[TR] Italia Mammamiaaaa – du 8 au 24 septembre 2023
- Auteur du sujet Røyk
- Date de début
Vatican – 15 septembre 2023
Papam in Massilia
Brrrrooo takoktakottkaokao Boopmbommobommm – et toujours ces rodéos nocturnes et la chaleur sans couette à s’enrouler dedans. Nos visites planifiées du jour sont à 12h pour la Basilique Saint Pierre et à 16h pour le musée du Vatican. Je goûte aux nouvelles céréales, elles sont moins bonnes que celle d’avant. Dommage. Je complète ça avec des myrtilles et un thé. Il fait toujours très beau et chaud, un régal 
On ne change pas notre guide, on prend cette fois-ci un autre bus, à un autre arrêt à 10 minutes de marche, qui nous emmène directement à la frontière du Vatican. Encore au tiers illégalement. Le trajet est long mais on a des places assise. On arrive à quelques pas du lieu sacré, nous marchons et suivons les groupes de touristes. Nous sommes maintenant dans notre troisième pays du trip ! La place est très grande, du monde mais pas blindé non plus.
On a un peu d’avance sur l’heure de notre visite guidée de la Basilique Saint Pierre donc on se pose Mcdo pour un petit dej’, les gars n’ont pas mangé ce matin. J’ai beau avoir mangé, je prends deux donuts… Oui, je craque, ils sont bons, voilà
Repus pour quelques heures, nous entamons la queue pour les contrôles de sécurité. 45 min. Pas une minute de moins. J’avais lu sur beaucoup de sites que la réservation était obligatoire pour rentrer dans le lieu (et donc payer), ce que j’ai fait 
Mais après 45 min d’attente pour uniquement le contrôle de sécurité, il s’avère que les gens y rentrent et la visitent comme bon leur semble. Aucun billet à scanner. Bon ça fait un peu chier de se faire prendre pour des jambons mais quitte à avoir payé, autant le faire avec le guide ! Et là, pour trouver le guide, bonjour la galère. On a 20 minutes d’avance (ça a son importance) : aucune indication, des masses partout, des agents d’accueil qui se renvoient la balle entre les différents comptoirs. Pourtant, les indications mentionnées sur le billet sont claires mais pas pour eux. On finit par ENFIN trouver quelqu’un pour aller chercher notre guide français, il est… 12h. Ce sera Bernard, suisse d’origine, qui nous guidera, avec deux autres touristes. Au moins à 5 on va tout entendre, comparé aux autres groupes de 25-30.
Bernard est sympa, il nous donne beaucoup d’explications, sur les tableaux, les statues, l’histoire du lieu en général. Il répond à nos questions et nos remarques. Très intéressant. La visite guidée dure une heure, et suite à celle-ci, on peut rester en visite libre ou bien payer un supplément pour monter dans la coupole. On préfère prier au Sacristie – lieu uniquement réservé à la prière mais qui pourtant serait d’une beauté architecturale et décorative incroyable – pour voir s’il n’y a pas mensonge sur la marchandise. Bon, c’est joli mais je ne trouve pas ça whouauouuu.
On renonce à monter dans la Coupole, puis quittons la basilique définitivement. On quitte momentanément le Vatican puis s’éloignons du lieu pour trouver un restaurant de qualité. Kris nous avait avertit des nombreux restaurants autour du Vatican qui n’hésitaient pas à avoir des pratiques très douteuses pour faire gonfler la facture. On trouve notre perle du midi dans une rue un peu planquée et bien notée. Ce sera des raviolis pour moi, très bons et copieux et pas chers !
On repart à pied vers le musée du Vatican faire nos achats souvenirs : un magnet et des cartes postales. J’achète même des timbres directement depuis la boutique : timbre avec QR code, super pour les suivre
; au passage, c’est l’heure de la glace, noix de coco cette fois-ci. Pareil, ça fond dès la sortie de la boutique mais c’est tellement bon.
Il n’y a pas de queue pour la sécurité, c’est fluide. Le grand hall d’accueil est bien frais, ça fait du bien sur le moment et ma gorge n’est plus à ça près…
Le musée est grand, il y a plusieurs parties à visiter, il y a un sens de visite avec des pièces annexes pour les plus curieux de tout voir.
Le final du musée étant la Chapelle Sixtine, où tout le monde reste là pour observer les peintures au plafond de Michel Ange, dont la fameuse et célèbre Création d’Adam.
Avant de quitter le musée, il paraît qu’il faut y faire une photo ultra-instagrammable, car les escaliers de Bramante sont très connus (escaliers en colimaçon superposés). Bon, qui pour me prendre en photo ?
On ne change pas notre guide, on prend cette fois-ci un autre bus, à un autre arrêt à 10 minutes de marche, qui nous emmène directement à la frontière du Vatican. Encore au tiers illégalement. Le trajet est long mais on a des places assise. On arrive à quelques pas du lieu sacré, nous marchons et suivons les groupes de touristes. Nous sommes maintenant dans notre troisième pays du trip ! La place est très grande, du monde mais pas blindé non plus.
On a un peu d’avance sur l’heure de notre visite guidée de la Basilique Saint Pierre donc on se pose Mcdo pour un petit dej’, les gars n’ont pas mangé ce matin. J’ai beau avoir mangé, je prends deux donuts… Oui, je craque, ils sont bons, voilà
Repus pour quelques heures, nous entamons la queue pour les contrôles de sécurité. 45 min. Pas une minute de moins. J’avais lu sur beaucoup de sites que la réservation était obligatoire pour rentrer dans le lieu (et donc payer), ce que j’ai fait
Mais après 45 min d’attente pour uniquement le contrôle de sécurité, il s’avère que les gens y rentrent et la visitent comme bon leur semble. Aucun billet à scanner. Bon ça fait un peu chier de se faire prendre pour des jambons mais quitte à avoir payé, autant le faire avec le guide ! Et là, pour trouver le guide, bonjour la galère. On a 20 minutes d’avance (ça a son importance) : aucune indication, des masses partout, des agents d’accueil qui se renvoient la balle entre les différents comptoirs. Pourtant, les indications mentionnées sur le billet sont claires mais pas pour eux. On finit par ENFIN trouver quelqu’un pour aller chercher notre guide français, il est… 12h. Ce sera Bernard, suisse d’origine, qui nous guidera, avec deux autres touristes. Au moins à 5 on va tout entendre, comparé aux autres groupes de 25-30.
Bernard est sympa, il nous donne beaucoup d’explications, sur les tableaux, les statues, l’histoire du lieu en général. Il répond à nos questions et nos remarques. Très intéressant. La visite guidée dure une heure, et suite à celle-ci, on peut rester en visite libre ou bien payer un supplément pour monter dans la coupole. On préfère prier au Sacristie – lieu uniquement réservé à la prière mais qui pourtant serait d’une beauté architecturale et décorative incroyable – pour voir s’il n’y a pas mensonge sur la marchandise. Bon, c’est joli mais je ne trouve pas ça whouauouuu.
On renonce à monter dans la Coupole, puis quittons la basilique définitivement. On quitte momentanément le Vatican puis s’éloignons du lieu pour trouver un restaurant de qualité. Kris nous avait avertit des nombreux restaurants autour du Vatican qui n’hésitaient pas à avoir des pratiques très douteuses pour faire gonfler la facture. On trouve notre perle du midi dans une rue un peu planquée et bien notée. Ce sera des raviolis pour moi, très bons et copieux et pas chers !
On repart à pied vers le musée du Vatican faire nos achats souvenirs : un magnet et des cartes postales. J’achète même des timbres directement depuis la boutique : timbre avec QR code, super pour les suivre
; au passage, c’est l’heure de la glace, noix de coco cette fois-ci. Pareil, ça fond dès la sortie de la boutique mais c’est tellement bon.Il n’y a pas de queue pour la sécurité, c’est fluide. Le grand hall d’accueil est bien frais, ça fait du bien sur le moment et ma gorge n’est plus à ça près…
Le musée est grand, il y a plusieurs parties à visiter, il y a un sens de visite avec des pièces annexes pour les plus curieux de tout voir.
Le final du musée étant la Chapelle Sixtine, où tout le monde reste là pour observer les peintures au plafond de Michel Ange, dont la fameuse et célèbre Création d’Adam.
Avant de quitter le musée, il paraît qu’il faut y faire une photo ultra-instagrammable, car les escaliers de Bramante sont très connus (escaliers en colimaçon superposés). Bon, qui pour me prendre en photo ?
Bon voilà, ça le fait ? De toutes façons je n’utilise même pas Insta.
18h45 on quitte le musée, Antoine nous guide pour trouver une supérette – le frigo commence à être vide – puis un autre n° de bus pour rentrer à l’appart’. On est toujours au tiers illégal ; je propose de racheter un ticket si ça peut rassurer. Non non, t’inquiète 
Après avoir attendu 30 min un bus, il s’avère y avoir un contrôleur dedans… du coup on ne monte pas dedans… d’un pied ferme on va chercher un ticket, comme ça c’est réglé ! Déjà que les bus passent aléatoirement, si on ne monte pas dedans… Et on n’avait pas pris un bus ce matin qui nous emmenait directement au Vatican ?? Il est où ? Bref, la fatigue prend le dessus.
On trouve un autre arrêt à prendre qui, finalement, nous fait gagner du temps et nous rapprocher de l’appart. Le bus met trois plombs à arriver, et surtout les indications sur les panneaux ne sont pas les plus précises… On monte dans un bus, c’est bien le bon au moins ?
c’est enfin le bon. Pas le temps pour les montagnes russes ce soir, on en fera un maximum demain et dimanche !
Un immense plat de pâtes est préparé, un peu de gruyère et de sel, et l’affaire est dans le sac. C’est moins bon qu’en resto
Arrivant à presque une semaine de vacances (déjà !) nous décidons d’utiliser notre super lessive bébé (oui, c’est le moins cher et le moins encombrant qu’on ait trouvé pour notre séjour) pour laver nos fringues. Deux tournées seront nécessaires. On en fait une déjà ce soir, on l’étend, et l’autre demain matin, vu la chaleur, ce sera sec cette nuit ! La machine a beau avoir l’âge des cailloux de Rome, c’est qu’elle carbure !
Après avoir attendu 30 min un bus, il s’avère y avoir un contrôleur dedans… du coup on ne monte pas dedans… d’un pied ferme on va chercher un ticket, comme ça c’est réglé ! Déjà que les bus passent aléatoirement, si on ne monte pas dedans… Et on n’avait pas pris un bus ce matin qui nous emmenait directement au Vatican ?? Il est où ? Bref, la fatigue prend le dessus.On trouve un autre arrêt à prendre qui, finalement, nous fait gagner du temps et nous rapprocher de l’appart. Le bus met trois plombs à arriver, et surtout les indications sur les panneaux ne sont pas les plus précises… On monte dans un bus, c’est bien le bon au moins ?
c’est enfin le bon. Pas le temps pour les montagnes russes ce soir, on en fera un maximum demain et dimanche !Un immense plat de pâtes est préparé, un peu de gruyère et de sel, et l’affaire est dans le sac. C’est moins bon qu’en resto
Arrivant à presque une semaine de vacances (déjà !) nous décidons d’utiliser notre super lessive bébé (oui, c’est le moins cher et le moins encombrant qu’on ait trouvé pour notre séjour) pour laver nos fringues. Deux tournées seront nécessaires. On en fait une déjà ce soir, on l’étend, et l’autre demain matin, vu la chaleur, ce sera sec cette nuit ! La machine a beau avoir l’âge des cailloux de Rome, c’est qu’elle carbure !
Dernière édition:
En fait parfois on tombe sur des trucs étranges,
souvent on va plus pour découvrir une fete foraine et on crédite ce que l'on y trouve,
parfois c'est pour ne plus avoir trop de rouge et faciliter la lecture des cartes quand on cherche a savoir ce qu'il y a faire et ou et
parfois juste car on est en manque de n'importe quoi sur rail
et parfois on ne sais pas nous même ( genre je ne suis encore jamais allé sur une baby pome et je me dis pourquoi pas au fait )
Parco Morelli, MagicLand, Luna Park Cocco, Lagolandia & OasiPark – 16 septembre 2023
Cocco Rico Park
Oh, que c’est calme, on se réveille plus paisiblement, mais les conséquences de la clim’ dans la voiture et dans les bâtiments augmentent en intensité jour après jour : gorge sèche, je tousse toutes les 2 minutes. C’est génial, surtout quand il fait 35 degrés. Oui, je me suis levée du pied gauche. Mais avec 5 parcs à visiter aujourd’hui (rien que ça !), ça devrait remonter tout ça Pas une minute à perdre !
Le petit dej’ avalé, on lance une autre machine à laver, elle fera le taff pendant notre A/R pour le Parco Morelli, le premier parc de la journée. On prend le bus car il reste des tickets à utiliser. Il y a un crédit, Le Tour de Paris.
A trois jetons le tour, il nous en faut 9 au total (4,5 €). La foraine ne comprend pas ce que je lui dis, et m’en met pour 9… €. Euh?… non après moult explications et de l’intervention de quelqu’un d’autre qui comprend rien non plus, on a enfin nos seuls jetons nécessaires pour l’objectif seul : le crédit. Le tour de Paris, ah Paris, Tour Eiffel, ça nous manquait, quelques tours au milieu de décors éco+ (tour Eiffel, Moulin Rouge etc.), l’effort est louable et ça nous amuse le temps du tour.
Il n’y a rien d’autre à signaler dans ce parc, on repart dans le sens inverse. Tellement rapide que le ticket de bus est considéré comme une correspondance.
On retrouve notre machine, qui tourne encore
Oh bah purée, on est efficace. On s’installe dans le sofa à bascule, le temps que ça se termine et qu’on étende tout ça. Le linge de la veille n’est toujours pas sec. Ah. La place et le nombre de pinces étant en sous-nombre, on joue les système D pour tout accrocher.
Allez, en voiture, intact ! Pour aller en direction de MagicLand : 1h de trajet, où nous quittons Rome pour aller un peu plus en campagne. L’arrivée sur le parc se fait par de petites routes où l’on se soupçonnerait pas d’arriver à un parc. 13h15, nous remarquons des marquages au sol, nous indiquant l’entrée du parking, par… « Land Magic ». Le mec n’avait qu’un seul boulot à faire !!
Le parking est payant : 7 € et on n’a toujours pas pris nos billets. Oarf, sur un malentendu, on devrait trouver moins cher qu’à la caisse ou le site internet du parc ! Et c’est sur le Groupon italien qu’on déniche la petite perle : – 45 % sur le prix du billet. Deux-trois clics et hop, c’est en poche !
Nous scannons nos billets et arrivons sur la place centrale du parc. C’est un sentiment de grandeur (voire un peu de démesure au vu du peu de monde présent ce jour) mais de propreté et de bon accueil qui s’y dégage.
La main street est très jolie, colorée, bien entretenue. Nous qui arrivons un peu sans connaître le parc, voulant nous garder une certaine découverte, sommes très agréablement surpris.
A la manière de Fiabilandia, le parc est construit autour d’un lac (artificiel), donc Shock trône au bout de celui-ci. Parlons de lui, car ce n’est pas par hasard que nous commençons les rides par lui : c’est celui qui vient en premier dans le parc, mais aussi le 750ème crédits d’Hans ! Bravo
Mais avant de le valider, faut le créditer ! Et là, il faut attendre un peu. A deux trains de 6 personnes de sortis, des opérateurs qui ne font pas au plus lent mais pas au plus rapide non plus, et une file d’attente en parc à bœufs (mais ombragée) et béton brut, on s’occupe comme on peut.
Arrivant à côté du quai, nous sommes stupéfaits de l’écart entre les rails et le quai : un bon 40cm, quand on sait que juste en dessous, c’est le vide sur au moins 5-6 mètres !! Alors oui, quand un train est à quai c’est réduit, mais voir les opé marcher et enjamber les rails « comme ça », ça m’étonnerait qu’en 10 ans, il n’y ait pas eu de chutes…
Les grosses lap bars Maurer ne nous manquaient pas. Pas une bonne invention
Nous quittons la gare, passons quelques virages à plats pour contourner quelques arbres, avant d’arriver sur la zone de launch inclinée, et qui envoie de la patate. Alors là, très bon point ! La propulsion est plutôt longue et ça délivre tout ce qu’il faut 
Et même l’airtime au sommet est prononcé. Pour l’instant ça part sur une très bonne note. Nous plongeons ensuite pour enchaîner sur le non-inverted loop, qui me donne un léger voile gris. S’en suit un virage bien serré vers la gauche pour remonter vers les freins de mi-parcours. Whhooo, intense cette partie, c’est un voile gris prononcé que j’ai eu !
La suite du parcours se résume en un loooooooong virage à gauche qui vibre, d’un corscrew vers la gauche et c’est déjà le retour en gare.
Que penser ? Ça reste un bon ride assez court, avec des pics d’intensité et des vibrations en seconde partie du layout.
Pas une minute à perdre !Le petit dej’ avalé, on lance une autre machine à laver, elle fera le taff pendant notre A/R pour le Parco Morelli, le premier parc de la journée. On prend le bus car il reste des tickets à utiliser. Il y a un crédit, Le Tour de Paris.
A trois jetons le tour, il nous en faut 9 au total (4,5 €). La foraine ne comprend pas ce que je lui dis, et m’en met pour 9… €. Euh?… non
après moult explications et de l’intervention de quelqu’un d’autre qui comprend rien non plus, on a enfin nos seuls jetons nécessaires pour l’objectif seul : le crédit. Le tour de Paris, ah Paris, Tour Eiffel, ça nous manquait, quelques tours au milieu de décors éco+ (tour Eiffel, Moulin Rouge etc.), l’effort est louable et ça nous amuse le temps du tour.
Il n’y a rien d’autre à signaler dans ce parc, on repart dans le sens inverse. Tellement rapide que le ticket de bus est considéré comme une correspondance.
On retrouve notre machine, qui tourne encore
Oh bah purée, on est efficace. On s’installe dans le sofa à bascule, le temps que ça se termine et qu’on étende tout ça. Le linge de la veille n’est toujours pas sec. Ah. La place et le nombre de pinces étant en sous-nombre, on joue les système D pour tout accrocher.Allez, en voiture, intact ! Pour aller en direction de MagicLand : 1h de trajet, où nous quittons Rome pour aller un peu plus en campagne. L’arrivée sur le parc se fait par de petites routes où l’on se soupçonnerait pas d’arriver à un parc. 13h15, nous remarquons des marquages au sol, nous indiquant l’entrée du parking, par… « Land Magic ». Le mec n’avait qu’un seul boulot à faire !!
Le parking est payant : 7 € et on n’a toujours pas pris nos billets. Oarf, sur un malentendu, on devrait trouver moins cher qu’à la caisse ou le site internet du parc ! Et c’est sur le Groupon italien qu’on déniche la petite perle : – 45 % sur le prix du billet. Deux-trois clics et hop, c’est en poche !Nous scannons nos billets et arrivons sur la place centrale du parc. C’est un sentiment de grandeur (voire un peu de démesure au vu du peu de monde présent ce jour) mais de propreté et de bon accueil qui s’y dégage.
La main street est très jolie, colorée, bien entretenue. Nous qui arrivons un peu sans connaître le parc, voulant nous garder une certaine découverte, sommes très agréablement surpris.
A la manière de Fiabilandia, le parc est construit autour d’un lac (artificiel), donc Shock trône au bout de celui-ci. Parlons de lui, car ce n’est pas par hasard que nous commençons les rides par lui : c’est celui qui vient en premier dans le parc, mais aussi le 750ème crédits d’Hans ! Bravo
Mais avant de le valider, faut le créditer ! Et là, il faut attendre un peu. A deux trains de 6 personnes de sortis, des opérateurs qui ne font pas au plus lent mais pas au plus rapide non plus, et une file d’attente en parc à bœufs (mais ombragée) et béton brut, on s’occupe comme on peut.
