèle n’était pas très commun, c’est donc toujours sympathique d’en croiser un.
Il est enfin l’heure de poser nos fesses sur le dernier crédit de cette journée, et ce crédit n’est autre que le spinning Maurer Naga bay. Un coaster avec un début de carrière en demie-teinte puisque ce dernier avait ouvert avec une théma chantier et des trains qui n’avait pas encore leurs livrées définitive (époque où il s’appelait Dizz). En 2016, le coaster a été rethématisé, une gare digne de ce nom a été érigée et il a finalement pris son nom définitif: Naga Bay. Il a aussi eu le droit à un nouveau coup de peinture sur ses trains qui ressemble désormais à la tête des dragons de la franchise du même nom. Le débit de ce genre de coaster n'étant pas forcément très élevé et les opérateurs n'ayant sorti que deux trains sur le parcours, nous avons attendu 10 minutes seulement, c'est dire l'affluence faible ce jour-là.
Nous enchainerons sur un Music express de chez Mack Rides répondant au nom de Aztek Express très joliment intégré à sa zone Inca/Aztèque.
En revenant vers le land des légendes nous faisons le King Kong de chez Huss, le même qu’au Pal et ouvert la même année. En écrivant ce trip report j’ai appris à ma grande surprise que ce modèle n’était pas très commun, c’est donc toujours sympathique d’en croiser un.
Il est enfin l’heure de poser nos fesses sur le dernier crédit de cette journée, et ce crédit n’est autre que le spinning Maurer Naga bay. Un coaster avec un début de carrière en demie-teinte puisque ce dernier avait ouvert avec une théma chantier et des trains qui n’avait pas encore leurs livrées définitive (époque où il s’appelait Dizz). En 2016, le coaster a été rethématisé, une gare digne de ce nom a été érigée et il a finalement pris son nom définitif: Naga Bay. Il a aussi eu le droit à un nouveau coup de peinture sur ses trains qui ressemble désormais à la tête des dragons de la franchise du même nom. Le débit de ce genre de coaster n'étant pas forcément très élevé et les opérateurs n'ayant sorti que deux trains sur le parcours, nous avons attendu 10 minutes seulement, c'est dire l'affluence faible ce jour-là.
La thèma Atlantide de Naga Bay et ses trains qui ressemblent à Krokmou
Le coaster en lui-même est assez anecdotique sympathique et fun mais complètement oubliable. Par contre ce qui n'est pas oubliable c'est sa gare totalement minuscule et assez mal conçue.
Naga Bay: “Un spinning Maurer qui plus est un SC3000 pas à la hauteur de ce que l'on pourrait attendre d'un tel coaster. Il remplit son contrat en étant fun et fluide, mais les freins qui font sur-freiner le train font perdre toute la vitesse au train. Comme la plupart des Maurer il a d'ailleurs un débit assez pourri. Un spinning dans la moyenne mais a des années lumières des winja's et même d’un tarantula.”+½
Nous avons refait un tour de Naga B à la fin de la journée où il s'est révélé meilleur que lors de notre premier tour sans être réellement à la hauteur. Ensuite nous irons tâter le flume extérieur avec une simple descente mais qui était très sympathique, tellement sympathique qu'il me vola ma chaussures à la descente (la chaussure va bien depuis pas d’inquiétude).
Nous finirons notre journée sur les chaises volantes et sur Flying Orca, avant de nous rabattre sur trois tours consécutifs de Fury (2 en arrière, un en avant) jusqu'à la fermeture du parc à 17h. Le parc fermant à 17h, cela est tôt mais avec le peu d'affluence et des débits totalement maîtrisés nous avons réussi à faire en tout et pour tout 32 attractions en 7 heures, ce qui est plus que correct pour une journée de parc aussi courte.
Naga Bay: “Un spinning Maurer qui plus est un SC3000 pas à la hauteur de ce que l'on pourrait attendre d'un tel coaster. Il remplit son contrat en étant fun et fluide, mais les freins qui font sur-freiner le train font perdre toute la vitesse au train. Comme la plupart des Maurer il a d'ailleurs un débit assez pourri. Un spinning dans la moyenne mais a des années lumières des winja's et même d’un tarantula.”
+½Nous avons refait un tour de Naga B à la fin de la journée où il s'est révélé meilleur que lors de notre premier tour sans être réellement à la hauteur. Ensuite nous irons tâter le flume extérieur avec une simple descente mais qui était très sympathique, tellement sympathique qu'il me vola ma chaussures à la descente (la chaussure va bien depuis pas d’inquiétude).
Nous finirons notre journée sur les chaises volantes et sur Flying Orca, avant de nous rabattre sur trois tours consécutifs de Fury (2 en arrière, un en avant) jusqu'à la fermeture du parc à 17h. Le parc fermant à 17h, cela est tôt mais avec le peu d'affluence et des débits totalement maîtrisés nous avons réussi à faire en tout et pour tout 32 attractions en 7 heures, ce qui est plus que correct pour une journée de parc aussi courte.
Dernier point de vue sur Fury avant de partir
(Insérer la photo du magnet)
Une conclusion sur le parc ?
Racheté par Parques Reunidos en 2004, Bobbejaanland a depuis évolué sans réellement passer le cap de parc national.Le parc propose une panoplie d'attraction qualitative avec une thématisation présente à certains endroits, mais de façon trop rare pour proposer un véritable environnement thématique cohérent.Seul le dernier land démontre l’effort créatif dont peut faire preuve le parc.De plus, malgré les quelques investissements du groupe, le parc n'a toujours pas une montagne russe de classe mondiale ou d'attraction réellement innovante qui fasse se déplacer les foules.Le parc n'est pas dénué de points positifs, il est dans l'ensemble bien entretenu, joli, il est plaisant de faire le tour du lac, le débit des attractions est excellents et comme dit précédemment la plupart des attractions tiennent la route et sont de bonnes surprises. Au final Bobbejaanland reste un bon parc mais qui rate le coche d'être un très bon parc à cause de son absence de cohérence thématique et du manque d'une attraction qui le démarque de façon significative par rapport aux concurrents.
Une conclusion sur le parc ?
Racheté par Parques Reunidos en 2004, Bobbejaanland a depuis évolué sans réellement passer le cap de parc national.Le parc propose une panoplie d'attraction qualitative avec une thématisation présente à certains endroits, mais de façon trop rare pour proposer un véritable environnement thématique cohérent.Seul le dernier land démontre l’effort créatif dont peut faire preuve le parc.De plus, malgré les quelques investissements du groupe, le parc n'a toujours pas une montagne russe de classe mondiale ou d'attraction réellement innovante qui fasse se déplacer les foules.Le parc n'est pas dénué de points positifs, il est dans l'ensemble bien entretenu, joli, il est plaisant de faire le tour du lac, le débit des attractions est excellents et comme dit précédemment la plupart des attractions tiennent la route et sont de bonnes surprises. Au final Bobbejaanland reste un bon parc mais qui rate le coche d'être un très bon parc à cause de son absence de cohérence thématique et du manque d'une attraction qui le démarque de façon significative par rapport aux concurrents.
Au revoir Bobbejaanland !
Au final le parc s'est révélé être une bonne surprise, je pensais que ce serait le plus faible du trip mais finalement ce ne sera pas lui. Je garderai un souvenir impérissable de ma première visite dans un parc Belge.
Au revoir Bobbejaanland et rendez-vous demain à Walibi Belgium pour la suite de ce Trip.
