Bonsoir à tous, pour finir ce week-end en beauté, voici un nouveau chapitre de...
Avant de commencer, je tiens à dire que ce sont des faits complétement imaginatifs bien que les personnes soit bien réelle. Pour cette nouvelle partis, j'abandonne le style direct pour un plus romancé.
L'avion d'Emirates, venait d'atterrir sur le tarmac de l'aéroport international Narita de Tokyo. Rider, passa sans encombre la douane où il fut bien accueillis. Il déambula dans l'immense hall des arrivées. Il téléphona à sa famille pour leur donner de ses nouvelles. Arrivée dans une autre partie du hall encore plus grande que la précédente. Il vit, un homme en costume cravate lui faire signe. Il avait un petit carton ou il était en lettre noire le nom et prénom de Rider. Le jeune directeur, était fort déçu de ne pas avoir à utiliser le plan qu'il avait tenté de préparer pour relier l'aéroport à Urayasu-shi.
Il remit son plan dans son sac, l'homme s'inclina devant le directeur qui en fit de même. En sortant de l'aéroport, il aperçut une petite agence de voyages. Il y entra. Il regardait les différents voyages proposer, quand ses yeux se posèrent sur ceux pour Disneyland Resort Paris. Une femme, menu au cheveu noir l'accueillis d'abord en japonais puis en anglais. Rider, lui posa tout un tas de questions sur la destination. Au bout d'une trentaine de minutes, il en ressortie satisfait, mais quelques chose le chiffonnait.
La circulation était plus fluide qu'il ne l'avait pensé. Rider, regardait avec émerveillement la ville défiler devant lui. Une heure après avoir quitté l'aéroport, la voiture entra dans le parking VIP du Tokyo Disneyland Hôtel. Il fut accueilli discrètement par un autre homme en costume cravate. Rider, n'arrivait plus à lutter contre la fatigue et le décalage horaire.
La chambre était magnifique et avait vu sur le parc qui était illuminé de mille feux. Il ouvrit son ordinateur portable et regarda ses mails les plus urgents et lu le conte rendu des travaux de Dorothée : Magical of Oz et Colorado West River. Le sommeil eu raison de lui et il tomba de fatigue. Son réveil sonna beaucoup trop tôt, il se réveilla avec difficulté. Le téléphone de la chambre sonna pour lui annoncer que Mr. Uenishi, l'attendait pour le petit-déjeuner.
Le jeune directeur, se leva d'un coup enfilant maladroitement son pantalon et tombant une ou deux fois par terre. Enfin habillé, il sortit de la chambre quand un flash l'aveugla. Un couple de Japonais venait de prendre une photo de lui. La petite salle de déjeuner, était richement décorer et de nombreuses références à l'univers Disney y était représenter sous forme de gravure ou de bois sculpté.
Mr. Kyoichiro Uenishi, était le directeur des parcs Disneyland à Tokyo, il se leva et le salua respectueusement. Rider, en avait déjà marre de toutes ses courbettes. Mr. Uenishi, parlait heureusement quelques mots de Français.
- Bonjour, bienvenu dans notre royaume magique. Dit-il en serrant la main du jeune directeur.
- Merci, beaucoup, désoler, je ne suis pas très présentable.
- Mr. Kagami, ne sera pas de notre petit-déjeuner, il pris de l'en excuser. Voyez-vous, nous sommes en plein bilan de la saison.
- Je comprends, nous sommes tous beaucoup occupé. J'espère, pouvoir le salué avant la fin de mon voyage. Répondit Rider, en engloutissant un gros morceau de Steak.
- Il ma beaucoup parler de vous. Dit-il en esquissant un sourire. En bien notamment. Finit-il par dire.
- En bien, j'espère ! Dit Rider en essayant de faire passer le Steak.