Arrivant à côté du quai, nous sommes stupéfaits de l’écart entre les rails et le quai : un bon 40cm, quand on sait que juste en dessous, c’est le vide sur au moins 5-6 mètres !! Alors oui, quand un train est à quai c’est réduit, mais voir les opé marcher et enjamber les rails « comme ça », ça m’étonnerait qu’en 10 ans, il n’y ait pas eu de chutes…
Les grosses lap bars Maurer ne nous manquaient pas. Pas une bonne invention
Nous quittons la gare, passons quelques virages à plats pour contourner quelques arbres, avant d’arriver sur la zone de launch inclinée, et qui envoie de la patate. Alors là, très bon point ! La propulsion est plutôt longue et ça délivre tout ce qu’il faut Et même l’airtime au sommet est prononcé. Pour l’instant ça part sur une très bonne note. Nous plongeons ensuite pour enchaîner sur le non-inverted loop, qui me donne un léger voile gris. S’en suit un virage bien serré vers la gauche pour remonter vers les freins de mi-parcours. Whhooo, intense cette partie, c’est un voile gris prononcé que j’ai eu !La suite du parcours se résume en un loooooooong virage à gauche qui vibre, d’un corscrew vers la gauche et c’est déjà le retour en gare.
Que penser ? Ça reste un bon ride assez court, avec des pics d’intensité et des vibrations en seconde partie du layout.
Très bien pour un semi-milestone !
Nous choisissons de visiter le parc dans le sens inverse des aiguilles. Nous arrivons dans une zone thématique euh, mi-africaine, mi-italienne qui dévie rapidement sur une zone far-west. La transition est un peu alambiquée mais le tout reste propre.
Notre prochaine attraction, Dune, est un Junior Vekoma on ne peut plus classique. Deux tours, pas trop de vibrations, et +1.
Hans se laisse tenter par un tour de Wild Rodeo, un frisbee avec la possibilité d’avoir plusieurs modes. « Famille », « Normal » ou « Extrême », une file d’attente par mode. L’idée est sympa mais ça en fait diminuer le débit.
Dans l’attente, on mange nos sandwich, pas de temps à perdre
Nous continuons notre visite à travers les chemins, le parc est boisé et ombragé, c’est appréciable. Nous passons les montgolfières, la mini-grande roue pour mioches et décidons de faire un tour de Nui Lua, les bûches, afin de se rafraîchir. Des bûches qui avancent en continu, des opérateurs pas mous du genoux, on ne devrait pas attendre une heure.
… bah si. Et pourtant, tout est fait pour aller au mieux, mais à croire que l’on est pris dans une faille spatio-temporelle dans cette file d’attente
Le flume est principalement décoré par le volcan y qui trône au centre et quelques statues dans le bassin. Et dans tout ça, on n’est même pas rafraîchit… Allez, la suite !
Nous sortons de ce cul de sac et traversons la zone polynésienne (que l’on peut bien qualifier de zone thématique pour le coup) et finissons nez à nez avec Esplorabruco, une simili pomme (une copie quoi) comme à Energylandia.
Personne dans la file, on va passer en un tour. C’est sans compter un p’tit rouquin qui essaie de passer. NO PASSANADA. Je lui dis gentiment, il va comprendre (c’est de l’espagnol dugland), mais c’est qu’il insiste, en essayant de me passer entre les jambes. O l’rouquin tu vas voir ! Je le repousse (gentiment) avec mes pieds. Ça le fait marrer, et ne tente plus de passer. Voyez, je suis sympa avec les rouqmouts !
Et c’est encore un demi-milestone de célébré, avec le 250 d’Antoine
Et sinon, ce ride ? 5 tours, et voilà +1.
Nous galérons à sortir de cette zone pour continuer notre cercle, c’est que le chemin reliant les deux zones est plus étroit et caché par la végétation.
Sortis de ce chemin, nous avons le droit à un chouette point de vue sur Shock, mais aussi les bâtiments bordant le lac. Malheureusement, le lac et la végétation attire de nombreux moustiques, on se fait bouffer assez rapidement
Au revoir la Polynésie, bonjour l’espace ! Ce grand bâtiment abrite une attraction sur un planétarium haut de gamme.
Haut de gamme ou pas, nous ne sommes pas tentés, et traçons la route pour croiser un bâtiment qui nous fait bien penser à une maison hantée. C’est effectivement une terror house, et en supplément, donc non.
Juste à côté se situe un bâtiment jaune, ornés de quelques carreaux peints en blancs et noirs qui abrite le spinning Maurer Cagliostro. Alors, oui, les bâtiments restent très jolis dans l’ensemble mais c’est totalement posé aléatoirement, sans aucune cohérence entre eux.
Nous attendons une bonne vingtaine de minutes. Une fois à l’intérieur, c’est le vide intersidéral : une gare aussi simpliste que mes gares sur RCT3 (la vieille référence !!). Étant trois dans le wagon, ça va être déséquilibré, et tourner. Erk. Nous prenons un peu de hauteur, retrouvons la lumière du jour quelques instants avant de replonger dans le bâtiment. Vide, to-ta-le-ment dépourvu de décors, quelques jeux de lumières ont été installés par le DJ du coin. Il y a un peu de musique (histoire de dire qu’il y en a, même les freins font plus de bruits et résonnent tellement c’est VIDE). En éléments, on retrouve le horse shoe, pas mal de virages, des bosses. Le tout passe fluidement et sans trop tourner.
Je ne sais pas quoi en penser : le principe du spinning n’est pas trop respecté (mais ça m’arrange) ; par contre, ce vide du bâtiment… ! Tout le budget est passé pour le maquillage extérieur.
A la sortie du spinning, nous avons le choix entre aller à droite ? ou aller à gauche ? Choix crucial !
Nous choisissons de longer le lac, d’aller à gauche ! La zone que nous traversons est principalement pourvu de restaurants (fermés car ce n’est plus l’heure) et de boutiques souvenirs. Mais, sans le vouloir, nous tombons nez à nez avec le dernier crédit du parc à tester : L’Olandese Volante, la traduction italienne de Vliegende Hollander. Mais au lieu de faire face à un Kumbak, on fait face à un Mine Train Vekoma.
Quelques minutes d’attente pour dévaler un circuit divaguant entre de faux rochers, composé de 2 lifts, de vibrations et de beaucoup de virages. Le tout se traîne un peu.
Sortis de cette petite zone, une faisons face à Yucatan, le shoot the chute Intamin. Une présence assez impressionnante, enfin, il faut de la place pour mettre de l’eau !
Pas d’attente, nous embarquons, lap bar commune, nous quittons la gare, le tout accompagné de bruit d’insectes, de quelques tam tam, nous rappelant qu’une prophétie maya va se produire ! La musique n’est pas tout le temps présente et le lift assez bruyant n’aide pas. Une fois en haut du premier lift, nous entrons dans un premier temple où seule deux statues sont accrochées, mais pas de musique, pas d’ambiance. Bon. Le parcours vers le second lift se fait en silence. Bon… Disons qu’avec une telle théma on s’attend au packaging complet. Ils ont les bonnes mains pour maçonner mais pas les bonnes oreilles !
Je n’ai pas totalement rien dit, en haut du second lift, c’est un peu plus vivant, ça se réveille. Le tout est humidifiant, mais ce n’est pas la douche intégrale.
Qu’est-ce qu’on peut faire d’autre comme attraction ? Nous sommes arrivés trop tard pour le show style Houdini, aucune envie de refaire de l’attente pour Shock, ni pour les autres.
Un petit raft et on y va ? C’est quitte ou double ! Pas d’attente non plus pour le Rapide. L’ensemble est assez bien thématisé et dynamique. On y retrouve les remous, les petites bosses provoquant les petites vagues vicieuses, le fracas de la bouée sur les parois. Pour l’instant, on s’en sort plutôt bien. Jusqu’au passage SOUS une cascade qui ne s’arrête pas et des cascades sur les côtés qui ne sont pas là que pour le décor… C’est bon, on a notre quota d’eau
Et après ça, ça devient très planplan, jusqu’au retour en gare. Le passage dans la grotte est peu décoré.
Et voilà, nous décrétons que la visite du parc est terminée, nous finissons par un tour dans les boutiques souvenirs, qui proposent une grande variété d’objets souvenirs. Je me laisse emporter par un magnet et un stylo. Oui, ça peut être pratique et je n’en ai pas pour écrire mes cartes postales.
C’est sans regret que nous tournons le dos à l’entrée, direction la voiture. D’autres destinations nous attendent, braves gens !
Notre prochaine attraction, Dune, est un Junior Vekoma on ne peut plus classique. Deux tours, pas trop de vibrations, et +1.
Hans se laisse tenter par un tour de Wild Rodeo, un frisbee avec la possibilité d’avoir plusieurs modes. « Famille », « Normal » ou « Extrême », une file d’attente par mode. L’idée est sympa mais ça en fait diminuer le débit.
Dans l’attente, on mange nos sandwich, pas de temps à perdre
Nous continuons notre visite à travers les chemins, le parc est boisé et ombragé, c’est appréciable. Nous passons les montgolfières, la mini-grande roue pour mioches et décidons de faire un tour de Nui Lua, les bûches, afin de se rafraîchir. Des bûches qui avancent en continu, des opérateurs pas mous du genoux, on ne devrait pas attendre une heure.
… bah si. Et pourtant, tout est fait pour aller au mieux, mais à croire que l’on est pris dans une faille spatio-temporelle dans cette file d’attente
Le flume est principalement décoré par le volcan y qui trône au centre et quelques statues dans le bassin. Et dans tout ça, on n’est même pas rafraîchit… Allez, la suite !
Nous sortons de ce cul de sac et traversons la zone polynésienne (que l’on peut bien qualifier de zone thématique pour le coup) et finissons nez à nez avec Esplorabruco, une simili pomme (une copie quoi) comme à Energylandia.
Personne dans la file, on va passer en un tour. C’est sans compter un p’tit rouquin qui essaie de passer. NO PASSANADA. Je lui dis gentiment, il va comprendre (c’est de l’espagnol dugland), mais c’est qu’il insiste, en essayant de me passer entre les jambes. O l’rouquin tu vas voir ! Je le repousse (gentiment) avec mes pieds. Ça le fait marrer, et ne tente plus de passer. Voyez, je suis sympa avec les rouqmouts !
Et c’est encore un demi-milestone de célébré, avec le 250 d’Antoine
Et sinon, ce ride ? 5 tours, et voilà +1.
Nous galérons à sortir de cette zone pour continuer notre cercle, c’est que le chemin reliant les deux zones est plus étroit et caché par la végétation.
Sortis de ce chemin, nous avons le droit à un chouette point de vue sur Shock, mais aussi les bâtiments bordant le lac. Malheureusement, le lac et la végétation attire de nombreux moustiques, on se fait bouffer assez rapidement
Au revoir la Polynésie, bonjour l’espace ! Ce grand bâtiment abrite une attraction sur un planétarium haut de gamme.
Haut de gamme ou pas, nous ne sommes pas tentés, et traçons la route pour croiser un bâtiment qui nous fait bien penser à une maison hantée. C’est effectivement une terror house, et en supplément, donc non.
Juste à côté se situe un bâtiment jaune, ornés de quelques carreaux peints en blancs et noirs qui abrite le spinning Maurer Cagliostro. Alors, oui, les bâtiments restent très jolis dans l’ensemble mais c’est totalement posé aléatoirement, sans aucune cohérence entre eux.
Nous attendons une bonne vingtaine de minutes. Une fois à l’intérieur, c’est le vide intersidéral : une gare aussi simpliste que mes gares sur RCT3 (la vieille référence !!). Étant trois dans le wagon, ça va être déséquilibré, et tourner. Erk. Nous prenons un peu de hauteur, retrouvons la lumière du jour quelques instants avant de replonger dans le bâtiment. Vide, to-ta-le-ment dépourvu de décors, quelques jeux de lumières ont été installés par le DJ du coin. Il y a un peu de musique (histoire de dire qu’il y en a, même les freins font plus de bruits et résonnent tellement c’est VIDE). En éléments, on retrouve le horse shoe, pas mal de virages, des bosses. Le tout passe fluidement et sans trop tourner.
Je ne sais pas quoi en penser : le principe du spinning n’est pas trop respecté (mais ça m’arrange) ; par contre, ce vide du bâtiment… ! Tout le budget est passé pour le maquillage extérieur.
A la sortie du spinning, nous avons le choix entre aller à droite ? ou aller à gauche ? Choix crucial !
Nous choisissons de longer le lac, d’aller à gauche ! La zone que nous traversons est principalement pourvu de restaurants (fermés car ce n’est plus l’heure) et de boutiques souvenirs. Mais, sans le vouloir, nous tombons nez à nez avec le dernier crédit du parc à tester : L’Olandese Volante, la traduction italienne de Vliegende Hollander. Mais au lieu de faire face à un Kumbak, on fait face à un Mine Train Vekoma.
Quelques minutes d’attente pour dévaler un circuit divaguant entre de faux rochers, composé de 2 lifts, de vibrations et de beaucoup de virages. Le tout se traîne un peu.
Sortis de cette petite zone, une faisons face à Yucatan, le shoot the chute Intamin. Une présence assez impressionnante, enfin, il faut de la place pour mettre de l’eau !
Pas d’attente, nous embarquons, lap bar commune, nous quittons la gare, le tout accompagné de bruit d’insectes, de quelques tam tam, nous rappelant qu’une prophétie maya va se produire ! La musique n’est pas tout le temps présente et le lift assez bruyant n’aide pas. Une fois en haut du premier lift, nous entrons dans un premier temple où seule deux statues sont accrochées, mais pas de musique, pas d’ambiance. Bon. Le parcours vers le second lift se fait en silence. Bon… Disons qu’avec une telle théma on s’attend au packaging complet. Ils ont les bonnes mains pour maçonner mais pas les bonnes oreilles !
Je n’ai pas totalement rien dit, en haut du second lift, c’est un peu plus vivant, ça se réveille. Le tout est humidifiant, mais ce n’est pas la douche intégrale.
Qu’est-ce qu’on peut faire d’autre comme attraction ? Nous sommes arrivés trop tard pour le show style Houdini, aucune envie de refaire de l’attente pour Shock, ni pour les autres.
Un petit raft et on y va ? C’est quitte ou double ! Pas d’attente non plus pour le Rapide. L’ensemble est assez bien thématisé et dynamique. On y retrouve les remous, les petites bosses provoquant les petites vagues vicieuses, le fracas de la bouée sur les parois. Pour l’instant, on s’en sort plutôt bien. Jusqu’au passage SOUS une cascade qui ne s’arrête pas et des cascades sur les côtés qui ne sont pas là que pour le décor… C’est bon, on a notre quota d’eau
Et après ça, ça devient très planplan, jusqu’au retour en gare. Le passage dans la grotte est peu décoré.Et voilà, nous décrétons que la visite du parc est terminée, nous finissons par un tour dans les boutiques souvenirs, qui proposent une grande variété d’objets souvenirs. Je me laisse emporter par un magnet et un stylo. Oui, ça peut être pratique et je n’en ai pas pour écrire mes cartes postales.
C’est sans regret que nous tournons le dos à l’entrée, direction la voiture. D’autres destinations nous attendent, braves gens !
———————
Conclusion sur le parc : MagicLand est un parc agréable à visiter, avec une variété d’attractions et de restaurants (non testés). Le parc étant peu fréquenté ce jour, nous avons pu faire tout ce que nous souhaitons sans grande attente (oups le flume). Notre visite a duré 3h30.
Shock reste l’attraction majeure du parc ; surplombant le lac, elle se voit depuis de nombreux points du parc.
Nous avons été très agréablement surpris de la finition des bâtiments et de leur entretien ! On y ressent une certaine ambition, une certaine démesure : de beaux bâtiments, plus ou moins grands, représentant plusieurs univers. Le parc ayant ouvert en 2011, il fut (et est toujours) en concurrence sur l’ouverture du non-lointain parc Cinecitta World (qui lui, a vu son ouverture repoussée en 2014). Cette démesure, vu par toute personne ouvrant son parc (coucou Le Parc Spirou) n’a pourtant pas eu raison de lui. On aurait pu avoir des doutes vu que le propriétaire de MagicLand est également celui de feu Miragica (2009 – 2018).
Le parc fait régulièrement de belles réductions sur les sites tels que Groupon, un petit détour par le parc si vous n’êtes pas loin ne vous fera pas de mal !
Shock reste l’attraction majeure du parc ; surplombant le lac, elle se voit depuis de nombreux points du parc.
Nous avons été très agréablement surpris de la finition des bâtiments et de leur entretien ! On y ressent une certaine ambition, une certaine démesure : de beaux bâtiments, plus ou moins grands, représentant plusieurs univers. Le parc ayant ouvert en 2011, il fut (et est toujours) en concurrence sur l’ouverture du non-lointain parc Cinecitta World (qui lui, a vu son ouverture repoussée en 2014). Cette démesure, vu par toute personne ouvrant son parc (coucou Le Parc Spirou) n’a pourtant pas eu raison de lui. On aurait pu avoir des doutes vu que le propriétaire de MagicLand est également celui de feu Miragica (2009 – 2018).
Le parc fait régulièrement de belles réductions sur les sites tels que Groupon, un petit détour par le parc si vous n’êtes pas loin ne vous fera pas de mal !
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On repart en direction de la cambrousse romaine pour aller chopper le prochain crédit à Luna Park Cocco : Brucomela. Et pour se garer, quoi de plus de plus simple que se garer littéralement en face de la pomme, dans le parc même ?
Nous n’avons pas à faire au forain le plus sympathique. Il est assez avare en tours (2 seulement). Nous ne faisons même pas un micro-tour du parc, il nous reste encore en ligne de mire deux parcs à faire.
On repart vers Lagolandia, un petit parc situé en bord d’un lac. La route, verdoyante tout du long, finit par un long tunnel avant de déboucher sur lac. Le parking est payant car c’est une zone « touristique » (du moins très fréquentée par les locaux). Nous nous rapprochons de la borne la plus proche pour voir « 7 € de l’heure ». Hein ? Mais pardon ? Et en plus, Madame Pervenche est en train de faire les tours des voitures. Qui pour rester à côté de la nôtre et éviter une prune débile ? Des locaux nous viennent en aide pour nous dire que c’est le prix pour un bus. Ah ouais, bah merci, ça faisait cher ! Faut-il encore que les autres bornes fonctionnent ? On est prêt à aller voir Dame Pervenche pour lui expliquer la situation mais la troisième borne fut la bonne. Pourquoi on ne pouvait pas se garer devant la montagne russe ? Ç’aurait été plus simple…
Dragon, la raison de notre venue. Presque personne, et les autres personnes avec nous sont de la famille du forain. A l’image de la montagne russe en elle-même, assez triste. Une thématisation délavée. On a le droit à 4 tours et plein d’étincelles. On rigole quand même, ça va de plus en plus vite. Manquerait plus que ça déraille.
Le parc en lui-même fait un peu abandonné, il n’y a rien d’autre à faire (en crédits, sinon il y a toujours les classiques attractions et jeux que l’on retrouve dans tous ces petits parcs). Et on n’a pas trop le temps de marcher auprès du lac, ç’aurait pu être sympa mais la nuit commence à tomber, il fait un peu plus frais et le dernier parc, dans la banlieue de Rome, ferme à 20h. Les objectifs avant tout.
On revient dans la banlieue de Rome, Oasipark est situé dans un quartier crade et un peu pourri. Par chance, on trouve facilement une place (c’est parce que je suis là
) – il est 19h30, il nous reste 30min pour faire le crédit. Je pense que ça devrait le faire !
On commence à bien connaître le fonctionnement, on cherche nos jetons à l’accueil pour les rendre 30 secondes plus tard au paki qui gère Mini Mouse. Je me loupe en montant dans le wagon (trop enthousiaste à rider) et me blesse à la jambe gauche. Aïe. Le boulet, bien fait pour moi.
