Je me demande encore pourquoi je me retrouve à Walibi ?
Je m’étais promis de ne plus y remettre les pieds avant au moins 5 ans dans ce parc qui a bercé ma jeunesse, avec l’espoir de découvrir alors quelque chose de nouveau. Et puis, moins d’un an de ma promesse, à cause du « boss » de theParks.it qui m’a demandé de l’accompagner pour sa visite, me voilà au milieu du « paradis. Mais bon sang, moi qui cherche toujours à trouver le côté positif des choses, je cherche encore quelle sera ma motivation d’une prochaine visite si ce n’est de mettre à jour l’une ou l’autre galerie de photos. Rien – nada – niets – niente et ce n’est pas le nouveau show et encore moins le 4D qui vont me faire changer d’opinion. Mais tout n’est pas négatif malgré l’attente interminable des fans du parc toujours sur leur faim.
Arrivé à l’ouverture, pas trop de monde – temps splendide bref les bonnes conditions pour un samedi.
Allons restons positif pour commencer : le remodelage de l’entrée me plait – l’ensemble des couleurs orange-rouge-jaune est très accueillant et chaleureux. C’est vrai que l’aspect du travail accompli transpire la précipitation – les couches de peinture superposées sont très nettement visibles mais ne faisons pas la fine bouche, disons que cela procure aussi un aspect B.D..
Bien que je continue à regretter mon Walibi rondouillard, je commence à m’y faire – la mascotte grandeur nature passe beaucoup mieux que son effigie en papier ou cartonnée. De plus le (ou les) gars qui s’y applique le font assez bien et la réponse positive des enfants en est la preuve. C’est vrai qu’il propose un certain dynamisme ce que l’autre
Le parc est « nickel » - propre, les parterres bien fleuris, Angelo (theParks.it) est positivement étonné de l’écrin de verdure qui entoure le parc ainsi que l’aspect du lac (je lui raconte les origines du plan d’eau ainsi que le téléski qui l’animait à ses débuts.
C’est vrai qu’à force d’habitudes nous ne remarquons plus le beau contexte dans lequel se situe le parc
Cap sur le Vampire – rien de spécial à dire, cela tourne parfaitement (comme toutes les attractions « ouvertes » – faut le dire – aucune panne répertoriée durant la journée !)
Allez hop nous continuons la visite par la morsure du Loup-garou que dis-je par les coups de patte du Loup-garou…çà boxe ferme la bestiole, c’est ainsi que petit à petit une image du parc commence à se développer aux yeux d’Angelo, un parc à baffes (hé encore, il n’a pas pu apprécier le Cobra par la force des évènements…pas de chance …hé hé).
Merveilles, les trains sont impeccables (à l’arrêt), aucune place n’est condamnée par de simples cordes comme l’année dernière – les opérateurs sont de très bonnes factures, consciencieux et très « smiling » (comme dans l’ensemble du parc du reste, visiblement il y a un grand effort de ce côté-là du moins en ce début de saison – nous apprécions (Angelo et moi-même) l’accueil fait à un groupe d’handicapés – remarquable (là-dessus Angelo m’avoue que Gardaland devrait en prendre exemple car il y a pas mal de problème à ce niveau, là-bas), bref un autre bon point pour le parc. Mais que dire des sensations du parcours, une fois l’excellente première « drop » passée…de la torture – les roues sont-elles devenues carré ? Manque-t-il par endroit des morceaux de rails ? Bref, par moment le train semble hésiter de la direction qu’il doit prendre !. Tout le plaisir que l’on peut tirer de ce wooden est banni par l’appréhension des chocs que l’on redoute à chaque changement de direction…dommage…certains virages sont pénibles, c’est vrai que mon esprit est encore embué de la qualité de Joris (la semaine dernière), que l’un des deux est Vekoma l’autre G.C.I. et que plus de 10 ans sépare les artistes. J’ai connu LG bien plus fluide que maintenant, mais d’autre part, ce côté un peu déglingué donne un peu de folie à ce coaster dont un seul passage m’a suffit alors que j’adore cette typologie. Angelo, lui a remis le couvert car depuis la disparition de Sierra Tonante à Mirabilandia, plus de « wooden » actuellement en Italie (mais mon petit doigt me signifie que cela pourrait se remédier à l’avenir du côté de Rainbow ML).
