Je penche plutôt pour les réserves exprimées par Kalistos.
Investir à tour de bras dans des projets basés uniquement sur des grosses zones commerciales ultra condensées est à notre époque une vision un peu étriquée du développement...
Je ne suis pas triste de voir ce projet rencontrer des difficultés, je trouve ça rassurant le fait que quelques centaines de millions ne suffisent pas à s’accaparer des terrains pour des projets de ce genre.
Je pense d’ailleurs qu’un projet comme Euro Disney aurait du mal à notre époque à se faire accepter dans une politique d’amenagement du territoire comme elle l’a fait à la fin des années 80 auprès d’une classe politique qui avait moins de comptes à rendre publiquement, et ce malgré l’argument des emplois créés, argument de plus en plus discutable pour les grosses zones commerciales si on le met en balance avec les emplois détruits.
L’article explique bien que le Tribunal administratif a annulé cette décision suite à des études d’impact insuffisantes, donc c’est loin d’être incontournable pour les promoteurs, ce n’est je pense qu’une étape dans ce long feuilleton.
Pour réfléchir un peu, ce n’est pas toujours le cas sur Le Monde, mais dans les commentaires de l’article le débat n’est pas inintéressant.