5 frenchies in England – du 11 au 20 mai 2024

[Røyk]

Et c’est reparti pour l’ouverture de la saison (il était temps !!) à travers toute l’Angleterre, pour découvrir de nouveaux parcs et redécouvrir des parcs iconiques qui regorgent de très belles montagnes russes, mais aussi de profiter du temps typique local que l’on aime tous. Inutile de vous parler d’Hyperia : elle n’était pas encore prête le jour de notre passage, mais nous sommes toujours vivants, grâce à la joie des 5 participants de ce trip : Antoine, Guillaume, Joël, Kris et moi-même (ouaip, askip j’ai la joie de vivre, surtout pour rider du coaster).​

Quel a été notre trajet ?


Samedi 11 mai : arrivées à London Stansted (L / G&J / K) puis trains / métro vers Brighton // arrivée à New Haven pour Antoine, Brighton Pier, puis Clarence Pier.

Dimanche 12 mai : Paulton’s Park

Lundi 13 mai : Legoland Windsor

Mardi 14 mai : Thorpe Park

Mercredi 15 mai : Chessington World of Adventures

Jeudi 16 & Vendredi 17 mai : Alton Towers

Samedi 18 mai : Blackpool Pleasure Beach

Dimanche 19 mai : FlamingoLand (et petit bonus à Fantasy Island)

Lundi 20 mai : retours…


Est-ce qu’on aura eu de la flotte tous les jours ? Qui sera tombé amoureux de Kris ? Les crédits gratuits, est-ce possible ? Les nouveautés ne vont-elles pas trembler #modede2024 ? Quel est l’animal le plus agressif du séjour ? Aurai-je ma revanche des donuts de Blackpool ? Combien de kilomètres et de détours aurons-nous fait ?


Transports


Rejoindre l’Angleterre

Cholet <–> Nantes : Gratuit (merci Maman )

Vol A/R Nantes <—> London Stansted, avec Ryanair (sac à dos seulement…) : 207 € (ouaip ça fait ch(i)er)

Sous-total : ~ 207 €


En Angleterre

Trains / Métro London Stansted –> Brighton : 48 €

Location de voiture : 0 € (voiture des parents d’Antoine)

Essence : 33 € (prix moyen du litre de SP95 : 1,60 €) / personne

Péages : 0 €

Sous-total : ~ 81 €


TOTAL TRANSPORTS : 288 €


Logements


La plupart des logements sont des logements pris sur Airbnb, sinon des hôtels. Prix / personne

1 nuit à Fareham – Hôtel (petit déjeuner inclus) – 37 €

3 nuits à Surrey – Airbnb – 106 €

1 nuit à Northamptonshire – Airbnb – 37 €

1 nuit au Splash Landings Hotel (petit déjeuner inclus) – 42 €

1 nuit à Blackpool – Airbnb – 32 €

1 nuit à Birstall – Airbnb – 23 €

1 nuit à Grantham – Chambre d’hôtes – 33 €


TOTAL LOGEMENTS : 310 €


Se nourrir


Courses et fast-food

L’amour de la cuisine ne nous quitte pas, même en vacances ! Pizzas maison, roulés à la saucisse, salade de crudités, pâte bolognaise, jambalaya… nous avons concocté de quoi ravir nos papilles lors des soirées. Pour le midi, nous avons classiquement opté pour le classico sandwich la majorité du temps. Et, quand le timing n’était pas de notre coté, un McDo ou un BK car, à 20h, tout est fermé.

Sous-total : ~ 85 €


Restaurants et petites bouffes dans les parcs

Je n’ai pas acheté de bonbons dans les parcs de tout le séjour. Nous avons testé le restaurant de l’hôtel d’Alton Towers, un fast-food de Paulton’s et de Legoland, et grignoté à droite à gauche comme d’habitude.

Sous-total : ~ 55 €


TOTAL SE NOURRIR : ~ 140 €


PARCS

Nous avons fait une dizaine de parcs, donc 5 était compris dans le pass Merlin. Grâce au pass Merlin Gold de Guillaume, nous n’avons pas eu à payer les parkings des parcs Merlin (mis bout à bout, ça fait une belle économie) !


Prix du Pass Merlin Discovery : 92 € (en promotion lors de l’achat)


« Gros parcs »

Paulton’s Park : 1 jour – 50 € (payé en ligne 10 jours avant la visite)

Legoland : 1 jour – Pass Merlin

Thorpe Park : 1 jour – Pass Merlin

Chessington World of Adventures : 1 jour – Pass Merlin

Alton Towers : 2 jours – Pass Merlin

Blackpool Pleasure Beach : 1 jour – 37 € (réduction ECC), garés dans la rue à un emplacement gratuit

Flamingo Land : 1 jour – 35 € (payé aux caisses du parc sur présentation de la carte de l’ECC), parking gratuit.

Sous-total : ~ 214 €


« Petits parcs » et fêtes foraines

Brighton Pier : 14 €

Clarence Pier : 10 €

Fantasy Island : 23 €

Sous-total : ~ 47 €


TOTAL PARCS : 261 €


Souvenirs


Toujours ramener quelques souvenirs !


TOTAL SOUVENIRS : ~ 50 €


TOTAL TRIP : ~ 1 050 €


Do you wanna get some fun?

Les photos utilisées dans ce TR sont un mix entre celles d’Antoine, de Jojo, de Kris et les miennes. Utilisées avec autorisation ​

 

[Røyk]

Arrivées, Brighton Pier et Clarence Pier – 11 mai 2024​

6h, l’heure de se lever, de prendre un thé, de tout ranger et d’y aller. 45 min minutes de route pour aller à l’aéroport de Nantes, quel pied ! Surtout quand c’est maman qui emmène et qu’il n’y aura pas de parking à payer.

Trêve de phrases en rimes, je passe rapidement les contrôles de sûreté vers 8h15 pour un vol décollant à 9h35. J’ai le temps de prendre de quoi boire et de recharger la batterie de mon portable. N’ayant pris qu’un sac à dos pour le trip, celui-ci est plein à craquer, je tiens donc à la main hoodie, veste, manteau et mon petit-déjeuner, un pain sportif. Peu pratique, mais j’aurai de quoi m’alléger après le vol.

Chacun se tient au courant en live, dont Kris qui voit son vol retardé d’une heure, et Jojo et Guillaume de 30 minutes. Pour ma part, ce ne sera que de 15 minutes. Cela faisait depuis 2018 que je n’avais pas pris Ryanair. Attribuée à un siège au milieu, ne voulant me délester de 15 balles pour avoir le hublot, j’ai dit tant pis pour un vol d’1h20.

Le hasard faisant bien les choses, je n’ai ni voisin à ma gauche, ni à ma droite. Le vol est au 2/3 rempli. C’est ça de partir en plein pont. Me voilà le visage collé au hublot pour ce vol, qui se passe sans problème Mon pain fond comme neige au soleil.

Atterrissage à Stansted pour la 1ère fois, je suis la foule pour rejoindre le contrôle de l’immigration. En fonction des portes d’atterrissage/de décollage, il faut prendre un train. Je me mets devant une porte, c’est celle d’à côté qui s’ouvre. Elle est peut-être en panne. Je me mets donc devant celle-ci pour le prochain train. Quelques minutes plus tard, j’entends un train arriver… Et ce sont les portes tout au bout qui s’ouvrent. c’est fait exprès ?!

Le Royaume-Uni demandant désormais le passeport pour fouler son sol, c’est une machine qui décide de notre sort. Entrera, n’entrera pas ? La machine a l’air capricieuse, elle ne me reconnaît pas. Peut-être parce que j’ai des lunettes ? Au bout de trois essais, ça bloque le passage et un policier vous vient en aide. « Try an other gate ». La machine d’à côté est plus sympa, je rentre sans soucis.

Et il n’y a plus qu’à attendre 30 min pour Jojo et Guillaume, et presque une heure pour Kris. L’astuce pour m’alléger de mes manteaux : un sac de course bien plié dans mon sac à dos. Et voilà, hop tout là-dedans et on gagne en praticité pour balader le bordel. Sinon c’était 50 € la valise cabine. Merci mais non merci.
Des bornes pour recharger les portables via port USB sont installées, pratique. Plusieurs dizaine de minutes s’écoulent. Jojo, Guillaume et Kris finissent par arriver. Antoine est bien sur son ferry. Plus de pain sportif.​

Nous quittons la zone internationale pour rejoindre le grand hall et grailler un bout (oui, j’ai encore faim). Quékonfait ? Nous n’avons réservé aucun billet de train en avance, et nous devons rejoindre Brighton pour 15h au max. Mange-t-on puis y allons-nous ? Aucun de nous n’est stressé à acter quoi que ce soit. Nous allons finalement au guichet prendre chacun notre billet de train pour Brighton. La dame, très gentille, comprend notre demande et nous fait un billet combinant les deux trains + le métro. Et comme nous sommes en groupe, c’est 30 % moins cher qu’un billet individuel Il faut simplement présenter tous les billets en même temps et ne pas se séparer. Nous avons été séparés pendant plusieurs mois, ce n’est pas aujourd’hui qu’on va se dispatcher !

Billets valides pour toute la journée en poche (et après vérification, on est bien gagnant sur le prix !), nous prenons une commande au BK, qui ne propose pas grand chose et qui coûte une fortune. 9 € pour un Chicken Royal, que j’engloutis en 4 crocs… Je ne me rappelais pas du tout que c’était aussi cher l’Angleterre Inflation plus détonante qu’en France ?