- Et bien, difficile à dire, vous avez outre passé les directives de la Walt Disney Compagny et virer les Imageneer de Paris. Enfin votre Tower of Terror est partie dans un incendie. Répondit-il froidement. Mais, il m'a dit aussi que vous étiez ambitieux et que la compagnie ne vous aimez pas.
- Je vois qu'on dit beaucoup de choses sur moi. Dit Rider en pouffant de rire. Je suis un marginal au sein du monde magique, mais je sais que mes directives sont les bonnes.
Un autre homme en costard cravate, s'approcha du directeur Uenishi, pour lui chuchoter à l'oreille.
Rider sourit à la vue d'une autre personne en cravate, à croire que c'était le vêtement obligatoire dans ce pays. Il posa sa tasse, il venait de manger un bon petit déjeuner. Le directeur de Tokyo Disneyland se leva.
- Si vous avez finit, nous pouvez y aller. Dit-il en faisant signe vers la sortie à trois hommes qui attendait patiemment debout.
- Oui, prêt pour une journée de travail. Répondit le jeune directeur en faisant le signe V. Il se ravisa en deux secondes honteux.
La journée fut longue pour toute la délégation de Tokyo Disneyland qui enchaîna réunion sur réunion. Rider, était content d'enfin pouvoir rejoindre sa chambre, mais il restait encore trois heures d'ouverture. Il descendit à l'accueil pour y acheter un billet pour DisneySea. Rider avait une idée en tête, tester l'attraction 20.000 lieues sous les mers, ainsi que le dark ride, La Petite Sirène.
Le soir après toutes ses émotions, il se rendit dans sa chambre. Un mail de Luc, lui demandant de l'appeler d'urgence, ce qu'il fit tout de suite.
Le téléphone sonna, Rider n'avait aucune idée de l'heure qu'il pouvait faire à Paris. Luc Décrocha à la troisième sonnerie.
- Bonjour, J'ai ton mail. Dit Rider abruptement.
- Bonjour, le commissaire au compte est passé ce matin et nous avons enfin une bonne nouvelle. Les parcs ont généré un bénéfice d'un peu plus de 70 millions d'euros depuis l'ouverture de l'année fiscale. Il nous reste encore octobre, novembre et décembre pour consolider, mais c'est en bonne marche.
- Pfou, j'ai eu peur qu'il soit arrivé quelque chose de grave. Répondit Rider soulagé.
- Je t'est envoyé les nouvelles plaquettes pour l'événement d'Haloween, on ne s'y prend pas un peu tard ?
- Non, ça fait partie du mystère, nous allons taper un grand coup. Le spot télé est prêt ?
- Oui, j'ai vu Bénédicte du marketing, hier et tout est prêt.
- Parfait, nous allons leurs en mettre plein la vue. S'exclama Rider.
- Ton voyage se passe bien ? Demanda Luc.
- Oui, je pense que notre collaboration va être plus que fructueuse. Dit Rider, réjouit. J'ai hâte que notre parc prenne son envol.
- Il nous reste encore du temps, répondit Luc.
Un matin pluvieux, se levait sur le resort de Tokyo. Rider se doucha et pris son petit-déjeuner en regardant ses mails ainsi que l'état des entrées des parcs pour la semaine. Cette première semaine de septembre était vraiment bonne, +8.500 visiteurs par rapport à l'année dernière. La clientèle étranglèrent revenaient enfin sur le resort.
Le téléphone de la chambre sonna quelques secondes, Rider, répondit. Les yeux du jeune homme s'écarquillèrent quand il entendit la voix de la secrétaire personnelle du président Kagami. Le grand patron d'Oriental Land voulait discuter avec lui en début d'après-midi et profiter d'un bon repas.
La mâtiné passa rapidement, alors que Rider, marchait dans le Magic Kingdom, à photographié le moindre détail. Il arriva devant l'attraction Splach Mountain, une jeune et jolie japonaise l'accueilli. Le cœur du jeune entrepreneur, ne fit qu'un tour dans sa poitrine. Il lui demanda si elle avait le droit de faire un tour avec lui. Elle, n'était pas très à l'aise et devant la forte crispation du jeune Rider, elle lui demanda d'attendre quelques minutes pour qu'elle puisse demander l'autorisation.
