Le TR de Louise (que je vous conseille : https://forum.coastersworld.fr/threads/tr-france-belgique-et-allemagne-juillet-2021.10959/) m'a donné envie de me coller aussi au récit de mon été ! Comme c'est un road trip assez long, et que la dernière fois que j'ai fait un TR de cette ampleur je ne l'ai pas terminé, je ne vous garantis rien concernant l'aboutissement de celui-ci... Pour limiter la casse, je vais me cantonner au récit des journées de parcs uniquement. Je ferais au mieux pour le mener à bout, cette fois ! Sur ce, bonne lecture
BREF. Après un séjour tout à fait charmant – bien que débutant un peu en eau de boudin (c’est à dire en eau tout court) – à Bruxelles accompagné de ma chère et tendre, Victor (un ami de longue date), Marie (ma sœur), Louise et Kris, nos esprits contrits ont fini par accepter que nous ne ferions pas Walibi Belgium cette année. Quelques petits point planning sont ici de rigueur pour que vous contextualisiez un peu ce qui va suivre :
1) Anne-Claire et moi, nous nous sommes lancés cet été dans un road trip beneluxien comprenant dans l’ordre les destinations suivantes :
- Bruxelles+WB (du 15 au 20 juillet)
- Phantasialand (21 et 22 juillet)
- Toverland (23 juillet)
- Efteling (24 et 25 juillet)
- Marais de Biesboch (26 juillet)
- Walibi Holland (27 et 28 juillet)
- Gouda (29 juillet)
- Bruges + Plopsaland (du 30 juillet au 4 août)
2) Ma sœur et Victor se joignaient à nous du 15 au 18 juillet, avec une journée à Walibi Belgium le 16.
3) Louise et Kris – en plein road trip également (cf: TR de Louise) – se joignaient à nous le 18 pour visiter Bruxelles (avec AC, ma sœur, Victor et moi, donc) et le 19 (juste avec AC et moi, vous suivez ?) pour Walibi Belgium.
De désappointement en désappointement, nous n’avons donc au final pu faire Walibi Belgium avec personne. Le 19 juillet, Louise et Kris optèrent pour Phantasialand en solution de remplacement pendant qu’avec AC nous visitâmes les églises de Bruxelles. Le lendemain, alors que nos deux compères filaient vers de nouveaux horizons, nous tranchions pour une solution de remplacement nettement moins… klugheimesque, puisqu’il s’agit – comme vous l’avez compris – de Bobbejanland.
Tout ça pour finalement expliquer que si nous devions faire Walibi en bonne compagnie, nous n’avons trouvé personne pour nous accompagner à Bobbejanland. La dernière fois que c’est arrivé, c’est quand on est allés à Walygator, et inutile de vous dire que ça s’est mal terminé. Cela étant, malgré les avertissements de Kris et Louise, malgré la douleur de devoir remplacer Kondaa par Revolution, malgré les bouchons, nous nous sommes surpris à arriver joyeux devant l’entrée de « Bob ». Le soleil resplendissant, les jolis rails oranges de Fury, le fait que nous n’avions pas mis les pieds dans un parc depuis des plombes… ça devait sans doute jouer un peu.
Welkom in ze butiful Far Wezt.
Vu que je n'ai pas pris en photo Revolution ni Dreamcatcher, voici un peu de papillon pour apaiser.
Contrairement aux apparences, ce bazar est donc un suspended Vekoma joliment posé sur l’eau, avec le strict minimum en matière de théma (en fait, à part la station – plutôt jolie – faudra faire avec les nénufars de la mare).
20mn d’attente au total, qu’on ne peut imputer à l’efficacité des opérateurs, qui lancent les trains tellement vite que ceux-ci sont régulièrement obligés de s’arrêter sur le lift afin que l’autre train finisse sa course. Non, par contre on peut soumettre l’idée du FREIN DE MI-PARCOURS à Vekoma, qui aiderait à enchaîner plus efficacement les trains. Surtout que bon, c’est pas comme si le parcours de Dreamcatcher était particulièrement rythmé et qu’il semblerait dommage de l’interrompre avec des freins… Non, croyez-moi, on n’y ferait même pas attention.
Concernant le grand-huit en lui-même, on a eu un peu peur en voyant les harnais et les transitions du bazar, mais au final ça se passe sans baffes (c’est déjà ça), mais aussi sans grand intérêt. Disons que quelques passages un peu plus proches du sol et de l’eau auraient donné un poil plus de cachet à un parcours qui n’en a déjà pas beaucoup, du cachet. +1, vite fait bien fait, on passe à la suite.