Je vais me servir au distributeur de boissons, remplissant ma bouteille d’eau vide de Fuze Tea à la framboise (oh, quoi, mais tu n’as pas payé ?). Eh oui, c’est comme ça. Tout le monde ravitaillés, nous embarquons tous nos bagages dans le Stansted Express, direction Londres où il faut descendre à Tottenham. Le contrôle des billets se fait avant de monter dans le train. Ne voulant faire de bêtises, nous présentons nos 4 billets attachés à un contrôleur, lui expliquant que nous sommes tous les 4 et que nous avons un tarif groupe. Contrôleur très sympa qui a bien l’habitude, il détache un des 4 billets, le scanne, et ouvre la grande porte pour que l’on passe tous. Nous trouvons des places en face à face. Pratique. Le trajet dure environ 45 min.

Une fois arrivés à Tottenham, rebelote, pour rejoindre le métro, il faut déjà quitter la zone de train, et donc re-scanner les billets. On redemande à un autre contrôleur, qui, très sympathiquement et sans regarder en détail les tickets, nous ouvre la grande porte. Eh beh, on pourrait montrer des tickets trouvés par terre qu’on passerait quand même ! Et ce sera la même chose avec tous les portiques à passer : 2 pour le métro (métro bien bruyant et bas de plafond, j’avais oublié !) et 2 pour le Southern Express, que l’on choppe au meilleur timing pour ne pas trop à devoir attendre le prochain. Ils sont quand même détendus ces contrôleurs ​

Arrivée prévue à 14h45, on est dans les clous total ! Nous arrivons dans une gare, qui a un petit charme. Nous suivons le petit flot de personnes et sommes surpris du soleil rayonnant. On va cramer pour sûr ! Le temps de se repérer et de voir quel chemin prendre pour rejoindre la mer (tout droit depuis la gare, pas bien compliqué), nous faisons une première supérette à la recherche de crème solaire, sans succès. Antoine est arrivé en Angleterre, il ne reste plus qu’à faire la route jusqu’à Brighton et à trouver une place pour se garer… Bon courage !

Nous descendons la rue, bondés de monde, mais surtout de jeunes ! Brighton est une ville jeune. Ça fait plaisir à voir. Nous passons à côté d’anglais déjà bourrés à 15h30, jonchant le sol sans se soucier de la vie. Le paysage local

Nous nous rapprochons de la mer ; c’est que c’est chiant de se trimballer toutes ces affaires, vivement l’arrivée d’Antoine que l’on balance tout ça dans le coffre. Kris veut retirer du liquide et trouve son bonheur dans un bureau de change. On trouve également notre bonheur dans un Sainsbury’s : de la crème solaire. Qui l’eut cru ? Et oui, c’est l’heure de s’en tartiner. Et les prévisions météo vont de bonnes augures ; le petit tube ne devrait pas faire long feu. Pas de gâchis

Nous faisons face au front de mer, que ça fait du bien ! Le Pier s’affiche à notre gauche, il y a encore une bonne dizaine de minutes à marcher pour le rejoindre, à travers la foule et toujours avec nos valises.​

A force de marcher, nous y arrivons ! Nous nous posons en contre-bas, prendre de quoi boire et grignoter. Mmm une bouteille d’eau, mais pourquoi pas aussi une glace ! A croire que la commande de la glace a fait arriver Antoine, qui rejoint le quatuor pour former le quintuor et l’équipe est complète !
​

Bien que la pause fasse beaucoup de bien, nous avons au programme Brighton Pier (fermeture à 18h) donc, mais aussi Hayling Island (fermeture à 20h) et Clarence Pier (fermeture à 21h). Il est déjà 16h30, activons-nous ! « Elle est où ta voiture Antoine ? » « Garée trop loin ». Une flemme de faire encore un aller-retour, c’est donc avec TOUTES nos affaires que l’on va se trimballer sur le Pier.

C’est la première fois que je fais un Pier. Ce Pier est bien connu, assez bien entretenu (on voit les nouvelles lames de bois – lames qui ne sont pas totalement collées, donc on fait bien gaffe à nos affaires qu’un portable ou une carte ne fasse pas plouf dans la mer… !) au niveau de la structure du Pier même. Pour les attractions, c’est un peu autre chose. Soit. Il existe un bracelet illimité, mais au vu des attractions, nous ne ferons que les deux crédits + le petit bonus pour moi : un tour de toboggan, le même que celui dans RCT !! Je vais enfin savoir à quoi ressemble l’intérieur de la structure ! Et son positionnement au bord du Pier présage une belle vue ! Ces trois attractions coûtent quand même 14 €. Ce sont les vacances.​

Commençons avec Turbo Coaster, au bord de la mer. La structure est pas mal rouillée à certains endroits. Et quid du démontage le jour où il faudra changer le sol ? Une bonne quinzaine de minutes d’attente pour ce super Pinfari, qui fait valser les têtes au virage suivant le loop Ça promet pour l’ouverture de la saison. Impossible de laisser les affaires sur le quai car le quai de débarquement est séparé du quai d’embarquement. On fait deux groupes, l’un gardera les affaires de l’autre. On laisse un gros tas à côté des petits casiers à disposition. GITANOOOOOO.
​

Nous montons au 1er rang avec Antoine, s’installons dans ces sièges pas des plus confortables, et abaissons le simple harnais. Je trouve une carte du Pier dans le siège, je ne sais pas si elle est créditée mais je la garde. Le lift permet d’avoir une superbe vue sur la mer et la plage, c’est toujours ça de pris avant d’entamer le parcours, avec une drop plutôt pentue, fournie en floatting. Les virages passent mal, en force et avec baffes. Le virage après le loop fait bien valser les têtes. Après ça, on trouve tout plus doux dans le parcours qui s’avère sans trop d’intérêt.​

Le débit n’étant pas des plus terrible et le temps tournant, nous récupérons TOUTES les affaires avec Antoine pour se les trimballer dans la file d’attente de Crazy Mouse, le second crédit, qui avance déjà un peu plus vite. En fait, tous les trains sont lancés d’un coup (respectant les différentes zones de freins a minima et donc les distances de sécurité). Nous avons déjà bien avancé lorsque Guillaume, Kris et Jojo rejoignent à leur tour la file. C’est le moment de leur refiler toutes les affaires ; on aura ridé quand ils seront encore dans la file. C’est tout une logistique. Nous embarquons avec deux autres personnes (et encore une carte de trouvée !), et c’est parti pour un tour vraiment au bord de la mer, la montagne russe se situant au bout du bout. Faire un spinning en bord de mer rajoute un sacré plus : l’impression d’être éjecté une fois sur deux dans l’eau. Et imaginez, si une pièce casse et fait tomber le wagon dans l’eau ? On se noie tous et on MEURT Oui, ma réflexion est très joyeuse, mais rider une montagne russe dans un tel environnement n’est pas commun. Sinon, ça reste un spinning de foire qui a bien tourné, pour mon plus grand déplaisir.​

Nous reprenons les affaires aux gars qui, comme bien calculé, sont toujours en train d’attendre mais proche d’embarquer. Il est presque 18h, je file à Helter Skelter, le toboggan mythique. On me file un tapis, et c’est parti pour l’escalade.​

Qui n’a jamais mis un de ces toboggans lorsqu’il jouait à RCT ? Qui ne s’est jamais demandé comment faisaient les visiteurs pour monter jusqu’en haut ? Eh bien, maintenant, vous avez la réponse :​

Plusieurs escaliers, assez raides, il faut bien se tenir. Après l’escalade, la vue en vaut la peine : la mer, la plage, le soleil, les autres attractions. Cela dit, les vitres sont assez petites et le plafond bas. Les seules photos que j’ai prises sont floues. Une vraie artiste. Le toboggan est (très) étroit. Alors que je commence à le descendre, mon portable glisse de ma poche. Même s’il ne peut pas tomber de la structure, je le tiens comme il faut pour ne pas le perdre, mais ma main frotte contre la paroi de bois. Pas très agréable, mais cela est de ma faute. Ça ne glisse pas trop vite, ni trop lentement. Pas de barrière en bois à se manger à l’arrivée, juste 4 mecs pour moi Ce fut mon petit plaisir d’avoir fait ce toboggan. Un juste retour en enfance et des heures passées sur RCT.

Visite du Pier faite, nous partons direction la voiture d’Antoine, 15 minutes de marche, qui a réussi à chopper une sacrée belle place le long du boulevard principal. Ce n’était pas gagné au vu de l’affluence. Alors que nous venons de tout mettre dans la voiture (ENFIN DÉBARRASSES), nous nous faisons alpaguer par deux pseudos « youtubeurs » filmant des mini-trottoirs, et nous demandant notre avis sur la chanson qu’un des deux nous chante. Nous restons stoïques tellement c’est merdique Kris tente d’arrondir les angles « Yeahh, sounds good ». Ils partent aussi vite qu’ils ne sont arrivés.

Nous programmons la prochaine destination, Hayling Island, qui est à 1h25 de route. C’est que ça bouchonne pour quitter la ville. Nous prenons notre mal en patience. Antoine a tout de suite pris les bons réflexes : rouler à gauche et doubler par la droite !