Et c’est parti pour trois tours, dans une simili-pomme brusque. Malgré la brusquesse, le paki nous demande si on a apprécié notre tour. Un opé qui veille à la joie de ses riders, on apprécie ! Et oui, on est tous fier de notre +1 !
Et c’est sur ces 5 parcs visités ce jour que nous rentrons, assez lessivés mais contents de nous. Nous finissons les restes que nous pouvons, nous rendons l’appart’ demain matin, sans trop de regrets.
Nous n’avons pas à faire au forain le plus sympathique. Il est assez avare en tours (2 seulement). Nous ne faisons même pas un micro-tour du parc, il nous reste encore en ligne de mire deux parcs à faire.
On repart vers Lagolandia, un petit parc situé en bord d’un lac. La route, verdoyante tout du long, finit par un long tunnel avant de déboucher sur lac. Le parking est payant car c’est une zone « touristique » (du moins très fréquentée par les locaux). Nous nous rapprochons de la borne la plus proche pour voir « 7 € de l’heure ». Hein ? Mais pardon ? Et en plus, Madame Pervenche est en train de faire les tours des voitures. Qui pour rester à côté de la nôtre et éviter une prune débile ? Des locaux nous viennent en aide pour nous dire que c’est le prix pour un bus. Ah ouais, bah merci, ça faisait cher ! Faut-il encore que les autres bornes fonctionnent ? On est prêt à aller voir Dame Pervenche pour lui expliquer la situation mais la troisième borne fut la bonne. Pourquoi on ne pouvait pas se garer devant la montagne russe ? Ç’aurait été plus simple…
Dragon, la raison de notre venue. Presque personne, et les autres personnes avec nous sont de la famille du forain. A l’image de la montagne russe en elle-même, assez triste. Une thématisation délavée. On a le droit à 4 tours et plein d’étincelles. On rigole quand même, ça va de plus en plus vite. Manquerait plus que ça déraille.
Le parc en lui-même fait un peu abandonné, il n’y a rien d’autre à faire (en crédits, sinon il y a toujours les classiques attractions et jeux que l’on retrouve dans tous ces petits parcs). Et on n’a pas trop le temps de marcher auprès du lac, ç’aurait pu être sympa mais la nuit commence à tomber, il fait un peu plus frais et le dernier parc, dans la banlieue de Rome, ferme à 20h. Les objectifs avant tout.
On revient dans la banlieue de Rome, Oasipark est situé dans un quartier crade et un peu pourri. Par chance, on trouve facilement une place (c’est parce que je suis là
) – il est 19h30, il nous reste 30min pour faire le crédit. Je pense que ça devrait le faire !
On commence à bien connaître le fonctionnement, on cherche nos jetons à l’accueil pour les rendre 30 secondes plus tard au paki qui gère Mini Mouse. Je me loupe en montant dans le wagon (trop enthousiaste à rider) et me blesse à la jambe gauche. Aïe. Le boulet, bien fait pour moi.
Et c’est parti pour trois tours, dans une simili-pomme brusque. Malgré la brusquesse, le paki nous demande si on a apprécié notre tour. Un opé qui veille à la joie de ses riders, on apprécie ! Et oui, on est tous fier de notre +1 !
Et c’est sur ces 5 parcs visités ce jour que nous rentrons, assez lessivés mais contents de nous. Nous finissons les restes que nous pouvons, nous rendons l’appart’ demain matin, sans trop de regrets.
Dernière édition:
DragonPark, Cinecitta World, Fantasiland, Cartoon Park & Luna Park Roma – 17 septembre 2023
Jamais 3 sans 4
7h, on se lève après avoir passé une nuit plus calme, on en profite pour faire les sandwiches, un peu de ménage (RIP la ratatouille de Rimini) et rassembler nos affaires : nous devons rendre l’appartement pour 10h, et nous devons partir le plus tôt possible pour assurer notre programme du jour. On ramasse nos fringues qui ont séché toute la nuit et qui sont, pour certaines, ne sont pas du tout sèches malgré la chaleur
Tant pis, ça séchera dans la voiture.
En plus de faire 5 (voire 6 !) parcs aujourd’hui, nous devons récupérer Kris à l’aéroport. Mais lequel ? … Ciampino, le petit, l’équivalent de Paris-Beauvais. On revoit donc le trajet juste avant de partir pour tout optimiser. J’envoie un message à Valerio, merci et à jamais. Je mettrai quand même 4/5 (parce que l’algorithme Airbnb quoi).
Nous commençons la journée par Dragon Park. Bon, on disait de Parco Pitagora mais là, on creuse encore. C’est pas DU TOUT entretenu, c’est sale, un peu creepy sur les bords
Le crédit est Dragon, un circuit en forme d’ovale. Au moins, il est fonctionnel (quand un opérateur daigne brancher les câbles). Et +1 en veux-tu en voilà !
On attaque ensuite 25 minutes de route pour un parc plus gros et de meilleure qualité (on part de loin cela dit), le gros parc du jour d’ailleurs. Cinecitta World. On se gare pas trop loin de l’entrée du parc et du parking ; hop, 7 € d’économisé ! Et pour encore plus d’économies, on achète le billet sur Groupon. -30 %. On ne crache pas dans la soupe.
L’entrée du parc est très cubique, c’est propre. Comme pour MagicLand, on ressent une certaine ambition. La mainstreet est sympa, il faut passer un rideau rouge pour se retrouver dans le parc, j’aime bien le concept. Il y a pas mal de monde mais le parc ayant de grandes allées, ça se disperse rapidement.
On commence par vouloir se rafraîchir, le soleil cognant. Quoi de mieux que le watercoaster Aktium ? Nous nous posons au bord du bassin de l’attraction, enfin pas trop près non plus : la vague de la seconde drop est très efficace pour arroser les visiteurs extérieurs
Pas besoin de le rider : le temps d’attente affiché nous refroidit déjà : 60 min. Gloups. Bon, faut bien faire quelque chose. Nous avançons rapidement dans la file, observons les décors, ils sont là, comme il peuvent. Quelques barrières sont cassées.
On arrive finalement au niveau du quai au bout de 20 minutes. Et en plus on appelle 3 personnes pour compléter le bateau ! Et hop, tout devant. Je ne sais pas si c’était une bonne idée de lever la mainSoit. Au moins, on a un recoin pour mettre le sac à l’abri (oui, car on ne peut pas les laisser sur le quai). On ne peut plus reculer. Surtout que les passagers en ressortent trempés jusqu’au slip, tous dégoulinent, qu’ils soient au premier ou au dernier rang. La même sentence, qu’importe la place !
Le parcours est sommaire : lift, virage, 1ère drop qui ne mouille pas. Bon, la sentence viendra à la seconde ! Virage, lit, virage drop et… bah ça humidifie mais c’est tout quoi. Un coup de chance, ou bien… Pourquoi la mama derrière nous gueule, comme si elle suppliait un visiteur…
de ne pas activer un bouton… que celui-ci met en marche… 
c’est une VÉRITABLE DOUCHE QUI NOUS ARROSE NON STOP PENDANT 20 SECONDES 
Les litres et des litres, pas par fines gouttes, non, mais de quoi éteindre un incendie. Le système d’arrosage suit le bateau jusqu’au bout de la gare. Je n’ai pas fait Popeye à IoA, mais quand les gens me disent que c’est impossible d’éviter l’eau, c’est pareil ici.
C’est rincés que l’on sort de là. C’est bon, on a eu notre dose !
Et bien, on se vengera sur le bateau suivant
On s’essore comme on peut, on marche dans le parc, à déambuler dans les allées. Le thème « décors de cinéma » s’estompe à mesure que l’on s’éloigne de l’entrée. On va rider Altair, le 10 inversions Intamin à lap bar, qui affiche un 0 min et un embarquement quasi immédiat.
« Ah non, pas de dernier rang, ça va être intense, je vois le genre du parcours » « Oui bonjour, on recherche trois personne pour compléter le train » . « Oui, nous ! (ouais, on devient flemmard à un point de ne pas vouloir attendre le prochain train) » « Super, installez vous aux derniers rangs » . Ah. Au last. Bon, je ferme ma gueule.
Le parcours est un peu différent que Colossus à Thorpe Park, qui m’avait laissé un souvenir impérissable tant le confort et le parcours était mauvais et tortueux. Ici, c’est plus agréable grâce aux nouveaux sièges (nouveau version 2014). Le parcours commence par une drop en virage, pour attaquer le loop, puis le cobra-roll, deux corscrews, un virage à gauche et c’est déjà parti pour l’enchaînement des 4 heartline-roll, que je passe les yeux fermés en me concentrant sur ma respiration
Et le p’tit dernier avant le retour en gare. On en a bien 10 ! Le parcours passe quasiment sans vibrations. Je n’apprécie pas particulièrement le passage des 4 HR.
Les gars s’offrent un second tour, je passe le mien. Je vais les prendre en photo depuis la passerelle installée à cet effet. Et je graille un sandwich au passage.
Nous repartons à la conquête de nouvelles attractions, atterrissons dans la zone Western et faisons mouche sur Horror House, « pour toute la famille ». C’est tellement antinomique qu’on est curieux. C’est vrai qu’il y a pas mal d’enfants (8-12 ans).
10 min à attendre. Nous entrons ensuite un peu en sous-sol, dans une pièce avec du faux sang sur les murs et le sol, un opérateur qui ne parle pas du tout anglais mais tellement à fond dans son rôle qu’on n’ose pas le couper pour lui dire qu’on ne comprend rien. On demande à une dame de nous expliquer les consignes. Classique : rester en groupe, suivre la lumière rouge, et bon courage. On se lance cœur et âme, en veillant à ne pas m’éloigner d’Hans ou d’Antoine. Les pièces sont sombres, les décors pas mal foutus et l’ambiance un peu glauque est au RDV. On entend au loin des gamins qui pleurent. Ah ouais, on n’a pas la même définition AAAAAHhh
putain un acteur bordel du familial. Je finis même par me retrouver seule dans une pièce puisque Antoine trace sa route et Hans contemple les moindres recoins ; putain me laisser pas SEEUUULLLLLE. Hans arrive, on continue tous les deux puis RRRROROOW l’acteur qui me murmure de doux mots à l’oreille droite. Con.
Moralité : si vos gosses vous font chier, emmenez-les là-dedans.
On quitte le Far-West pour tomber nez-à-nez sur un gros bâtiment abritant Inferno : une montagne russe indoor dont je ne sais absolument pas le constructeur (véridique, j’ai juste vu le +3 sur CC mais au moins ça me laisse 100 % de la surprise).
10 min d’attente dans une file lourdement dégradée (et non réparée) par les visiteurs. Merci les incivilités.
Au vu des trains, c’est du Intamin. On se met sur les derniers rangs. Le lift est rapide, les décors sont présents et les jeux de maping et de musique en nombre. Le train dévale le parcours dans une fluidité absolue (sans ironie, c’est ultra fluide, c’est fort appréciable. Si toutes les montagnes pouvaient être comme ça, on serait aux anges). Puis vient le moment où l’on fait face à un mur, mmm… on va repartir en arrière ? Attendez, Intamin, mur… PUTAIN UNE SECTION FREE FALL. Et je suis seule dans mon rang. Je m’agrippe comme une conne seule au siège, Plouf ça lâche, je lâche le petit cri habituel. Ah bah pour la surprise, c’était jusqu’au bout.
La petite section free-fall n’était pas suffisant pour les gars, il font faire la vraie, celle qui rentre dans un éléphant, Indiana de son petit nom. Sans moi.
7h, on se lève après avoir passé une nuit plus calme, on en profite pour faire les sandwiches, un peu de ménage (RIP la ratatouille de Rimini) et rassembler nos affaires : nous devons rendre l’appartement pour 10h, et nous devons partir le plus tôt possible pour assurer notre programme du jour. On ramasse nos fringues qui ont séché toute la nuit et qui sont, pour certaines, ne sont pas du tout sèches malgré la chaleur
Tant pis, ça séchera dans la voiture.En plus de faire 5 (voire 6 !) parcs aujourd’hui, nous devons récupérer Kris à l’aéroport. Mais lequel ? … Ciampino, le petit, l’équivalent de Paris-Beauvais. On revoit donc le trajet juste avant de partir pour tout optimiser. J’envoie un message à Valerio, merci et à jamais. Je mettrai quand même 4/5 (parce que l’algorithme Airbnb quoi).
Nous commençons la journée par Dragon Park. Bon, on disait de Parco Pitagora mais là, on creuse encore. C’est pas DU TOUT entretenu, c’est sale, un peu creepy sur les bords
Le crédit est Dragon, un circuit en forme d’ovale. Au moins, il est fonctionnel (quand un opérateur daigne brancher les câbles). Et +1 en veux-tu en voilà !
On attaque ensuite 25 minutes de route pour un parc plus gros et de meilleure qualité (on part de loin cela dit), le gros parc du jour d’ailleurs. Cinecitta World. On se gare pas trop loin de l’entrée du parc et du parking ; hop, 7 € d’économisé ! Et pour encore plus d’économies, on achète le billet sur Groupon. -30 %. On ne crache pas dans la soupe.
L’entrée du parc est très cubique, c’est propre. Comme pour MagicLand, on ressent une certaine ambition. La mainstreet est sympa, il faut passer un rideau rouge pour se retrouver dans le parc, j’aime bien le concept. Il y a pas mal de monde mais le parc ayant de grandes allées, ça se disperse rapidement.
On commence par vouloir se rafraîchir, le soleil cognant. Quoi de mieux que le watercoaster Aktium ? Nous nous posons au bord du bassin de l’attraction, enfin pas trop près non plus : la vague de la seconde drop est très efficace pour arroser les visiteurs extérieurs
Pas besoin de le rider : le temps d’attente affiché nous refroidit déjà : 60 min. Gloups. Bon, faut bien faire quelque chose. Nous avançons rapidement dans la file, observons les décors, ils sont là, comme il peuvent. Quelques barrières sont cassées.
On arrive finalement au niveau du quai au bout de 20 minutes. Et en plus on appelle 3 personnes pour compléter le bateau ! Et hop, tout devant. Je ne sais pas si c’était une bonne idée de lever la main
Soit. Au moins, on a un recoin pour mettre le sac à l’abri (oui, car on ne peut pas les laisser sur le quai). On ne peut plus reculer. Surtout que les passagers en ressortent trempés jusqu’au slip, tous dégoulinent, qu’ils soient au premier ou au dernier rang. La même sentence, qu’importe la place !Le parcours est sommaire : lift, virage, 1ère drop qui ne mouille pas. Bon, la sentence viendra à la seconde ! Virage, lit, virage drop et… bah ça humidifie mais c’est tout quoi. Un coup de chance, ou bien… Pourquoi la mama derrière nous gueule, comme si elle suppliait un visiteur…
de ne pas activer un bouton… que celui-ci met en marche… c’est une VÉRITABLE DOUCHE QUI NOUS ARROSE NON STOP PENDANT 20 SECONDES Les litres et des litres, pas par fines gouttes, non, mais de quoi éteindre un incendie. Le système d’arrosage suit le bateau jusqu’au bout de la gare. Je n’ai pas fait Popeye à IoA, mais quand les gens me disent que c’est impossible d’éviter l’eau, c’est pareil ici.C’est rincés que l’on sort de là. C’est bon, on a eu notre dose !
Et bien, on se vengera sur le bateau suivant
On s’essore comme on peut, on marche dans le parc, à déambuler dans les allées. Le thème « décors de cinéma » s’estompe à mesure que l’on s’éloigne de l’entrée. On va rider Altair, le 10 inversions Intamin à lap bar, qui affiche un 0 min et un embarquement quasi immédiat.
« Ah non, pas de dernier rang, ça va être intense, je vois le genre du parcours » « Oui bonjour, on recherche trois personne pour compléter le train » . « Oui, nous ! (ouais, on devient flemmard à un point de ne pas vouloir attendre le prochain train) » « Super, installez vous aux derniers rangs » . Ah. Au last. Bon, je ferme ma gueule.
Le parcours est un peu différent que Colossus à Thorpe Park, qui m’avait laissé un souvenir impérissable tant le confort et le parcours était mauvais et tortueux. Ici, c’est plus agréable grâce aux nouveaux sièges (nouveau version 2014). Le parcours commence par une drop en virage, pour attaquer le loop, puis le cobra-roll, deux corscrews, un virage à gauche et c’est déjà parti pour l’enchaînement des 4 heartline-roll, que je passe les yeux fermés en me concentrant sur ma respiration
Et le p’tit dernier avant le retour en gare. On en a bien 10 ! Le parcours passe quasiment sans vibrations. Je n’apprécie pas particulièrement le passage des 4 HR.
Les gars s’offrent un second tour, je passe le mien. Je vais les prendre en photo depuis la passerelle installée à cet effet. Et je graille un sandwich au passage.
Nous repartons à la conquête de nouvelles attractions, atterrissons dans la zone Western et faisons mouche sur Horror House, « pour toute la famille ». C’est tellement antinomique qu’on est curieux. C’est vrai qu’il y a pas mal d’enfants (8-12 ans).
10 min à attendre. Nous entrons ensuite un peu en sous-sol, dans une pièce avec du faux sang sur les murs et le sol, un opérateur qui ne parle pas du tout anglais mais tellement à fond dans son rôle qu’on n’ose pas le couper pour lui dire qu’on ne comprend rien. On demande à une dame de nous expliquer les consignes. Classique : rester en groupe, suivre la lumière rouge, et bon courage. On se lance cœur et âme, en veillant à ne pas m’éloigner d’Hans ou d’Antoine. Les pièces sont sombres, les décors pas mal foutus et l’ambiance un peu glauque est au RDV. On entend au loin des gamins qui pleurent. Ah ouais, on n’a pas la même définition AAAAAHhh
putain un acteur bordel du familial. Je finis même par me retrouver seule dans une pièce puisque Antoine trace sa route et Hans contemple les moindres recoins ; putain me laisser pas SEEUUULLLLLE. Hans arrive, on continue tous les deux puis RRRROROOW l’acteur qui me murmure de doux mots à l’oreille droite. Con.Moralité : si vos gosses vous font chier, emmenez-les là-dedans.
On quitte le Far-West pour tomber nez-à-nez sur un gros bâtiment abritant Inferno : une montagne russe indoor dont je ne sais absolument pas le constructeur (véridique, j’ai juste vu le +3 sur CC mais au moins ça me laisse 100 % de la surprise).
10 min d’attente dans une file lourdement dégradée (et non réparée) par les visiteurs. Merci les incivilités.
Au vu des trains, c’est du Intamin. On se met sur les derniers rangs. Le lift est rapide, les décors sont présents et les jeux de maping et de musique en nombre. Le train dévale le parcours dans une fluidité absolue (sans ironie, c’est ultra fluide, c’est fort appréciable. Si toutes les montagnes pouvaient être comme ça, on serait aux anges). Puis vient le moment où l’on fait face à un mur, mmm… on va repartir en arrière ? Attendez, Intamin, mur… PUTAIN UNE SECTION FREE FALL. Et je suis seule dans mon rang. Je m’agrippe comme une conne seule au siège, Plouf ça lâche, je lâche le petit cri habituel. Ah bah pour la surprise, c’était jusqu’au bout.
La petite section free-fall n’était pas suffisant pour les gars, il font faire la vraie, celle qui rentre dans un éléphant, Indiana de son petit nom. Sans moi.
Moi ? Faire ta free-fall ? Tu te la mets où je pense, compris ?
On a déjà tous les crédits du parc, On fait Volarium (et non Voletarium), le flying theatre (ah). La file n’avance pas, et l’heure tourne. C’est après 45 minutes d’attente qu’on peut enfin embarquer. Je prends la rangée allant le plus haut, les gars n’ont pas la même stratégie que moi et me perde de vue. Le film et les mouvements sont en globalité bien exécutés, mais il ne vaut pas celui du Futuroscope.