Oki Doki ? Trop de monde, on reviendra quand les mioches auront quitté le navire. Ah, voilà qui fera l’affaire.
Quoi ? La zone pour gosses ?
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Il était une fois, la pluie. Une bonne grosse pluie, bien vénère. Avec plein d’eau, beaucoup d’eau. Et il était aussi une fois une montagne russe. Une bonne grosse montagne russe, bien vénère. Avec plein d’airtimes, beaucoup d’airtimes. Il était également deux coasterfans, qui aimaient les airtimes, mais pas trop l’eau. Les airtimes, comme vous le savez, n’aiment pas non plus l’eau. Il était une fois Kondaa sous l’eau, et un changement de plan de dernière minute.
Il était donc une fois Bobbejanland.
Il était donc une fois Bobbejanland.
THE RIDE TO BENELUX
BREF. Après un séjour tout à fait charmant – bien que débutant un peu en eau de boudin (c’est à dire en eau tout court) – à Bruxelles accompagné de ma chère et tendre, Victor (un ami de longue date), Marie (ma sœur), Louise et Kris, nos esprits contrits ont fini par accepter que nous ne ferions pas Walibi Belgium cette année. Quelques petits point planning sont ici de rigueur pour que vous contextualisiez un peu ce qui va suivre :
1) Anne-Claire et moi, nous nous sommes lancés cet été dans un road trip beneluxien comprenant dans l’ordre les destinations suivantes :
- Bruxelles+WB (du 15 au 20 juillet)
- Phantasialand (21 et 22 juillet)
- Toverland (23 juillet)
- Efteling (24 et 25 juillet)
- Marais de Biesboch (26 juillet)
- Walibi Holland (27 et 28 juillet)
- Gouda (29 juillet)
- Bruges + Plopsaland (du 30 juillet au 4 août)
2) Ma sœur et Victor se joignaient à nous du 15 au 18 juillet, avec une journée à Walibi Belgium le 16.
3) Louise et Kris – en plein road trip également (cf: TR de Louise) – se joignaient à nous le 18 pour visiter Bruxelles (avec AC, ma sœur, Victor et moi, donc) et le 19 (juste avec AC et moi, vous suivez ?) pour Walibi Belgium.
De désappointement en désappointement, nous n’avons donc au final pu faire Walibi Belgium avec personne. Le 19 juillet, Louise et Kris optèrent pour Phantasialand en solution de remplacement pendant qu’avec AC nous visitâmes les églises de Bruxelles. Le lendemain, alors que nos deux compères filaient vers de nouveaux horizons, nous tranchions pour une solution de remplacement nettement moins… klugheimesque, puisqu’il s’agit – comme vous l’avez compris – de Bobbejanland.
Tout ça pour finalement expliquer que si nous devions faire Walibi en bonne compagnie, nous n’avons trouvé personne pour nous accompagner à Bobbejanland. La dernière fois que c’est arrivé, c’est quand on est allés à Walygator, et inutile de vous dire que ça s’est mal terminé. Cela étant, malgré les avertissements de Kris et Louise, malgré la douleur de devoir remplacer Kondaa par Revolution, malgré les bouchons, nous nous sommes surpris à arriver joyeux devant l’entrée de « Bob ». Le soleil resplendissant, les jolis rails oranges de Fury, le fait que nous n’avions pas mis les pieds dans un parc depuis des plombes… ça devait sans doute jouer un peu.
Toujours est-il que nous voilà donc plan (2€) en main, prêts à en découdre avec les réjouissances de ce parc. Premier constat : c’est pas si moche. Dès le premier abord, rien ne semble bien cohérent, mais le lac autour duquel est organisé Bobbejanland lui donne pas mal de cachet. Quelques éléments de déco sont posés ci et là, et l’ensemble est boisé. Bref, au risque de me répéter : on est sans doute indulgents, mais on est contents.
Ce lac est vraiment un gros plus pour le cadre du parc. Presque ça pourrait distraire nos yeux au point de ne pas remarquer l'immonde zone enfant tout au bout. Presque.
Par quoi commencer ? Les bouchons nous ont mis bien en retard : nous sommes là 1h30 après l’ouverture… il semble trop tard pour viser le fond du parc. Les temps d’attente ne sont précisés nulle part : ni dans le parc, ni sur l’appli (de toute façons en flamand !).