A quelques minutes d’arriver à destination, nous devons traverser une jolie campagne anglaise, où rien nous laisse présager d’arriver à un Luna Park.

Nous arrivons à 5 minutes de la fermeture, nous voyons un premier crédit qui tourne encore, mais le second est déjà arrêté. Et c’est peine perdu : la caisse centrale est de toutes façons fermée. Premier loupé du trip, mais on va s’en remettre.
​

Nous ne perdons pas de temps et reprenons la route pour Clarence Pier, à 20 minutes de route. En arrivant à 20h30 pour une fermeture à 21h, on devrait être bons. Tout tourne encore, le soleil est presque caché dans la mer, les lumières du Pier sont allumées, c’est une ambiance détente qui nous attend pour ces dernières 30 minutes. Je ne manque pas de me faire renverser par une voiture, excitation pour deux +1 à la con, quand tu nous tiens !!

La caisse centrale est toujours ouverte et les deux crédits tournent, impeccable. Cependant, au moment d’acheter les jetons, la caissière n’en vend plus. Mais accepte -sans même qu’on lui demande- de demander à son manager si c’est OK pour en vendre. Bonne action de sa part nous attendons quelques minutes, et puis vu la file dernière nous, ça vient aussi acheter du jeton. 10,50 € pour deux crédits, tout bénef’ pour eux et pour nous.

Le premier crédit, Tidal Wave, un spinning SBF, avec un parcours plus élaboré qu’un simple double 8, ça passe juste pour Guillaume et Antoine qui font dans le mètre 95, mais c’est OK ! On arrive à se faire des checks durant le tour, ça apporte de l’interactivité.​

Nous passons vite au suivant, Mad Mouse, également du SBF, qui a copié sur le layout classique du Zyklon Pinfari. Nous avons le droit à une lap bar et une double ceinture. Au cas où. On ne se lassera jamais de la vue sur la mer. La parcours passe globalement bien, les freins sont rudes cela dit.​

Et c’est sur ces deux tours que nous avons fini notre journée de parcs, mais pas notre journée globale. Il faut encore manger, et pour ça, c’est plus compliqué. Nous allons dans un restaurant, pour déjà aller se rafraîchir, mais c’est fini pour le service

Nous sortons du restaurant et repassons devant le pier : tout est déjà éteint, ils ne mettent pas longtemps à tout mettre sous bâche. Nous passons devant un fast-food faisant du fish and chips THE plat typiquement anglais, mais même eux sont en train de tout ranger. Pas le choix que de terminer au McDo le plus proche avant d’aller à l’hôtel.

Quelques minutes de route plus tard, nous sommes au McDo, ce n’est pas le plus fourni en choix, ils ont des burgers que l’on a pas en France mais ce que j’aime en France n’est pas en Angleterre. Petit cheeseburger et grosse portion de frites me caleront Enfin, je goûterai au Cheese and Herb Bites de Kris, qui donne l’impression de manger du plastique et terminerai également la portion de frites de Jojo. Incroyable comment des jours, mon estomac est comme le sac de Marry Poppins : infini.

Allez, encore un petit quart de route et nous serons à l’hôtel. Nous quittons la ville rapidement pour rejoindre l’autoroute et sa sortie qui nous mènerons à l’hôtel. Plus beaucoup de places pour se garer, on laisse la voiture sur le trottoir.

Le check-in ayant été préalablement fait sur internet, nous attendons que la dame, très gentille, nous encode les cartes pour notre chambre douillette. Nous la suivons dans un dédale de couloirs, vous êtes sûrs que l’on va retrouver notre chemin pour sortir ? Nous avons le droit à une chambre unique sous les combles, où il fait chaud (parfait). C’est propre, et la pièce a été rafraîchit par rapport aux photos.

Presque 23h malgré tout. Ça tire un peu, mais demain, on pourra dormir jusqu’à 8h ; le parc, situé à une vingtaine de minutes de route, n’ouvre qu’à 10h.

Je cherche mes affaires de nuit que j’avais bazardées dans le sac de course et, c’est quoi toutes ses paillettes blanches ? Il neige dans mon sac ? Après inspection, c’est mon sac de courses qui a décidé, oui, là, maintenant, de se dégrader à petit feu. Ah bah merci, c’était bien le moment !! La salle de bain est fonctionnelle, quoique peu pratique pour les grandes personnes car la baignoire/douche se situe sous les combles.

Je ne mettrai pas longtemps à m’endormir, sans oublier de mettre le fameux cache-œil, suite à l’absence totale de volets et de rideaux efficaces.

 

[Numérobis]

Avant d’aller plus loin, il faut un générique à ses nouvelles aventures !!!

View this content on Instagram

View this content on Instagram

 

[Røyk]

En attendant la parution du prochain épisode, je vous invite à relire les premiers épisodes de nos aventures italiennes de l'année dernière.

Les photos avaient disparues mais le problème est résolu (jusqu'à Luneur Park inclus)

 

[Røyk]

Paulton’s Park – 12 mai 2024​

Ce qui est bien, quand des personnes prennent leur douche le matin, c’est qu’il n’y a pas besoin de mettre un réveil. Ou sinon, le soleil déjà omniprésent à 6h du mat’ fait tout aussi bien l’affaire – malgré le cache-œil. Je resterais bien à lézarder dans ce plumard confortable. Certains n’ont pas passé leur meilleure nuit, mais une très belle journée ensoleillée nous attend pour découvrir Paulton’s Park – idéal pour se remettre sur les roulettes.

La nuitée comprend un typique English Breakfast. Nous descendons dans la salle de restauration par un escalier plus direct. Un couple d’anglais prend son petit dej’, dans un calme le plus total. C’est qu’il n’y a pas foule. Agréable. Le temps de la préparation du salé, nous pouvons nous servir en eau, jus de fruits et aussi en céréales. Les boissons chaudes sont également préparées par la serveuse. L’ensemble se mange bien, mais ils ont la manie de faire frire leurs saucisses, les rendant peu gustatives (et le contenu de la saucisse n’était pas des plus meilleure de base).

Nous plions bagages sur les coups de 9h40, repassons par ce dédale de couloirs de la veille et jetons involontairement un œil sur une chambre ouverte, qui ressemble plus à un dépotoir qu’autre chose. Bon courage pour le nettoyage

La route d’une vingtaine de minutes se fait bien, à travers la campagne anglaise verdoyante. Le GPS nous indique qu’on y est proche, un parc dans une forêt, ça nous rappelle un certain Alton Towers !

Plusieurs dizaines de voitures sont déjà garées sur le parking (gratuit). Nous sommes littéralement le seul groupe à ne pas être accompagné d’enfants. Les enfants, ce sont nous. Une photo de groupe devant le logo du parc, et c’est parti pour découvrir ce parc, qui est fièrement le premier parc au monde à entièrement consacrer une zone sur Peppa Pig.​

Pas de doute, on est vite charmés par les lieux : beaucoup d’arbres, des grands espaces verts, de la propreté, plein de gamins. On est bien dans un parc familial prenant soin du moindre cm² Nous décidons de partir sur la partie gauche du parc, où se situe le land Lost Kingdom, et arbore un SFC & Familiy Boomerang Vekoma, un mini Tivoli Zierer, le tout thématisé sur les dinosaures sans fausses notes. Cette partie du parc, moins arborée, n’en est pour autant pas moins mignonne : les décorations sont en nombre, proportionnées et variées.​

Nous n’attendons pas plus longtemps pour faire notre premier ride du jour : un tour de toboggan avant que les enfants ne s’emparent de la zone. Jojo se joint à mon périple pour escalader la structure. Le toboggan ne glisse pas des masses mais au moins, je ne me ramasse pas. Un tour nous suffit.​

Flight of the Pterosaur. Le SFC, au même layout que son cousin scandinave à Gröna Lund, est bien décoré de fausses roches, dinosaures, plantations et survole même à certains moment les allées. Pas d’attente, ce sont les opérateurs qui placent (même si je pense que l’on peut demander une place particulière). Nous avons de la chance d’attente pour le prochain tour au portillon. Mais seulement deux places au front pour cinq candidats. Shi-fu-mi ? Deux manches suffiront à élire Antoine et moi-même pour un front ​

Le confort est toujours présent, les opérateurs veillent à ce qu’il n’y ait pas trop de marge. Pas besoin ici de toutes façons. La first drop nous laisse profiter d’un léger floatting, au dessus des décors et arbustes en nombre. Nous remontons pour tranquillement prendre une hélice sur la gauche, passer sous un élément de décor et entamer de nouveau une hélice sur la gauche, plus longue et plus puissante avant de freiner directement en gare. Le parcours passe bien dans l’ensemble, pas de grosses vibrations à noter. Idéal pour la famille.