Quelle autre attraction pourrait-on faire avant de partir ? U-571 ? mais qui affiche 1h d’attente, donc non. Et puis celui de Movieland nous attend
On finit juste par déambuler, dans une zone très vide. Ça fait même un peu abandonné.
Nous quittons le parc après un passage dans les boutiques souvenirs, sans achats.
————————-
Conclusion sur le parc : à l’image de MagicLand, le parc est « grand » et propose une variété d’attractions mais qui ne font pas envie de les faire et refaire. La grandeur du parc fait qu’on se retrouve avec des zones inégales : tandis que pour certaines, les attraction sont collées ; pour d’autres, ce n’est qu’une immense place vide, comblée comme elle peut.
Les temps d’attente étaient globalement raisonnables, les employés pas les plus rapides (dans la moyenne). Nous n’avons pas essayé la restauration.
Si vous êtes prêts de Rome, pareil que pour MagicLand : le parc semble proposer régulièrement des réductions sur Groupon. Pourquoi ne pas y passer un après-midi ?
————————-
Avec tout ça, je suis à… 398. Les deux prochains crédits me font passer le cap ! Alors, sur quoi on le passe ? J’ai l’habitude de passer les 100 / 200 ect. sur de très belles bêtes. Bon, là c’est clairement loupé mais on va faire au mieux. On n’est pas loin du Zoo Marineland qui a deux crédits, dont un Schwarzkopf. Allez, va pour celui-ci !
Direction le zoo, 20 petites minutes de route. Le parking à l’air payant mais vu qu’on ne veut que les deux crédits, on va faire comme ceux qui se sont garés à l’arrache sur les bas-côté. On trouve également des tickets en réduction sur Groupon mais on va tenter de négocier pour ne payer que les deux montagnes russes.
On arrive à la caisse vers 16h (le zoo fermant à 18h) pour expliquer notre cas. L’hôtesse nous dit que la caisse est fermée (bah qu’est ce que tu fous là à attendre des visiteurs avec ta vitre ouverte et ton panneau OPEN alors
), on lui demande alors si on peut passer par Groupon pour acheter nos billets pour pouvoir ainsi rentrer dans le parc. L’hôtesse nous répond qu’on peut acheter les billets sur Groupon, mais que l’entrée est fermé. Ah. Ah. On négocie en demandant qu’on veut juste les montagnes russes et que 1h c’est largement suffisant. Elle nous dit que les montagnes russes sont fermées à 16h. Ah bah merci pour les visiteurs du parc de fermer vos attractions deux heures avant la fermeture !!Bref, on se casse, pas de regrets mais un peu énervés. Pas de +2 mais tant pis.
Donc je ferai mon 400 à… Fantasiland, ou le Disneyland du clochard si vous voulez. Nous nous garons sur un parking désert, se demandant si c’est bien ouvert.
Ça a l’air, les grilles le sont. L’endroit est peu accueillant, on ne croise personne, tout est fermé… où sont les gens ? Je ne veux pas faire mon 400ème ici
Non, elle n’est pas vivante, c’est une statue
Nous croisons enfin nos premiers êtres vivants : des lapins.
Pinpin lapin
Mais Bassotto m’attend bel et bien… Lui aussi est triste d’ailleurs.
On finit par voir des gens et une caisse centrale ouvrir. Une mama et deux gamins (8 et 16 ans je dirais) nous accueillent, on demande des tickets pour Roller Coaster Snails et Bassotto, le gamin de 8 ans nous dit que Bassotto est en panne. Ah, bah ce n’est même pas ici que je ferai mon 400, ça fait chier de louper le +1 pour le coup car c’est quasi certain (ne jamais dire jamais, mais là, il y a des limites) qu’on ne reviendra jamais ici. On discute pas mal avec la mama, de tout et de rien. Mine de rien, elle comprend bien l’anglais ! On prend nos tickets pour Roller Coaster Snails, un spinning SBF, inoffensif et avec des jolis trains. Mignon.
On revient tout content de notre tour à la caisse pour laisser Hans supplier la mama d’ouvrir Bassotto, mais la mama nous a devancé : « J’ai dit à mon fils d’aller ouvrir Bassotto pour vous, faut juste attendre 5 min le temps de mise en marche » . Mais mais merci
whaou, on passe d’une impression négative du parc à positive, des gérants qui pensent à leurs clients ! On paie notre tour pour Bassotto, et assistons même à la mise en route du bousin.
Un petit compresseur pour faire tourner le moteur, un tour à vide, et voilà ! Je peux acter le 400 ici !
Eh oui, tout le monde n’a pas la chance de faire un milestone de qualité !
Eh oui, tout le monde n’a pas la chance de faire un milestone de qualité !
4 tours offert par la familia. Et pour votre générosité, on va vous acheter des boissons, car il fait bien chaud et un petit thé glacé n’est pas de refus.
Il est temps de partir d’ici, direction l’aéroport pour récupérer Kris. Ça circule bien sur la route, on est quasi synchro pour récupérer le 4ème lardon du trip
Pas de temps à perdre, on prévient de suite Kris qu’on n’a pas fini la pêche aux crédits pourris romains et qu’il en reste deux. Et bah let’s go ! Et c’est quand on s’approche du prochain parc que Kris prend vraiment acte de nos paroles. « Ah mais vous ne déconniez pas » Eh bah non Kris, tu vas faire ton Flex : à peine arrivé que tu crédites déjà 
Nous continuons avec Cartoon Park
Pour un tour sur Bruco, qui propose soit de s’asseoir dans le siège classique, ou bien dans le cygne (mais que diable fout-il là ?). Faisons original, je me mets dans le cygne (je ne sais toujours pas comment j’ai réussi à monter dedans). C’est la montagne russe la plus courte que j’ai vue, avec le point le plus haut culminant à 20cm (non, ce n’est pas une erreur de frappe). Et que dire de la déco. De toute beauté.
Allez, le dernier ! Et puis il sera l’heure de partir de Rome, pour aller à Florence (3h de route, et il commence à faire un peu tard). Notre dernier parc romain est Luna Park Roma, 5 Velocita à la clé, avec un train en forme de rondins de bois, et un effort de thématisation avec l’ajout d’une piscine et d’une petite cascade.
Nous avons réussi notre pari (hormis Zoo Marine, qui n’était de base qu’un bonus) : faire tous les crédits de merde autour de Rome. On peut se féliciter
Mais mettons ce côté vicieux de la passion, ça nous a bien amusé, et ça, c’est l’e-ssen-tiel !J’ai idée de regarder mes e-mails, et l’hôtel de Florence me demande à quelle heure on pense arriver pour mieux gérer leurs équipes – e-mail envoyé il y a… 3 jours. Ah, désolée, mais je me déconnecte vraiment en vacances. Je m’empresse de leur répondre qu’on arrivera vers 23h30, le temps de faire la route et une pause MacDo. L’arrivée maximale étant minuit, on est large
Hans reprend la route (avec nous dans la voiture), nous pionçant par intermittence. Au revoir le Latium, direction… oh bah la Toscane. Ce n’est pas comme si nous étions il y a quelques jours… Le MacDo approche, les places sont très chères, on se gare à la va-vite sur un parking désaffecté. C’est plein, mais nous finissons par avoir une table qui se libère. Nous rechargeons les batteries et roule ma poulette.
On arrive peut-être tard, mais nous arrivons à l’heure ! Nous trouvons par chance une place gratuite presqu’à coté de l’entrée de l’hôtel. 23h30, le réceptionniste nous attendait. Très bon accueil ! On remplit les formalité (pièce d’identité toussa toussa) puis paie. Mais ma carte ne passe déjà plus. J’ai déjà pété le plafond. Oops. Le temps d’augmenter celui-ci, Hans a déjà payé. Notre chambre n’est pas trop chaude ni trop froide. On va passer une bonne nuit (surtout qu’il y a UNE COUETTE). La douche est bien fonctionnelle, avec de l’eau bien chaude aarrgrgr pour se décrasser de cette journée.
Dernière édition:
Bravo pour le 400e ! Bon il n'était vraiment pas ouf par contre 
J'avais vu qu'il y avait beaucoup de crédits de merdes autour de Rome, mais même moi qui est créditeur je n'ai pas eu la motivation de les faire (hors lunEUR park vu que je n'étais pas loin à un moment)
Et surtout j'ai manqué Altair qui était fermé ce jour-là. Donc le bilan des parcs de Rome n'est pas fou...
J'avais vu qu'il y avait beaucoup de crédits de merdes autour de Rome, mais même moi qui est créditeur je n'ai pas eu la motivation de les faire (hors lunEUR park vu que je n'étais pas loin à un moment)
Et surtout j'ai manqué Altair qui était fermé ce jour-là. Donc le bilan des parcs de Rome n'est pas fou...
Sirmione – 18 septembre 2023
En voiture Sirmione
Vu que l’on peut squatter la chambre jusqu’à 11h, c’est ce que l’on fait. Un bon sommeil, apparemment, j’aurais ronflé. Non, je ne ronfle pas. Pas de programme particulier aujourd’hui, ne serait-ce que d’aller au Lac de Garde, 3h de route. Tant pis pour la visite de Florence mais ça risquait vraiment d’être fait en coupe-vent, pas si utile que ça. Le petit dej’ est inclus dans la nuitée, on se fait un bon petit repas, le rapport qualité/prix est au RDV. On boucle les valises, je laisse mes cartes postales non postées à la dame d’accueil qui se chargera de les poster pour moi (à ce jour, les cartes postales ont bien été prises en charge par le transporteur mais toujours pas arrivées en France… véridique j’ai le QR code de suivi ).
Sur conseils d’Antoine, on fera une étape à Sirmione, presqu’île du Lac de Garde connue et fortifiée. Ça nous convient parfaitement. Le temps se fait plus couvert, c’était prévu, mais on aurait bien gardé le beau temps et la chaleur de la première semaine. On dit vraiment au revoir à La Toscane (ce fut bref mais intense… Non, n’importe quoi moi) pour atterrir, après 3h de route, au Lac de Garde, côté Lombardie. Changement de paysage, c’est encore plus montagneux, plus vert, plus… allemand
Allemand vous dites ? Oui, les environs sont remplis d’allemands, tellement que les plaques immatriculation italiennes ont disparu au profits des allemands (un poil exagéré). Je ne me rappelais plus que cet endroit attirait d’autant d’allemands.
Sirmione se rejoint à pied, on laisse la voiture sur des parking prévus pour (à 2,5 € de l’heure). Des gouttes commencent à tomber, ça reste léger mais ça va être pour notre pomme quand même.
Pareil ici, pas de programme de visite, on déambule dans le centre-ville puis sur les bords. Il pleut mais tant pis, la température reste agréable. Le tour se fait en réalité assez vite ; il est possible de visiter le château mais comme bien souvent, on passe notre tour. Vu qu’il est presque 14h, on ne tarde pas à trouver une pizzeria, qui sera bonne mais moins que celle de Trévise. On fait quelques boutiques, sans trouver quoi que ce soit, hormis la traditionnelle bouffe avec des gâteaux par-ci par-là. Les glaces ne sont pas ce qu’il manque.
Au moment de se dire de rejoindre la voiture, un torrent de flotte
Bon, on va attendre que ça passe, mais ça ne passe pas, et le temps tourne (donc le prix de parking !!), et on doit aussi être pour 19h à notre logement, situé à une heure d’ici.
Plus de 15 min après, un léger signe d’amélioration, c’est le moment ! On va vers le parking récupérer la voiture, et oh ! Un billet de 5€ par terre
Que ça fait longtemps dis-donc ! Ça servira pour le bien du groupe.
Malgré le temps assez mitigé du jour, on s’estime heureux car la ville a été impactée par de très fortes pluies de grêles la veille de notre venue, aucune voiture garée sur le parking n’a été épargnée. Elles ont toutes des trous assez impressionnants sur le pare-choc.
On repart direction plus au nord, côté rive Vénitienne et plus dans les montagnes, vers notre Airbnb. Mais d’abord les courses. Roulés à la saucisse ce soir. On ressort les classiques. Toujours pas de Breezers dans le Lidl choisi, c’est dingue qu’il n’y en n’ait pas dans tous les magasins de la franchise. On sera un peu en retard mais ce n’est point un problème pour Denis, propriétaire des lieux.
La route est encaissée entre les montagnes, c’est très dépaysant quand on est pas habitué à un tel paysage. Nous prenons de l’altitude et des routes de montagnes sinueuses sur les derniers kilomètres de notre trajet. Nous trouvons sans problème la maison dans laquelle on va passer 4 nuits. La maison est collée à un autre gîte.
).Sur conseils d’Antoine, on fera une étape à Sirmione, presqu’île du Lac de Garde connue et fortifiée. Ça nous convient parfaitement. Le temps se fait plus couvert, c’était prévu, mais on aurait bien gardé le beau temps et la chaleur de la première semaine. On dit vraiment au revoir à La Toscane (ce fut bref mais intense… Non, n’importe quoi moi) pour atterrir, après 3h de route, au Lac de Garde, côté Lombardie. Changement de paysage, c’est encore plus montagneux, plus vert, plus… allemand
Allemand vous dites ? Oui, les environs sont remplis d’allemands, tellement que les plaques immatriculation italiennes ont disparu au profits des allemands (un poil exagéré). Je ne me rappelais plus que cet endroit attirait d’autant d’allemands.
Sirmione se rejoint à pied, on laisse la voiture sur des parking prévus pour (à 2,5 € de l’heure). Des gouttes commencent à tomber, ça reste léger mais ça va être pour notre pomme quand même.
Pareil ici, pas de programme de visite, on déambule dans le centre-ville puis sur les bords. Il pleut mais tant pis, la température reste agréable. Le tour se fait en réalité assez vite ; il est possible de visiter le château mais comme bien souvent, on passe notre tour. Vu qu’il est presque 14h, on ne tarde pas à trouver une pizzeria, qui sera bonne mais moins que celle de Trévise. On fait quelques boutiques, sans trouver quoi que ce soit, hormis la traditionnelle bouffe avec des gâteaux par-ci par-là. Les glaces ne sont pas ce qu’il manque.
Au moment de se dire de rejoindre la voiture, un torrent de flotte
Bon, on va attendre que ça passe, mais ça ne passe pas, et le temps tourne (donc le prix de parking !!), et on doit aussi être pour 19h à notre logement, situé à une heure d’ici.Plus de 15 min après, un léger signe d’amélioration, c’est le moment ! On va vers le parking récupérer la voiture, et oh ! Un billet de 5€ par terre
Que ça fait longtemps dis-donc ! Ça servira pour le bien du groupe.Malgré le temps assez mitigé du jour, on s’estime heureux car la ville a été impactée par de très fortes pluies de grêles la veille de notre venue, aucune voiture garée sur le parking n’a été épargnée. Elles ont toutes des trous assez impressionnants sur le pare-choc.
On repart direction plus au nord, côté rive Vénitienne et plus dans les montagnes, vers notre Airbnb. Mais d’abord les courses. Roulés à la saucisse ce soir. On ressort les classiques. Toujours pas de Breezers dans le Lidl choisi, c’est dingue qu’il n’y en n’ait pas dans tous les magasins de la franchise. On sera un peu en retard mais ce n’est point un problème pour Denis, propriétaire des lieux.
La route est encaissée entre les montagnes, c’est très dépaysant quand on est pas habitué à un tel paysage. Nous prenons de l’altitude et des routes de montagnes sinueuses sur les derniers kilomètres de notre trajet. Nous trouvons sans problème la maison dans laquelle on va passer 4 nuits. La maison est collée à un autre gîte.
Deux voitures sont déjà là : deux voitures immatriculées Allemagne. Encore eux.
Et Denis nous accueille chaleureusement JA. Ah, mais Denis est allemand. Encore et encore ! Il nous présente les lieux, les clés, les règles, les photos des pièces d’identité, le tout dans un anglais mélangé à de l’allemand. Ah, c’est pour ça qu’on ne comprend que la moitié des choses. Kris lui fait répéter. NEIN, NICHT. EIN ZWEI DREI. Mais Denis a de l’humour. On lui demande si on peut utiliser la piscine (un peu aussi pour ça qu’on a pris le logement, en plus de la belle vue). Il a l’air interloqué mais JA DAS IST OK.
Une fois Denis parti, c’est parti pour la saucisse party (titre)
Le tout devant la télé où l’on capte aucune chaîne. Mais au fait, même pas besoin de TV en vacances.
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération. Mais pas l’abus de conneries (quoi que)
Dernière édition:
Gardaland – 19 septembre 2023
Don’t open the porte
Quel petit plaisir matinal que de se lever et respirer un bon bol d’air montagnard, avec la vue dégagée sur les montagnes
Hallo, nous disent nos voisins de gîtes allemands, prenants eux aussi leur thé & café, debout dehors, contemplant la nature. Ouaf ouaf fait le GROS Saint-Bernard, sorti de nulle part, et fonçant gentiment dessus me demandant des câlins
« Komm her, komm her ». Ah non, nicht komm her dans notre maison. En plus tu es tout mouillé par la rosée, va donc te rouler dehors !
Nous prévoyons les sandwichs et partons sur les coups de 9h, nous avons une bonne heure de route. Hors vacances scolaires en pleine semaine, on pense viser la meilleure période pour ne pas avoir du monde. Nous n’avons toujours pas les billets en poche, mais on verra sur place.
La route se passe tranquillement, nous savons que nous arrivons à Gardaland, la promotion de l’événement actuel du parc battant son plein… L’Oktoberfest. Ah bah ça, ils ont visé juste, très juste ! Nous avons le choix de la place pour se garer. Bon signe. Nous passons le fameux tunnel pour rejoindre l’entrée du parc, qui a perdu ses LED. Dommage
55 € l’entrée à la caisse… et 39,50 € sur Tiqets. Plus rapide et moins cher, pourquoi aller en caisse ? Nous prenons quelques photos de la place et ne perdons pas notre temps.
Hallo, nous disent nos voisins de gîtes allemands, prenants eux aussi leur thé & café, debout dehors, contemplant la nature. Ouaf ouaf fait le GROS Saint-Bernard, sorti de nulle part, et fonçant gentiment dessus me demandant des câlins
« Komm her, komm her ». Ah non, nicht komm her dans notre maison. En plus tu es tout mouillé par la rosée, va donc te rouler dehors !Nous prévoyons les sandwichs et partons sur les coups de 9h, nous avons une bonne heure de route. Hors vacances scolaires en pleine semaine, on pense viser la meilleure période pour ne pas avoir du monde. Nous n’avons toujours pas les billets en poche, mais on verra sur place.
La route se passe tranquillement, nous savons que nous arrivons à Gardaland, la promotion de l’événement actuel du parc battant son plein… L’Oktoberfest. Ah bah ça, ils ont visé juste, très juste ! Nous avons le choix de la place pour se garer. Bon signe. Nous passons le fameux tunnel pour rejoindre l’entrée du parc, qui a perdu ses LED. Dommage
55 € l’entrée à la caisse… et 39,50 € sur Tiqets. Plus rapide et moins cher, pourquoi aller en caisse ? Nous prenons quelques photos de la place et ne perdons pas notre temps.
Après la saucisse party de la veille, la saucisse party de Gardaland
On peut dire au revoir l’Italie là, place aux musiques et à la bouffe traditionnelle allemande ! Ce n’est pas pour nous déplaire. La décoration est en quantité 
Nous esquivons les zones Peppa Pig et Fantasy Kingdom pour filer à notre première montagne russe : Fuga Da Atlantis, l’aquatrax Intamin où il ne se passe pas grand chose, malgré tout l’effort de thématisation autour de l’attraction. Il fallait en mettre aussi à l’intérieur. Il y a peu de monde, une dizaine de minutes à tout casser. Ça change de l’heure d’attente en heure de pointe. Et le tour était comment ? Eh bien on fait tous la gueule sur la photo on-ride, mais elle est tellement de mauvaise qualité qu’on ne la prend pas.
Nous contournons la zone et arrivons dans une zone peu attirante, malgré cette couleur bleue pétante et ce blanc frais et scintillant ; ne serait-ce pas… Blue Tornado que nous avons là ?