Nous avançons, laissons passer Typhoon qui a l’air blindé de chez blindé, et finissons par tomber sur le spinning Maurer du coin. La file semble moyennement remplie (oui c’est flou, mais on avait pas plus précis !), on s’y engage…
NAGA BAY
Le bazar est situé dans la zone adventure machin bidule, qui semble vaguement thématisée sur un temple (qu’il faut deviner) dans la jungle (qu’il faut imaginer). Le grand-huit en lui-même, c’est visiblement un serpent, ce qui nous laisse perplexes… Kondaa est censé être un genre de serpent, mais le train est long : le front car symbolise la tête, le reste le corps et la queue, bref le lien se fait assez rapidement. Là faudra m’expliquer : ce Naga Bay avec ses trains de UN wagon, c’est quoi, un serpent sans corps ? Une boule de serpent ? Un serp’ tête ? Ah, on me suggère dans l’oreillette que le corps, ça doit être les rails. Du coup c’est évidemment plus clair : nous avons donc affaire à un serpent dont les nombreuses têtes se baladent le long de son corps en tournant dans tous les sens. Elementaire.
Par quoi commencer ? Les bouchons nous ont mis bien en retard : nous sommes là 1h30 après l’ouverture… il semble trop tard pour viser le fond du parc. Les temps d’attente ne sont précisés nulle part : ni dans le parc, ni sur l’appli (de toute façons en flamand !).
Nous avançons, laissons passer Typhoon qui a l’air blindé de chez blindé, et finissons par tomber sur le spinning Maurer du coin. La file semble moyennement remplie (oui c’est flou, mais on avait pas plus précis !), on s’y engage…
NAGA BAY
Le bazar est situé dans la zone adventure machin bidule, qui semble vaguement thématisée sur un temple (qu’il faut deviner) dans la jungle (qu’il faut imaginer). Le grand-huit en lui-même, c’est visiblement un serpent, ce qui nous laisse perplexes… Kondaa est censé être un genre de serpent, mais le train est long : le front car symbolise la tête, le reste le corps et la queue, bref le lien se fait assez rapidement. Là faudra m’expliquer : ce Naga Bay avec ses trains de UN wagon, c’est quoi, un serpent sans corps ? Une boule de serpent ? Un serp’ tête ? Ah, on me suggère dans l’oreillette que le corps, ça doit être les rails. Du coup c’est évidemment plus clair : nous avons donc affaire à un serpent dont les nombreuses têtes se baladent le long de son corps en tournant dans tous les sens. Elementaire.
Les belges ne doivent pas voir de serpents souvent, parce que bon, faudra m'expliquer comment ce crâne...
... rentre dans cette tête ! Bon et après évidemment faudra inventer une ossature capable de tels mouvements, mais c'est pas notre boulot...Laissons-là cette réflexion, puisque après 30 lentes minutes à voir défiler les wagons à moitié remplis, le bazar s’arrête. Ah, ÉVIDEMMENT, premier crédit de la journée : une panne ! C’est bien notre veine ! Et les opés, ont peut savoir ce qu’ils font à se tourner les pouces en station ? Pourquoi personne ne vient réparer ça ? Ils ne sortent même pas les gens du train ! Et personne dans la file d’attente ne semble s’insurger de ça : tout le monde se tait ! Y’a que nous qui râlons. Même la musique s’est tue devant l’inutilité de ces opés !
Euh, la musique s’est tue ? Pourquoi elle s’est tue, la musique ? Il est quelle heure, au juste ? 12h ?
Y’avait pas une minute de silence à cette heure là ?
Mais. Quels. TROUFIONS.
AAAH ben on s’est vite tus, inutile de vous le dire ! Et on s’est sentis très nouilles, aussi…
20 secondes après, tout repart évidemment, notre « panne » étant miraculeusement réparée.
Petite photo prise entre 2 grognements bien franchouillardsEuh, la musique s’est tue ? Pourquoi elle s’est tue, la musique ? Il est quelle heure, au juste ? 12h ?
Y’avait pas une minute de silence à cette heure là ?
Mais. Quels. TROUFIONS.
AAAH ben on s’est vite tus, inutile de vous le dire ! Et on s’est sentis très nouilles, aussi…
20 secondes après, tout repart évidemment, notre « panne » étant miraculeusement réparée.
Le coaster en lui-même est assez honnête quoiqu’un peu lent par moments. Ça a bien spinné, quelques changements de direction ont une bonne pêche, l’ensemble se fait de manière parfaitement fluide mais il faut avouer que c’est très court comparé à d’autres grands-huit de ce modèle.
On l’aura assez rapidement oublié, pour se diriger vers...
On l’aura assez rapidement oublié, pour se diriger vers...
