D
dawa212
Guest
Dawa et Yoyo sont parti à New-York.
Pas dans le but de faire les touristes la tête en l'air pour admirer du béton mais pour aller at the beach voir les surfeurs et piquer une tête dans l'océan.
Ils on pris leur limousine dupuis East-Brunswick, tué le GPS pour évité les autoroutes bondés, traversé Staten-Island , le pont Verrazano et longé Brooklyn
pour atteindre la célébre plage de Conney-Island lieu historique des roller-coaster.
2 attractions ont été inscrite au Patrimoine Americain, la grand roue Wonder Wheel et un wooden celébrisime, le CYLONE, le vrai, le seul, l'unique …
Il se trouve dans le parc Astroland qui a lui seul vaut le détour.
C'est une sorte de luna- parc avec tout le lot d'étrange qui faisait le charme de ce genres d'endroits. L'homme loup, le femme sans corps, un cheval petit comme un poule, etc, etc. Des stands de tirs, de friandises, de jeux en tout genres, des manèges, le tout rassemblé sur un bord de plage. C'est le bordel, c'est vieux, ça pue c'est bruyant et c'est danse, très danse. Tellement qu'ils on dû caser un kiddie sur le toit d'un stand de tir.
Consrtuit en 1927, le cyclone était à l'origine complètement en bois mais la structure a été remplacé par la suite par du métal tout en gardant la voie en bois. Dawa et Yoyo prenent un billet 6 dollars Le quai d'embarquement se situe au milieu de la bête, obligent nos riders courageux a se faufiler dans un dédale serré de barreaux blancs faisant pensé à une prison.
Le quai ne fait pas 2m de large et il n'y a aucune barrière automatique, pas de barrière du tout. Le gens s'aglutinent comme ils peuvent tout en laissant passer derrière eux ceux qui vont déposer leur sacs à la consigne qui se trouve au milleu du quai entre le débarquement et le l'embarquement.
Le train entre en gare, trois homme se trouvent de l'autre coté de la voie dans la zone de débarquement. L'un d'entre eux tient un grand levier qui sort du sol lamelé. C'est le frein qui stop le train. Les gens débarquent, le mec tire son levier et les deux autres poussent le train constitué de trois wagons rouge de 3 rangées de sièges d'un confort incroyable en zone d'embarquement. Des fauteuils en cuir d'une épaisseur qui ferait palir un roi sont avancé. Notre couple embarque confiant dans le premier train à la deuxième rangée, à l'aise d'autant plus que depuis l'extérieur, le parcours parait plutôt court.
Un homme abaisse le grand levier, les deux autres poussent un peu et le train roule gentillement, prend un virage à 180° et s'accroche au lift. C'est rigolo. Il n'y a rien plus rien qui est droit sur ce wooden, et surtout pas le rail. Arrivés au sommet, Dawa a encore le sourire Yoyo plus. Elle a compris. En 1927 c'était la première first-drop à 45°, en 2009 c'est toujours le cas mais en degré sur l'échelle de la douleur qui en compte 10. Au bas de celle-ci, on se demande où sont passé ses confortables sièges sur les quelles on est assis, ils se sont transformé ou on durcis ? Non, c'est juste que ca secoue tellement que l'on est enfoncé dedans et on tape la structure même du wagon, du bois dur...
Chaque mètres est un enfer et une fois passé la first, le contour, la seconde, le parcours enchaine plein d'allers et retours avec des contours plus serrés les uns que les autres. Une sensation de vitesse sur un parcours qui est très court et qui secoue paraît long, très long...
Dawa & Yoyo sont ressorti épuisés, lessivés de ce coaster mais il en rient encore aujourd'hui en se disant qu'il ne le referont jamais.
Un kiddiy sur le toit d'un stand de tirréférencé nul part !!!
Cette grand roue a la particularité d'avoir des nacelles qui ne sont pas fixe mais sont sur un rail. Elles n'arrivent jamais au sommet car elles roulent , traversant horizontalement la roue à mi hauteur.