Ni Kris, ni moi avions osé monter dessus en 2016 (le choix entre rider un B&M et un Vekoma était vite fait). Mais à 15 min d’attente et un +1 à cocher… Quelle terrible épreuve que l’on va passer ensemble. Même les lambdas font la gueule.
Si c’est aussi tendre que les sels aux frites du fast food éponyme du coaster, ça va être salé. On souffre, on se crispe, une baffe toutes les 4 secondes en moyenne. Avec, en bonus ! la spirale de fin, qui rend donc ce SLC unique. Comment peut-on faire 8 tours d’affilé de cette bouse ?
Deux rides pas fameux, entre le premier ennuyant et le second violent… Peut-on augmenter en qualité ? Que donne Mammut ? Qui a le même layout que Colorado Adventure à Phantasialand ? Ça débite plutôt bien, avec deux trains de sortis, l’attente tombe à 15 minutes. Hans et Antoine décide d’aller tout au fond, Kris et moi-même au premier rang. Tu feras gaffe à ne pas te prendre le toit du wagon dans la tronche
Ça secoue un peu mais en ridant en valseuse, ça passe incroyablement bien. On découvre toujours de nouvelles techniques de rides ! Dommage qu’on était au premier rang finalement pour la photo, car on ne nous voit pas très bien.
Le niveau remonte, mais on peut faire mieux, on en est sûrs ! Et c’est avec Oblivion qu’on poursuit les rides de la journée.
La zone est toujours bien soigné, ça vieillit bien. Il n’y a personne, on peut même choisir son rang ! Ce sera le premier. Avec un peu de marge, le ride est toujours aussi bon, aussi court soit-il. Dommage pour le stand de photo fermé. On en refera des tours plus tard !
Vous voilà sur une place un peu plus excentrée du centre du parc, avec des installations pour fêter au mieux cet Oktoberfest : scènes avec musiciens, bars éphémères, place pour danser. Vous avez dit… danser ? Qui veut danser ?
Kris sera mon cavalier pour quelques pas bien assimilés et synchronisés… comme on peut. Je danse irlandais, pas allemand.
Après cette petite danse, nous nous lançons dans la file d’attente de Rams… Ah non Jumanji. RIP Ramses. Tu étais un très bon DRI, j’espère que ton remplaçant sera au moins à la hauteur. Ça n’avance pas des masses, on a le temps de regarder la devanture, qui est assez bien faite. Le parc a partiellement laissé les décors de l’ancien, recouverts de couleur vert et de crasse.
On entre enfin dans le bâtiment ; quand on pense que c’est à nous, il y a encore deux parcs à bœufs, planqués sinon ce n’est pas drôle. On en a pour 40 minutes au final.
C’est à nous ! Nous nous installons dans des véhicules, sans pistolets, sans lunettes. Beeeh on n’a plus l’interactivité ?
On passe donc d’un dark-ride interactif, avec plein de décors, de la musique, du rythme, une histoire, bref, une attraction aboutie et qui satisfaisait tout le monde à… un simple dark-ride, où l’on se contente de regarder des écrans, dans un véhicule qui bouge et qui simule une voiture sur un chemin abrupt (il y a Movieland pour ça les gars, et avec un vrai pilote et un vrai chemin) avec une histoire qui ne ressemble en rien à celle de Jumanji. C’est mauvais en somme, c’est naze. Rendez-nous Ramsès merde !!
C’EST QUAND QU’ON MANGE ??? Cette connerie avec 40 minutes de perdue m’a donné faim. Les gars se prennent des bières, Hans et Antoine prennent en plus des frites et des boissons sur place. Sinon on a les sandwiches. En fonction de la quantité achetée, un verre à bière (en plastique) à l’effigie du parc est offert !
Et un petit tour aux toilettes s’impose. Alors, est-ce qu’en 2024, Gardaland a-t-il toujours ses chiottes turques ? Quelle horreur. C’était déjà un « « choc » » en 2016. Eh bien affirmatif, toujours présentes. Il y a des chiottes classiques aussi, mais ils y tiennent à leurs chiottes turques. C’est peut-être une tradition allemande. Mais on n’en a vu aucune dans un parc allemand.
Pour la digestion, Hans et Antoine s’en vont faire Shaman. Avec Kris, nous passons notre tour. Quelle tristesse de ne plus voir Sequoia Adventure, c’était bien drôle comme montagne russe (sauf son débit de merde, mais vu l’affluence du jour, ça l’aurait largement fait).
Non loin de la zone se situe le petit dernier +1, qu’il nous manquait avec Kris, Kung Fu Panda, qui a ouvert la semaine d’après notre passage en 2016. Eh bien, je pensais que c’était un Spinning Mouse ou une Wild Mouse custom, on a bien le Spinning Mouse mais c’est du Technical Park, donc le même qu’à Fiabilandia ! Ah ouais, ça dans un parc comme Gardaland ? C’est pas un peu la honte pour une nouveauté 2016 ?
Nous esquivons les zones Peppa Pig et Fantasy Kingdom pour filer à notre première montagne russe : Fuga Da Atlantis, l’aquatrax Intamin où il ne se passe pas grand chose, malgré tout l’effort de thématisation autour de l’attraction. Il fallait en mettre aussi à l’intérieur. Il y a peu de monde, une dizaine de minutes à tout casser. Ça change de l’heure d’attente en heure de pointe. Et le tour était comment ? Eh bien on fait tous la gueule sur la photo on-ride, mais elle est tellement de mauvaise qualité qu’on ne la prend pas.
Nous contournons la zone et arrivons dans une zone peu attirante, malgré cette couleur bleue pétante et ce blanc frais et scintillant ; ne serait-ce pas… Blue Tornado que nous avons là ?
Ni Kris, ni moi avions osé monter dessus en 2016 (le choix entre rider un B&M et un Vekoma était vite fait). Mais à 15 min d’attente et un +1 à cocher… Quelle terrible épreuve que l’on va passer ensemble. Même les lambdas font la gueule.
Si c’est aussi tendre que les sels aux frites du fast food éponyme du coaster, ça va être salé. On souffre, on se crispe, une baffe toutes les 4 secondes en moyenne. Avec, en bonus ! la spirale de fin, qui rend donc ce SLC unique. Comment peut-on faire 8 tours d’affilé de cette bouse ?
Deux rides pas fameux, entre le premier ennuyant et le second violent… Peut-on augmenter en qualité ? Que donne Mammut ? Qui a le même layout que Colorado Adventure à Phantasialand ? Ça débite plutôt bien, avec deux trains de sortis, l’attente tombe à 15 minutes. Hans et Antoine décide d’aller tout au fond, Kris et moi-même au premier rang. Tu feras gaffe à ne pas te prendre le toit du wagon dans la tronche
Ça secoue un peu mais en ridant en valseuse, ça passe incroyablement bien. On découvre toujours de nouvelles techniques de rides ! Dommage qu’on était au premier rang finalement pour la photo, car on ne nous voit pas très bien.
Le niveau remonte, mais on peut faire mieux, on en est sûrs ! Et c’est avec Oblivion qu’on poursuit les rides de la journée.
La zone est toujours bien soigné, ça vieillit bien. Il n’y a personne, on peut même choisir son rang ! Ce sera le premier. Avec un peu de marge, le ride est toujours aussi bon, aussi court soit-il. Dommage pour le stand de photo fermé. On en refera des tours plus tard !
Vous voilà sur une place un peu plus excentrée du centre du parc, avec des installations pour fêter au mieux cet Oktoberfest : scènes avec musiciens, bars éphémères, place pour danser. Vous avez dit… danser ? Qui veut danser ?
Kris sera mon cavalier pour quelques pas bien assimilés et synchronisés… comme on peut. Je danse irlandais, pas allemand.
Après cette petite danse, nous nous lançons dans la file d’attente de Rams… Ah non Jumanji. RIP Ramses. Tu étais un très bon DRI, j’espère que ton remplaçant sera au moins à la hauteur. Ça n’avance pas des masses, on a le temps de regarder la devanture, qui est assez bien faite. Le parc a partiellement laissé les décors de l’ancien, recouverts de couleur vert et de crasse.
On entre enfin dans le bâtiment ; quand on pense que c’est à nous, il y a encore deux parcs à bœufs, planqués sinon ce n’est pas drôle. On en a pour 40 minutes au final.
C’est à nous ! Nous nous installons dans des véhicules, sans pistolets, sans lunettes. Beeeh on n’a plus l’interactivité ?
On passe donc d’un dark-ride interactif, avec plein de décors, de la musique, du rythme, une histoire, bref, une attraction aboutie et qui satisfaisait tout le monde à… un simple dark-ride, où l’on se contente de regarder des écrans, dans un véhicule qui bouge et qui simule une voiture sur un chemin abrupt (il y a Movieland pour ça les gars, et avec un vrai pilote et un vrai chemin) avec une histoire qui ne ressemble en rien à celle de Jumanji. C’est mauvais en somme, c’est naze. Rendez-nous Ramsès merde !! C’EST QUAND QU’ON MANGE ??? Cette connerie avec 40 minutes de perdue m’a donné faim. Les gars se prennent des bières, Hans et Antoine prennent en plus des frites et des boissons sur place. Sinon on a les sandwiches. En fonction de la quantité achetée, un verre à bière (en plastique) à l’effigie du parc est offert !
Et un petit tour aux toilettes s’impose. Alors, est-ce qu’en 2024, Gardaland a-t-il toujours ses chiottes turques ? Quelle horreur. C’était déjà un « « choc » » en 2016. Eh bien affirmatif, toujours présentes. Il y a des chiottes classiques aussi, mais ils y tiennent à leurs chiottes turques. C’est peut-être une tradition allemande. Mais on n’en a vu aucune dans un parc allemand.
Pour la digestion, Hans et Antoine s’en vont faire Shaman. Avec Kris, nous passons notre tour. Quelle tristesse de ne plus voir Sequoia Adventure, c’était bien drôle comme montagne russe (sauf son débit de merde, mais vu l’affluence du jour, ça l’aurait largement fait).
Non loin de la zone se situe le petit dernier +1, qu’il nous manquait avec Kris, Kung Fu Panda, qui a ouvert la semaine d’après notre passage en 2016. Eh bien, je pensais que c’était un Spinning Mouse ou une Wild Mouse custom, on a bien le Spinning Mouse mais c’est du Technical Park, donc le même qu’à Fiabilandia ! Ah ouais, ça dans un parc comme Gardaland ? C’est pas un peu la honte pour une nouveauté 2016 ?
Prise en flagrant délit de queue jumping, on voit que ça dérange beaucoup de monde
A quatre, côte à côte, on va peut-être pouvoir faire une belle photo ? En tout cas ça flashe ! J’ai déjà trop de ce modèle au compteur, ça ne me rassure jamais que le wagon se balance en même temps que ça tourne. Les petites bosses passent en force. Ce n’est pas agréable.
C’est à la sortie que l’on peut acheter la photo on-ride en self-service
Prix ? 5 €. Je sors le billet de la communauté, ramassé hier à Sirmione, et en échange, nous avons le droit à une sympathique photo on-ride ! On aurait préféré sur Oblivion mais on fait avec !
On enchaîne avec un tour d’Ortobruco Tour, situé à côté et sans attente. Chacun dans son wagon. Le tour se passe bien, c’est rigolo avec cette longueur et son lift-launch à pneus.
Nous quittons cette zone en cul-de-sac pour aller, tenter, de se rafraîchir à Colorado Boats, qui avance plus vite que les bûches de MagicLand ou encore Mirabilandia. Nous raclons le fond assez souvent, par manque d’eau ou un poids trop conséquent… ou les deux. Merde, va falloir arrêter de manger des glaces et des pizzas, et de picoler ! La première drop ne mouille pas, la seconde un peu plus. Histoire de dire.
Passant derrière la zone Jumanji, nous ne lançons pas le labyrinthe, pas envie d’être perdus plus de 20 min. Nous passons alors devant un bateau pirate, fixe, de la décoration… Mais comment oublier et passer à côté de I Corsari ?? Ce boat ride que j’avais beaucoup apprécié. Il n’y a pas foule, allons-y ! La gare, les décorations, la musique sont bien conservés dans leur ensemble. Cela dit, j’ai été globalement moins emballée qu’en 2016, d’autant plus que j’en attendais beaucoup de certaines scènes, mais effets spéciaux manquant, le charme n’a pas opéré.
Il est presque 15h, le parc ferme dans 2h, on n’aurait pas encore une montagne russe à rider ? Un « petit » Raptor. Non, ça ne vous dit rien ? Mais si, le premier Wing B&M et ses vestes complètement tortueuses
Nous nous engageons dans cette file d’attente made in Merlin, des grilles partout, obligés de se taper toute la file, et pas de raccourcis d’ouverts. Sauf les quelques petits malins qui s’amusent à ouvrir les sorties de secours et à nous doubler, accessoirement. Qu’on redouble sans remarque, nan mais oh. On s’offre le premier rang avec Kris, puis second tour plus à l’arrière.
Les fameux premiers harnais next generation de B&M, ceux qui vous étouffent si vous faites le moindre mouvement, tel un serpent se resserrant autour de sa proie qui se débat
le harnais se resserre contre votre torse et vous laisse immobile et vous déchire la moindre mèche de cheveu qui aurait osé s’entremettre.
Ces deux tours se passent bien : on a, malgré les harnais, ce côté aérien, la vitesse constante, des inversions qui passent sans trembler. Les décorations en headchopper font leurs petits effets.
A la sortie de ce second tour, des ados ouvrent toujours les portes de secours. Antoine prend les devants pour leur demander d’arrêter : don’t open the porte, don’t open.
Après toutes ces émotions, une petite pause bier’n’cocktails s’impose. Le bar est installé en plein milieu d’une allée annexe, et proche d’une autre petite scène, où les mêmes musiciens de tout à l’heure jouent leurs plus beaux morceaux allemands. Je prends une pina colada (pas très allemand… et alors ? Il n’avait qu’à faire des bières aux fruits rouges) mais le cocktail a un goût bizarre : pourquoi il n’y a pas de noix de coco… mais du gingembre ? Je demande au gars ce qu’il m’a mis dedans, Il me répond avec difficultés qu’il a appuyé sur un bouton et que le mélange s’est fait tout seul. Mmmm… revoyez vos recettes
On ne peut pas s’empêcher de re-danser avec Kris. On met de l’ambiance (nan j’déconne tout le monde s’en fout)
16h20, il nous reste un peu de temps pour refaire quelques attractions. On est tous unanimes : on refait Oblifion ! Un last puis un first. Excellente drop au last avec un harnais peu serré.
Les gars vont faire Space Vertigo, la free-fall. Ils ont le chic d’être installés pile à un angle de vue où je ne peux pas les prendre en photos. … puis tapent un sprint pour faire un tout dernier tour d’Oblivion, mais c’est déjà l’heure de fermeture.
Nous quittons le parc tranquillement, après un tour dans les boutiques souvenirs, sans rien acheter. Et profitant des LED rallumées dans le Rainbow Tunnel
C’est à la sortie que l’on peut acheter la photo on-ride en self-service
Prix ? 5 €. Je sors le billet de la communauté, ramassé hier à Sirmione, et en échange, nous avons le droit à une sympathique photo on-ride ! On aurait préféré sur Oblivion mais on fait avec !On enchaîne avec un tour d’Ortobruco Tour, situé à côté et sans attente. Chacun dans son wagon. Le tour se passe bien, c’est rigolo avec cette longueur et son lift-launch à pneus.
Nous quittons cette zone en cul-de-sac pour aller, tenter, de se rafraîchir à Colorado Boats, qui avance plus vite que les bûches de MagicLand ou encore Mirabilandia. Nous raclons le fond assez souvent, par manque d’eau ou un poids trop conséquent… ou les deux. Merde, va falloir arrêter de manger des glaces et des pizzas, et de picoler ! La première drop ne mouille pas, la seconde un peu plus. Histoire de dire.
Passant derrière la zone Jumanji, nous ne lançons pas le labyrinthe, pas envie d’être perdus plus de 20 min. Nous passons alors devant un bateau pirate, fixe, de la décoration… Mais comment oublier et passer à côté de I Corsari ??
Ce boat ride que j’avais beaucoup apprécié. Il n’y a pas foule, allons-y ! La gare, les décorations, la musique sont bien conservés dans leur ensemble. Cela dit, j’ai été globalement moins emballée qu’en 2016, d’autant plus que j’en attendais beaucoup de certaines scènes, mais effets spéciaux manquant, le charme n’a pas opéré.
Il est presque 15h, le parc ferme dans 2h, on n’aurait pas encore une montagne russe à rider ? Un « petit » Raptor. Non, ça ne vous dit rien ? Mais si, le premier Wing B&M et ses vestes complètement tortueuses
Nous nous engageons dans cette file d’attente made in Merlin, des grilles partout, obligés de se taper toute la file, et pas de raccourcis d’ouverts. Sauf les quelques petits malins qui s’amusent à ouvrir les sorties de secours et à nous doubler, accessoirement. Qu’on redouble sans remarque, nan mais oh. On s’offre le premier rang avec Kris, puis second tour plus à l’arrière.
Les fameux premiers harnais next generation de B&M, ceux qui vous étouffent si vous faites le moindre mouvement, tel un serpent se resserrant autour de sa proie qui se débat
le harnais se resserre contre votre torse et vous laisse immobile et vous déchire la moindre mèche de cheveu qui aurait osé s’entremettre.Ces deux tours se passent bien : on a, malgré les harnais, ce côté aérien, la vitesse constante, des inversions qui passent sans trembler. Les décorations en headchopper font leurs petits effets.
A la sortie de ce second tour, des ados ouvrent toujours les portes de secours. Antoine prend les devants pour leur demander d’arrêter : don’t open the porte, don’t open.
Après toutes ces émotions, une petite pause bier’n’cocktails s’impose. Le bar est installé en plein milieu d’une allée annexe, et proche d’une autre petite scène, où les mêmes musiciens de tout à l’heure jouent leurs plus beaux morceaux allemands. Je prends une pina colada (pas très allemand… et alors ? Il n’avait qu’à faire des bières aux fruits rouges) mais le cocktail a un goût bizarre : pourquoi il n’y a pas de noix de coco… mais du gingembre ? Je demande au gars ce qu’il m’a mis dedans, Il me répond avec difficultés qu’il a appuyé sur un bouton et que le mélange s’est fait tout seul. Mmmm… revoyez vos recettes
On ne peut pas s’empêcher de re-danser avec Kris. On met de l’ambiance (nan j’déconne tout le monde s’en fout)
16h20, il nous reste un peu de temps pour refaire quelques attractions. On est tous unanimes : on refait Oblifion ! Un last puis un first. Excellente drop au last avec un harnais peu serré.
Les gars vont faire Space Vertigo, la free-fall. Ils ont le chic d’être installés pile à un angle de vue où je ne peux pas les prendre en photos. … puis tapent un sprint pour faire un tout dernier tour d’Oblivion, mais c’est déjà l’heure de fermeture.
Nous quittons le parc tranquillement, après un tour dans les boutiques souvenirs, sans rien acheter. Et profitant des LED rallumées dans le Rainbow Tunnel
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Conclusion sur le parc : Nous avons passé une agréable journée à (re)découvrir le parc, avec peu de monde et un beau temps, sans avoir une chaleur écrasante. Dans l’ensemble, le parc se tient bien (propre, employés assez sympa, décorations qui vieillissent bien).
Les attractions sont en nombre et variées pour se divertir sur la journée, mais seules quelques unes se refont (Oblivion et Raptor). Il manque une nouvelle montagne russe, un peu plus à la hauteur que la dernière installée dont on taira le nom.
Les quelques frites servies pour Hans et Antoine étaient moins salées, mais nous n’avons pas plus goûté à la nourriture fast-food, on ne peut pas vous dire si c’est toujours pas bon ou si la glace a toujours un goût de savon
Si vous êtes en vacances au Lac de Garde, la visite est à faire, ça reste le plus gros parc d’Italie. Faites juste attention à la période où vous y aller.