REVOLUTION
… qui était dans le coin. Avec le covid, la file d’attente se fait via la file d’une autre attraction (fermée à cause de… ben du covid, encore), et est d’une lenteuuuuuuuur ahurissante venant d’un grand-huit avec des trains de 60 places !
Arrivés au quai, on comprend vite pourquoi : les opérations sont d’un laborieux assez dingue. En fait, les opérateurs en sous-nombre semblent ne pas arriver à bien gérer l’impressionnante longueur du train. Au final, on aura attendu 30-40 minutes.
Mais bon, nous voilà embarqués dans lesconfortables assises de ce… truc, et c’est parti ! Le lift en spirale nous permet d’apprécier la totale longueur du train, et bordel, c’est immense ! La suite est assez… conceptuelle. Il s’agit d’une grande descente en spirale (sans zone de freins), avec quelques cassures. Rien de bien fou, mais le train est tellement long qu’on aborde les différents mouvements du parcours de manière totalement absurde, en étant tiré dans les montées et en ralentissant parfois dans les descentes, le tout à grand renfort de musique techno bien kitsch et d’éclairages de discothèque. Un ovni, plutôt dans le genre « nul » mais étrangement aussi très rigolo. On aura évidemment fait l’impasse sur la VR, faut pas déconner.
Suite à ces pérégrinations, nous avons glorieusement festoyé autour d’un petit pique-nique à base de pain, de cream cheese, de saumon fumé (miam) et de sel aux chips (pas miam).
Bon, et ensuite ? Il est 13h30, et on n’a que 2 des 8 crédits que compte le parc… On décide de continuer notre petit tour du lac (en ignorant copieusement la Wild Mouse du coin, dont la file est bien trop remplie), ce qui nous amène à une espèce d’inverted noir, qui fait un peu penser à Katun de loin. De près… c’est une autre histoire, à dormir debout.
Arrivés au quai, on comprend vite pourquoi : les opérations sont d’un laborieux assez dingue. En fait, les opérateurs en sous-nombre semblent ne pas arriver à bien gérer l’impressionnante longueur du train. Au final, on aura attendu 30-40 minutes.
Mais bon, nous voilà embarqués dans les
Suite à ces pérégrinations, nous avons glorieusement festoyé autour d’un petit pique-nique à base de pain, de cream cheese, de saumon fumé (miam) et de sel aux chips (pas miam).
Bon, et ensuite ? Il est 13h30, et on n’a que 2 des 8 crédits que compte le parc… On décide de continuer notre petit tour du lac (en ignorant copieusement la Wild Mouse du coin, dont la file est bien trop remplie), ce qui nous amène à une espèce d’inverted noir, qui fait un peu penser à Katun de loin. De près… c’est une autre histoire, à dormir debout.
Vu que je n'ai pas pris en photo Revolution ni Dreamcatcher, voici un peu de papillon pour apaiser.
DREAMCATCHER
Contrairement aux apparences, ce bazar est donc un suspended Vekoma joliment posé sur l’eau, avec le strict minimum en matière de théma (en fait, à part la station – plutôt jolie – faudra faire avec les nénufars de la mare).
20mn d’attente au total, qu’on ne peut imputer à l’efficacité des opérateurs, qui lancent les trains tellement vite que ceux-ci sont régulièrement obligés de s’arrêter sur le lift afin que l’autre train finisse sa course. Non, par contre on peut soumettre l’idée du FREIN DE MI-PARCOURS à Vekoma, qui aiderait à enchaîner plus efficacement les trains. Surtout que bon, c’est pas comme si le parcours de Dreamcatcher était particulièrement rythmé et qu’il semblerait dommage de l’interrompre avec des freins… Non, croyez-moi, on n’y ferait même pas attention.
Concernant le grand-huit en lui-même, on a eu un peu peur en voyant les harnais et les transitions du bazar, mais au final ça se passe sans baffes (c’est déjà ça), mais aussi sans grand intérêt. Disons que quelques passages un peu plus proches du sol et de l’eau auraient donné un poil plus de cachet à un parcours qui n’en a déjà pas beaucoup, du cachet. +1, vite fait bien fait, on passe à la suite.
Oki Doki ? Trop de monde, on reviendra quand les mioches auront quitté le navire. Ah, voilà qui fera l’affaire.
BOB EXPRESS
C’est un e-powered, faut-il vraiment que je développe ? Oui ? Bon bah c’est pas joli, le bruit de sifflement de train dans la file d’attente massacre les tympans tant il est saturé, et le grand-huit en lui-même est parfaitement oubliable malgré quelques airtimes discrets. NEXT.
