Malgré un temps mi-figue mi-raisin, (pas de pluie heureusement) c’est avec un groupe de 18 personnes que nous nous sommes rendus en Allemagne. Après un file d’attente plus ou moins rapide (pourquoi ne pas équiper les caisses avec du scanning ? le proposé à la caisse doit chaque fois ré encoder manuellement nos tickets achetés en prévente alors qu’il existe un code-barres.
Vue depuis la nouvelle entrée au niveau de la zone Mystery
Direction River Quest et ses plans inclinés et éclaboussures assurées, c’est l’ouverture du parc pas trop de monde en vue. Après s’être disputé comme des chiffonniers pour éviter les places les plus exposées aux assauts de l’élément liquide (chose tout compte fait totalement inutile car l’eau s’engouffre de toute part) certains parmi nous ne connaissant pas le parcours avaient le facies assez interrogateur lorsque nos deux bouées entrèrent dans l’ascenseur : qui dit montée dit également descente…et une fois le volet ouvert…aïe aïe aïe
Avec le poids de certains parmi nous l’impact de la bouée avec le niveau d’eau fut terrible – proportionnel aux jurons et aux éclats de rire qui résonnèrent dans les couloirs du château.
Seul le « tourbillon » a eut pitié de nous, nous avons embarquer du liquide partout à tel point que nous sommes arrivés au bout du parcours les jambes en l’air tant le fond de l’embarcation n’était qu’une vaste soupe.
Ma conclusion définitive de cette attraction : après plusieurs années d’expérimentation : pratiquement impossible de s’en sortir sec.
Tant que nous étions dans le bain, nous avons opté pour le double fiume Stonewash Creek et Wildwash Creek qui sont loin d’être exceptionnels mais contribueront à maintenir très haut notre niveau d’ambiance surtout à
la sortie quand 18 personnes essaient de se sécher dans la cabine chauffante mise à la disposition des malheureux baigneurs. Personnellement j’ai opté pour le parcours de droite, je ne sais pas si c’était Stonewash ou Wildwash mais la deuxième chute du voyage m’a complètement « washé ».
Puisque la moitié parmi nous n’avaient jamais visité Phantasialand, nous avons pris notre courage à deux mains et exploré les fameux « dark rides » du parc. Tout d’abord le Silbermine et son train fou (jamais vu un train continu si lent). Les traditionnels tableaux des darks des années ’80 avec l’éternel pirate – mexicain bourré perché au-dessus du portail un bouteille de gnole à la main. Mention pour le dernier grand tableau de la bataille de Mexico qui est assez grandiose – respect. Bon c’est vrai, cela date - c’est dépassé - c’est « kitch » comme on dit - cela fait partie du patrimoine et de la mémoire historique des parcs d’attractions mais à la vue du peu de monde qui y fait encore la file, je crois qu’il est temps que Phantasia investisse dans un nouveau dark car le discours est le même pour Geister-Rikscha dans la zone chinoise (nous nous amusons plus pour entrer dans l’attraction tellement il fait sombre voire obscur dans le couloir d’accès – on y voit rien, c’est même dangereux, que pour les tableaux en papier mâché qui nous y sont présentés. Je vous épargnerai le CHOC du « Hollywood Tour » situé comme une mouche dans la soupe et par la force de choses dans la zone Fantasy (ils ont oublié de le cramer en 2001)
c’est sidérant, cela a du faire succès à son temps - o.k. - mais maintenant même au quinzième degré…
Il est temps de sortir de notre sieste, direction vers celui que je considère comme le meilleur train de mine d’Europe : le Colorado Adventure est ses plongées enchainées à abuser à volonté et sans modération. Personnellement la position à l’arrière de train est la meilleure pour apprécier les accélérations.
Rien de comparable à BTM de Disneyland Paris (je ne parle pas du décors hein !) c’est plus fun, plus nerveux et plus souple, bref plus marrant.
Valait mieux pour ceux qui désiraient faire le Top Spin Talocan, le faire avant la pose de midi.
Le spectacle est autant pour ceux qui se trouvent à l’extérieur que les volontaires aux culbutes dignes d’une « wrustel » sur les flammes d’un barbecue. C’est vraiment une belle attraction.
Et dire que tout le monde y sort avec un large sourire
Non ils ne sont par écrasés par le plafond !
Vue de l’arrière
Une brochette, une…
Pose midi au resto Unter den Linden, nous l’avions déjà expérimenté l’année dernière, excellent rapport qualité prix pour un parc d’attraction, de plus je dois avoir un bonne tête car la préposé à la caisse m’a fait payer mon plat de pâtes avec boisson 5,90 € !! tarif enfant malgré mes 1m86 – j’ai aimé.