Nous continuons notre lancée sur Dino Chase, le mini Tivoli Zierer. Et ce n’est pas parce que c’est une montagne russe pour enfants qu’il n’a pas le droit à de la décoration, bien au contraire ! Il est chouchouté par la verdure, les plantes, un joli train, une simple gare mais qui fait le taf’. S’il pouvait être un poil plus confortable, ce serait encore mieux, mais il a réussi à faire pleurer deux enfants qui étaient dans le train précédent. Comme quoi, l’utilité de ces machines pour les jeunes gamins est toujours présente.​

Jamais 203, nous enchaînons avec le Family Boomerang Velociraptor, ouvert la même année que Flight of the Pterosaur d’ailleurs (2016). Le fameux duo / achat groupé SFC/FB. Ce n’est pas un modèle que j’apprécie beaucoup, dû au passage en arrière, Jojo non plus. On va se mettre à côté, solidaires ! Installés au milieu du train, le train quitte la gare pour prendre une vingtaine de mètres de hauteur avant de gentiment glisser sur la drop. Le parcours reste simple : un virage sur la gauche, une bosse sans floating, un virage sur la droite avant de remonter sur la flèche… et de repartir en arrière ! On reste calme, on respire, ça se passe plutôt bien même si je ne ferai pas de ride en arrière plus d’une minute.​

Lost Island comporte également d’autres attractions comme le mini flume Soquet Splash Lagoon, qui ouvre… le prochain week-end (tant pis !) mais aussi un parcours de tacots version 4*4, que l’on fera peut-être plus tard.

Nous quittons cette zone pour se retrouver sur une place plus avare en décoration, en ombre et en arborescence ; la verdure est toujours là. Nous avons donc le choix entre Magma, Cobra et Edge.

Magma est une « free-fall » qui n’en est pas une, comme l’on peut retrouver un peu partout désormais (Parc du Bocasse, Kingoland, mais aussi récemment à Chessington WoA). On zappe.

Cobra est un bobsled Gerstlauer, au layout quasi identique à celui de G’genste Sau (la différence n’étant qu’à la fin du parcours). Au côté de Guillaume au front, nous prenons plaisir à dévaler ces drops et ses virages en épingles. Les hélices sont bien serrées, ce qui ne laisse pas indifférent mon estomac. Les bunnys hops sont fournis en floatting. Un parcours ni trop long, ni trop court, qui ne vibre pas. Il maque cependant de thématisation : la montagne russe est posée brute sur le béton et l’herbe. J’espère que c’est dans les cartons d’harmoniser cette partie du parc avec le reste, qui est beaucoup mieux travaillée niveau décoration.​

Cette zone comporte deux grands espaces de pelouse, sans aucune trace d’ombre, où il est possible de pique-niquer. Ça fait une belle surface pour le parc s’il souhaite investir dans de nouvelles attractions.​

Il n’est que 11h15 et nous avons déjà crédité la moitié du parc. Vu qu’il fait déjà très chaud, nous faisons un tour sur Raging River Ride, un flume forain posé dans une pataugeoire géante sans réelle thématisation, qui humidifie sans pour autant rincer.​

Nous quittons cette zone pour rejoindre le côté droit du parc et le nouveau quartier ouvert en 2021, Tornado Springs Le travail est très bien réalisé et il est chouette de s’y promener. Montagnes russes, frisbee, parcours en tracteur, restauration, cette zone est bien complète.

L’attraction phare de la zone, Storm Chaser est un spinning Mack, du même modèle que Sierra Sidewinder à Knott’s Berry Farm. Tout ce que j’aime. La file d’attente est soignée, décorée aux allumes de ferme américaine (animaux, outillages etc.) et vite passée puisqu’il n’y a personne. On ne fait pas plus gaffe que ça à la musique passée en gare.

Placée en arrière dans la gare, nous la quittons pour vite rejoindre le lift et commencer à tourbillonner. Heureusement qu’elle ne tourbillonne pas autant qu’une vraie tornade, sinon mon estomac serait en PLS. Ah, il l’est déjà. Le train vibre pas mal par endroit et, dans ma plus grande chance, passe les hélices tout en arrière. Gé-nial.​

12h15, il est enfin l’heure de… prendre une photo avec Peppa Pig. Oui, en visite dans la zone, on remarque que Peppa et George sont de sortie, alors, pourquoi pas ? Sans le savoir, nous allons faire notre plus longue attente de la journée : 20 minutes. Sans le savoir, nous allons passer un moment d’anthologie. Pendant que Kris, Guillaume et moi-même faisons la queue en plein cagnard, Jojo et Antoine attendent pépouses à l’ombre. Ils n’auront plus qu’à nous rejoindre au moment de la photo. 20 minutes plus tard, à avoir survécu aux cris, pleurs et rires des enfants, c’est notre tour d’aller se faire photographier avec ces deux fameux cochons pour une belle photo de famille.​

Et au moment de partir, Peppa décide de caresser la tête de Kris, alors agenouillé pour la photo. Quelle caresse ! Ce n’est pas un simple passage de cette main de peluche sur la tête, non ! C’était si tendre et si vigoureux à la fois, à lui en décoiffer sa chevelure. Une sorte de connexion entre Peppa et Kris. Que lui voulait-elle ? Une attirance ? Un type de cheveux inconnu sur le territoire britannique ? Nos regards se sont tous retournés sur cette action si inattendue qu’on en reste scotchés. Un fou rire éclate entre nous 5. Alors Kris, quel effet ça te fait ?

On ne pourrait pas faire une pause manger ? Non ? Non bah allons sur Farmyard Flyer, un Zierer Force flambant neuf de 2022. Pas d’attente non plus, c’est deux tours que l’on s’offre (enfin que l’on nous Force à faire), aux légers à-coups inoffensifs.​

Nous laissons Guillaume faire son tour sur Clyclonator, lun ZAmperla Disconery Ride. Non merci.

Il est maintenant bon d’aller manger. Nous nous posons au restaurant Route 63 Diner, qui est un fast food où tout se commande sur borne. Il y fait très (trop) frais dû à la climatisation – tout en laissant les portes grandes ouvertes…

N’ayant pas plus faim que ça et ne voulant pas tout de suite taper dans des plats trop gras (BK + McDo de la veille…), je prends une salade Caesar, ça me suffira pour l’après-midi. Plus quelques frites à droite à gauche. Presque 13 € la salade servie dans une boîte, ça reste cher pour ce que c’est. Mais je savoure de manger une feuille de laitue fraîche

Pour la digestion, quoi de mieux qu’un tour sur Trekking Tractors ? Pas besoin d’expliquer, le nom veut tout dire. Je conduis ces Messieurs Kris et Antoine dans la pâture. Le parcours est très verdoyant et décoré. Quelques bruits d’animaux par-ci par-là, ça fait son job.​

Retour dans la zone Peppa Pig pour y voir plus en détails les attractions. Oh, il y a une balade en dinosaures, comme à Heide Park. Fera ? Fera pas ? Je ne le vous dis pas ! On visite même la maison de Peppa, où y prône des statuts, quelques cadres et une bande son dont on ne prend pas la peine de comprendre.

Sortons de cette zone pour aller dans un coin un peu caché, Critter Creek, une toute petite zone où s’y planque notamment le dernier crédit non ridé, Cat-O-Pillar, un Zierer (encore !), décorée avec des champignons multicolores et autres bestioles un peu space. Il ne manquerait plus qu’une intégration odorante et on serait parfait pour le coaster baba cool. Ça ne casse pas trois briques et ça fait deux tours.​

Si on se posait pour faire une vraie pause ? Genre, une sieste Ce n’est pas la verdure qui manque. On se pose d’abord à côté de cette montagne russe colorée mais finalement trop bruyante. On se faufile par un chemin qui ramène vers les jardins. On remarque également un autre chemin où il faut ouvrir une porte et la refermer derrière soi, qui longerait la rivière. Pourquoi pas ne pas essayer plus tard ?​

Un arbre, de l’herbe pas trop mouillée, j’y pose mon imper’ … et, oh il est quelle heure ? Nous faisons une sieste collective, sans Antoine qui est parti se promener dans le parc. C’est qu’on est bien. C’est calme, il fait beau. Que demander de plus ? On a pioncé plus d’une heure !!​

Nous déambulons dans la zone animalière, où flamands roses et autres oiseaux en tout genre y séjournent. Suite à cela, nous nous retrouvons de facto dans la zone Lost Kingdom, où nous craquons pour un tour en 4*4. Aah, si ça pouvait être le même tour qu’à Movieland, mais non, ça reste le principe des tracteurs.​

Après la photo avec Peppa et George, nous faisons la photo avec le dinosaure. Alors, est-ce que ce dernier succombera au charme de notre cher Kris ? Pas de caresse sur les cheveux cette fois, juste un rugissement de la part du dinosaure.​

Tous les crédits étant faits… hop hop hop, il nous manquerait pas un crédit ? Genre un certain Edge, un Disk’o qui, pour Kris, et qui a raison, tourne beaucoup plus qu’un Grizzly ou un Disque du Soleil. Soit, un +1 est un +1. Peut-être que ce sera de trop, mais bon, mon estomac est reposé, ça devrait aller !​

Nous trouvons de la place pour nous mettre tous les 5 côte à côte. Avant le déclenchement des lap bar par l’opérateur, il faut mettre une ceinture au niveau des cuisses Alors là, c’est bien la première fois que nous voyons des ceintures sur ce modèle, nous ne comprenons pas bien l’intérêt des ceintures à ce niveau là, ça ne retient rien du tout. Surtout que pour Guillaume et Antoine, la ceinture est trop courte. Pas de problème ! Il y a des rallonges. Nous émettons diverses et variées hypothèses, mais nous n’avons toujours pas trouvé réponse à ce jour.

