Retour tonitruant (comme d’hab’) – 24 septembre 2023
Le réveil de la fin. 6h, tout le monde debout, on fait les valises, on prend le temps de petit déjeuner et de faire un petit brin de ménage. On a trop de rab’ qu’on ne peut pas ramener, on va lui laisser. Il sera content d’avoir des pomelos, du riz, des céréales et des sauces.
Nos vols respectifs sont prévus à 9h15 et 9h45. Nous partons du logement vers 7h. 10 minutes seulement de route nous attendent, mais il faut rendre la voiture et les clés. Nous arrivons aux points de location de voitures mais nous ne trouvons pas la partie « restitution ». Tant pis, on va la laisser là où on l’a prise. Il n’y a même plus de places. Tant pis, on va la laisser sur le côté
Et pour rendre les clés ? Mmm pas de boîtier à l’extérieur. Direction le hall de l’aéroport au comptoir où vous les avions prises. Et bingo, la boîte aux lettres est là. Plus qu’à aller passer les contrôles de sûreté.
7h30, peu d’attente, on est en avance mais pas trop non plus. C’est assez bondé, et il manque clairement de places assises ; on se trouve un coin par terre pas trop loin de nos portes d’embarquement. On termine sur quelques jeux de sociétés avant d’accompagner Kris dans la file d’attente – jusqu’au bout ensemble
Plus que trois. Nous trouvons des places assises proche de notre porte, mais nous n’y restons pas longtemps vu que notre vol… a du retard. Ah bah tout va bien. 15 minutes, ce n’est pas la mort et ayant appris de mon train loupé du retour du Danemark l’année passée, j’ai pris large sur le train du retour, qui plus est, est à Montparnasse et non pas à l’aéroport même.
Le vol de se passe rapidement, je ferme les yeux tout du long, vu que je n’ai pas de hublot pour observer le paysage
Nous atterrissons vers 11h45 ; le train de Hans étant à 15h15 et le mien à 14h48, on a le temps mais pas trop non plus : entre le RER et le métro, on n’est jamais à l’abri d’une couille. Et comme je suis habituée au retour merdique… Nous laissons Antoine à l’aéroport, dans des adieux émouvants
Plus que deux. Le RER. Alors, avec ce nouveau système de ticket qui n’existe plus et où tout passe par appli mais rien n’est fonctionnel… Il reste quand même des distributeurs dans le hall, on va prendre un ticket hein ? Comme au bon vieux temps mais au moins ça fonctionne.
Le RER et le métro se passent sans encombre, mais ça fait sa durée quand même. Nous arrivons avec 40 min d’avance (seulement) pour mon train, ça laisse le temps de manger un sandwich et de monter dans le train. Le hall de la gare est énormément bondé pour un dimanche de septembre Tout le monde était parti en week-end ou bien ? Pas mal de trains sont annoncés avec des retard allant de 30 min à 4h Le mien n’a rien d’indiqué, mais oh, on sent que ça pue. On va avoir bien plus que 40 min à attendre avant de partir.
On décide de se poser au McDo, histoire de manger. Nous comprenons rapidement le problème : problème électrique en gare de Massy qui paralyse tout le réseau Ouest. Bim et bah voilà la couille du retour. Tout se passe bien finalement, comme prévu Il y a un panneau d’affichage dans le McDo mais je pars régulièrement voir celui du hall. Bim : 45min de retard annoncé sur mon train. Et pour Hans ? Pas de retard prévu pour le moment mais on est TOUS dans le même panier. La SNCF me fait même une frayeur en supprimant mon train de l’affichage, croyant alors que celui-ci est parti, avant de la remettre en annonçant un retard d’1h30.
Le couperet tombe pour Hans : son OUIGO est supprimé. Ah bah carrément. Pas le choix que de se rabattre sur un autre TGV qui va déjà être bien plein. A sa place, je n’aurais pas racheté de ticket et aurais directement pris un autre train. A situation exceptionnelle, comportement exceptionnel !
Ça fait 2h qu’on est en gare et les info diffusées se contredisent : mon train est prêt à partir. On court vers celui-ci, m’y installe… pour au final nous dire qu’il ne partira pas avant 1h Je laisse mes affaires dans le train et ressors de celui-ci, préférant bouger et ne pas rester dans un train remplis de gens stressés. Je prends ça avec philosophie : ça se passe au retour et pas à l’aller, et il y a pire que moi : Hans. Courage.
Le train part finalement vers 17h15, pour s’arrêter de nouveau sur la voie à 17h17. Bien. On nous annonce également qu’on passera par les voies de TER donc au lieu de 1h20, on mettra 3h. Et donc de retour à Angers à 20h15, au lieu de 16h.
Et Hans alors ? Son train qu’il a pris en remplacement, qui devait partir à 18h30, n’est parti qu’à 22h. Arrivé à Poitiers vers 0h30, il a du ensuite marcher presque une heure dans la ville pour récupérer sa voiture, qui n’avait plus de batterie au démarrage. Rentré chez lui à 3h du matin pour un réveil à 5h.
Fabuleux retour.
C’est sur ces beaux événements que notre périple italien s’achève.
