3 pays, 3 cultures bien distincts. Je ne pensais pas en allant nous balader dans les pays du nord que les différences étaient si marquées entre les danois, les suédois et les norvégiens mais il y a un point où ils se rejoignent, c'est pour le choix, la qualité et l'entretien de leur roller-coasters.
Je vais pas trop m'étaler sur les détails mais souligner ce qui nous a plus et déplus dans ce petit périple qui nous a fait faire le tour en voiture de la mer qu'entoure ces trois pays dont nous ne connaissions rien, même après un passage expresse à Djurs (Ninmofte ) il y a 3 ans.
85 ans à nous deux faut-il vous le rappeler ? Je vais vous compter comment nous voyons l'avancée cruel de notre civilisation en 2014...
Cela commence déjà avec les réservations qui se font avec Internet. Trop facile on obtient tout sans parler a personne, jusqu’à pouvoir entrer dans un hôtel en pleine nuit, faire son check-in seul, aller se pieuter dans la chambre et repartir le matin au aurores sans avoir rencontrer une seul âme.
Les vols lows-cost me font toujours autant rire avec ma référence de comparaison avec un trajet de train Genève-Zurich-Genève pour 137 Euro et la location de voiture et vraiment pas cher pour le plaisir de rouler de bonnes bagnoles pour l'occasion. On ajoute a tout ça une couverture GPS au top
et on ne demande plus son chemin à personne. Notre petit écran nous guide à la flèche et à l’œil.
Arrivé à Copenhague le soir dans un hôtel pas trop loin de Tivoli et du centre, la première impression et qu'il y a plus grand monde dans les rues à 22h et qu'il y a peu de circulation.
Il fait bon nous faisons un petit tour de quartier et allons nous pieuter.
Le lendemain, j'ouvre les yeux vu qu'il fait jour mais le réveil de la télévision indique 4h30 et les rideaux rident rien ... 4 heures plus tard il fait toujours autant jour mais c'est la bonne heure.
Une journée de touristes comme on les aime s'ouvre à nous. Petit déjeuner sur une terasse suivit d'une érrance dans une ville que l'on connaît pas et a éviter les grandes artères commercial que l'on connaît elles par cœur.
Pas vu la petite sirène, elle est au port mais une jolie ville Lego dont on peut se demander comment
devant l’évidence de cette invention beaucoup sont passé à coté sans y avoir penser plus tôt ?
Nous avons déambulé dans la ville une partie de la journée puis il s'est mis a pleuvoir. C'est donc vers les 16h que nous nous sommes dirigé vers notre premier but du voyage. Tivoli Garden.
Haaa enfin on allait pouvoir poser nos petits derrières sur une machine. Depuis le temps, nos culs trépignaient d'impatiente. Il fait un temps de chien mais on en entre quand même en se disant qu'il y aurait plus d'endroits à l’abri dans la parc que dans la ville. C'est le cas car Tivoli est un parc atypique à l''ancienne. C'est un lieu qui date d'un temps révolu où l'amusement, la culture et le divertissement étaient réunis. Bistrots, restaurants, salles de concerts, galeries se mêlent aux attractions anciennes comme aux plus modernes.
C'est un très beau parc arborisé avec le plus grand soin qui ferme vers minuit afin d'y passer d'agréables soirées. Sous la pluie c'est un peu tristounet et à notre arrivée, beaucoup de choses étaient encore fermée. Nous avons attendu tranquillement dans un restaurant que le soleil revienne et c'est vers 18h que nous avons entendu le cliquetis d'un train gravir un lift.
Comme à notre habitude, on regarde rien et on écoute peu mais on comprend vite qu'en plus de l'entrée, il faut payer les attractions au tour. Il y a des distributeurs de coupons mais pour la même raison exprimé ci-dessus, on se retrouve avec un billet qui ne suffit pas a faire les trill-rides (les machines qui font peur brrr ! ) Donc pour résumer le prix pour rider notre premier coaster de l'année 2014 il faut compter 16.50 CHF d'entrée plus 3 coupons à 4.- CHF le coupon... Heureusement, il y a un pass qui coûte 32.- CHF.
Vous l'aurez compris, le ride coûte cher à Tivoli !
Mais bon, on est là pour ça et on oublie vite quand le portique s'ouvre pour nous et qu'il nous invite a nous poser sur un B&M sans plancher. Ha oui, quand même ... D’ailleurs ce sera le seul du voyage.
Dæmonen
Quand on fait le tour du parc de Tivoli par l’extérieur, on voit qu'il s'agit d'un carré de 250 mètres et je me demandais comment ils avaient réussis la prouesse de mettre un monstre à l’intérieur de cette surface. Ben c'est simple, il doit s'agir du plus petit parcours de notre cher manufacturier helvétique... Un petit monstrounet !