Quel confort !
Pas dans le but de faire les touristes la tête en l'air pour admirer du béton mais pour aller at the beach voir les surfeurs et piquer une tête dans l'océan.
Ils on pris leur limousine dupuis East-Brunswick, tué le GPS pour évité les autoroutes bondés, traversé Staten-Island , le pont Verrazano et longé Brooklyn
pour atteindre la célébre plage de Conney-Island lieu historique des roller-coaster.
2 attractions ont été inscrite au Patrimoine Americain, la grand roue Wonder Wheel et un wooden celébrisime, le CYLONE, le vrai, le seul, l'unique …
Il se trouve dans le parc Astroland qui a lui seul vaut le détour.
C'est une sorte de luna- parc avec tout le lot d'étrange qui faisait le charme de ce genres d'endroits. L'homme loup, le femme sans corps, un cheval petit comme un poule, etc, etc. Des stands de tirs, de friandises, de jeux en tout genres, des manèges, le tout rassemblé sur un bord de plage. C'est le bordel, c'est vieux, ça pue c'est bruyant et c'est danse, très danse. Tellement qu'ils on dû caser un kiddie sur le toit d'un stand de tir.
Consrtuit en 1927, le cyclone était à l'origine complètement en bois mais la structure a été remplacé par la suite par du métal tout en gardant la voie en bois. Dawa et Yoyo prenent un billet 6 dollars Le quai d'embarquement se situe au milieu de la bête, obligent nos riders courageux a se faufiler dans un dédale serré de barreaux blancs faisant pensé à une prison.
Le quai ne fait pas 2m de large et il n'y a aucune barrière automatique, pas de barrière du tout. Le gens s'aglutinent comme ils peuvent tout en laissant passer derrière eux ceux qui vont déposer leur sacs à la consigne qui se trouve au milleu du quai entre le débarquement et le l'embarquement.
Le train entre en gare, trois homme se trouvent de l'autre coté de la voie dans la zone de débarquement. L'un d'entre eux tient un grand levier qui sort du sol lamelé. C'est le frein qui stop le train. Les gens débarquent, le mec tire son levier et les deux autres poussent le train constitué de trois wagons rouge de 3 rangées de sièges d'un confort incroyable en zone d'embarquement. Des fauteuils en cuir d'une épaisseur qui ferait palir un roi sont avancé. Notre couple embarque confiant dans le premier train à la deuxième rangée, à l'aise d'autant plus que depuis l'extérieur, le parcours parait plutôt court.
Un homme abaisse le grand levier, les deux autres poussent un peu et le train roule gentillement, prend un virage à 180° et s'accroche au lift. C'est rigolo. Il n'y a rien plus rien qui est droit sur ce wooden, et surtout pas le rail. Arrivés au sommet, Dawa a encore le sourire Yoyo plus. Elle a compris. En 1927 c'était la première first-drop à 45°, en 2009 c'est toujours le cas mais en degré sur l'échelle de la douleur qui en compte 10. Au bas de celle-ci, on se demande où sont passé ses confortables sièges sur les quelles on est assis, ils se sont transformé ou on durcis ? Non, c'est juste que ca secoue tellement que l'on est enfoncé dedans et on tape la structure même du wagon, du bois dur...
Chaque mètres est un enfer et une fois passé la first, le contour, la seconde, le parcours enchaine plein d'allers et retours avec des contours plus serrés les uns que les autres. Une sensation de vitesse sur un parcours qui est très court et qui secoue paraît long, très long...
Dawa & Yoyo sont ressorti épuisés, lessivés de ce coaster mais il en rient encore aujourd'hui en se disant qu'il ne le referont jamais.




Un kiddiy sur le toit d'un stand de tirréférencé nul part !!!

Cette grand roue a la particularité d'avoir des nacelles qui ne sont pas fixe mais sont sur un rail. Elles n'arrivent jamais au sommet car elles roulent , traversant horizontalement la roue à mi hauteur.








Quel confort !