Le tour commence, et le disque est très rapidement mis à pleine puissance et tourne effectivement plus que la normale, trop. Le tour dure lui-même trop longtemps. Je commence à me sentir mal, et pour le coup, n’arrive pas trop à gérer les remontées… C’est après 3 interminables minutes que nous sortons de là, ça remonte un peu. « Ça va Louise ? » . Vu que s’est remonté jusqu’au niveau de la bouche, je ne réponds point et pars lâcher un bon crachas dans la pelouse. Ce n’est pas la galette mais je n’en étais pas loin. Bon appétit si vous lisez en mangeant.

Nous refaisons ce qu’il nous a plu : un ou deux tour(s) de Cobra, puis craquons pour une glace bien fournie (en plus de ça j’ai payé la petite taille alors que j’en ai eu une grande ) puis quittons définitivement la zone.​

Nous allons de chemins en chemins, très peu fréquentés, pour tomber face à Beacon. Qui est Beacon ? Le cousin de Peppa ? Non, Beacon est un oiseau, seul, en cage. Ça nous fait même de la peine car il est vraiment isolé des autres oiseaux et des chemins fréquentés. On lui parle, ne daigne pas nous répondre de suite mais à force, il nous balance des « Hello », « Bonjour », « Beacon », et même « Au revoir ».​

Nous laissons Beacon à ses maigres occupations puis retournons dans la zone Tornado Springs pour Storm Chaser pour les plus courageux. Jojo et moi-même préférons un tour de Buffalo Falls, les traditionnelles descendes en bouées. Tour qu’on refera mais avec les gars.​

Nous visitons rapidement le terrarium situé à côté de Cat-O-Pillar. Quelques belles espèces y vivent.

17h27, les attractions ferment dans trois minutes, ne serait-il pas le moment d’en faire une dernière ? George’s Dinosaur Adventur Just for fun! L’opérateur nous voit de loin, blasé de se dire qu’on vient lui casser les burnes à 2 minutes désormais de la fermeture. Antoine commence le premier, l’opérateur lui demande de tenir fermement les poignées mais comme Antoine ne comprend pas l’anglais … ! Je m’excuse pour Antoine auprès de l’opérateur car nous sommes français et qu’il ne comprend pas l’anglais. « Oh ! Vous êtes français ! Oh bah ça, des français ! » , nous dit-il avec un grand sourire. « Vous êtes têtus quand même vous les français ! » . Ahah, la réputation. A une minute de la fermeture, nous lui refaisons sa journée apparemment !

Chacun son tour, nous croisons arbres, buissons bien taillés, cochons en plastique, volcan en éruption, et c’est que le parcours est long ! Beaucoup plus qu’à Heide Park.

Les tours finis, nous entendons au loin « Bonne fin de journée les français, à bientôt ! » . Vraiment, je pense qu’il était ravi de nous croiser.

Toutes les attractions sont fermées. Nous devrions logiquement rejoindre la sortie. Non, on en décide autrement et allons au plus profond du parc, dans une zone très très peu fréquentée mais très naturelle. On se balade le long de la rivière puis allons voir un très vieux moulin, qui ne fonctionne plus depuis des décennies. On n’a pas très envie de quitter le parc, on s’y sent bien. Mais on va bien finir par nous mettre un coup de pied au cul si on traîne trop, alors direction la boutique souvenirs.​

La boutique est beaucoup fournie, il y a de tout à l’effigie du parc, mais aussi de Peppa Pig bien sûr. Un magnet sera très bien pour immortaliser cette journée.

————-

Conclusion sur le parc : Paulton’s Park est une très belle découverte, avec un choix d’attractions pour toute la famille. Le parc est très bien entretenu, les temps d’attente, pour un dimanche, ont été parfaits (entre 0 et 20 min grand max.). Ce mix entre nature et attractions nous ont permis d’y passer la journée entière sans soucis.

Niveau montagnes russes, ne cherchez pas l’extrême, mais le suspended, le bobsled et le spinning sont déjà d’un bon niveau. Les autres attractions, classiques, se font dans la détente.

Niveau nourriture, le prix d’un repas est un peu élevé mais ça reste correcte pour un parc. Les stands de glaces / donuts / autres sucreries sont en nombre pour ravir vos papilles.

Ce parc est à intégrer sans soucis dans un road trip britannique (et en plus ça fait +8, pas déconnant !).​

————-

Il n’y a déjà plus grand monde sur le parking, mais par contre, qu’est-ce qu’il est crade. Les anglais ne connaissent pas les poubelles ? Étrange, rien ne traînait dans le parc. C’est parti pour grignoter quelques cookies et prendre la direction de la grande banlieue de Londres, pour rejoindre notre Airbnb, qui est à cheval entre Legoland Windsor, Thorpe Park et Chessington.

Le tout par autoroute, ça roule bien, on écoute de la musique, discutons de nos différents ressentis pour le parc que nous venons de visiter etc. Après une bonne heure de route, nous voyons au loin ce qu’il semble être… Hyperia ! OMG. Mais c’est que ça se voit de loin, le ciel bleu clair aidant à le faire ressortir du paysage. Cette hype d’observer la bête… nous fait louper la sortie d’autoroute. Allez, faut faire demi-tour… dans 10 km ?! Merde, gloups. Bon, ce sera l’occasion de repasser devant ce monstre, il faut le dire !

Après avoir récupéré la bonne route et trouvé l’entrée du parking & des clés, nous vidons le coffre pour tout balancer dans notre lieu de villégiature durant trois nuits. Entre l’odeur de pieds macérés dans le hall d’entrée et l’odeur de nouilles chinoises dans l’ascenseur, on est gâtés

Nous entrons dans l’appartement, direction le salon en premier lieu et… oh mais C’EST QUOI CETTE VUE SUR HYPERIA ??!! Exceptionnel ! On va pouvoir observer les tests et tout ! C’est une bien belle surprise que nous avons là. Le logement en lui-même est très bien en plus, manque quand même du PQ … et cette chaleur ! Ce n’est pas pour me déplaire.​

Chacun ayant pris son QG, nous repartons à pied faire les courses pour manger ce soir. Merci le Tesco ouvert jusqu’à 22h. Le Tesco est situé en face d’un cimetière. On y fera un tour ? Pas ce soir, mais je trouve que les vieux cimetières anglais ont du charme.

Pâte bolognaise mais aussi de quoi faire un apéro, ça régale ! Le proprio du Airbnb nous a laissé du PQ sur le pas de la porte, on va pouvoir enfin aller aux toilettes

La soirée suit son cours, il est presque déjà minuit lorsque je vais fermer les yeux.​

 

[ArthurG'Parkfan]

Paultons Park, une très belle découverte de mon côté aussi ! Je l'ai d'autant plus apprécié puisqu'il était sur la fin de notre ParkTrip : étant désespérés par le manque d'entretien des parcs britanniques ainsi que de leurs opérations catastrophiques, quel bonheur de trouver un parc soigné, entretenu et avec des employés plus efficaces que la moyenne dans ce pays.

C'est limite le parc qui me donne le plus envie d'y retourner en Angleterre, surtout avec son futur qui semble prometteur !

 

[Røyk]

Paultons Park, une très belle découverte de mon côté aussi ! Je l'ai d'autant plus apprécié puisqu'il était sur la fin de notre ParkTrip : étant désespérés par le manque d'entretien des parcs britanniques ainsi que de leurs opérations catastrophiques, quel bonheur de trouver un parc soigné, entretenu et avec des employés plus efficaces que la moyenne dans ce pays.

C'est limite le parc qui me donne le plus envie d'y retourner en Angleterre, surtout avec son futur qui semble prometteur !

Merci pour ton retour !

Quels sont les parcs que tu as trouvés en manque d'entretien ?

Pour les opérations, je vais rester neutre car la période creuse dans laquelle nous étions a très bien aidé
Cela dit, j'ai trouvé que dans la plupart des parcs, ça se bougeait bien pour optimiser le débit, quand bien même les files étaient quasi vides.

 

[ArthurG'Parkfan]

Quels sont les parcs que tu as trouvés en manque d'entretien ?

Surtout Legoland Windsor et Drayton Manor c’était assez catastrophique. Thorpe Park est aussi assez décevant dans ce sens !

 

[Røyk]

Surtout Legoland Windsor et Drayton Manor c’était assez catastrophique. Thorpe Park est aussi assez décevant dans ce sens !

Draytor on a zappé le parc : trop chiant à caler et au vu de la disparition de la free-fall (pour les amateurs) et du changement du stand-up Intamin, cela ne valait pas la peine d'y aller. Et en lisant les avis actuels, on a bien fait

Thorpe Park a des zones assez vieillottes, mais dans l'ensemble ça reste "harmonieux" (façon Thorpe Park quoi), par contre, en parlant de Legoland...

 

[Røyk]

Legoland Windsor – 13 mai 2024​

Se réveiller avec vue sur Hyperia, de voir des techniciens déjà dessus alors qu’il n’est à peine 8h45. C’est beau, ils y mettent du cœur à l’ouvrage Enfin, ont-ils le choix ? Ce n’est pas en se réveillant à cette heure là qu’on sera à l’ouverture de Legoland (notre premier Legoland à tous !), mais on s’en fout un peu. On ne s’attend pas à grand monde. Legoland n’était, à la toute base, pas prévu. Mais vu qu’il est inclus dans le pass Merlin et qu’on avait une journée à compléter, c’était le moment idéal pour le découvrir

On continue dans le petit déjeuner typiquement anglais : céréales, donuts, chocolat. Et un thé. On a toute la journée pour dépenser ces calories (vieille légende quand tu nous tiens !).