Direction Dalton Terror – mon de nom…toutes les nacelles en fonction et ceci avec une file d’attente très réduite.
Ce type de jouissance n’étant pas dans mes plats préférés nous passons outre pour dire bonjour à Calamity. Là-dessus, Angelo qui a l’air de bien connaître le monde de la BD belge me demande pourquoi ce parc n’a pas profité de ces opportunités…(hé oui on le sait, nul n’est prophète dans son pays).
Deux trains en fonction, les décors et la mare en bonne condition. Un petit tour gentil gentil…
Pas de train en station puisqu’ils sont tous les deux en même temps sur le circuit
Direction le dark ride Challenge of Toutankhamon, qui est en réalité l’intérêt principal de la visite de theParks.
Nous croisons entre-temps le Wab band qui se dirige vers l’entrée du parc – petit coucou et tout le monde est content.
Ce cher Sir Stanley a retrouvé la voix et le mouvement, mais qu’est ce que c’est chi..t de l’entendre à longueur de file – par contre le père Fouras de l’époque est illuminé de rouge (les prises de courant et les spots alimentés sont à la vue de tout le monde sur le sol…un peu plus de raffinement ne ferait pas de tort). Et toujours des opérateurs sympas (si si, vraiment une belle surprise)
En réalité, notre compteur, scribe ou je ne sais quoi nous dit :
« Non je n’ai pas une dent contre le parc je suis déçu de son immobilité au niveau nouveauté. »
Tous les animatronics avaient l’air de fonctionner, enfin presque tous puisqu’il manquait la tête centrale du Cerbère dont le trou est recouvert d’un merveilleux sac poubelle (noire, quand même nous sommes en pseudo obscurité) du plus bel effet – on est un instant surpris à tel point qu’on oublie de tirer sur les deux autres têtes.
Après avoir effectué un premier tour sans tirer un seul coup de laser et ainsi faire apprécier l’attraction à nos deux amis italiens (fallait voir la tête de l’opérateur de sortie en observant notre remarquable score (soit 5x 00.000).
Maaaiiiiis au deuxième parcours, ce fut autre chose, je comprend pourquoi l’un des deux est programmeur informatique et créateur de jeux vidéo : le Lucky Luke de l’Egypte Ancienne – le compteur s’affolait, je n’avais jamais vu cela (il est interdit de jeu à Ramses the Revenge à Gardaland – j’exagère mais c’est presque çà). Bien évidement nous avons signalé pour rire notre nette très amélioration de score (bon ce n’était donc pas bien difficile, hein) à l’opérateur de sortie…c’était pour le rassurer.
Après une petite collation classique parc d’attraction (dès fois que l’on ne souvienne pas où nous nous trouvons - je dois dire que le prix me semble correct 6,80 pour un menu) direction pour une des NOUVEAUTES de la saison : le fameux show The Music Battle : hé bien…mazeille je me suis ennuyé profondément – je ne vais décrire le spectacle car il y a une vidéo assez complète sur YouTube qui vous donne une bonne idée du produit. Tout n’est pas à jeter, les scènes mêlant les panneaux mobiles avec les entrées et les sorties des personnages sont pas mal réalisés (malgré quelques problèmes d’hauteur de plan et de timing par moment, certains comédiens semblent plus doués que d’autres), le duel final de guitare entre Walibi et SkunX est pas mal – bon riffs de hard rock bluesy – mais pourquoi ressortir la rengaine éculée et archis usée de « We Will Rock You » pour lancer l’ambiance dans la foule, y a quand même d’autres bonnes choses dans le rock, non – l’histoire est aussi d’un ridicule monstrueux, je veux bien que cela s’adresse à une cible jeune (j’espère très jeune) mais cela ne dépasse pas les greluches des Winxs…enfin bref on se demande en combien de minutes le pseudo scénario a été écrit et combien la Compagnie des Alpes a déboursé pour cela ! Je ne vous recommande pas trop cet ersatz d’Hannah Montana et tout son marketing (qui n’arrive pas à l’orteil d’une certaine souris – je n’ose pas parlé de cheville, c’est trop haut) mais cela n’est que mon avis, je suis sur que certains seront emballés (pas mes amis italiens) c’est la démocratie. Et puis c’est vrai ce blabla ridicule, cette répétition incessante dans les deux langues – faut trouver autre chose, il y en a qui sont payés pour… - Par contre j’adoooooooooooore le personnage de Vita Drakovitz, çà c’est de la star. Enfin si vous voulez vous reposer 25 minutes au frais, c’est l’endroit idéal.