Layout intéressant quand même puisqu'il possède 3 inversions et qui n'a pas de first drop à proprement dit. Il commence après le lift par un plat et une légère descente incliné dans un contour de 270° pour attaquer une drop qui mène au loop. Pris en première position du train, c'est sans intérêt mais à la dernière place, le train tire assez de son poids pour donner un bon air-time dans la drop. Sinon pour le reste, c'est du B&M. C'est doux, fluide, sûr mais c'est très, très court pour 16 CHF le tour ! Pour amortir et comme il y avait pas un chat, je l'ai ridé 8 fois, Yoyo moins...
Odinexpressen
Un train de mine ordinaire alimenté Mack. Rien de folichon sauf qu'au troisième passage en gare ça commençait à faire beaucoup car les arbres étaient encore mouillés et il y avait du vent et on avait déjà assez ramassé la pluie cette journée. 4 Tours de suite, jamais eu jusqu'ici ! J'aurai préféré ceci sur Dæmonen, cela m'aurait évité de faire le tour de la gare à chaque tours...
Rutschebanen
Nous avons du attendre 20h pour voir que le centenaire tournait. C'est un hasard que pour ses 100 année d'existence, ce coaster à subit un lifting cette année et a retrouvé le sommet de la montagne qu'il avait perdu. Pour nous, c'est enfin la possibilité de rider un système désuet avec un freineur.
C'est a dire qu'il y a une personne pour freiner le train sur le parcours d'une hauteur record de 12.9m ...
On s'installe sur les banquettes en bois toutes belles et bien vernies. On s'appuie sur les dossiers bien confortables et on tire un semblant de barre qui retient pas grand chose. Le freineur s'installe sur une sorte de chaise de vieux tracteur, presque debout il lâche son frein et l'on entre dans la grotte pour une grand contour dans le noir jusqu'au lift. Il y a dès l'entrée dans ce tunnel une odeur de bois et de vielle mécanique assez exceptionnelle. On sent les 100 ans. Par contre la montée par câble du lift et d'une rapidité et d'une douceur qu'aucun ride d'aujourd'hui n'égale. C'est simple on ne sent rien. Ni au crochetage du câble, ni au passage du sommet et comme il n'y a pas d'anti-rolleback, aucune cliquetis.
Son layout est des plus basique. 5 longueurs 6 drop sur 720m c'est une petite ballade sans grand intérêt si ce n'est sa douceur. Les drop passent toutes gentiment et il n'y a aucun G-lateraux dans les contours à plat, le train ne tape pas.
Nous l'avons ridé pour son charme 3 fois en remarquant une légère différence en fonction du freineur. Dans la soirée après avoir bien mangé dans un restaurant nous sommes repassé devant et
on est remonté dessus tout derrière et il y avait eu un peu de changement entre temps, il y avait une femme au freinage !
Chez nous on dit femme au volant, mort au tournant. Sur ce tour là on a pu dire : Femme au freinage, délire à l'air-time ! C'est simple. À chaque bosses on était debout et au fond des drops, on s'écrasait comme de m.. sur les banquettes super dur et super glissantes qui faisait qu'avec Yoyo on s’entrechoquait et glissions dans les contours en croyant qu'on allait y passer, éjectés!
Le mot éjector prend ici tout son sens et j'avais peu d'espoir de retrouver cette sensation de k.o ressentie sur le Phoenix de Knoebles. C'est chose faite, il y en a un en Europe qui procure cette sensation de folie !
On regardes la photo onride qui confirme le ride que l'on vient de faire.
On remonte mais avec un vieux freineur... Il freine même dans les contours ! Déçus, On attend et on remonte avec la connaisseuse ou la folle.. ? On ne sait plus tellement, on est surexcités mais au moment de partir, elle échange sa place avec un mec et se barre. On aura eu qu'un ride de folie sur 7 mais quel ride !
Ça fait franchement réfléchir les fans que nous sommes Yoyo et moi et je penses pas que le fait que nous soyons des 'vieux' qui deviennent un peu réac change l’appréciation des émotions. Ici il n'y a que du bon pour nos sens. Pas d'inversion, pas de hauteur, pas de vitesse mais tout pour jouer avec nos propres émotions dans le léger k.o que la liberté du passager subit. On ajoute la vitesse aléatoire due à l'état d’esprit du freineur et on obtient le meilleur ride des 28 coasters de ce périple de Nord 2014 et dedans il y à HELIX, le Lunch coaster XXL Mack de Göteborg , c'est tout dire...
Pour les photos, j'ai pris le risque de prendre mon reflex avec un 18/55 mais il est mort. Il prend l'humidité, il est taché et en plus avec le ciel du Nord qui n'arrange rien, les photos sont pour la plupart cramées et même sur place j'arrivais pas à trouver les bons réglages. J’avoue avoir laissé un peu tomber et laissé le mode automatique qui me sortait le flash n'importe quand...