Ben next, nous voilà déjà de retour à l’entrée ! C’est que le parc n’est pas très grand. Visiblement, y’a moins de monde à Typhoon. Comme le dirait avec bien peu d'entrain la dame qui explique les consignes de sécurité dans l’interminable file d’attente de cet eurofighter (aucun train ne paraît entièrement rempli) : « woosh, c’est parti ! »
Ben next, nous voilà déjà de retour à l’entrée ! C’est que le parc n’est pas très grand. Visiblement, y’a moins de monde à Typhoon. Comme le dirait avec bien peu d'entrain la dame qui explique les consignes de sécurité dans l’interminable file d’attente de cet eurofighter (aucun train ne paraît entièrement rempli) : « woosh, c’est parti ! »
TYPHOON
Le seul et unique Eurofighter que nous avions à notre actif, c’était en fait le dernier du nom Vertika : une très bonne petite machine plutôt généreuse en sensations et relativement confortable malgré d’énormes et anachroniques harnais.
Nous sommes donc montés dans Typhoon assez confiants – toujours malgré ces immondes harnais – même si le parcours semblait plus anecdotique. Petite précision : nous étions au premier rang, mais pas tout seuls. Deux autres personnes étaient avec nous, ce qui ne nous a évidemment pas dérangés, mais un peu interloqués compte tenu que les opérateurs n’envoyaient JAMAIS un train entièrement rempli… Bref, cette incohérence passée, nous voilà dispatchés vers le lift vertical, plus lent qu’à l’accoutumée. C’est vraiment jamais très agréable les lifts verticaux, surtout quand on a le soleil bien en pleine face histoire de nous aveugler avant les festivités. Celles-ci commencent par la sempiternelle descente au-delà de la verticale, particulièrement efficace malgré des freins au sommet.
NON, les freins, vous n'aurez pas raison de mon airtime !
Et ensuite… ah ben ensuite dès le looping C’EST NUUUUUUUUL ! Un festival de vibrations, de baffes bien senties et de tasse-vertèbre comme on en trouve pas souvent. Sérieusement, cette abomination ne laisse de répit que durant les heartlines roll : Le reste, non seulement c’est mauvais (ils avaient des réducs sur les MCBR ? 2 achetés, 30 offerts ?), mais en plus ça nous a fiché un mal de crâne carabiné à la sortie tant ça nous a secoués comme des pruniers. Comment ils se sont débrouillés pour rendre un LOOPING – soit l’inversion facile à dessiner par excellence – aussi douloureux ? Ah bravo Gerstlauer, félicitations ! Je crois bien qu’on a un sérieux concurrent dans la course des pires grands-huit du continent !
Le bleu est une couleur chaude (voire un peu trop chaude pour nos oreilles).Nous sommes donc montés dans Typhoon assez confiants – toujours malgré ces immondes harnais – même si le parcours semblait plus anecdotique. Petite précision : nous étions au premier rang, mais pas tout seuls. Deux autres personnes étaient avec nous, ce qui ne nous a évidemment pas dérangés, mais un peu interloqués compte tenu que les opérateurs n’envoyaient JAMAIS un train entièrement rempli… Bref, cette incohérence passée, nous voilà dispatchés vers le lift vertical, plus lent qu’à l’accoutumée. C’est vraiment jamais très agréable les lifts verticaux, surtout quand on a le soleil bien en pleine face histoire de nous aveugler avant les festivités. Celles-ci commencent par la sempiternelle descente au-delà de la verticale, particulièrement efficace malgré des freins au sommet.
NON, les freins, vous n'aurez pas raison de mon airtime !
Et ensuite… ah ben ensuite dès le looping C’EST NUUUUUUUUL ! Un festival de vibrations, de baffes bien senties et de tasse-vertèbre comme on en trouve pas souvent. Sérieusement, cette abomination ne laisse de répit que durant les heartlines roll : Le reste, non seulement c’est mauvais (ils avaient des réducs sur les MCBR ? 2 achetés, 30 offerts ?), mais en plus ça nous a fiché un mal de crâne carabiné à la sortie tant ça nous a secoués comme des pruniers. Comment ils se sont débrouillés pour rendre un LOOPING – soit l’inversion facile à dessiner par excellence – aussi douloureux ? Ah bravo Gerstlauer, félicitations ! Je crois bien qu’on a un sérieux concurrent dans la course des pires grands-huit du continent !
Heureusement, il paraît qu’il y a un peu mieux quelques mètres plus loin. Et comme j’approche de mon 200e… autant essayer de faire ça bien.
A suivre
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