Tous prêts, c’est sur les coups de 10h que l’on part, pour environ 25 minutes de route. Sur les route de campagne. Aucun panneau n’indique le parc, seulement sur les derniers kilomètres. Merci le pass Merlin Gold de Guillaume, qui nous permet d’éviter les 11,50 € de parking. De la voiture, mais des bus aussi. Et si ce n’était pas si vide que ça ?​

Nous scannons nos pass Merlin au tourniquet et nous retrouvons la place centrale avec une vue dégagée sur le château de Windsor et, plus au loin, de Londres et la City. On se rend compte seulement maintenant que le parc est très vallonné, chaussures de randonnée aux pieds, je suis équipée ! ​

Une girafe dépressive​

Pas de plan d’attaque particulier, mais le plan du parc nous sera bien pratique pour se repérer. Le plan existe en papier, mais aussi sur l’application (qui permet même d’établir le chemin entre deux attractions, une sorte de Google Maps). Nous dévalons les pentes, le parc est très arborisé, des décorations en Lego sont placées de ci et là des allées.

Nous nous arrêtons dans un premier bâtiment, Lego Ferrari Build & Race Experience, qui met à disposition plusieurs milliers de pièces de Lego pour construire sa voiture et, par la suite, pouvoir y jouer avec et battre des records. Des plans sont disponibles pour aider au montage. On se prend au jeu mais, constat est fait qu’on ne trouve pas toutes les pièces nécessaires, on se contente de prendre des véhicules déjà tout faits pour jouer quelques minutes avec.​

On continue de dévaler les pentes, à l’aide des mini-toboggans mis à côté. C’est plus drôle, le tout dans une maîtrise incroyable

Nous croisons nos premiers crédits, MiniFigure Speedway, la nouveauté 2024 bel et bien ouverte. Ce dueling shuttle Zierer est placé à flanc de colline et le layout permet de croiser deux fois en avant son voisin (donc deux fois en arrière également !), un bon point pour l’interactivité. Et pour le reste ?​

Nous nous lançons dans la file, vide et en parc à bœufs, jusqu’à un point où l’opérateur nous arrête et fait passer les gens par vague. On comprend que l’on ne choisit pas son train. Pour ce premier tour ce n’est pas embêtant, mais pour après, on voudrait bien l’autre.​

Nous sommes désignés pour le parcours bleu (Legends). Les trains sont, comme ils peuvent, estampillés Lego : le front car et les côtés sont ornés de pièces géantes à l’effigie de la brique. Nous nous installons avec Jojo au dernier rang, ça fait toujours un train de moins à parcourir en arrière. Ça part en arrière, puis, comme pour le Family Booremang Vekoma, le lâcher est doux. Juste à la sortie de la gare, il y a un bunny hop, presque plat, suivi d’une petite descente, qui laisse quelques guilis dans le ventre. Un grand virage à gauche, nous croisons pour une première fois nos voisins, c’est tentant d’y faire des checks, mais la clearance est bien respectée. Un grand virage vers la gauche, et nous les recroisons de nouveau. Virage à droite et c’est la remontée Avant de partir en arrière. La partie en arrière est plus fournie en G+ qu’un FBK. Je respire. Le tout passe avec quelques vibrations.

Le paysage au loin est joli, mais les fondations ne sont pas camouflées. C’est encore tout neuf, je laisse l’hypothèse que la nature doit faire son travail pour remettre un peu de verdure à ce niveau là.

Nous enchaînons sur un second tour, que l’on espère assignés au parcours rouge (All Stars). Chanceux, on y est désignés et on peut encore choisir sa place. Ce sera encore tout à l’arrière avec Guillaume. Le parcours est le même, mais en mode miroir. Je décide, pour la partie en arrière, de me retourner, ayant laissé du jeu avec ma lap bar. Je m’accroche à l’appuie-tête. Ça fonctionne très bien, c’en est même rigolo.

Les parcours ne sont pas sensationnels, mais sont tout à faits raccord avec la cible du parc : les familles.​

On redescend encore (ce qui veut dire qu’il faudra tout remonter eheh) et arrivons sur une grande place où se situe la zone Minland LegoLand. Alors, battra-il Miniatur Wunderland ? Réponse dans quelques minutes ! Beaucoup de capitales y sont représentées, mais aussi des lieux biens spécifiques : Aiguille du Midi (french touch), Brighton Pier, Mont Saint Michel (on a la cote les français).​

Le désavantage de la zone, c’est qu’elle est en extérieure et subit les caprices de la météo anglaise ; beaucoup de maquettes mériteraient d’être réparées / rafraîchit. Le victoire (écrasante) revient à Miniatur Wunderland

Notre balade nous fait atterrir dans la zone Duplo, une zone pour les plus jeunes. Il y a un crédit qui s’y cache : Duplo Dino Coaster. Le parc ne s’est pas foulé pour lui trouver un autre nom. ART Engineering au commande pour ce chef d’œuvre, et on voudrait bien le nom de la boîte qui s’est occupée à faire cette bande-son et ce bruitage HORRIBLE qui hante les esprits trop rapidement. Impossible à retranscrire en onomatopées et malheureusement, ce que j’ai filmé ne rend pas bien au son. D’autant plus qu’avec 20 personnes devant nous, on attend pas moins de 15 minutes puisque un adulte par rangée seulement est autorisé. Il y a cinq rangées… Oh, on va avoir un train pour nous tout seul Qu’est-ce qu’on va être beau dessus !​

Cela nécessite-il plus de commentaires ?

Les autres attractions de la zone ne nous intéressent guère, hormis Fairy Tale Brook, un boat ride extérieur sans attente, qui a l’air charmant de par son ancienneté et des décors qui restent dans leur jus. Les décors reflètent plusieurs contes (d’où le nom de l’attraction). Certains personnages sont bien réalisés, d’autres moins… Le tour est assez long (plus de 5 minutes). Ce fut un petit moment relax.​

Et quoi de mieux que se s’hydrater avec un bon café ou chocolat chaud ? Nous nous approchons de la boutique la plus proche et, système un peu compliqué, il faut y mettre sa carte bancaire pour y entrer. ?? 1£ vous sera débité si vous ne commandez rien. A la bonne blague, c’est quoi ce système à la con ? On va ailleurs.

Il y a beaucoup d’endroits dans le parc où il est impossible de payer en cash. Mais comment Kris va-t-il faire pour dépenser le cash qu’il a retiré samedi ?

Nous passons devant la zone Pharaon, un peu à part et très petite, où une seule attraction nous intéresse : Laser Raiders. Le DRI a la particularité d’avoir sa file d’attente coupée en deux. Préshow, séparation des groupes ? Non, le parcours du train coupe à travers la file ! C’est la première fois que nous voyons ça ! Une opératrice est postée là en quasi permanence.

A 4 maximum dans les véhicule, nous faisons deux groupes, et usons toutes nos forces et stratégies pour avoir le plus de points possible. Les décors sont majoritairement plat et en carton pâte. Il y a bien sûr des animatroniques Lego animés, mais on a connu plus fourni en décors. Le tour est assez vite expédié.​

Nous sommes maintenant dans la zone Knights’ Kingdom, où un faux château abrite une montagne russe, rien que ça ! The Dragon a le droit à un écrin privilégié.

Mais en attendant, c’est vers son petit frère que l’on se dirige : Dragon’s Apprentice. L’ensemble passe bien, on y fait deux tours, les wagons sont assez petits par contre. Dans la file d’attente, il est possible de jouer au Lego, des bacs à jeux sont prévus (en cas de forte affluence, ça occupe…). L’idée est louable.​

Après la gamme Kiddie, place à la gamme Family avec The Dragon. Sa file d’attente est tout dans le château, à travers les tours et passerelles. Nous arrivons dans une gare vide de monde, où le train n’attend plus que nous. Un bref check-up des lap bar et nous partons pour un tour de cette montagne russe, qui commence par un long préshow, d’un temps ancien mais qui reste très mignon. On voit la lumière du jour, une très petite descente et un parcours en rase-motte, avant de reprendre un autre lift, pour une drop du même acabit et un parcours tout aussi en rase-motte, sans grand intérêt.

Le casse dalle ! Qu’est-ce que le parc nous propose de bon ? Il y a dans la zone un vendeur de hot-dog, pour la modique somme de 10 €. Servis avec des pépites d’or à ce prix-là. Des snacks que l’on a croisé d’ouverts, c’est à peu près le prix qu’il faut y mettre. Merci le pass Merlin de Guillaume qui nous permet d’avoir un rabais de 20 %. Mais 8 € pour un hot-dog, ça reste toujours limite limite pour le peu de plaisir gustatif et quantité que l’on a eu.​

Pour digérer, on s’en va s’enjailler sur Pirate Falls: Treasure Quest, le flume du parc. 2 chance sur 3 que ça ne mouille pas trop. Quoique les bûches ne sont pas sèches sèches. A trois dans la bûche, on laisse Antoine devant, Kris derrière, et Louise en sandwich.