Copenhague :
Tivoli
Je vais pas trop m'étaler sur les détails mais souligner ce qui nous a plus et déplus dans ce petit périple qui nous a fait faire le tour en voiture de la mer qu'entoure ces trois pays dont nous ne connaissions rien, même après un passage expresse à Djurs (Ninmofte ) il y a 3 ans.
85 ans à nous deux faut-il vous le rappeler ? Je vais vous compter comment nous voyons l'avancée cruel de notre civilisation en 2014...
Cela commence déjà avec les réservations qui se font avec Internet. Trop facile on obtient tout sans parler a personne, jusqu’à pouvoir entrer dans un hôtel en pleine nuit, faire son check-in seul, aller se pieuter dans la chambre et repartir le matin au aurores sans avoir rencontrer une seul âme.
Les vols lows-cost me font toujours autant rire avec ma référence de comparaison avec un trajet de train Genève-Zurich-Genève pour 137 Euro et la location de voiture et vraiment pas cher pour le plaisir de rouler de bonnes bagnoles pour l'occasion. On ajoute a tout ça une couverture GPS au top
et on ne demande plus son chemin à personne. Notre petit écran nous guide à la flèche et à l’œil.
Arrivé à Copenhague le soir dans un hôtel pas trop loin de Tivoli et du centre, la première impression et qu'il y a plus grand monde dans les rues à 22h et qu'il y a peu de circulation.
Il fait bon nous faisons un petit tour de quartier et allons nous pieuter.
Le lendemain, j'ouvre les yeux vu qu'il fait jour mais le réveil de la télévision indique 4h30 et les rideaux rident rien ... 4 heures plus tard il fait toujours autant jour mais c'est la bonne heure.
Une journée de touristes comme on les aime s'ouvre à nous. Petit déjeuner sur une terasse suivit d'une érrance dans une ville que l'on connaît pas et a éviter les grandes artères commercial que l'on connaît elles par cœur.
Pas vu la petite sirène, elle est au port mais une jolie ville Lego dont on peut se demander comment
devant l’évidence de cette invention beaucoup sont passé à coté sans y avoir penser plus tôt ?
Nous avons déambulé dans la ville une partie de la journée puis il s'est mis a pleuvoir. C'est donc vers les 16h que nous nous sommes dirigé vers notre premier but du voyage. Tivoli Garden.
Haaa enfin on allait pouvoir poser nos petits derrières sur une machine. Depuis le temps, nos culs trépignaient d'impatiente. Il fait un temps de chien mais on en entre quand même en se disant qu'il y aurait plus d'endroits à l’abri dans la parc que dans la ville. C'est le cas car Tivoli est un parc atypique à l''ancienne. C'est un lieu qui date d'un temps révolu où l'amusement, la culture et le divertissement étaient réunis. Bistrots, restaurants, salles de concerts, galeries se mêlent aux attractions anciennes comme aux plus modernes.
C'est un très beau parc arborisé avec le plus grand soin qui ferme vers minuit afin d'y passer d'agréables soirées. Sous la pluie c'est un peu tristounet et à notre arrivée, beaucoup de choses étaient encore fermée. Nous avons attendu tranquillement dans un restaurant que le soleil revienne et c'est vers 18h que nous avons entendu le cliquetis d'un train gravir un lift.
Comme à notre habitude, on regarde rien et on écoute peu mais on comprend vite qu'en plus de l'entrée, il faut payer les attractions au tour. Il y a des distributeurs de coupons mais pour la même raison exprimé ci-dessus, on se retrouve avec un billet qui ne suffit pas a faire les trill-rides (les machines qui font peur brrr ! ) Donc pour résumer le prix pour rider notre premier coaster de l'année 2014 il faut compter 16.50 CHF d'entrée plus 3 coupons à 4.- CHF le coupon... Heureusement, il y a un pass qui coûte 32.- CHF.
Vous l'aurez compris, le ride coûte cher à Tivoli !
Mais bon, on est là pour ça et on oublie vite quand le portique s'ouvre pour nous et qu'il nous invite a nous poser sur un B&M sans plancher. Ha oui, quand même ... D’ailleurs ce sera le seul du voyage.
Dæmonen
Quand on fait le tour du parc de Tivoli par l’extérieur, on voit qu'il s'agit d'un carré de 250 mètres et je me demandais comment ils avaient réussis la prouesse de mettre un monstre à l’intérieur de cette surface. Ben c'est simple, il doit s'agir du plus petit parcours de notre cher manufacturier helvétique... Un petit monstrounet !
