Le lendemain de ma visite à Toverland, je me suis rendu à Efteling, à une petite heure de route.
Si l’arrivée sur le parking de Toverland fut impressionnante grâce à l’imposant Troy, celle d’Efteling l’est tout autant grâce à l’immense chapeau de sorcier.
On est d’entrée de jeu immergé dans l’univers d’Efteling.
La thématisation est omniprésente dans ce parc et c’est là son atout principal.
Au fur et à mesure que je m’engage dans ce parc, la structure de Baron 1898 se dessine, comme une invitation qu’aucun coaster fan ne saurait refuser.
Il s’agit d’un « dive coaster » signé B&M qui, même s’il n’est pas le plus haut de sa catégorie, fait forte impression. La thématisation est soignée dans les moindres détails et le layout affiche de belles promesses.
Il est temps de foncer le rider.
L’entrée se fait par ce bâtiment.
Le baron en personne nous accueille.
Le ride : une porte imposante s’ouvre sur le pre show. S’en suit une ascension à 37m, un hangtime puis la drop. L’airtime est présent au first row, pas du tout au last.
Mine de rien, il est intense ce « petit » B&M.
La visite se poursuit avec De Vliegende Hollander, un coaster dont la première partie du ride s’effectue en indoor. C’est d’ailleurs la file d’attente, l’embarquement et le début du ride qui valent le coup, avec une théma époustouflante.
Le reste est trop lent à mon goût voire inconfortable dans le demi-tour.
Le 3e crédit nous appelle déjà, il s’agit de Joris en de Draak : un dueling wooden coaster signé GCI, un constructeur réputé pour la fluidité, l’originalité et l’intensité de ses layouts (cf Troy et Wodan).
Le but est de choisir un camp : FEU ou EAU pour affronter le dragon.
Bilan du ride : une bonne surprise en termes d’intensité même si Troy est au-dessus dans ce domaine. L’idée du duel est brillante et fait tout le charme de ce wooden.
La suite de la visite sera différente.
Même si la faible affluence du jour m’aura permis d’enchaîner les rides, j’en ai profité pour me promener dans ce parc somptueux.
Car oui, Efteling en peut se réduire à ses coasters.
Commençons par Le Bois des Contes.
Il s’agit d’un immense jardin dédié aux contes flamands qui ont inspiré ceux de Charles Perrault.
On y retrouve le Petit Poucet et Ansel et Gretel par exemple.
On y rencontre même une relique : une mini section de rail de Python (en réhab ce jour-là).
Efteling, c’est aussi Symbolica, un dark ride féerique mettant en scène le personnage emblématique du parc.
Une surprise attend le visiteur derrière ces escaliers.
Le dark ride en lui-même.
C’est aussi une vue imprenable sur le parc et les alentours, au sommet d’une tour panoramique qui n’est pas sans rappeler celle d’Europa Park.
La journée se conclue par un ride sur Vogel Rock, un family coaster Vekoma sympa et bien thématisé.
Bilan de la journée :
15 rides sur Baron, 8 sur Joris, 3 sur de Vliegende Hollander et la découverte d’un univers à part entière.
Prochaine destination : Walibi Holland pour chasser quelques gros crédits.
A suivre…
Si l’arrivée sur le parking de Toverland fut impressionnante grâce à l’imposant Troy, celle d’Efteling l’est tout autant grâce à l’immense chapeau de sorcier.
On est d’entrée de jeu immergé dans l’univers d’Efteling.
La thématisation est omniprésente dans ce parc et c’est là son atout principal.
Au fur et à mesure que je m’engage dans ce parc, la structure de Baron 1898 se dessine, comme une invitation qu’aucun coaster fan ne saurait refuser.
Il s’agit d’un « dive coaster » signé B&M qui, même s’il n’est pas le plus haut de sa catégorie, fait forte impression. La thématisation est soignée dans les moindres détails et le layout affiche de belles promesses.
Il est temps de foncer le rider.
L’entrée se fait par ce bâtiment.
Le baron en personne nous accueille.
Le ride : une porte imposante s’ouvre sur le pre show. S’en suit une ascension à 37m, un hangtime puis la drop. L’airtime est présent au first row, pas du tout au last.
Mine de rien, il est intense ce « petit » B&M.
La visite se poursuit avec De Vliegende Hollander, un coaster dont la première partie du ride s’effectue en indoor. C’est d’ailleurs la file d’attente, l’embarquement et le début du ride qui valent le coup, avec une théma époustouflante.
Le reste est trop lent à mon goût voire inconfortable dans le demi-tour.
Le 3e crédit nous appelle déjà, il s’agit de Joris en de Draak : un dueling wooden coaster signé GCI, un constructeur réputé pour la fluidité, l’originalité et l’intensité de ses layouts (cf Troy et Wodan).
Le but est de choisir un camp : FEU ou EAU pour affronter le dragon.
Bilan du ride : une bonne surprise en termes d’intensité même si Troy est au-dessus dans ce domaine. L’idée du duel est brillante et fait tout le charme de ce wooden.
La suite de la visite sera différente.
Même si la faible affluence du jour m’aura permis d’enchaîner les rides, j’en ai profité pour me promener dans ce parc somptueux.
Car oui, Efteling en peut se réduire à ses coasters.
Commençons par Le Bois des Contes.
Il s’agit d’un immense jardin dédié aux contes flamands qui ont inspiré ceux de Charles Perrault.
On y retrouve le Petit Poucet et Ansel et Gretel par exemple.
On y rencontre même une relique : une mini section de rail de Python (en réhab ce jour-là).
Efteling, c’est aussi Symbolica, un dark ride féerique mettant en scène le personnage emblématique du parc.
Une surprise attend le visiteur derrière ces escaliers.
Le dark ride en lui-même.
C’est aussi une vue imprenable sur le parc et les alentours, au sommet d’une tour panoramique qui n’est pas sans rappeler celle d’Europa Park.
La journée se conclue par un ride sur Vogel Rock, un family coaster Vekoma sympa et bien thématisé.
Bilan de la journée :
15 rides sur Baron, 8 sur Joris, 3 sur de Vliegende Hollander et la découverte d’un univers à part entière.
Prochaine destination : Walibi Holland pour chasser quelques gros crédits.
A suivre…