Les attractions sont en nombre et variées pour se divertir sur la journée, mais seules quelques unes se refont (Oblivion et Raptor). Il manque une nouvelle montagne russe, un peu plus à la hauteur que la dernière installée dont on taira le nom.
Les quelques frites servies pour Hans et Antoine étaient moins salées, mais nous n’avons pas plus goûté à la nourriture fast-food, on ne peut pas vous dire si c’est toujours pas bon ou si la glace a toujours un goût de savon
Si vous êtes en vacances au Lac de Garde, la visite est à faire, ça reste le plus gros parc d’Italie. Faites juste attention à la période où vous y aller.
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Avant de rentrer à la maison, nous passons dans un Lidl, pour compléter le repas de ce soir et faire les sandwich de demain. On refait le stock pour l’apéro, et v’la t’y pas qu’il y a des Breezer ! C’est au petit bonheur la chance ces boissons-là. Et Hans conclut avec du Limoncello 
Sur la route du retour, le temps se fait plus gris, le vent se lève un peu, mais ça ne nous empêchera pas de nous baigner !
Courses rangées, tous en maillot de bain et descendons à la sainte piscine. Il fait déjà sombre, les lumières le long du chemin ne s’allument pas automatiquement. Les gars y entrent comme… avec une certaine facilité. J’ai du mal à m’y mettre, c’est qu’elle est froide bordel. Et en plus de ça, j’ai déjà la crève donc je ne sais pas si c’est bonne idée. Je grimpe sur les épaules de Kris, je reste à la surface, sauf s’il s’amuse à faire le sous-marin. Et me voilà baptisée. J’y reste pas plus de 15 minutes. Après, il faut manger.
Sur la route du retour, le temps se fait plus gris, le vent se lève un peu, mais ça ne nous empêchera pas de nous baigner !
Courses rangées, tous en maillot de bain et descendons à la sainte piscine. Il fait déjà sombre, les lumières le long du chemin ne s’allument pas automatiquement. Les gars y entrent comme… avec une certaine facilité. J’ai du mal à m’y mettre, c’est qu’elle est froide bordel. Et en plus de ça, j’ai déjà la crève donc je ne sais pas si c’est bonne idée. Je grimpe sur les épaules de Kris, je reste à la surface, sauf s’il s’amuse à faire le sous-marin. Et me voilà baptisée. J’y reste pas plus de 15 minutes. Après, il faut manger.
Dernière édition:
Ce n’est pas la première fois que je le dis, mais on n’en a jamais assez : c’est toujours un régal de lire tes TRs !
Que ce soit pour découvrir des parcs qu’on n’a jamais fait, ou bien pour découvrir d’autres avis de parcs qu’on a déjà fait (en l’occurrence Mirabilandia et Gardaland, bientôt Movieland…), on s’imagine très bien être avec vous au cours de cette journée. Ne change rien à tes récits !
Que ce soit pour découvrir des parcs qu’on n’a jamais fait, ou bien pour découvrir d’autres avis de parcs qu’on a déjà fait (en l’occurrence Mirabilandia et Gardaland, bientôt Movieland…), on s’imagine très bien être avec vous au cours de cette journée. Ne change rien à tes récits !
Movieland – 20 septembre 2023
Are you OK?
7h30. Ragnaroyk bonjour ! Comme ça c’est dit. Et Movieland + Dame Nature ce n’est pas le meilleur combo. Tans pis, je ne peux que faire avec, je vais prendre le stock. Nous nous empressons, ou pas trop, pour prendre le chemin pour le parc, quasi identique qu’à Gardaland, les parcs étant situé à 5km l’un de l’autre.
Bon, il fallait qu’après avoir descendu toute la montagne (à cheval), chacun se rende compte qu’on a oublié des trucs : portable, sandwich, crème solaire, lunettes… Elle est vraiment relax cette journée, non ?
Le beau temps est au RDV, et le peu de monde aussi. Nous arrivons sur les coups de 10h20, sur un parking assez vide, mais qui ne se ressemble pas à celui dont j’avais en mémoire : plein de cailloux et très proche de l’entrée. Là, il est goudronné et il faut un peu marcher pour atteindre le monde du film. Ça nous fait passer devant Caneva the Aquapark, qui a fermé juste une semaine avant notre passage. Snif, nous qui voulions bien l’essayer, mais c’était compliqué de le caser avec le programme casé au chausse-pied.
On arrive devant l’entrée du parc, billets achetés sur le site, aucune réduction trouvée par ailleurs. Hier, l’Allemagne. Aujourd’hui, les USA
Fuck yeah, on aime les ricains aussi. L’allée s’est un peu étoffée depuis 2016. Des décors et des attractions supplémentaires sont apparus, mais en contrepartie, d’autres sont parties, comme Bronto Jet, le jumeau du Bobsleigh.
Vu la très faible affluence, on prend tout notre temps pour déambuler dans le parc, d’autant plus qu’il est petit. On commence en douceur avec Magma 2.1.
A quatre, on tient tous une une rangée, composée de 5 places (ça a son importance). Nous sommes assez surpris de voir une mère et son (trop) jeune enfant, encore en bandoulière contre elle, monter dans le gros 4×4 merican gazoil fuck yeah, sous l’autorisation de l’opérateur
A vu d’œil, il a 8 mois tout au plus. Bordel il va s’en souvenir 
On commence après 10 minutes à attendre que le 4×4 se remplisse. Odeur de diesel, demi-tour, terrain chaotique, passage d’eau, marche arrière, hangar sombre bref, je ne vais pas (trop) spoiler mais c’est génial et c’est nécessaire de le faire et de se tenir mais comme on aime bien valdinguer, je ne compte plus le nombre de fois où Kris atterrit sur moi, qui atterrit sur Hans, qui bouscule Antoine… Après un tour bien fendard, on s’est bien tous décalé d’une place !
On part plus loin dans le parc, et passons devant U-571, au grand désespoir fermé. Porte bien verrouillée avec un cadenas et une impression de laisser à l’abandon. Oh non, cette attraction est trop bien pourtant
On se dirige vers notre prochaine zone d’amusement : Kit Super Jet. Aaah, ce bon Mr 360, est-il encore là ? La réponse est négative. Il nous aura bien amusé en 2016, j’espère que ses successeurs seront à la hauteur !
Équipés de nos plus beaux gilets de sauvetage, on attend que le monde vienne remplir la salle d’attente. Et on attend, un peu, 15 minutes je dirais. Oui, c’est bien d’avoir un parc pas trop rempli, mais désert c’est pas bon non plus.
Aux côtés du pilote, Fanboy, ça va arroser ! Vitesse, freinage, vagues, rotations dignes de tornades, y a pas à dire, il maîtrise le pilote On trouve toujours ça court malheureusement, on en redemanderait bien ! On aura tout le temps d’en refaire un autre tour dans l’après-midi.
On prend quelques photos devant le superbe panneau très réaliste Hollywood (il y a même un mode d’emploi pour prendre THE photo parfaitement cadrée)…
Bon, il fallait qu’après avoir descendu toute la montagne (à cheval), chacun se rende compte qu’on a oublié des trucs : portable, sandwich, crème solaire, lunettes… Elle est vraiment relax cette journée, non ?
Le beau temps est au RDV, et le peu de monde aussi. Nous arrivons sur les coups de 10h20, sur un parking assez vide, mais qui ne se ressemble pas à celui dont j’avais en mémoire : plein de cailloux et très proche de l’entrée. Là, il est goudronné et il faut un peu marcher pour atteindre le monde du film. Ça nous fait passer devant Caneva the Aquapark, qui a fermé juste une semaine avant notre passage. Snif, nous qui voulions bien l’essayer, mais c’était compliqué de le caser avec le programme casé au chausse-pied.
On arrive devant l’entrée du parc, billets achetés sur le site, aucune réduction trouvée par ailleurs. Hier, l’Allemagne. Aujourd’hui, les USA
Fuck yeah, on aime les ricains aussi. L’allée s’est un peu étoffée depuis 2016. Des décors et des attractions supplémentaires sont apparus, mais en contrepartie, d’autres sont parties, comme Bronto Jet, le jumeau du Bobsleigh.
Vu la très faible affluence, on prend tout notre temps pour déambuler dans le parc, d’autant plus qu’il est petit. On commence en douceur avec Magma 2.1.
A quatre, on tient tous une une rangée, composée de 5 places (ça a son importance). Nous sommes assez surpris de voir une mère et son (trop) jeune enfant, encore en bandoulière contre elle, monter dans le gros 4×4 merican gazoil fuck yeah, sous l’autorisation de l’opérateur
A vu d’œil, il a 8 mois tout au plus. Bordel il va s’en souvenir On commence après 10 minutes à attendre que le 4×4 se remplisse. Odeur de diesel, demi-tour, terrain chaotique, passage d’eau, marche arrière, hangar sombre bref, je ne vais pas (trop) spoiler mais c’est génial et c’est nécessaire de le faire et de se tenir mais comme on aime bien valdinguer, je ne compte plus le nombre de fois où Kris atterrit sur moi, qui atterrit sur Hans, qui bouscule Antoine… Après un tour bien fendard, on s’est bien tous décalé d’une place !
On part plus loin dans le parc, et passons devant U-571, au grand désespoir fermé. Porte bien verrouillée avec un cadenas et une impression de laisser à l’abandon. Oh non, cette attraction est trop bien pourtant
On se dirige vers notre prochaine zone d’amusement : Kit Super Jet. Aaah, ce bon Mr 360, est-il encore là ? La réponse est négative. Il nous aura bien amusé en 2016, j’espère que ses successeurs seront à la hauteur !
Équipés de nos plus beaux gilets de sauvetage, on attend que le monde vienne remplir la salle d’attente. Et on attend, un peu, 15 minutes je dirais. Oui, c’est bien d’avoir un parc pas trop rempli, mais désert c’est pas bon non plus.
Aux côtés du pilote, Fanboy, ça va arroser ! Vitesse, freinage, vagues, rotations dignes de tornades, y a pas à dire, il maîtrise le pilote
On trouve toujours ça court malheureusement, on en redemanderait bien ! On aura tout le temps d’en refaire un autre tour dans l’après-midi.On prend quelques photos devant le superbe panneau très réaliste Hollywood (il y a même un mode d’emploi pour prendre THE photo parfaitement cadrée)…
On est de supers photographes, hein ?
… pour ensuite commencer à grignoter, j’ai déjà faim. Mais qui dit que je mange, dit faire une pause, pour ma part, dans les attractions. Pourtant, les gars sont si pressés d’aller créditer Bronto-Ring. Je les suis, je finirai en vitesse le sandwich avant d’embarquer.
Ou pas.
Bonne ambiance, bonne musique, c’est l’éclate.
Après le cercle, BC-10 Airlines. Sans moi, vu le monde qui embarque, c’est un coup à avoir un tour de 7 minutes…
Après le cercle, BC-10 Airlines. Sans moi, vu le monde qui embarque, c’est un coup à avoir un tour de 7 minutes…
Voilà. C’est blindé.
Troncosaurus, le flume, direct sans attente, quelques gouttes d’eau nous tombent dessus avant même de dropper, ça goutte depuis les canaux au-dessus de nos têtes, Une petite balade un peu chiante en hauteur avant de faire une drop pas humide, puis on recommence le concept, avec une autre drop pas humide. C’est assez bien thématisé dans l’ensemble, on gratte souvent le fond du canal.
Il fallait qu’on passe dans la boutique des bonbons… Et voilà je craque encore. Je partagerai avec Antoine & Hans & Kris vu que c’est 6 € le pot, qu’importe le poids. On bourre la mule comme on peut
Vu qu’on a le dessert, on peut faire la pause pique-nique, dans un endroit interdit au pique-nique. Boh, ça va, on vient d’acheter des bonbons ET des boissons.
La zone étant définitivement torchée, on part de-là, tout en passant obligatoirement devant U-571 qui vient d’ouvrir !
La file est peu remplie mais nous avons juste derrière nous une horde de lycéens allemands (meilleure intégration possible) venant mettre le bordel. Ça donne ça un meeting CW vu d’extérieur ahah ? On souhaite juste ne pas être avec eux. Et vu leur nombre, ils vont préférer ne faire qu’un dedans.
Nous passons heureusement sans eux. Mis directement dans l’ambiance avec deux acteurs dans le pré-show, nous sommes invités à nous installer dans le sous-marin, sur des assises en forme de pylônes donc pas très stables, tenez-vous bien… Sauf si vous vous appelez Kris et que vous avez le flair pour choisir LA meilleure place : juste à côté d’une grosse sortie d’eau Avec Hans, nous nous y mettons à cœur joie pour rabattre le jet sur lui. Voulant se défendre, il lâche tout, et tombe à la renverse dans le décor, coincé jusqu’à la fin du tour. Un bain.
Et quitte à être trempés, c’est le bon moment pour refaire Kit Super Jet. Au fond du bateau, ça secoue encore plus !
Ce n’est pas le tout, mais toute cette eau me donne envie de pisser.
Kit Super Jet junior, un Kit Super Jet pour les gamins, piloté par les gamins. C’est trop mignon, mais c’est pas fait.
Nous revenons sur le devant du parc, direction Holmes Hotel, la terror house (Horror House en 2016). Je ne sais plus si c’était déjà celle-là en 2016 mais ce qui est sûr, c’est qu’avec Kris, on va rester sur le bord de la fontaine, comme en 2016. Ne manquerait plus que Pierrot et le retour en arrière serait parfait.
Et en 2016, on n’avait pas fait Movieland Route 66 Cars, alors que ça nous aurait fait un petit truc à faire pour patienter. C’est fait cette fois-ci, mais avec les gars qui ont fini leur tour en même pas 10min. Pfff, ils ont du courir là-dedans tellement ils sont blasés
Nous partons vers la zone d’Inferno, pour le +1 d’Antoine et Hans. Pas spécialement envie de rider l’inverted, même si dans mes souvenirs, il est bien meilleur que Triops. Je préfère siester sur le lopin de terre proche de la montagne russe. Kris fait de même sur un banc, pied à l’air libre. On est bien.
Les gars ont très rapidement terminé leur tour et se dirigent vers Expedition Pangea, la nouveauté 2023 où l’on peut piloter notre propre 4×4 sur un parcours un peu sinueux. Vu que nous étions en train de dormir, on ne les a pas vu partir, mais on a eu la même idée de faire cette attraction. La file d’attente patine, et on n’ose pas avancer (doubler donc) dans la file, ce serait mal poli. Mais ce sont les visiteurs eux même qui nous y invitent. Bah merci ! Le débit est assez lent car dépendant de la rapidité des conducteurs… On peut monter jusqu’à 4 par véhicule, ce qui est parfait pour nous. Après une bonne grosse demie-heure, on laisse Antoine conduire, on met l’écran en anglais et rouuuuuule. Le parcours est, presque comme promis, assez sinueux. Par contre les véhicule sont plutôt lents, et la détection des check-point pour le chronomètre de rapidité à revoir. On se fait un peu chier sur la fin, restant sur notre faim.
La petite zone étant terminée, on revient au centre du parc car une attraction phare n’a pas encore été faite : Hollywood Tower. Tout le monde y va en fanfaronnant, mais je me bloque. C’est con, comme en 2016. C’est encore plus con d’autant plus que tu l’as déjà faite. Bordel, je stresse, je n’ose paaaaaas
Du coup les gars y vont sans moi… Tu vas bouger ton cul, femme ?! Nan mais en plus plus c’est un +1.
Il fallait qu’on passe dans la boutique des bonbons… Et voilà je craque encore. Je partagerai avec Antoine & Hans & Kris vu que c’est 6 € le pot, qu’importe le poids. On bourre la mule comme on peut
Vu qu’on a le dessert, on peut faire la pause pique-nique, dans un endroit interdit au pique-nique. Boh, ça va, on vient d’acheter des bonbons ET des boissons.
La zone étant définitivement torchée, on part de-là, tout en passant obligatoirement devant U-571 qui vient d’ouvrir !
La file est peu remplie mais nous avons juste derrière nous une horde de lycéens allemands (meilleure intégration possible) venant mettre le bordel. Ça donne ça un meeting CW vu d’extérieur ahah ? On souhaite juste ne pas être avec eux. Et vu leur nombre, ils vont préférer ne faire qu’un dedans.
Nous passons heureusement sans eux. Mis directement dans l’ambiance avec deux acteurs dans le pré-show, nous sommes invités à nous installer dans le sous-marin, sur des assises en forme de pylônes donc pas très stables, tenez-vous bien… Sauf si vous vous appelez Kris et que vous avez le flair pour choisir LA meilleure place : juste à côté d’une grosse sortie d’eau
Avec Hans, nous nous y mettons à cœur joie pour rabattre le jet sur lui. Voulant se défendre, il lâche tout, et tombe à la renverse dans le décor, coincé jusqu’à la fin du tour. Un bain.Et quitte à être trempés, c’est le bon moment pour refaire Kit Super Jet. Au fond du bateau, ça secoue encore plus !
Ce n’est pas le tout, mais toute cette eau me donne envie de pisser.
Kit Super Jet junior, un Kit Super Jet pour les gamins, piloté par les gamins. C’est trop mignon, mais c’est pas fait.
Nous revenons sur le devant du parc, direction Holmes Hotel, la terror house (Horror House en 2016). Je ne sais plus si c’était déjà celle-là en 2016 mais ce qui est sûr, c’est qu’avec Kris, on va rester sur le bord de la fontaine, comme en 2016. Ne manquerait plus que Pierrot et le retour en arrière serait parfait.
Et en 2016, on n’avait pas fait Movieland Route 66 Cars, alors que ça nous aurait fait un petit truc à faire pour patienter. C’est fait cette fois-ci, mais avec les gars qui ont fini leur tour en même pas 10min. Pfff, ils ont du courir là-dedans tellement ils sont blasés
Nous partons vers la zone d’Inferno, pour le +1 d’Antoine et Hans. Pas spécialement envie de rider l’inverted, même si dans mes souvenirs, il est bien meilleur que Triops. Je préfère siester sur le lopin de terre proche de la montagne russe. Kris fait de même sur un banc, pied à l’air libre. On est bien.
Les gars ont très rapidement terminé leur tour et se dirigent vers Expedition Pangea, la nouveauté 2023 où l’on peut piloter notre propre 4×4 sur un parcours un peu sinueux. Vu que nous étions en train de dormir, on ne les a pas vu partir, mais on a eu la même idée de faire cette attraction. La file d’attente patine, et on n’ose pas avancer (doubler donc) dans la file, ce serait mal poli. Mais ce sont les visiteurs eux même qui nous y invitent. Bah merci ! Le débit est assez lent car dépendant de la rapidité des conducteurs… On peut monter jusqu’à 4 par véhicule, ce qui est parfait pour nous. Après une bonne grosse demie-heure, on laisse Antoine conduire, on met l’écran en anglais et rouuuuuule. Le parcours est, presque comme promis, assez sinueux. Par contre les véhicule sont plutôt lents, et la détection des check-point pour le chronomètre de rapidité à revoir. On se fait un peu chier sur la fin, restant sur notre faim.
La petite zone étant terminée, on revient au centre du parc car une attraction phare n’a pas encore été faite : Hollywood Tower. Tout le monde y va en fanfaronnant, mais je me bloque. C’est con, comme en 2016. C’est encore plus con d’autant plus que tu l’as déjà faite. Bordel, je stresse, je n’ose paaaaaas
Du coup les gars y vont sans moi… Tu vas bouger ton cul, femme ?! Nan mais en plus plus c’est un +1.
Non.
Si.
Si.
Si, je sais que c’est un +1, mais je ne bougerai pas mon cul
En attendant que je me débloque, on retourne se faire secouer dans Magma 2.1. Ah, tiens, on ne recroise pas la mère et son jeune enfant. Étonnant. On se lance le défi de ne pas se tenir. C’est à en perdre des dents cette connerie de challenge.