Les bûches partent un peu quand elles le veulent, on se retrouve rapidement en train de coller celle de Guillaume et Jojo. Le parcours est assez long, bien décoré et… vicieux ! En effet, bons nombres d’effets d’eau, de jets, de cascades viennent bien vous humidifier ! Malgré le temps gris, tout fonctionne. Les anglais (et ils ont bien raison). Un bouchon se forme avant le lift pour la drop, ça casse le rythme de l’attraction. Un mini-show est présent en haut du lift, avant la drop et les dernières bonnes éclaboussures. Les visiteurs, pouvant nous tirer dessus avec les jets, viennent achever le tout.​

On continue notre visite du parc, il reste encore quelques attractions à tester, dont Lego Ninjago The Ride, on ne connaît même pas principe de l’attraction mais on suppose un dark-ride interactif.​

Pas d’attente là non plus, on nous distribue des lunettes 3D et pouvons nous installer jusqu’à 6 par wagon. Pas de pistolets, mais un tableau de score quand même. Hhmmm. L’attraction est 100 % interactive avec détecteurs de mouvements. Pour tuer les méchants, il faut faire des coups de ninja. Nous voilà à tous bouger les mains et bras le plus vite possible, sauf que les coups partent dans tous les sens et viser un ennemi n’est pas simple. Et c’est que c’est long à la longue, ça fatigue vite pour au final un résultat mitigé. Le concept est à (grandement) améliorer (ou alors on a loupé une explication).​

Nous nous retrouvons dans la nouvelle zone ouverte en 2021, Lego Mythica, qui abrite le flying theatre Flight of the Sky Lion mais aussi de belles sculptures colorées qui n’ont pas encore été victimes du temps anglais.​

Le flying theatre annonce 20 minutes, de quoi regarder la file d’attente mise sous une (belle) bâche. Les opérateurs font de leur mieux pour combler un maximum de places vides. L’installation est différente des autres flying theatre que j’ai faits : on s’installe face au casier et non directement à l’écran (caché). Sans le savoir, nous sommes assignées à une rangée assez basse. Le sol ne s’abaisse pas mais l’ensemble de la rangée effectue une rotation. Eh merde, on n’est pas totalement face à l’écran, l’effet visuel est gâché Le film commence, mais me donne assez rapidement une légère nausée, chose qui n’est jamais arrivée sur les autres L’image est d’autant plus floue. Je décide de fermer les yeux pour le reste du film, qui n’est pas le plus prenant de toute manière. C’est clairement le moins bon flying theatre que j’ai fait. Les avis des gars vont dans ce sens.

Qu’est-ce qu’il nous reste à faire de sympatoche ? On se lance dans la file d’attente d’Hauted House Monster Party, une maison hantée à la sauce Lego, qu’est-ce que ça peut donner ?​

It’s party time!​

Nous rentrons par vague, une visiteuse veut emmener son gros caddie de course avec elle DANS l’attraction, autant te dire que non. Elle le cache derrière une statue. Nous montons à l’étage, et commençons à comprendre que ce n’est pas une maison hantée, mais une Mad House. STOP, JOJO ET MOI ON VEUT SORTIR SVP On demande à l’opérateur qui nous indique la sortie. De nouveau dehors, l’opératrice, au loin, ne comprend pas la situation. Oui, on a trop peur (on n’a pas envie de gerber après). On attend les gars à la sortie, prenant au passage quelques photos avec un Lego vivant.​

Nous jetons un coup d’œil au plan du parc, nous avons bien fait tout ce que nous voulions, sans courir, aucune montagne russe ne nous donne envie d’un re-ride. Nous remontons tout le parc, passant de nouveau à côté du Duplo Coaster et cette bande-son terrible, histoire de se torturer les esprits pour une dernière fois.

La boutique souvenirs propose beaucoup de modèle de Lego, beaucoup de produits dérivés mais à un coup exorbitant : 30 € (oui) pour un mug en forme de tête de Lego. Et en ce qui concerne le parc même ? Rien, presque rien. Des magnets dégueulasses dont les photo n’ont aucun rapport avec le parc mais juste écrit en Times New Roman « Legoland Winsdor ». Un peu honteux On repart sans rien prendre.

Un passage aux toilettes avant de reprendre la route pour de nouveaux crédits (eh oui, on ne vous a pas tout dit !), je vois le prix d’une place achetée en caisse : 68£. Quoi ? 68£ (80 €) l’entrée ?? Mais ça ne les vaut pas du tout ! C’est juste un prix fixé pour décourager les visiteurs qui souhaitent se pointer au dernier moment. Mais 80 balles. On n’est pas chez Disney ici !​

————-

Conclusion sur le parc : Nous n’attendions rien en particulier de Legoland, simplement le fait d’y passer une bonne journée et de découvrir ce qu’est concrètement un parc Lego. Du Lego par ci par là, la mission est 100 % remplie.

Le parc jouit d’un cadre verdoyant et vallonné, qui apporte un plus à l’ensemble global qui prend un peu d’âge. Un rafraîchissement de certaines zones, dont le Miniland, ne serait pas de refus. La propreté est au RDV.

Le parc était vide, nous n’avons quasiment jamais eu d’attente. On peut dire que ça a été efficace, mais à voir les opérations en période estivale.

La bouffe est chère et pas de qualité Ramenez vos sandwiches, ça vous fera toujours quelques pièces d’économisées. On jette un voile pudique sur la boutique souvenirs. Elle propose beaucoup de modèles de Lego évidemment, mais pas forcément à prix réduit.

Si vous avez le pass Merlin et en trip hors période estival, alors passez un coup au parc, ça sera toujours ça de découvert. Sinon, la visite peut, potentiellement, être mise de côté pour privilégier d’autres activités…​

————-

Nous reprenons la route pour deux autres crédits. Et quels crédits. Des crédits gratuits, qui ne se trouvent qu’au Royaume-Uni. 25 minutes de route est nécessaire pour rejoindre le premier point, puis encore 15 autres minutes pur le second. Mais qu’est-ce qu’on va bien pouvoir rider ? …​

Ça :

Et ça, on ne dirait pas comme ça, mais c’est flippant Impossible de se tenir correctement. Antoine commence un tour, il ne fait pas le tour complet (mais c’est quasi impossible si on ne fait pas pousser), puis le tour de Kris et Guillaume. Je m’y lance, mais une fois sur le bousin, je sens la couille venir : je vais tomber. Je m’élance le plus lentement possible mais je glisse rapidement du siège qui décide de basculer. Pas le choix : je m’éjecte avant que le siège ne le fasse. Oui, ces conneries là c’est dangereux

Mais on recommence avec un autre, cette fois-ci mieux maintenue (merci Guillaume).​

Notre escapade terminée, nous trouvons un Aldi pour refaire des courses. Au vu des prix pratiqués, on mangera sandwich demain à Thorpe Park.

Bien lessivés de notre journée, on ne perd pour autant pas le nord et nous concoctons un désormais traditionnel dans les trips un succulent jambalaya. Tout le monde met la main à la pâte, ça avance plus vite et c’est plus convivial, le tout avec des chips et bières. On aura encore faim après s’être englouti de chips ? Oh que oui !​

 

[ArthurG'Parkfan]

Draytor on a zappé le parc

Ceci est la meilleure décision de votre vie.

(Oui je suis toujours enragé contre ce foutu parc )

 

[ArthurG'Parkfan]

Dommage que vous avez eu Windsor comme premier parc Legoland, c'est celui que j'ai le moins apprécié de loin par rapport à Deutschland, Billund et California... j'ai été vraiment déçu de ce parc !

Pas le choix : je m’éjecte avant que le siège ne le fasse.

J'ai fait exactement la même stratégie ce qui a donne une vidéo aussi drôle qu'honteuse (et qui ne sortira jamais du téléphone qui l'a filmé) !

 

[Pierrot]

En attendant la parution du prochain épisode, je vous invite à relire les premiers épisodes de nos aventures italiennes de l'année dernière.

Les photos avaient disparues mais le problème est résolu (jusqu'à Luneur Park inclus)

Ah ça c'est une bonne nouvelle, je vais pouvoir reprendre où je m'en étais arrêté !

Super chouette ce TR sur Paultons ! Le parc a l'air vraiment très agréable et, en mettant la partie un peu plus ancienne de côté, super joliment thématisé ! Un petit parc qui donne bien envie avec en plus un nombre de crédits assez conséquent.

Je m'attaque à la suite un peu plus tard

 

[Røyk]

Dommage que vous avez eu Windsor comme premier parc Legoland, c'est celui que j'ai le moins apprécié de loin par rapport à Deutschland, Billund et California... j'ai été vraiment déçu de ce parc !

Au moins on commence par le moins bon, les visites des autres Legoland ne seront que meilleures !

J'ai fait exactement la même stratégie ce qui a donne une vidéo aussi drôle qu'honteuse (et qui ne sortira jamais du téléphone qui l'a filmé) !

Même pas un petit GIF ?

Ah ça c'est une bonne nouvelle, je vais pouvoir reprendre où je m'en étais arrêté !

Super chouette ce TR sur Paultons ! Le parc a l'air vraiment très agréable et, en mettant la partie un peu plus ancienne de côté, super joliment thématisé ! Un petit parc qui donne bien envie avec en plus un nombre de crédits assez conséquent.