Les travaux d’aménagement aux alentours de la zone vont bon train, la rue du Vieux Berlin est truffée de personnages en costumes d’époque qui jouent leur rôle en interactivité avec les visiteurs, très sympathiques.
Les nouveaux bâtiments sont achevés et camouflés – beaucoup de bruits à l’intérieur, cela trime.
La zone devant Wuze Town est une très belle intégration (hormis le dôme d’Atlantis) – les parois des bâtisses sont décorées et équipées de véritables niches pour les oiseaux. Les attractions « costum » de Zamperla se fondent très bien dans l’ambiance.
La petite pièce
Et voilà les spinning coasters Maurer Winja’s, de la file mais la cadence est bonne. N’oubliez pas votre pièce d’un € pour le box car aucun sac n’est admis dans l’attraction. Crush de Disney n’arrive pas du tout aux émotions que l’on ressent chez Winja’s. Personnellement je préfère Winja’s Force pour sont côté « surprises » du parcours, tandis que Winja’s Fear est plus nerveux et plus rapide car il n’y a pas de temps mort une fois l’engin lancé. Nous avons fait les 2 parcours deux fois et même les personnes les plus timorées du groupe en redemandaient.
Direction le battle splash Wakobato …
C’est beau, c’est très joli mais cela se résume à la fin à une banal ballade en bateau – on est loin de la foire d’empoigne comme à Bobbejaanland par exemple …dommage.
Le mini-monorail n’est pas encore en service.
Dans la foulée nous alignons le coaster du Temple of the Night Hawk ? il n’y a plus aucun effet, vous déambulez dans l’obscurité du début à la fin sans laser sans hiboux sans bruitages à quoi ça sert encore je ne le sais pas
ensuite le divin Hollywood Tour, le dark ride à papa.
Enfin nous mettons le cap sur l’Afrique profonde et Black Mamba. La moitié d’entre nous allaient le faire pour la première fois – pas trop de monde même le premier rang était relativement accessible. La machine était toujours aussi fluide et le parcours pour les vrais mordus de ce genre d’attraction trop court d’où ce gout d’un peu trop peu. L’ambiance africaine est toujours aussi bien diffusée avec les chants zoulous en support, vraiment un coin sympas du parc. Il était bientôt 18 heure et le moment de se mettre en route vers la base en donnant rdv à Phantasia l’année prochaine même heure même endroit, ciao.
Prochaine étape de la bande Paris les grandes oreilles du 24 au 26 mai.
Vue depuis la nouvelle entrée au niveau de la zone Mystery
Direction River Quest et ses plans inclinés et éclaboussures assurées, c’est l’ouverture du parc pas trop de monde en vue. Après s’être disputé comme des chiffonniers pour éviter les places les plus exposées aux assauts de l’élément liquide (chose tout compte fait totalement inutile car l’eau s’engouffre de toute part) certains parmi nous ne connaissant pas le parcours avaient le facies assez interrogateur lorsque nos deux bouées entrèrent dans l’ascenseur : qui dit montée dit également descente…et une fois le volet ouvert…aïe aïe aïe
Avec le poids de certains parmi nous l’impact de la bouée avec le niveau d’eau fut terrible – proportionnel aux jurons et aux éclats de rire qui résonnèrent dans les couloirs du château.
Seul le « tourbillon » a eut pitié de nous, nous avons embarquer du liquide partout à tel point que nous sommes arrivés au bout du parcours les jambes en l’air tant le fond de l’embarcation n’était qu’une vaste soupe.
Ma conclusion définitive de cette attraction : après plusieurs années d’expérimentation : pratiquement impossible de s’en sortir sec.
Tant que nous étions dans le bain, nous avons opté pour le double fiume Stonewash Creek et Wildwash Creek qui sont loin d’être exceptionnels mais contribueront à maintenir très haut notre niveau d’ambiance surtout à
la sortie quand 18 personnes essaient de se sécher dans la cabine chauffante mise à la disposition des malheureux baigneurs. Personnellement j’ai opté pour le parcours de droite, je ne sais pas si c’était Stonewash ou Wildwash mais la deuxième chute du voyage m’a complètement « washé ».