On repasse dans la catégorie cinéma, avec Android, the Final 3D Battle – qui a remplacé Terminator 2 5D: The Game. 10 petites minutes d’attente, le temps que le show en cours se termine. Le film a changé donc mais les décors à l’intérieur ont été en grande partie conservés. Un acteur joue toujours un rôle pendant le film (surtout au début), pour garder un sens à l’existence des robots de Terminator. Sinon la 3D était globalement floue.
Police Academy, le show avec la Danse des Canards a disparu
– à la place, Fantasmik, qu’on a essayé courageux que nous sommes, un parcours dans le « noir » pour les enfants, avec UN toboggan (nul à chier) et voilà – Bref on a perdu au change…
Vu que le parc célèbre l’eumerikaaa, qu’est ce qui n’est pas plus meurikaaa que de manger le plus rapidement possible un hot dog ? Quatre visiteurs se sont inscrits pour ce concours (si j’avais su !) et s’affronte sur place publique. Qui sera le vainqueur ? En un peu moins de deux minutes, c’est un enfant qui bat tout le monde. C’était Pascal la Dalle ou bien ? Félicitations à lui, il gagne je ne sais plus quoi.
Antoine et Hans s’en vont pour l’espace sur Space, Mission Orbit, une space shot S&S on-ne-peut-plus-classique, avec presque personne dedans mais flemme d’y aller remuer mon estomac. Je préfère manger une gaufre…
… et monter dans Hollywood Tower… J’Y VAIS, ENFIN. Avec Hans et Antoine, Kris abdiquant, ayant trop mal au crâne à cause du passage vertical-horizontal. Alleeeeez, finalement, j’ai fait le plus dur, et tu l’as DÉJÀ FAIT tout court. Je me connais, je vais crier hein
Nous arrivons au point culminant, la cabine s’avance, s’aligne avec les rails, les lettre tombent, la fumée sort et c’est LE CRI DE L’ENFER Je me surpasse à chaque fois, je m’étonne de moi-même. Et voilà, j’en tremble bien mais si je tremble, c’est que je suis encore parmi vous !
Et quitte à être encore parmi vous, à battre le fer chaud, peut-être devrais-je recommencer de ce pas un autre tour ? Hans m’accompagne, soldat Antoine ayant perdu lui aussi un morceau de cerveau.
En attendant que je me débloque, on retourne se faire secouer dans Magma 2.1. Ah, tiens, on ne recroise pas la mère et son jeune enfant. Étonnant. On se lance le défi de ne pas se tenir. C’est à en perdre des dents cette connerie de challenge.
On repasse dans la catégorie cinéma, avec Android, the Final 3D Battle – qui a remplacé Terminator 2 5D: The Game. 10 petites minutes d’attente, le temps que le show en cours se termine. Le film a changé donc mais les décors à l’intérieur ont été en grande partie conservés. Un acteur joue toujours un rôle pendant le film (surtout au début), pour garder un sens à l’existence des robots de Terminator. Sinon la 3D était globalement floue.
Police Academy, le show avec la Danse des Canards a disparu
– à la place, Fantasmik, qu’on a essayé courageux que nous sommes, un parcours dans le « noir » pour les enfants, avec UN toboggan (nul à chier) et voilà – Bref on a perdu au change…Vu que le parc célèbre l’eumerikaaa, qu’est ce qui n’est pas plus meurikaaa que de manger le plus rapidement possible un hot dog ? Quatre visiteurs se sont inscrits pour ce concours (si j’avais su !) et s’affronte sur place publique. Qui sera le vainqueur ? En un peu moins de deux minutes, c’est un enfant qui bat tout le monde. C’était Pascal la Dalle ou bien ? Félicitations à lui, il gagne je ne sais plus quoi.
Antoine et Hans s’en vont pour l’espace sur Space, Mission Orbit, une space shot S&S on-ne-peut-plus-classique, avec presque personne dedans mais flemme d’y aller remuer mon estomac. Je préfère manger une gaufre…
… et monter dans Hollywood Tower… J’Y VAIS, ENFIN. Avec Hans et Antoine, Kris abdiquant, ayant trop mal au crâne à cause du passage vertical-horizontal. Alleeeeez, finalement, j’ai fait le plus dur, et tu l’as DÉJÀ FAIT tout court. Je me connais, je vais crier hein
Nous arrivons au point culminant, la cabine s’avance, s’aligne avec les rails, les lettre tombent, la fumée sort
et c’est LE CRI DE L’ENFER Je me surpasse à chaque fois, je m’étonne de moi-même. Et voilà, j’en tremble bien mais si je tremble, c’est que je suis encore parmi vous !Et quitte à être encore parmi vous, à battre le fer chaud, peut-être devrais-je recommencer de ce pas un autre tour ? Hans m’accompagne, soldat Antoine ayant perdu lui aussi un morceau de cerveau.
Mon objectif ? Ne pas crier. Être plus forte que cette sensation de chute que tu n’arrives pas encore à apprivoiser. Ne pas se laisser prendre par ses chaudes émotions. Non, tu ne crieras point, ma fille.
[SPOIL : je n’ai pas crié, j’ai hurlé]
Et comme le fer est toujours plus chaud, et si on n’irait pas s’affronter dans la Terror House, avec Kris ?
Hans et Antoine nous accompagnent, évidement ! Allez, on n’a plus peur de rien, on va péter la gueule à tout le monde. A la queuleuleu tous les quatre, nous entrons dans le hall de l’hôtel où la réceptionniste nous accueille et nous explique les consignes de sécurité. On doit se tenir en file indienne les mains sur les épaules. Et demande formellement à Hans et Antoine de nous rien spoiler. Nous prenons l’ascenseur, sortons sur un couloir où la lumière est inexistante… Et puis en fait, je ne peux même pas vous spoiler car il fait très sombre ici, c’est un peu, angoissant A A A LA QUEULEULEU… TOUT LE MONDE S’ÉCLATE, A LA QUEULEULEU – oui, voilà ce qu’on chante pour se donner du courage, ça fait d’ailleurs péter les plombs aux acteurs qui gueulent « SHUT UP », puis pour se venger… *chuuuuut*
Après avoir, non sans embuscades, traversé beaucoup de pièces, nous arrivons à un escalier éclairé, qui présage fortement la sortie au vu du nombre de lumière. Nous nous délions, Antoine et Hans se mettent à courir, au loin. Bordel, les cons, ils nous ont eu. Avec Kris nous sommes plantés là, le parcours n’est pas fini, et aucun de nous deux n’osent avancer. C’est simple : si personne ne vient nous chercher, je me mets en boule et j’attends. La psychologie de l’attraction fonctionne bien sur moi. Ils viennent nous rechercher, pour finir le parcours. Quelques dizaines de mètres plus loin, c’est la véritable sortie : ça donne sur la boutique souvenirs. Nous nous délions pour de bon et la rejoignons. C’était sans compter sur une actrice qui me saute dessus. De peur, je fais un bond de traviole et me mange sur tout le côté gauche le cadran de la porte. PUTAIN Je me tiens le bras, ça a bien claqué. L’actrice ricane et claque la porte. *soupir de coup qui fait bien mal*. Bordel, ça c’est un fin que je n’oublierai pas. L’actrice rouvre la porte et me demande « Are you OK? » Oui oui, good, ça va aller. Anecdote : les bleus sur le bras et la jambe ont mis trois semaines pour partir.
Retrouvons l’air et le ciel bleu, nous n’avons plus grand chose à faire avant le spectacle de Rumbo. Hans et Antoine refont des tours de Space Shot, avec Kris on se pose tranquillement. On a loupé les horaires du show Overdrive. Ça sentait le show bien kitsch à aller voir.
16h50, les portes ouvrent pour le show prévu à 17h. Littéralement tout le parc est au spectacle. Je me rappelle de bribes du spectacle, dont le fait que des visiteurs peuvent être pris pour jouer dedans. Le présentateur, pseudo-sosie de David Hasselhoff, annonce le début du show, sous forme de tournage de film. Le début de show est digne d’un film bien américano yeah, ça pète et tout sort de nulle part. Ensuite, s’enchaîne cascades, feux, chutes, motos, camions, chars, gros flingues… toute la panoplie attendue. Ça se regarde sans soucis !
Et voilà, un bonne journée qui se finit
[SPOIL : je n’ai pas crié, j’ai hurlé]
Et comme le fer est toujours plus chaud, et si on n’irait pas s’affronter dans la Terror House, avec Kris ?
Hans et Antoine nous accompagnent, évidement ! Allez, on n’a plus peur de rien, on va péter la gueule à tout le monde. A la queuleuleu tous les quatre, nous entrons dans le hall de l’hôtel où la réceptionniste nous accueille et nous explique les consignes de sécurité. On doit se tenir en file indienne les mains sur les épaules. Et demande formellement à Hans et Antoine de nous rien spoiler. Nous prenons l’ascenseur, sortons sur un couloir où la lumière est inexistante… Et puis en fait, je ne peux même pas vous spoiler car il fait très sombre ici, c’est un peu, angoissant
A A A LA QUEULEULEU… TOUT LE MONDE S’ÉCLATE, A LA QUEULEULEU – oui, voilà ce qu’on chante pour se donner du courage, ça fait d’ailleurs péter les plombs aux acteurs qui gueulent « SHUT UP », puis pour se venger… *chuuuuut*Après avoir, non sans embuscades, traversé beaucoup de pièces, nous arrivons à un escalier éclairé, qui présage fortement la sortie au vu du nombre de lumière. Nous nous délions, Antoine et Hans se mettent à courir, au loin. Bordel, les cons, ils nous ont eu. Avec Kris nous sommes plantés là, le parcours n’est pas fini, et aucun de nous deux n’osent avancer. C’est simple : si personne ne vient nous chercher, je me mets en boule et j’attends. La psychologie de l’attraction fonctionne bien sur moi. Ils viennent nous rechercher, pour finir le parcours. Quelques dizaines de mètres plus loin, c’est la véritable sortie : ça donne sur la boutique souvenirs. Nous nous délions pour de bon et la rejoignons. C’était sans compter sur une actrice qui me saute dessus. De peur, je fais un bond de traviole et me mange sur tout le côté gauche le cadran de la porte. PUTAIN
Je me tiens le bras, ça a bien claqué. L’actrice ricane et claque la porte. *soupir de coup qui fait bien mal*. Bordel, ça c’est un fin que je n’oublierai pas. L’actrice rouvre la porte et me demande « Are you OK? » Oui oui, good, ça va aller. Anecdote : les bleus sur le bras et la jambe ont mis trois semaines pour partir.Retrouvons l’air et le ciel bleu, nous n’avons plus grand chose à faire avant le spectacle de Rumbo. Hans et Antoine refont des tours de Space Shot, avec Kris on se pose tranquillement. On a loupé les horaires du show Overdrive. Ça sentait le show bien kitsch à aller voir.
16h50, les portes ouvrent pour le show prévu à 17h. Littéralement tout le parc est au spectacle. Je me rappelle de bribes du spectacle, dont le fait que des visiteurs peuvent être pris pour jouer dedans. Le présentateur, pseudo-sosie de David Hasselhoff, annonce le début du show, sous forme de tournage de film. Le début de show est digne d’un film bien américano yeah, ça pète et tout sort de nulle part. Ensuite, s’enchaîne cascades, feux, chutes, motos, camions, chars, gros flingues… toute la panoplie attendue. Ça se regarde sans soucis !
Et voilà, un bonne journée qui se finit
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Conclusion sur le parc : quel plaisir de le retrouver et de s’amuser sur Kit Super Jet, Magma, U-571 & les différents shows. Nous avons poussé la visite jusqu’au bout mais le parc était clairement peu rempli. Il était possible de le « torcher » en 2 ou 3h (si vous ne faites pas les spectacles). Si le parc aquatique était ouvert, c’est ce qu’on aurait fait ! Mais on l’a loupé à une semaine près, comme en 2016.
Les opérateurs/acteurs sont tous à fond dans leur rôle, pour une immersion toujours plus poussée.
Nous n’avons pas goûté à la nourriture du parc mais de mémoire, ça se mangeait bien. Il y a de quoi acheter quelques bibelots dans les boutiques souvenirs du parc.
Les opérateurs/acteurs sont tous à fond dans leur rôle, pour une immersion toujours plus poussée.
Nous n’avons pas goûté à la nourriture du parc mais de mémoire, ça se mangeait bien. Il y a de quoi acheter quelques bibelots dans les boutiques souvenirs du parc.
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On passe faire quelques achats pour manger ce soir. On tente le magasin Euro-Spin, le magasin le plus hard discount que (qu’on ?) j’ai fait. Au vu des aliments achetés et de leurs compositions, c’est directement une tumeur ou un cancer qu’on achète. J’exagère mais pas si loin. Nous reprenons la route, la pluie se met à tomber. Ça tombe à l’eau pour un tour dans la piscine mais le principal, c’est d’avoir eu du beau temps en journée !
Demain, resto et rando ! On espère qu’il fera beau !
Demain, resto et rando ! On espère qu’il fera beau !
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Randonnée au Lac de Garde – 21 septembre 2023
Tu avais dit qu’on ferait une balade tranquille !
Après deux journées parcs, journée randonnée. Réveil sans pression (il n’y a jamais eu de pression), petit déjeuner tranquille, on observe la météo qui a l’air d’être de notre côté… mais pour combien de temps encore ? Ce midi, flemme de cuisiner, ce sera un (bon) restaurant au nord du lac, dans la petite ville de Torbole. Un restaurant repéré avant de partir, qui propose notamment pizzas, gnocchis, pâtes… bref, tout ce dont un restaurant italien peut proposer. Nous partons sur les alentours de 12h30, où nous descendons de notre petite montagne pour rejoindre la ville, le monde. Ou pas.
Le restaurant est fréquenté par des habitués, qui ont déjà bien entamé leurs repas.
Gnocchis pour ma part, pizzas pour les autres… ou pas car ce midi le pizzaiolo est à l’abonné absent. Pâtes alors. C’est bon, mais on a goûté mieux. Le tiramisu est cependant délicieux. Ce n’est pas moi qui l’ait commandé, c’est Antoine mais je pique dedans
Nous reprenons la voiture vers 15h pour s’approcher du sentier de randonnée repéré. Nous nous garons sur un parking payant mais peu de monde, ça s’annonce bien. On croise les gars de la DDE italienne, ça discute et ne fait rien, tout est normal donc
Avant de prendre de la hauteur, nous nous rapprochons du lac pour contempler la vue du bas. Nous en profitons également pour se rincer un peu la bouche à une fontaine potable, non sans violence. Et c’est reparti pour tout remonter ; on suit le GPS de randonnée, qu’on abandonne vite car le sentier est bien balisé. Le temps est encore à notre avantage, la grimpette est assez sportive mais accessible en prenant son temps. Ce qu’on compte faire. Durée prévue de la rando : 3h.
Le restaurant est fréquenté par des habitués, qui ont déjà bien entamé leurs repas.
Gnocchis pour ma part, pizzas pour les autres… ou pas car ce midi le pizzaiolo est à l’abonné absent. Pâtes alors. C’est bon, mais on a goûté mieux. Le tiramisu est cependant délicieux. Ce n’est pas moi qui l’ait commandé, c’est Antoine mais je pique dedans
Nous reprenons la voiture vers 15h pour s’approcher du sentier de randonnée repéré. Nous nous garons sur un parking payant mais peu de monde, ça s’annonce bien. On croise les gars de la DDE italienne, ça discute et ne fait rien, tout est normal donc
Avant de prendre de la hauteur, nous nous rapprochons du lac pour contempler la vue du bas. Nous en profitons également pour se rincer un peu la bouche à une fontaine potable, non sans violence. Et c’est reparti pour tout remonter ; on suit le GPS de randonnée, qu’on abandonne vite car le sentier est bien balisé. Le temps est encore à notre avantage, la grimpette est assez sportive mais accessible en prenant son temps. Ce qu’on compte faire. Durée prévue de la rando : 3h.
Motivés, motivés !
Bon j’avais dit au gars que c’était plutôt plat, mais ça grimpe bien. Le sentier est équipé et travaillé ; il y a pas mal d’escaliers raides mais plutôt sécurisés. Mais la vue et le cardio en vaut le coup ! 
Au tiers du chemin, on se tâte à faire demi-tour. Allons-nous faire la boucle en entier, le temps tourne un peu au vinaigre, il fait nuit noire à 20h alors qu’il est déjà 17h et qu’on marche depuis 1h30… Non, on finit la boucle ! Et s’il faut finir à la lampe torche, on le fera.
Pari gagné, on finit la boucle, sous la pluie mais en débardeur car on a chaud.
On vous recommande clairement cette randonnée : superbe vue, ça travaille tout le corps et chance avec nous : beau temps global et presque personne (pour la fréquentation, cette randonnée est réputée pour être connue donc en période estivale, attendez-vous à croiser du monde…).
Et le Lac de Garde a une drôle de forme
Pas de courses pour ce soir, on décale demain à Venise, on finit les restes. Il fait trop frais pour profiter de la piscine. Bon, on aura quand même eu l’opportunité d’y faire trempette, c’est déjà ça !
Au tiers du chemin, on se tâte à faire demi-tour. Allons-nous faire la boucle en entier, le temps tourne un peu au vinaigre, il fait nuit noire à 20h alors qu’il est déjà 17h et qu’on marche depuis 1h30… Non, on finit la boucle ! Et s’il faut finir à la lampe torche, on le fera.
Pari gagné, on finit la boucle, sous la pluie mais en débardeur car on a chaud.
On vous recommande clairement cette randonnée : superbe vue, ça travaille tout le corps et chance avec nous : beau temps global et presque personne (pour la fréquentation, cette randonnée est réputée pour être connue donc en période estivale, attendez-vous à croiser du monde…).
Et le Lac de Garde a une drôle de forme
Pas de courses pour ce soir, on décale demain à Venise, on finit les restes. Il fait trop frais pour profiter de la piscine. Bon, on aura quand même eu l’opportunité d’y faire trempette, c’est déjà ça !
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Venise – 22 septembre 2023
Ah les gogoles à Venise
Denis ne nous laissera pas faire de grasse mat’. 9h, c’est 9h. Tout le monde est sur les charbons ardents pour nettoyer et ranger la maison avant l’inspection. C’est que c’était pas mal comme endroit : le calme, la vue, l’espace, la nature. On y a passé 4 bonnes soirées et nuits.
C’est au détour d’une vaisselle un peu musclée qu’une assiette nous rend l’âme. Et merde. La caution qui s’envole
Ou pas. Ça fait même rire Denis. Bon bah s’il rigole alors.Nous partons sur les coups de 9h10, direction la Vénétie pour la célébrissime ville de Venise, la Cité des Doges, la ville au mille et un canaux, au mille et une gondoles, au plus de dix millions de touristes annuels. Gloups
Le trajet nous fait passer juste à côté de Vérone, de quoi réécouter pour la 10ème fois au moins Besoin de rien, Envie de toi. 2h de route plus tard, nous arrivons non loin de l’île. Mais, plus futés que jamais, nous décidons de ne pas nous garer sur les parkings spécifiques à l’entrée de l’île (elle coule déjà assez comme ça, on ne va pas rajoute le poids de notre voiture). Nous nous garons dans une rue gratuite, située à côté d’un arrêt bus. Bus qui, quand il passera, nous emmènera directement sur l’île de Venise.Bus déjà bien plein, on fera avec, ce n’est que 20min de trajet
Le bus nous amène bien aux bons endroits. Une foule, encore pire qu’à Rome. Rome, au moins c’est grand, ça dilue un peu. Ici, c’est petit, ça fait effet de foule étouffante directement.
J’ai faim. Et comme une gourde, j’ai laissé à manger dans la voiture
Je m’achète un gâteau local pour combler un peu avant le restaurant. 3,50 € le gâteau fourré, c’est bien parce que j’ai la dalle. Et tout comme Rome, mais en encore moins organisé, on n’a absolument aucun programme, juste celui de déambuler dans la ville.