A la sortie un bref salut à Fernando (le boss du parc) totalement impliqué à la surveillance d’un groupe de bambins (avait l’air un peu débordé par sa classe de maternelle). Prise d’un rdv pour plus tard pour interview (les gars de Parksmania ont brulé la précédence la semaine dernière et leur papier est déjà sorti sur leur site).
C’est l’heure du bain – Flash Back nous voilà – j’avertis mes compagnons que s’ils retournent ce soir à l’hôtel (après leur virée au centre de Bruxelles) ils auront facilement de la place autour d’eux dans le train, tram, bus, métro…c’est l’effet flash back – beaucoup m’auront compris, mais c’est quand même une chouette attraction, on rigole à coup sur (sauf pour ce crétin qui m’a balancé son jet d’eau depuis cette saloperie de canon qui se trouve le long du parcours – si je t’attrape je te met la tête sous l’eau) en plus il m’a pris en traite, le jet d’eau vient par le côté alors que tu circules en arrière, la vache en pleine tronche…
Je n’ose imaginer les règlements de compte qu’il y aura sur un Twist’n’Splash.
En voiture Simone, les italiens ont bien aimé le tunnel et les loupiotes au départ ainsi que la chute finale – par contre deux baffes supplémentaires au compteur lors de inversion de sens.
Avez-vous déjà fait une Mad House tout seul – aucune autre personne avec vous que celles qui vous accompagnent – moi si, je viens de le réaliser au palais de Zanzar – j’avais envie de demander à l’opérateur de laissez tomber le pré-show mes compagnons ne comprenant rien de rien à ce qui se déblatérait autour d’eux, si ce n’est qu’une histoire de diamant.
Est-ce quelqu’un parmi vous peut me dire à quoi sert encore cette Radja River dans cet état à part les chocs qu’on se prend le long du parcours – tous les effets d’origines ont pratiquement disparus – la bestiole à l’entrée du tunnel est devenue aveugle – plus de fumerolle dans le tunnel qui vous empêchait de voir les murs d’eau qui eux sont évaporés ou plutôt bouchonnés avec la merveilleuse perspective des tuyaux « cul jatte » – il reste que quelques jets d’eau sporadiques…c’est devenu tout simplement un ensemble de bouées tamponneuses (encore des baffes) dommage, triste et navrant car c’était par le passé une fierté du parc. Les ritals ont ricanés.
Je conte l’histoire du dark ride Ali Baba – fleuron de ma jeunesse et copiage industriel de Fata Morgana d’Efteling pour déboucher sur la dernière histoire wavrienne : les vibrations du Cobra. Angelo est déçu, c’est sont troisième parc où il ne peut se prendre des baffes sur un Boomerang (je lui ai refilé l’adresse de Bellewaerde).
La deuxième nouveauté de cette saison : bof bof bof (sauf Vita Drakovitz) – effets ridicules et mouvements des rangs non synchronisés avec l’image, encore des sous mal dépensés (ah mais oui la sortie dans la boutique j’oubliais…)
Voilà, c’est à peu près tout, je me demande quand vais-je retourner dans ce parc et pour quelle raison?
