Pennsylvanie, États-Unis - Amy Wolfe, organiste dans une église, vit une sexualité dite "objectum" (orientation à aimer les objets). Elle a prévu de se marier à "un tapis volant", une attraction de foire.
Mlle Wolfe, 33 ans, changera son nom de famille en Weber, nom du créateur de la machine sur laquelle elle est déjà montée plus de 3 000 fois et pour laquelle elle fait 260 km 10 fois par an. "Je l'aime autant qu'une femme peut aimer son mari et je sais qu'on sera ensemble pour toujours" explique-t-elle.
Amy Wolfe est tombée amoureuse de l'attraction quand elle avait 13 ans : "J'ai instantanément été attirée vers elle sexuellement et mentalement. Ça ne m'a pas fait flipper, parce que ça me semblait tellement naturel, mais je ne l'ai dit à personne parce que je savais que ce n'était pas "normal" d'avoir des sentiments pour une attraction de fête foraine." Dix ans plus tard, la jeune femme a décidé de retourner au Knoebels Amusement Park où elle l'avait "rencontrée" la première fois pour lui déclarer son amour. Aujourd'hui, elle dort avec une photo de l'attraction sur son plafond et se promène avec ses vieux boulons et écrous pour se sentir plus proche d'elle. Bien qu'elle ait été discriminée par ses employeurs, la plupart de ses amis et des membres de sa famille la soutiennent : "Je ne fais de mal à personne et je ne peux pas m'en empêcher. Ça fait partie de ce que je suis."
Source : Free Actualité
Mlle Wolfe, 33 ans, changera son nom de famille en Weber, nom du créateur de la machine sur laquelle elle est déjà montée plus de 3 000 fois et pour laquelle elle fait 260 km 10 fois par an. "Je l'aime autant qu'une femme peut aimer son mari et je sais qu'on sera ensemble pour toujours" explique-t-elle.
Amy Wolfe est tombée amoureuse de l'attraction quand elle avait 13 ans : "J'ai instantanément été attirée vers elle sexuellement et mentalement. Ça ne m'a pas fait flipper, parce que ça me semblait tellement naturel, mais je ne l'ai dit à personne parce que je savais que ce n'était pas "normal" d'avoir des sentiments pour une attraction de fête foraine." Dix ans plus tard, la jeune femme a décidé de retourner au Knoebels Amusement Park où elle l'avait "rencontrée" la première fois pour lui déclarer son amour. Aujourd'hui, elle dort avec une photo de l'attraction sur son plafond et se promène avec ses vieux boulons et écrous pour se sentir plus proche d'elle. Bien qu'elle ait été discriminée par ses employeurs, la plupart de ses amis et des membres de sa famille la soutiennent : "Je ne fais de mal à personne et je ne peux pas m'en empêcher. Ça fait partie de ce que je suis."
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