Puisque la moitié parmi nous n’avaient jamais visité Phantasialand, nous avons pris notre courage à deux mains et exploré les fameux « dark rides » du parc. Tout d’abord le Silbermine et son train fou (jamais vu un train continu si lent). Les traditionnels tableaux des darks des années ’80 avec l’éternel pirate – mexicain bourré perché au-dessus du portail un bouteille de gnole à la main. Mention pour le dernier grand tableau de la bataille de Mexico qui est assez grandiose – respect. Bon c’est vrai, cela date - c’est dépassé - c’est « kitch » comme on dit - cela fait partie du patrimoine et de la mémoire historique des parcs d’attractions mais à la vue du peu de monde qui y fait encore la file, je crois qu’il est temps que Phantasia investisse dans un nouveau dark car le discours est le même pour Geister-Rikscha dans la zone chinoise (nous nous amusons plus pour entrer dans l’attraction tellement il fait sombre voire obscur dans le couloir d’accès – on y voit rien, c’est même dangereux, que pour les tableaux en papier mâché qui nous y sont présentés. Je vous épargnerai le CHOC du « Hollywood Tour » situé comme une mouche dans la soupe et par la force de choses dans la zone Fantasy (ils ont oublié de le cramer en 2001)
c’est sidérant, cela a du faire succès à son temps - o.k. - mais maintenant même au quinzième degré…
Il est temps de sortir de notre sieste, direction vers celui que je considère comme le meilleur train de mine d’Europe : le Colorado Adventure est ses plongées enchainées à abuser à volonté et sans modération. Personnellement la position à l’arrière de train est la meilleure pour apprécier les accélérations.
Rien de comparable à BTM de Disneyland Paris (je ne parle pas du décors hein !) c’est plus fun, plus nerveux et plus souple, bref plus marrant.
Valait mieux pour ceux qui désiraient faire le Top Spin Talocan, le faire avant la pose de midi.
Le spectacle est autant pour ceux qui se trouvent à l’extérieur que les volontaires aux culbutes dignes d’une « wrustel » sur les flammes d’un barbecue. C’est vraiment une belle attraction.
Et dire que tout le monde y sort avec un large sourire
Non ils ne sont par écrasés par le plafond !
Vue de l’arrière
Une brochette, une…
Pose midi au resto Unter den Linden, nous l’avions déjà expérimenté l’année dernière, excellent rapport qualité prix pour un parc d’attraction, de plus je dois avoir un bonne tête car la préposé à la caisse m’a fait payer mon plat de pâtes avec boisson 5,90 € !! tarif enfant malgré mes 1m86 – j’ai aimé.
Les travaux d’aménagement aux alentours de la zone vont bon train, la rue du Vieux Berlin est truffée de personnages en costumes d’époque qui jouent leur rôle en interactivité avec les visiteurs, très sympathiques.
Les nouveaux bâtiments sont achevés et camouflés – beaucoup de bruits à l’intérieur, cela trime.
La zone devant Wuze Town est une très belle intégration (hormis le dôme d’Atlantis) – les parois des bâtisses sont décorées et équipées de véritables niches pour les oiseaux. Les attractions « costum » de Zamperla se fondent très bien dans l’ambiance.
La petite pièce
Et voilà les spinning coasters Maurer Winja’s, de la file mais la cadence est bonne. N’oubliez pas votre pièce d’un € pour le box car aucun sac n’est admis dans l’attraction. Crush de Disney n’arrive pas du tout aux émotions que l’on ressent chez Winja’s. Personnellement je préfère Winja’s Force pour sont côté « surprises » du parcours, tandis que Winja’s Fear est plus nerveux et plus rapide car il n’y a pas de temps mort une fois l’engin lancé. Nous avons fait les 2 parcours deux fois et même les personnes les plus timorées du groupe en redemandaient.
Direction le battle splash Wakobato …
C’est beau, c’est très joli mais cela se résume à la fin à une banal ballade en bateau – on est loin de la foire d’empoigne comme à Bobbejaanland par exemple …dommage.
Le mini-monorail n’est pas encore en service.
Dans la foulée nous alignons le coaster du Temple of the Night Hawk ? il n’y a plus aucun effet, vous déambulez dans l’obscurité du début à la fin sans laser sans hiboux sans bruitages à quoi ça sert encore je ne le sais pas
ensuite le divin Hollywood Tour, le dark ride à papa.
Enfin nous mettons le cap sur l’Afrique profonde et Black Mamba. La moitié d’entre nous allaient le faire pour la première fois – pas trop de monde même le premier rang était relativement accessible. La machine était toujours aussi fluide et le parcours pour les vrais mordus de ce genre d’attraction trop court d’où ce gout d’un peu trop peu. L’ambiance africaine est toujours aussi bien diffusée avec les chants zoulous en support, vraiment un coin sympas du parc. Il était bientôt 18 heure et le moment de se mettre en route vers la base en donnant rdv à Phantasia l’année prochaine même heure même endroit, ciao.
Prochaine étape de la bande Paris les grandes oreilles du 24 au 26 mai.