Prochaine étape le 28 mai à Phantasialand avec plus ou moins 30 personnes de theParks…
Je m’étais promis de ne plus y remettre les pieds avant au moins 5 ans dans ce parc qui a bercé ma jeunesse, avec l’espoir de découvrir alors quelque chose de nouveau. Et puis, moins d’un an de ma promesse, à cause du « boss » de theParks.it qui m’a demandé de l’accompagner pour sa visite, me voilà au milieu du « paradis. Mais bon sang, moi qui cherche toujours à trouver le côté positif des choses, je cherche encore quelle sera ma motivation d’une prochaine visite si ce n’est de mettre à jour l’une ou l’autre galerie de photos. Rien – nada – niets – niente et ce n’est pas le nouveau show et encore moins le 4D qui vont me faire changer d’opinion. Mais tout n’est pas négatif malgré l’attente interminable des fans du parc toujours sur leur faim.
Arrivé à l’ouverture, pas trop de monde – temps splendide bref les bonnes conditions pour un samedi.
Allons restons positif pour commencer : le remodelage de l’entrée me plait – l’ensemble des couleurs orange-rouge-jaune est très accueillant et chaleureux. C’est vrai que l’aspect du travail accompli transpire la précipitation – les couches de peinture superposées sont très nettement visibles mais ne faisons pas la fine bouche, disons que cela procure aussi un aspect B.D..
Bien que je continue à regretter mon Walibi rondouillard, je commence à m’y faire – la mascotte grandeur nature passe beaucoup mieux que son effigie en papier ou cartonnée. De plus le (ou les) gars qui s’y applique le font assez bien et la réponse positive des enfants en est la preuve. C’est vrai qu’il propose un certain dynamisme ce que l’autre
Le parc est « nickel » - propre, les parterres bien fleuris, Angelo (theParks.it) est positivement étonné de l’écrin de verdure qui entoure le parc ainsi que l’aspect du lac (je lui raconte les origines du plan d’eau ainsi que le téléski qui l’animait à ses débuts.
C’est vrai qu’à force d’habitudes nous ne remarquons plus le beau contexte dans lequel se situe le parc
Cap sur le Vampire – rien de spécial à dire, cela tourne parfaitement (comme toutes les attractions « ouvertes » – faut le dire – aucune panne répertoriée durant la journée !)
Allez hop nous continuons la visite par la morsure du Loup-garou que dis-je par les coups de patte du Loup-garou…çà boxe ferme la bestiole, c’est ainsi que petit à petit une image du parc commence à se développer aux yeux d’Angelo, un parc à baffes (hé encore, il n’a pas pu apprécier le Cobra par la force des évènements…pas de chance …hé hé).
Merveilles, les trains sont impeccables (à l’arrêt), aucune place n’est condamnée par de simples cordes comme l’année dernière – les opérateurs sont de très bonnes factures, consciencieux et très « smiling » (comme dans l’ensemble du parc du reste, visiblement il y a un grand effort de ce côté-là du moins en ce début de saison – nous apprécions (Angelo et moi-même) l’accueil fait à un groupe d’handicapés – remarquable (là-dessus Angelo m’avoue que Gardaland devrait en prendre exemple car il y a pas mal de problème à ce niveau, là-bas), bref un autre bon point pour le parc. Mais que dire des sensations du parcours, une fois l’excellente première « drop » passée…de la torture – les roues sont-elles devenues carré ? Manque-t-il par endroit des morceaux de rails ? Bref, par moment le train semble hésiter de la direction qu’il doit prendre !. Tout le plaisir que l’on peut tirer de ce wooden est banni par l’appréhension des chocs que l’on redoute à chaque changement de direction…dommage…certains virages sont pénibles, c’est vrai que mon esprit est encore embué de la qualité de Joris (la semaine dernière), que l’un des deux est Vekoma l’autre G.C.I. et que plus de 10 ans sépare les artistes. J’ai connu LG bien plus fluide que maintenant, mais d’autre part, ce côté un peu déglingué donne un peu de folie à ce coaster dont un seul passage m’a suffit alors que j’adore cette typologie. Angelo, lui a remis le couvert car depuis la disparition de Sierra Tonante à Mirabilandia, plus de « wooden » actuellement en Italie (mais mon petit doigt me signifie que cela pourrait se remédier à l’avenir du côté de Rainbow ML).
