Parc Ange Michel – 10 août 2022
C’est parti pour visiter Parc Ange Michel, un parc d’attractions familial situé à 1h30 au sud est de Caen. C’est avec Antoine que je visite ce parc, une découverte pour nous deux, et à la clé un +3. Oui, on n’espère pas plus de ce parc, surtout depuis ma visite de Jacquou Parc ; peut-être à tort ?
Nous partons sur les coups de 9h30, sandwiches et affaires préparées. J’ai regardé, le parc ouvre à 11h. On y va sans stress. La météo est assez en notre faveur, ultra ensoleillée mais un poil trop chaleureuse.
La route se passe nickel, nous passons pas si loin du sublime Mont Saint Michel et nous retrouvons rapidement sur des routes de campagne.
Ça se met à bouchonner, on comprend rapidement que c’est dû à la foule. Tout le monde a eu l’idée d’arriver pour l’ouverture ? Il y a plusieurs parkings, dont un situé en face de l’entrée, déjà complet. Les autres sont à quelques centaines de mètres, dans un champ absolument pas ombragé. Gloops
En passant devant le parc, toutes les attractions sont déjà en fonctionnement ; normal, celui-ci ouvrant à 10h… Pas grave, on n’avait pas l’intention de rester toute la journée.
Nous prenons directement les billets à l’entrée : en faisant mes courses, j’ai vu au dos du ticket une réduction de 2 € pour une entrée, c’est toujours ça de pris. Ticket et plan du parc en main, nous nous dirigeons vers le fonds du parc pour Tacot en Folie, un Soquet anciennement localisé à Fraispertuis City, qui est également le 150ème d’Antoine !
Nous partons sur les coups de 9h30, sandwiches et affaires préparées. J’ai regardé, le parc ouvre à 11h. On y va sans stress. La météo est assez en notre faveur, ultra ensoleillée mais un poil trop chaleureuse.
La route se passe nickel, nous passons pas si loin du sublime Mont Saint Michel et nous retrouvons rapidement sur des routes de campagne.
Ça se met à bouchonner, on comprend rapidement que c’est dû à la foule. Tout le monde a eu l’idée d’arriver pour l’ouverture ? Il y a plusieurs parkings, dont un situé en face de l’entrée, déjà complet. Les autres sont à quelques centaines de mètres, dans un champ absolument pas ombragé. Gloops
En passant devant le parc, toutes les attractions sont déjà en fonctionnement ; normal, celui-ci ouvrant à 10h… Pas grave, on n’avait pas l’intention de rester toute la journée.
Nous prenons directement les billets à l’entrée : en faisant mes courses, j’ai vu au dos du ticket une réduction de 2 € pour une entrée, c’est toujours ça de pris. Ticket et plan du parc en main, nous nous dirigeons vers le fonds du parc pour Tacot en Folie, un Soquet anciennement localisé à Fraispertuis City, qui est également le 150ème d’Antoine !
Le parc est très vallonné, ayez des jambes et un peu de souffle, ça grimpe ! L’ombre présente fait du bien, le soleil cogne désormais.
Il n’y a pas de zones thématiques particulières, mais les attractions ont toutes le droit à un peu de décoration et une installation soignée.
Oui, bon, j’ai peut-être parlé trop vite
Une dizaine de minutes d’attente pour le Soquet, qui est divisé par deux quand l’opérateur appelle « 2 personnes » pour compléter le train. Ce n’est pas le 1er rang mais osef.
Ça commence par un demi-tour puis un lift assez lent (comme tout bon Soquet qui se respecte). Le tout débouche sur un virage vers la droite quasi plat avant de dévaler une monstrueuse drop d’une dizaine de mètres et d’enchaîner des virages tout aussi plus plat les uns que les autres. On se tient car les G lat. sont présents. 2 tours. Et voilà, 150ème de validé, bravo
Des rails verts, un train jaune… Oui, c’est presque pareil que Fønix !
Nous restons dans la zone pour tester Escadrille, le sky fly à la sauce Technical Park. J’avais passé mon tour sur celui du Parc des Combes (préférant garder mon énergie pour Canad’r) mais comme il n’y a pas de Canad’r ici, c’est l’occasion d’essayer.
La technique pour faire des rotations est de lever l’aile gauche et baisser l’aile droite au point le plus bas, puis d’inverser une fois que l’on arrive presqu’en haut. Il faut 3-4 tours pour capter le truc puis ça fonctionne pas mal ! Les rotations ne sont pas bridées donc le compteur de rotations peut vite monter ! Je relâche rapidement et réussis (volontairement) à faire des rases mottes tête en bas. Commençant à atteindre mes limites (soit après 5 tours de la structure), je relâche le tout et attend la fin du tour. C’était sans compter sur la nacelle qui, toute seule, s’amuse à faire des rotations.