Son manager, un homme petit au cheveu blond, demanda à Rider, s'il n'était pas plus profitable pour lui de faire une autres attractions plus calme.
La jeune femme, s'était mise à l'écart accueillant les guests tout en gardant un œil sur les deux hommes. Rider, expliqua au manager qui il était et qu'il fallait absolument qu'il face cette attraction avec cette jeune demoiselle. Une fois l'accord eu, la jeune femme entra dans la file d'attente avec Rider, qui était aux anges. Son sentiment s'amplifiait au détour de l'attraction, la chute le réveilla. Une fois l'attraction finit, il s'en alla en laissant son numéro de téléphone.
Le couloir, était encore long jusqu'à la salle à manger ou il devait voir le grand manitou de la Oriental Land. C'était aussi le dernier jour, pour le jeune directeur. Il entra fébrilement dans la salle qui était richement décorée. Rider, salua le vieil homme.
- Bonjour, comment allez-vous ? Demanda respectueusement Rider.
-Bien ! Merci de vous en soucier, répondit l'homme. Vous m'avez fait fort impression lors de la réunion au siège.
- En positif, j'espère.
- J'ai beaucoup suivis votre arrivée chez Disney. Dit-il en coupant sa viande. Ce passé des Imageneer et refuser les ordres de votre supérieur direct. Je suis impressionné.
- Je vous remercie, je tente de m'améliorer chaque jour, dans cette optique. Répondit Rider, le sourire aux lèvres.
- Bien ! Savez-vous ce qui se trame dans votre dos ? Demanda l'homme.
- Oui, ma destitution.
- Vous êtes intelligent, bien que cela soit prévisible. S'exclama Mr Kagami. Qu'allez vous faire ? Enfin, je comprends que vous pouvez me voir comme un indépendant face au monstre de 'l'autre côté du Pacifique.
- Rassurez-vous, je compte encore rester longtemps à la tête des parcs de Paris, voire peut-être monté en grade.
Le Président Kagami, leva la main et claqua des doigts. Un homme, arriva à toute vitesse pour lui remettre un dossier.
- Comme je vous l'ai dit, j'ai fait mes recherches. Dit-il en ouvrant le dossier. Je dois dire que vous avez fort. Sonia Hamadi, vient de Dubaï, elle est passée, maîtresse du dégraissage et de la manipulation financière. Il tourna la page, on pouvait voir la photo d'Antoine. Antoine Chastenau, dit le Killer, il travaillait à Wall Street avant de s'extrader à Singapour. Je crois, Rider que vous tenter de prendre le contrôle d'Euro Disney, je n'ai pas raison ?
- Se serait mentir dire que tous mes efforts vont vers la bonne réussite de Disneyland Paris, tous les moyens sont bons.
Mr Kagami, rigolait en entendant les mots de Rider, qui parlait comme un vrai politicien.
Le voyage à Tokyo était fini et il fallait maintenant se tourner vers le futur, vers l'Ouest. La voiture emportait les rêves et le souvenir de Rider vers l'aéroport. Son téléphone sonna, il entendit la voix de la jeune employée. Son visage s'illumina...
Burbank, Californie, siège de la WDC
Denis Stevenson, faisait les cent pas, sont plan commençait à prendre l'eau et il n'allait pas tarder à se retrouver dos au mur. Il jeta un papier sur son bureau. Il prit le téléphone et d'une voix tremblante, il parla.
- Je crois que nous sommes, fait. Les dossiers ont été copié, tout le monde va savoir pour le plan Euro Disney. Nous devons nous incliner.
J’espère que vous avez aimez, sachez que n'étant pas là la semaine prochaine il risque de ne pas y avoir de nouvelle épisode. (J'ai la chance de fêter Noël à Disneyland Paris).