Direction Dalton Terror – mon de nom…toutes les nacelles en fonction et ceci avec une file d’attente très réduite.
Ce type de jouissance n’étant pas dans mes plats préférés nous passons outre pour dire bonjour à Calamity. Là-dessus, Angelo qui a l’air de bien connaître le monde de la BD belge me demande pourquoi ce parc n’a pas profité de ces opportunités…(hé oui on le sait, nul n’est prophète dans son pays).
Deux trains en fonction, les décors et la mare en bonne condition. Un petit tour gentil gentil…
Pas de train en station puisqu’ils sont tous les deux en même temps sur le circuit
Direction le dark ride Challenge of Toutankhamon, qui est en réalité l’intérêt principal de la visite de theParks.
Nous croisons entre-temps le Wab band qui se dirige vers l’entrée du parc – petit coucou et tout le monde est content.
Ce cher Sir Stanley a retrouvé la voix et le mouvement, mais qu’est ce que c’est chi..t de l’entendre à longueur de file – par contre le père Fouras de l’époque est illuminé de rouge (les prises de courant et les spots alimentés sont à la vue de tout le monde sur le sol…un peu plus de raffinement ne ferait pas de tort). Et toujours des opérateurs sympas (si si, vraiment une belle surprise)
En réalité, notre compteur, scribe ou je ne sais quoi nous dit :
« Non je n’ai pas une dent contre le parc je suis déçu de son immobilité au niveau nouveauté. »
Tous les animatronics avaient l’air de fonctionner, enfin presque tous puisqu’il manquait la tête centrale du Cerbère dont le trou est recouvert d’un merveilleux sac poubelle (noire, quand même nous sommes en pseudo obscurité) du plus bel effet – on est un instant surpris à tel point qu’on oublie de tirer sur les deux autres têtes.
Après avoir effectué un premier tour sans tirer un seul coup de laser et ainsi faire apprécier l’attraction à nos deux amis italiens (fallait voir la tête de l’opérateur de sortie en observant notre remarquable score (soit 5x 00.000).
Maaaiiiiis au deuxième parcours, ce fut autre chose, je comprend pourquoi l’un des deux est programmeur informatique et créateur de jeux vidéo : le Lucky Luke de l’Egypte Ancienne – le compteur s’affolait, je n’avais jamais vu cela (il est interdit de jeu à Ramses the Revenge à Gardaland – j’exagère mais c’est presque çà). Bien évidement nous avons signalé pour rire notre nette très amélioration de score (bon ce n’était donc pas bien difficile, hein) à l’opérateur de sortie…c’était pour le rassurer.
Après une petite collation classique parc d’attraction (dès fois que l’on ne souvienne pas où nous nous trouvons - je dois dire que le prix me semble correct 6,80 pour un menu) direction pour une des NOUVEAUTES de la saison : le fameux show The Music Battle : hé bien…mazeille je me suis ennuyé profondément – je ne vais décrire le spectacle car il y a une vidéo assez complète sur YouTube qui vous donne une bonne idée du produit. Tout n’est pas à jeter, les scènes mêlant les panneaux mobiles avec les entrées et les sorties des personnages sont pas mal réalisés (malgré quelques problèmes d’hauteur de plan et de timing par moment, certains comédiens semblent plus doués que d’autres), le duel final de guitare entre Walibi et SkunX est pas mal – bon riffs de hard rock bluesy – mais pourquoi ressortir la rengaine éculée et archis usée de « We Will Rock You » pour lancer l’ambiance dans la foule, y a quand même d’autres bonnes choses dans le rock, non – l’histoire est aussi d’un ridicule monstrueux, je veux bien que cela s’adresse à une cible jeune (j’espère très jeune) mais cela ne dépasse pas les greluches des Winxs…enfin bref on se demande en combien de minutes le pseudo scénario a été écrit et combien la Compagnie des Alpes a déboursé pour cela ! Je ne vous recommande pas trop cet ersatz d’Hannah Montana et tout son marketing (qui n’arrive pas à l’orteil d’une certaine souris – je n’ose pas parlé de cheville, c’est trop haut) mais cela n’est que mon avis, je suis sur que certains seront emballés (pas mes amis italiens) c’est la démocratie. Et puis c’est vrai ce blabla ridicule, cette répétition incessante dans les deux langues – faut trouver autre chose, il y en a qui sont payés pour… - Par contre j’adoooooooooooore le personnage de Vita Drakovitz, çà c’est de la star. Enfin si vous voulez vous reposer 25 minutes au frais, c’est l’endroit idéal.