Nos vols respectifs sont prévus à 9h15 et 9h45. Nous partons du logement vers 7h. 10 minutes seulement de route nous attendent, mais il faut rendre la voiture et les clés. Nous arrivons aux points de location de voitures mais nous ne trouvons pas la partie « restitution ». Tant pis, on va la laisser là où on l’a prise. Il n’y a même plus de places. Tant pis, on va la laisser sur le côté
Et pour rendre les clés ? Mmm pas de boîtier à l’extérieur. Direction le hall de l’aéroport au comptoir où vous les avions prises. Et bingo, la boîte aux lettres est là. Plus qu’à aller passer les contrôles de sûreté.
7h30, peu d’attente, on est en avance mais pas trop non plus. C’est assez bondé, et il manque clairement de places assises ; on se trouve un coin par terre pas trop loin de nos portes d’embarquement. On termine sur quelques jeux de sociétés avant d’accompagner Kris dans la file d’attente – jusqu’au bout ensemble
Plus que trois. Nous trouvons des places assises proche de notre porte, mais nous n’y restons pas longtemps vu que notre vol… a du retard. Ah bah tout va bien. 15 minutes, ce n’est pas la mort et ayant appris de mon train loupé du retour du Danemark l’année passée, j’ai pris large sur le train du retour, qui plus est, est à Montparnasse et non pas à l’aéroport même.
Le vol de se passe rapidement, je ferme les yeux tout du long, vu que je n’ai pas de hublot pour observer le paysage
Nous atterrissons vers 11h45 ; le train de Hans étant à 15h15 et le mien à 14h48, on a le temps mais pas trop non plus : entre le RER et le métro, on n’est jamais à l’abri d’une couille. Et comme je suis habituée au retour merdique… Nous laissons Antoine à l’aéroport, dans des adieux émouvants
Plus que deux. Le RER. Alors, avec ce nouveau système de ticket qui n’existe plus et où tout passe par appli mais rien n’est fonctionnel… Il reste quand même des distributeurs dans le hall, on va prendre un ticket hein ? Comme au bon vieux temps mais au moins ça fonctionne.
Le RER et le métro se passent sans encombre, mais ça fait sa durée quand même. Nous arrivons avec 40 min d’avance (seulement) pour mon train, ça laisse le temps de manger un sandwich et de monter dans le train. Le hall de la gare est énormément bondé pour un dimanche de septembre Tout le monde était parti en week-end ou bien ? Pas mal de trains sont annoncés avec des retard allant de 30 min à 4h Le mien n’a rien d’indiqué, mais oh, on sent que ça pue. On va avoir bien plus que 40 min à attendre avant de partir.
On décide de se poser au McDo, histoire de manger. Nous comprenons rapidement le problème : problème électrique en gare de Massy qui paralyse tout le réseau Ouest. Bim et bah voilà la couille du retour. Tout se passe bien finalement, comme prévu Il y a un panneau d’affichage dans le McDo mais je pars régulièrement voir celui du hall. Bim : 45min de retard annoncé sur mon train. Et pour Hans ? Pas de retard prévu pour le moment mais on est TOUS dans le même panier. La SNCF me fait même une frayeur en supprimant mon train de l’affichage, croyant alors que celui-ci est parti, avant de la remettre en annonçant un retard d’1h30.
Le couperet tombe pour Hans : son OUIGO est supprimé. Ah bah carrément. Pas le choix que de se rabattre sur un autre TGV qui va déjà être bien plein. A sa place, je n’aurais pas racheté de ticket et aurais directement pris un autre train. A situation exceptionnelle, comportement exceptionnel !
Ça fait 2h qu’on est en gare et les info diffusées se contredisent : mon train est prêt à partir. On court vers celui-ci, m’y installe… pour au final nous dire qu’il ne partira pas avant 1h Je laisse mes affaires dans le train et ressors de celui-ci, préférant bouger et ne pas rester dans un train remplis de gens stressés. Je prends ça avec philosophie : ça se passe au retour et pas à l’aller, et il y a pire que moi : Hans. Courage.
Le train part finalement vers 17h15, pour s’arrêter de nouveau sur la voie à 17h17. Bien. On nous annonce également qu’on passera par les voies de TER donc au lieu de 1h20, on mettra 3h. Et donc de retour à Angers à 20h15, au lieu de 16h.
Et Hans alors ? Son train qu’il a pris en remplacement, qui devait partir à 18h30, n’est parti qu’à 22h. Arrivé à Poitiers vers 0h30, il a du ensuite marcher presque une heure dans la ville pour récupérer sa voiture, qui n’avait plus de batterie au démarrage. Rentré chez lui à 3h du matin pour un réveil à 5h.
Fabuleux retour.
C’est sur ces beaux événements que notre périple italien s’achève.
FIN
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Merci à tous les lecteurs assidus qui ont lu l'entièreté de ce TR, qui est à ce jour le plus gros rédigé
On se retrouve assez rapidement puisque la saison coasterienne démarre enfin dans un peu plus de deux semaines
Départ le 11 mai pour un trip en Angleterre qui annonce déjà son lot de surprises !
Comme par exemple un préavis de grève des contrôleurs aériens les 9, 10 et 11 mai.
Et qui prend l'avion le 11 mai ?
On se retrouve assez rapidement puisque la saison coasterienne démarre enfin dans un peu plus de deux semaines
Départ le 11 mai pour un trip en Angleterre qui annonce déjà son lot de surprises !
Comme par exemple un préavis de grève des contrôleurs aériens les 9, 10 et 11 mai.
Et qui prend l'avion le 11 mai ?