C’est un flat ride sympa, la prise en main est plutôt simple. Un tour nous suffit.
C’est un flat ride sympa, la prise en main est plutôt simple. Un tour nous suffit.
Élément de décoration de l’attraction
Nous quittons la « zone » pour aller du côté du Tourbillon, le spinning SBF Encore un… Enchaîner flat ride et spinning fait-il bon ménage ? On va le savoir.
Il ne tourne pas des masses, et c’est tant mieux, +1. L’intégration est à l’image du parc, assez simpliste mais pas non plus trop dégueu.
Il est presque midi, on cherche les toilettes ; on en trouve à côté d’un des deux restaurants du parc. Nombreux sont les visiteurs à déjà attendre pour manger. Nous, il nous reste plus qu’à trouver un banc à l’ombre pour savourer les sandwiches. Eh bien ce n’est pas chose simple car ces derniers sont également pris. Ce sera à l’entrée qu’on trouvera notre bonheur.
Des visiteurs affluent encore, d’autres ramènent de grosses glacières. Le temps que tout le monde mange, on enchaîne avec le dernier crédit du parc, Le Tornado, un spinning mouse. Le troisième de l’année sans compter Crazy Coaster, super… 20 minutes d’attente quand même, au soleil (exposé un peu plus au soleil…). On connaît les musiques. Il y a une photo on-ride mais vu le monde qui afflue à la machine, flemme.
Il est presque midi, on cherche les toilettes ; on en trouve à côté d’un des deux restaurants du parc. Nombreux sont les visiteurs à déjà attendre pour manger. Nous, il nous reste plus qu’à trouver un banc à l’ombre pour savourer les sandwiches. Eh bien ce n’est pas chose simple car ces derniers sont également pris. Ce sera à l’entrée qu’on trouvera notre bonheur.
Des visiteurs affluent encore, d’autres ramènent de grosses glacières. Le temps que tout le monde mange, on enchaîne avec le dernier crédit du parc, Le Tornado, un spinning mouse. Le troisième de l’année sans compter Crazy Coaster, super… 20 minutes d’attente quand même, au soleil (exposé un peu plus au soleil…). On connaît les musiques. Il y a une photo on-ride mais vu le monde qui afflue à la machine, flemme.
Juste à côté, il y a des toboggans à bouées, mais au moins 30 minutes d’attente. On laisse tomber.
On se rabat sur un toboggan avec un sac à patates obligatoire, qui ne glisse absolument pas.
Un coup d’œil rapide sur le plan du parc pour nous faire comprendre qu’on peut partir du parc. Un rapide coup d’œil également dans la boutique souvenirs du parc mais on est gentiment invités à la quitter puisque celle-ci n’ouvre qu’à 14h. Ah, bon, il est 13h30. Il ne doivent pas être habitués à avoir des visiteurs faisant des visites express, ça se confirme à la tête de l’employé a qui on dit qu’on n’a pas besoin de tampon sur le poignet pour revenir.
On se rabat sur un toboggan avec un sac à patates obligatoire, qui ne glisse absolument pas.
Un coup d’œil rapide sur le plan du parc pour nous faire comprendre qu’on peut partir du parc. Un rapide coup d’œil également dans la boutique souvenirs du parc mais on est gentiment invités à la quitter puisque celle-ci n’ouvre qu’à 14h. Ah, bon, il est 13h30. Il ne doivent pas être habitués à avoir des visiteurs faisant des visites express, ça se confirme à la tête de l’employé a qui on dit qu’on n’a pas besoin de tampon sur le poignet pour revenir.
Photo de l’entrée du parc prise à la sortie
Le Tourbillon dépassant légèrement la cime des arbres
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Conclusion : le parc tient bien son rôle de parc familial : un parc avec des attractions pour toute la famille mais pas de quoi nous faire revenir de sitôt quand on est coasters fan. Le parc est assez bien entretenu, les employés bosseurs, idéal pour y passer une matinée en toute tranquillité.
Le parc est jumelable, en un week-end, avec les deux alpines normands, à savoir Normandie Luge et Clécy Gliss (si ça rouvre un jour…), ce que nous avions fait la veille. Et si vous avez envie du +1 breton non loin (Cobac Parc), ce n’est « qu’à » une heure de route.
Le parc est jumelable, en un week-end, avec les deux alpines normands, à savoir Normandie Luge et Clécy Gliss (si ça rouvre un jour…), ce que nous avions fait la veille. Et si vous avez envie du +1 breton non loin (Cobac Parc), ce n’est « qu’à » une heure de route.