A la sortie un bref salut à Fernando (le boss du parc) totalement impliqué à la surveillance d’un groupe de bambins (avait l’air un peu débordé par sa classe de maternelle). Prise d’un rdv pour plus tard pour interview (les gars de Parksmania ont brulé la précédence la semaine dernière et leur papier est déjà sorti sur leur site).
C’est l’heure du bain – Flash Back nous voilà – j’avertis mes compagnons que s’ils retournent ce soir à l’hôtel (après leur virée au centre de Bruxelles) ils auront facilement de la place autour d’eux dans le train, tram, bus, métro…c’est l’effet flash back – beaucoup m’auront compris, mais c’est quand même une chouette attraction, on rigole à coup sur (sauf pour ce crétin qui m’a balancé son jet d’eau depuis cette saloperie de canon qui se trouve le long du parcours – si je t’attrape je te met la tête sous l’eau) en plus il m’a pris en traite, le jet d’eau vient par le côté alors que tu circules en arrière, la vache en pleine tronche…
Je n’ose imaginer les règlements de compte qu’il y aura sur un Twist’n’Splash.
En voiture Simone, les italiens ont bien aimé le tunnel et les loupiotes au départ ainsi que la chute finale – par contre deux baffes supplémentaires au compteur lors de inversion de sens.
Avez-vous déjà fait une Mad House tout seul – aucune autre personne avec vous que celles qui vous accompagnent – moi si, je viens de le réaliser au palais de Zanzar – j’avais envie de demander à l’opérateur de laissez tomber le pré-show mes compagnons ne comprenant rien de rien à ce qui se déblatérait autour d’eux, si ce n’est qu’une histoire de diamant.
Est-ce quelqu’un parmi vous peut me dire à quoi sert encore cette Radja River dans cet état à part les chocs qu’on se prend le long du parcours – tous les effets d’origines ont pratiquement disparus – la bestiole à l’entrée du tunnel est devenue aveugle – plus de fumerolle dans le tunnel qui vous empêchait de voir les murs d’eau qui eux sont évaporés ou plutôt bouchonnés avec la merveilleuse perspective des tuyaux « cul jatte » – il reste que quelques jets d’eau sporadiques…c’est devenu tout simplement un ensemble de bouées tamponneuses (encore des baffes) dommage, triste et navrant car c’était par le passé une fierté du parc. Les ritals ont ricanés.
Je conte l’histoire du dark ride Ali Baba – fleuron de ma jeunesse et copiage industriel de Fata Morgana d’Efteling pour déboucher sur la dernière histoire wavrienne : les vibrations du Cobra. Angelo est déçu, c’est sont troisième parc où il ne peut se prendre des baffes sur un Boomerang (je lui ai refilé l’adresse de Bellewaerde).
La deuxième nouveauté de cette saison : bof bof bof (sauf Vita Drakovitz) – effets ridicules et mouvements des rangs non synchronisés avec l’image, encore des sous mal dépensés (ah mais oui la sortie dans la boutique j’oubliais…)
Voilà, c’est à peu près tout, je me demande quand vais-je retourner dans ce parc et pour quelle raison?
Prochaine étape le 28 mai à Phantasialand avec plus ou moins 30 personnes de theParks…