Layout intéressant quand même puisqu'il possède 3 inversions et qui n'a pas de first drop à proprement dit. Il commence après le lift par un plat et une légère descente incliné dans un contour de 270° pour attaquer une drop qui mène au loop. Pris en première position du train, c'est sans intérêt mais à la dernière place, le train tire assez de son poids pour donner un bon air-time dans la drop. Sinon pour le reste, c'est du B&M. C'est doux, fluide, sûr mais c'est très, très court pour 16 CHF le tour ! Pour amortir et comme il y avait pas un chat, je l'ai ridé 8 fois, Yoyo moins...
Odinexpressen
Un train de mine ordinaire alimenté Mack. Rien de folichon sauf qu'au troisième passage en gare ça commençait à faire beaucoup car les arbres étaient encore mouillés et il y avait du vent et on avait déjà assez ramassé la pluie cette journée. 4 Tours de suite, jamais eu jusqu'ici ! J'aurai préféré ceci sur Dæmonen, cela m'aurait évité de faire le tour de la gare à chaque tours...
Rutschebanen
Nous avons du attendre 20h pour voir que le centenaire tournait. C'est un hasard que pour ses 100 année d'existence, ce coaster à subit un lifting cette année et a retrouvé le sommet de la montagne qu'il avait perdu. Pour nous, c'est enfin la possibilité de rider un système désuet avec un freineur.
C'est a dire qu'il y a une personne pour freiner le train sur le parcours d'une hauteur record de 12.9m ...
On s'installe sur les banquettes en bois toutes belles et bien vernies. On s'appuie sur les dossiers bien confortables et on tire un semblant de barre qui retient pas grand chose. Le freineur s'installe sur une sorte de chaise de vieux tracteur, presque debout il lâche son frein et l'on entre dans la grotte pour une grand contour dans le noir jusqu'au lift. Il y a dès l'entrée dans ce tunnel une odeur de bois et de vielle mécanique assez exceptionnelle. On sent les 100 ans. Par contre la montée par câble du lift et d'une rapidité et d'une douceur qu'aucun ride d'aujourd'hui n'égale. C'est simple on ne sent rien. Ni au crochetage du câble, ni au passage du sommet et comme il n'y a pas d'anti-rolleback, aucune cliquetis.
Son layout est des plus basique. 5 longueurs 6 drop sur 720m c'est une petite ballade sans grand intérêt si ce n'est sa douceur. Les drop passent toutes gentiment et il n'y a aucun G-lateraux dans les contours à plat, le train ne tape pas.
Nous l'avons ridé pour son charme 3 fois en remarquant une légère différence en fonction du freineur. Dans la soirée après avoir bien mangé dans un restaurant nous sommes repassé devant et
on est remonté dessus tout derrière et il y avait eu un peu de changement entre temps, il y avait une femme au freinage !
Chez nous on dit femme au volant, mort au tournant. Sur ce tour là on a pu dire : Femme au freinage, délire à l'air-time ! C'est simple. À chaque bosses on était debout et au fond des drops, on s'écrasait comme de m.. sur les banquettes super dur et super glissantes qui faisait qu'avec Yoyo on s’entrechoquait et glissions dans les contours en croyant qu'on allait y passer, éjectés!
Le mot éjector prend ici tout son sens et j'avais peu d'espoir de retrouver cette sensation de k.o ressentie sur le Phoenix de Knoebles. C'est chose faite, il y en a un en Europe qui procure cette sensation de folie !
On regardes la photo onride qui confirme le ride que l'on vient de faire.
On remonte mais avec un vieux freineur... Il freine même dans les contours ! Déçus, On attend et on remonte avec la connaisseuse ou la folle.. ? On ne sait plus tellement, on est surexcités mais au moment de partir, elle échange sa place avec un mec et se barre. On aura eu qu'un ride de folie sur 7 mais quel ride !
Ça fait franchement réfléchir les fans que nous sommes Yoyo et moi et je penses pas que le fait que nous soyons des 'vieux' qui deviennent un peu réac change l’appréciation des émotions. Ici il n'y a que du bon pour nos sens. Pas d'inversion, pas de hauteur, pas de vitesse mais tout pour jouer avec nos propres émotions dans le léger k.o que la liberté du passager subit. On ajoute la vitesse aléatoire due à l'état d’esprit du freineur et on obtient le meilleur ride des 28 coasters de ce périple de Nord 2014 et dedans il y à HELIX, le Lunch coaster XXL Mack de Göteborg , c'est tout dire...
Pour les photos, j'ai pris le risque de prendre mon reflex avec un 18/55 mais il est mort. Il prend l'humidité, il est taché et en plus avec le ciel du Nord qui n'arrange rien, les photos sont pour la plupart cramées et même sur place j'arrivais pas à trouver les bons réglages. J’avoue avoir laissé un peu tomber et laissé le mode automatique qui me sortait le flash n'importe quand...
Copenhague :
Tivoli