De canaux en ponts, de places en monuments, nous découvrons une ville colorée, atypique, charmante mais victime de son succès, dont nous sommes ~ quelque part ~ coupables… Nombre de groupes de visites que nous croisons, de grosses valises défonçant les pavés, de gens qui n’hésitent pas à pousser ou à monopoliser des points de vue pour des photos Instagramables…
Après avoir déambulé presqu’une heure, nous trouvons un restaurant, au moins on sera à l’abri temporairement de la foule … et de la pluie. Une salade composée fera très bien l’affaire ! Avec un thé glacé au citron svp
Nous reprenons notre chemin, direction la Place Saint-Marc, the place to be. Et voilà, c’est… une place. Avec des pigeons, mais pas autant que d’habitude. Merci la pluie. Des flaques d’eau stagnantes se forment, laissant moins de place pour se déplacer. Et allez, on se recolle à la foule.
Décidant de prendre un peu de hauteur dans le campanile de Saint-Marc, pour la modique somme de 10 €, nous devons faire l’attente, comme dans un parc, mais là, c’est juste pour la vue. Et une fois en haut, là aussi il faut réussir à se frayer un chemin pour avoir une vue. Vue sur la mer, vue sur la place, vue sur l’aéroport au loin qui ne cesse d’animer un vrai bal d’avions…
20 minutes nous suffisent pour garder en mémoire la vue, nous redescendons et continuons à marcher, vers le principal port à gondoles. Un tour de gondoles ? Oui, les gondoles noires qui me font penser à des gondoles mortuaires plutôt qu’autre chose. La tradition est la tradition. Attendez les gars, on est à Venise, on va se faire un tour de gondole quand même ? A 90 € le forfait (fixé par la ville) pour 4 personnes pour un tour de 30 minutes, ça passe en se partageant le prix. Oui, mais. Tout tour de gondoles dépassant 30 minutes se verra facturer un supplément. Et il est de combien ce supplément ? Silence radio. Surtout que vu le monde, ça bouchonne de partout. Et n’oublions pas que les habitants utilisent les canaux pour se déplacer dans leur quotidien.
On ne fait donc prendre que des photos devant les gondoles.
Marchons désormais vers le célèbre Pont des Soupirs. De quoi bien soupirer du monde et des arnaqueurs en tout genre (jeu du bonneteau, vendeur à la sauvette, pickpockets…). On commence déjà à en avoir notre claque !
Nous repartons plus au centre, passant par des ruelles moins fréquentées. C’est plus agréable. Pas de gondoles, mais une glace quand même ! Antoine a repéré le meilleur glacier à absolument essayer
Et c’est parti pour attendre 15 minutes. Sous une faible pluie. J’espère que ça vaut le coup. Entrant enfin dans la boutique, un vieux n’hésite pas à passer par la sortie pour demander une glace. La vendeuse, qui a l’air habituée, le lui tend sans broncher. Probablement un habitant d’ici. Une seule boule, noix de coco please. C’est très bon !Après la glace, le souvenir. Des boutiques souvenirs, ça, il y en a. Maintenant, on ne veut pas de chinoiseries ou autre conneries, on veut un truc typique ! Un masque typiquement Vénitien ? Pas trop de place dans la valise. Des verreries de Murano ? Et si ça se casse dans ma valise ? Ce sera donc une Tour Eiffel. Non, je rigole, mais on en a vu dans certaines boutiques.
Quelques heures nous suffisent pour le tour de Venise. Je ne comprends pas les gens qui y restent plus d’une journée, surtout si c’est uniquement pour déambuler comme nous. Si vous voulez faire tous les musées, vous concentrer (bonne chance) sur tout le côté historique de la ville, oui, 2-3 jours sont nécessaires.
Nous décidons de rejoindre l’autre bout de la ville pour reprendre le bus en passant par les ruelles peu fréquentées, et ce n’est pas si difficile que ça. Le plus compliqué est de trouver des toilettes qui seraient facilement accessibles, pas hors de prix (et propres)
Un passage devant l’université de Venise Ca’ Foscari me titille les neurones. Et si, comme en France, les universités italiennes seraient libres d’accès ? Ni une ni deux, on rentre dans le lieu et trouvons très rapidement des chiottes propres, avec du PQ et du savon. Ah, faut connaître les bonnes adresse C’est tout content de notre trouvaille que nous quittons l’île, avec (propos personnel) un sentiment mitigé d’avoir joué la touriste lambda et contribué à la détérioration de la ville. La visite était-t-elle si nécessaire ? Qu’ai-je réellement retenu de la ville, à part cette foule de touristes qui, peut-être, ont pensé la même chose que moi ?
Nous retrouvons notre voiture intacte, et prenons la direction de notre avant-dernier Airbnb, à une quinzaine de minutes en voiture de là. Très galère pour se garer dans la rue, nous déchargeons le coffre et Hans se charge de la garer plus loin. La clé se récupère avec les consignes laissées par l’hôte. Une maison avec deux chambres immenses, une grande cuisine, un salon avec plein de masques de Venise (pour des petites soirées… des soirées quoi), l’ensemble est assez vieillot mais c’est largement suffisant pour la nuit.
Rien d’intéressant à se mettre sur la TV italienne, peut-être un bout d’Harry Potter ? Sinon, une bonne grosse nuit bien flemmarde fera l’affaire. Mais avant : manger. Des pâtes et du concombre pour ce soir. On finit les restes, on sent la f(a)im arriver.
Dernière édition:
Venise est très belle oui mais comme le dit Røyk (super TR !) elle est vraiment surchargée de touristes. N'hésite pas à t'éloigner de ces hordes. Il suffit parfois de marcher sur une rue parallèle aux plus empruntées pour être tranquille :)
Personnellement j'avais pris le routard qui, je trouve, est particulièrement bien pour cette ville.
En espérant que tu aies moins de monde que nous
Merci
Ce n'était plus ouvert lors de notre passage
J'adore les précisions détaillées quant à la nourriture consommée. La curiosité ça creuse apparemment
La bouffe, presque tout aussi important que les montagnes russes ! Le moteur de nos trip(pe)s !
Osteria Ai Pioppi & Luna Farm – 23 septembre 2023
Fait maison
Dernier jour de voyage avant le retour. On commence à ressentir un peu le blues de la fin, inévitable. On s’enregistre pour notre vol de demain : j’ai le droit à la même place, littéralement
Hans et Antoine ont le hublot. NAN MAIS HO Mais ne soyons pas négatif, on a encore des montagnes russes à rider, et pas des moindres !Nous croisons l’hôte, qui habite tout simplement la maison d’à côté. Elle tient son jeune enfant dans ses bras. Quelle belle opportunité de lui proposer notre super lessive bébé, qui ne nous servira plus
Hans rapproche la voiture, nous mettons grossièrement le tout dans le coffre car nous gênons la circulation et partons en direction d’Osteria Ai Pioppi, notre avant-dernier parc du trip, ou bien on pourrait même dire notre dernier restaurant du trip. 45 minutes de route de campagne, éloignés de toute cette foule de la veille.
11h40, nous arrivons dans un endroit très boisé, à la sortie d’un village, des pancartes mentionnent « Osteria Ai Pioppi » avec des couverts croisés. Considérés comme un simple restaurant. Ce qui est totalement vrai de base. Mais un restaurant pas comme les autres : c’est un restaurant qui a évolué en petit parc d’attractions, attractions faites toute main. Rustique tout ça. Rustique mais TÜV Geprüft
Une quinzaine de voitures tout au plus sont garées. Des attractions sous bâches, grignotées par la nature, sont visibles depuis le parking.
Pour le reste, il faut entrer. Mais par où ? Connaissant simplement le contexte de « prendre un repas ici et aller s’amuser », au vu de l’heure, on voudrait « aller s’amuser et prendre un repas ici ».
Le parc dispose même d’un plan sur panneau et d’un médecin sur place
Oui, car vu les bizarreries, un médecin n’est pas de trop. On ne va pas rester à regarder les attractions au loin, on s’avance et on verra bien si on nous fait une remarque.Pas de remarques… LET’S GO ! Le parc propose de nombreux toboggans, tyroliennes, piste très bricolée de « descente en luge », tourniquet… mais aussi 4 montagnes russes ! Et encore, c’était 6 à la base, mais deux sont HS (et on le savait). Mais ça reste 4 montagnes russes 100 % mano, à tester !
Mais comment résister à ce grand toboggan, avec une si longue descende et une toute petite remontée en guise de zone d’arrêt, énorme cascade en prévision si ça glisse à toute balle ! C’est le moment de me péter la gueule d’un toboggan, ça n’est pas arrivé de tout le séjour !!
Je me saisis d’un tapis, obligatoire, et monte, ou devrais-je dire escalade, ces escaliers très étroits où pas tout le monde ne passe, m’installe correctement, et me lance… me lance… me lance… bon, ça ne glisse pas des masses. Je bloque même au centre. J’adapte la position Kris, c’est-à-dire se mettre un peu sur le côté, ça reglisse mais pas des masses.
Antoine s’essaie à la luge, mais vraiment con comme concept bordel, mais qu’est-ce qu’on rigole !
Passons aux choses sérieuses : un tour sur le char. Eh ouais, comme à Movieland, on va péter la gueule aux méchants. Sans munitions, sans cascades, juste en montant sur le char.
Et sinon les montagnes russes ?
Nous descendons dans un petit bosquet où nous avons l’entrée de notre première montagne russe Gioco Delle Onde, à faire en duo. Un vieux, avec son gilet jaune, est là pour surveiller et nous expliquer comment ça fonctionne, et parle français ! Il est très étonné de nous voir ici, comment on a pu se « perdre ».
Même si l’accès et le fonctionnement de la montagne est manuel et libre, cela ne se fait pour autant pas sans sécurité : les deux personnes qui souhaitent monter dedans doivent passer dans une cage, qui va refermer la porte d’entrée puis ouvrir celle qui mène au quai.
Ensuite ? Il faut pousser le wagon jusqu’en haut. Oui, à la seule force des bras, comme un turbobob. Sauf que le wagon est très lourd. On ne perd pas espoir et unissons forces, nerfs et huile de coude avec Kris pour pousser le bousin. Antoine nous vient en aide, car c’est galère
Une fois le bousin bien en haut, il y a un système d’anti roll back (imaginez, vous monter dedans et le truc part… Catastrophe
) qui permet donc de s’installer en toute sécurité. C’est archaïque au possible, mais fonctionnel. Une fois assis, on cale les pieds dans les « étriers » puis verrouillons la lap bar, desserrons le manche puis déclipsons l’accroche qui nous permet de partir. On se dandine pour faire avancer le train, ça part et prend de la vitesse.Comme tout bon ingénieur, tout est calculé pour ne pas, qu’au bout de la piste, le wagon ne sorte. Mais c’est assez impressionnant d’arriver en limite limite de sortie de piste avant de repartir en arrière.
Il n’y a plus qu’à attendre que le wagon ne s’arrête de lui-même… ou pas ! Il y a un manche à freins, qui ne freine pas à tous les coups mais c’est toujours utile.
Ne vous attendez pas à de grande sensations, juste à un moment de fun et d’insouciance, de retomber en enfance et de s’amuser avec pas grand chose
C’est au tour d’Hans et Antoine de s’y coller. Kris leur vient en aide pour grimper le bousin.
Nous continuons notre escapade boisée pas en toute tranquillité puisque le lieu est bondée
Ce qui ne change pas : il faut pousser soi-même le wagon et le maintien du wagon en place. Ce qui change : on a le droit à, non pas un, mais deux virages ! un peu penché (légèrement – mais on voit qu’il y a de la réflexion). Pour l’assise, il y a juste à s’asseoir dedans. On enlève la sécurité, le wagon se lance, Antoine devant, ça prend de la vitesse puis les passages des virages sont un peu pet-sec, mais étonnamment moins violents que sur d’autres montagnes russes. Ici aussi, on est proche de la sortie de piste, mais non.
Bob (red) étant la piste de gauche (vu du ciel), les virages passent encore « mieux ».
On continue le tour, avec des moustiques qui nous suivent à la trace, pour voir un peu la gueule de la volière. Beh, ça ne vole pas haut, ça me fait même un peu pitié
Notre dernière montagne russe, Carrello della Gobba, nécessite de ne pas peser plus de 60kg. Je suis dans les clous, mais qu’en est-il des gars ? Beh les gars s’en contrefichent, à leur risque et péril ? Ce crédit possède lui un beau camel back. Qui teste en premier ?
Kris tente le premier, le wagon (enfin l’assise à ce niveau-là) est aussi lourd. Il y arrive quand même. On le voit d’en haut galérer à s’installer. Mais il y arrive, et s’élance. Il a une bonne vitesse pour passer le camel-back. Un « oourrrt » sort de ses tripes ; oui, le camel-back n’a pas l’air d’être très bien calculé, ou bien se prendre la lap bar en métal dans le bide, ce n’est pas le plus confortable
Antoine se lance à son tour. Il a beaucoup de mal à rentrer dans le siège avec son mètre 88, mais ça passe en mettant ses mollets sur les étriers et ses pieds sur le dernier barreau du siège, comme ça :
A mon tour de me lancer ; oui, c’est le système le moins pratique du parc pour s’installer. Je me lance, prête à affronter le camel-back. Celui-ci n’est pas tant mal calculé, c’est bien la lap-bar 100 % métal qui casse le ventre.
Et au tour d’Hans de tester, qui lève même les bras. Un vrai de vrai
La faim commence à venir nous ronger, mais moins que les moustiques. C’est vraiment le point noir du lieu. Nous cherchons avant des toilettes, au sous-sol du restaurant en passant par un petit passage un peu glauque. Ah non, des chiottes turques, pas ça
, je ne peux pas pisser là. Je vais me retenir.Miam miam, on a faim
Très peu d’attente, tout le monde s’accorde à prendre un hamburger de polenta avec frites. Ce n’est pas commun d’avoir de la polenta dans un burger, on teste. On se trouve une table, il n’y a plus qu’à patienter que notre commande soit prête. Dans l’attente, je cherche des chiottes normales, qui, heureusement, existent bien Fiouf. A mon retour, nos plateaux sont déjà servis… mais où sont les hamburgers ? En kit ?
Chaque déchet est précieusement trié : deux personnes sont présentes pour nous guider. Si ce n’est pas du service à la personne !
Nous ne sommes pas tentés de retourner dans le parc, tout ça à cause des moustiques…
—————-
Conclusion sur le parc / restaurant : le lieu est très atypique ne vaut pas le déplacement pour la bouffe mais bien pour ses attractions « insolites ». Si vous êtes en road trip comme nous et que vous passez dans le coin, allez-y (bien vérifier les horaires d’ouverture, qui peuvent être galères à trouver ; de mémoire, en septembre, c’était ouvert que les week-ends), 1h à 2h sur place c’est largement suffisant ; sinon, ça reste peu sensationnel et paumé.
—————-
Il est l’heure de boucler la (très grosse) boucle et de retourner sur Bologne (2h de route). Et re-bonjour l’Émilie-Romagne ! On se repose un peu…
Le temps est au beau fixe, sauf en arrivant sur la ville : un gros nuage bien noir, stagnant au-dessus d’elle. Des éclairs, des trombes d’eau, on ne va pas y échapper. C’est le déluge, ça roule au ralenti (…ah non ça c’est Bologne). La grêle s’invite au cataclysme 
Nous ne sommes pas loin de notre dernier parc, Luna Farm, qui est situé dans un espèce de centre commercial, à l’allure extérieur de parc d’expositions. Nous abritons la voiture sous le porche d’entrée, et attendons que la grêle passe…
Nous ne sommes pas loin de notre dernier parc, Luna Farm, qui est situé dans un espèce de centre commercial, à l’allure extérieur de parc d’expositions. Nous abritons la voiture sous le porche d’entrée, et attendons que la grêle passe…
Bonjour Cheval, dites-nous, sommes-nous au bon endroit ?
Mais comme 15 minutes plus tard, ça ne passe toujours pas, on se résigne et trouvons une place pas trop loin d’une entrée. On s’équipe de nos parka pour taper LE sprint du séjour. Je survole les flaques d’eau afin de ne pas inonder les chaussures. Le tout avec style
On est enfin à l’abri et, l’avantage d’un parc indoor, c’est que c’est aussi à l’abri de la pluie donc on va pouvoir tranquillement gratter le dernier +1 du séjour
Nous arrivons devant l’entrée, il n’y a pas grand monde. Avant de payer l’entrée qui est à 10 balles quand même (cher le +1), on explique à l’hôtesse d’accueil si on peut juste payer un petit truc puis se casser. Très gentille, elle nous explique que la montagne russe (et pas que cette attraction) n’est pas ouverte… parce qu’il pleut dehors. HEIN ? MAIS C’EST UNE BLAGUE ??
Expliquez-moi le concept d’un parc indoor si on n’ouvre pas les attractions en cas de pluie ?? Elle nous propose qu’on revienne dans une heure pour voir si ça peut rouvrir. Nous n’avons plus qu’à faire le tour du IKEA de la bouffe.
On n’achète rien car la valise est déjà bien pleine mais les prix de certains produits sont plutôt intéressants. Après avoir tué 1h, on retourne au parc et non, ce n’est toujours pas ouvert et ça n’ouvrira pas. D’ailleurs, l’hôtesse se fait engueuler par des visiteurs qui ont payé plein pot alors que deux attractions étaient seulement fonctionnelles
On se casse du lieu sur cet échec cuisant, il pleut toujours. Nous prenons la direction de notre dernier logement, proche de l’aéroport – ce qui nous permet d’optimiser le temps de sommeil et éviter les éventuels bouchons. Francesco, notre hôte de ce soir, m’a envoyé les indications de son logement et nous attend même à l’entrée de l’impasse pour nous guider, sous la flotte, il est sympa !
Le logement est bien pour la nuit. A disposition : des bonbons, des madeleines, une TV connectée pour regarder de la merde et pleurer sur la fin du trip ouin ouin.
Il nous reste encore demain pour vivre les dernières aventures…
On est enfin à l’abri et, l’avantage d’un parc indoor, c’est que c’est aussi à l’abri de la pluie donc on va pouvoir tranquillement gratter le dernier +1 du séjour
Nous arrivons devant l’entrée, il n’y a pas grand monde. Avant de payer l’entrée qui est à 10 balles quand même (cher le +1), on explique à l’hôtesse d’accueil si on peut juste payer un petit truc puis se casser. Très gentille, elle nous explique que la montagne russe (et pas que cette attraction) n’est pas ouverte… parce qu’il pleut dehors. HEIN ? MAIS C’EST UNE BLAGUE ??
Expliquez-moi le concept d’un parc indoor si on n’ouvre pas les attractions en cas de pluie ?? Elle nous propose qu’on revienne dans une heure pour voir si ça peut rouvrir. Nous n’avons plus qu’à faire le tour du IKEA de la bouffe.
On n’achète rien car la valise est déjà bien pleine mais les prix de certains produits sont plutôt intéressants. Après avoir tué 1h, on retourne au parc et non, ce n’est toujours pas ouvert et ça n’ouvrira pas. D’ailleurs, l’hôtesse se fait engueuler par des visiteurs qui ont payé plein pot alors que deux attractions étaient seulement fonctionnelles
On se casse du lieu sur cet échec cuisant, il pleut toujours. Nous prenons la direction de notre dernier logement, proche de l’aéroport – ce qui nous permet d’optimiser le temps de sommeil et éviter les éventuels bouchons. Francesco, notre hôte de ce soir, m’a envoyé les indications de son logement et nous attend même à l’entrée de l’impasse pour nous guider, sous la flotte, il est sympa !
Le logement est bien pour la nuit. A disposition : des bonbons, des madeleines, une TV connectée pour regarder de la merde et pleurer sur la fin du trip ouin ouin.
Il nous reste encore demain pour vivre les dernières aventures…
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