Je m'attaque à la suite un peu plus tard

Et on poursuit dans les bonnes nouvelles : les photos sont revenues sur l'entièreté du TR italien

 

[Røyk]

Thorpe Park – 14 mai 2024​

Un tout petit plus de 5 ans, jour pour jour, je foulais ce parc, seule, lors de mon trip londonien. Je m’étais dis que je n’y retournerai pas avant une nouveauté majeure. La nouveauté majeure est bien arrivée, à un détail prêt : elle n’est pas ouverte au public. Tant pis c’est la vie On va bien s’amuser quand même !​

Toujours un réveil à 8h45, d’autant plus que le parc n’est à 5 minutes en voiture et qu’il pleut A FLOT, on ne va pas courir. Pas de techniciens bossant sur Hyperia. Toujours le même petit-déjeuner équilibré et une motivation au maximum ! Jojo regarde les prévisions météo plus en détails : il devrait arrêter de pleuvoir vers 10h. Les prévisions sont rapidement fausses : il s’arrête de pleuvoir dès 9h. Une aubaine

Nous faisons les sandwiches, prenons la route et arrivons sur le parc vers 10h15. Des voitures mais ce n’est pas la foule.​

Contrôles des sacs puis des billets, nous passons le pont nous permettant de rejoindre le parc, montrant Hyperia se dresser fièrement au pied de Saw, devenu soudainement plus petit.​

2019 :



2024 :

Le dôme n’a pas changé, je reconnais immédiatement les lieux. Les souvenirs sont encore frais. Je m’épate.

N’ayant pas eu l’occasion de tester Nemesis Inferno en 2019, c’est avec conviction que nous y allons immédiatement. C’est bel et bien ouvert, chouette ! La file d’attente est « raccourcie » (le parc a fermé les parcs à bœufs), tant mieux, nous arrivons plus vite au sommet du volcan et dans la grotte refermant la gare. Et qui va pouvoir avoir le premier rang ? Il est possible de choisir sa rangée, et quitte à attendre un ou deux train(s) car le parc est vide, autant en profiter ! Le parcours commence par une petite drop puis un parcours sinueux au travers d’un tunnel et de la végétation avant de prendre le lift et d’attaquer un parcours aux similitudes d’un modèle Batman : loop – ZGR – puis pas de second loop, mais directement un virage qui me met une belle mandale C’est dommage, c’était très bon jusque là. Je me tiens par réflexe jusqu’au bout du ride, bon réflexe car les interlocking corskcrews ne passent pas le plus en douceur. Les oreilles sont un peu rouges sur la fin. Le parcours est un peu répétitif, dans le sens où ça ne tourne que majoritairement vers la droite. Ça claque toujours en G+.​

Visiblement, on apprécie notre tour ! Ou presque.​

On en refera sûrement un tour dans l’après-midi !

Sécurisons les montagnes russes pour les first timers Jojo et Guillaume, et allons rider The Walking Dead – The Ride. J’ai un souvenir mitigé du ride, surtout des freinages trop sec pète-bide, mais je veux bien accompagner. Nous lisons le panneau d’information, et apprenons qu’il peut y avoir des acteurs dans le bâtiment. Ahah, si la file d’attente se transforme en terror house, on va moins rigoler

Il faut impérativement être deux par wagon. En étant 5, on comprend vite qu’il y a un problème. On est groupé avec un groupe de trois filles. Nous demandons à l’opérateur s’il y a des acteurs aujourd’hui. Il m’affirme que non, mais se met à rigoler avec son collègue. « You’re lying! » lui lance-je, mais me réaffirme que non. Ça ne rassure pas Guillaume non plus.​

Nous sommes enfermés dans une pièce, où une vidéo et des bruits sont lancés. L’ambiance est de mise. La porte s’ouvre, nous devons parcourir tout un dédale de couloirs avant de rejoindre la montagne russe. Ça trottine, ça s’inquiète, les sirènes retentissent, nous restons accrochés, à l’affût du moindre acteur pouvant nous faire PEUR La seule personne réussissant à nous faire crier est Antoine.

Nous montons dans le second train, je me mets à côté d’une des filles assignées. Le ride se fait essentiellement dans le noir avec quelques déco, et ça passe mieux que dans mes souvenirs. Plein de cris de jeunes filles en fleur viennent susurrer nos oreilles. Les zones de freins ont été assouplies.

Et maintenant il faut sortir de l’attraction, on doit encore passer par un chemin sombre et peu éclairé, sans être à l’abri qu’un acteur nous tombe dessus…​

La photo on-ride montre que je m’amuse bien dedans, et que ça fout la frousse à qui veut !​

Petite pause dans les montagnes russes, comme nous passons juste à côté de Storm Surge et que les opérateurs n’attendent que nous, pourquoi pas !

La descente en bouée, principe identique à l’Oxygénarium du PA, est semée d’effets d’eau durant le trajet. Je m’en prends un en plein dans les yeux, très agréable… Et puis ça tourne bien c’te connerie, pourtant on s’est bien réparti pour éviter cet effet au maximum. L’arrivée dans le bassin provoque un vague suffisante pour submerger la bouée. NOS CULS, NOS PIEDS BORDEL. Nous utilisons les sièges pour poser nos pieds puisqu’il y a désormais 15cl de flotte. Les opérateurs nous demandent de les enlever, nous ne comprenons subitement plus l’anglais… A faire en période plus chaude ! ​

Continuons doucement les crédits avec Flying Fish, non pas comme Flying Dinosaur (on aimerait bien, mais patientons encore quelques mois…) mais un e-powered, où je passe mon tour car les souvenirs ne sont pas les meilleurs. D’après les gars qui ont l’air de bien s’y amuser, ça passe bien. Tant mieux !​

Revenons à quelque chose d’un peu plus haut de gamme, en se dirigeant vers The Swarm, où la zone et la musique font toujours leurs petits effets. La gare détruite vieillit bien.​

Nous nous plaçons au centre du train, du côté gauche, histoire de passer sous le rail lors de la first drop. Placée à l’intérieur et Kris sur l’extérieur, nous partons rapidement vers le top, avant de basculer et de prendre de la vitesse pour cette first drop, qui file droit sous une aile d’un avion crashé. Le 0-G-Roll est planant, mais quelques vibrations se font ressentir sur l’élément suivant, la sorte de non-loop. Rien de grave. Le corscrew passe bien et l’In-line twist fait toujours son effet, entre les headchoppers et le fait de pendouiller dans son harnais (harnais qui écrabouille moins que Raptor [mais qui devrais quand même être revu dans son ensemble]). Nous arrivons déjà sur les freins finaux, mais le tour est assez fourni en G+, ni trop, ni pas assez. Juste bien. Je ne renquillera pas pour un second tour dans la foulée.​

Nous faisons quelques photos de la zone puis repartons déambuler dans le parc, à la recherche d’une attraction à 0 minutes d’attente.

Comme Stealth par exemple ? On peut, tout comme sur Nemesis, s’offrir le luxe d’attendre 2-3 trains pour le premier rang, d’autant plus que deux trains sont de sortie.​

Le launch reste toujours très efficace, avec un bon airtime au sommet et un freinage pet-sec. Ça tremblotte un peu mais ça reste supportable, on va rester sur des rides au premier rang Rien de plus à dire !

12h15, et on a déjà faim ! Plus qu’à trouver un endroit calme pour se poser. C’est tout naturellement que l’on se dirige vers Hyperia, pour voir la bête et se poser auprès d’elle. Avec une cinquantaine d’ouvriers et techniciens à bosser dessus, plus les engins de chantier qui vont et qui viennent, nous avons trouvé notre petit cocon de sérénité. Et, petit plus, juste en face du BK, si les sandwiches laisseraient sur la faim certains.

Les frites, glaces et les boissons chaudes sont vites commandées. Un petit peu de Ben & Jerry au brownie, taxée à Jojo, ça faisait longtemps ! Je me prends le chocolat chaud, où j’ai connu largement meilleur et goûtu.

Pour la digestion, les gars se refont un tour sur Nemesis Inferno, je passe mon tour, préférant faire des photos ​

Un petit tour de raft ? Vu qu’il est dans la zone ! On s’y approche, mais faisons vite demi-tour au vu du canal à sec.

Qui a envie d’avoir peur et d’essayer la nouvelle version de Derren’s Ghost Train, désormais appelé Ghost Train ? Tout le monde ? Chouette ! Cette nouvelle version, sans la VR, n’est pas en reste sur l’ambiance : sursaut, acteurs en nombre, jeux de musique et de lumières, parcours long… Nous avons bien sursauté, crié, rigolé. Il y a eu des modifications vs la précédente version, une partie du parcours a disparue, et c’est bien dommage… ! Mais c’est à faire quand même !

Ne manquerait-il pas un crédit à faire pour les first timers, hormis Hyperia et Saw, (fermé à cause des travaux trop proches) ? Un petit Colossus ? Antoine, Guillaume et Jojo essaient de nous convaincre d’y aller, mais ce sera NIET pour Kris et moi. Les traumatismes remontent : les sièges étriqués, les harnais peu confortables, le parcours entier qui tremble. Non, on fait l’impasse sans aucun regret !​

Alors qu’ils y vont d’un pas plutôt ferme, on entend un message venant de la gare de Colossus « Temporarily closed ». Ah, qui a vomi ? Allez, un peu de poudre blanche, une pelle et une balayette et c’est reparti ! Les trains tournent à vide, 5-6 fois, quand même, avant de voir des gens dedans, puis de les voir enfin, photo !​

Coasters, OK. Et en flat ? Magic Carpet, Top Scan, Enterprise, Thorpe en regorge, parfait pour les amateurs de gerbotron, le seul qui nous conviennent (presque) tous, c’est Rush, les balançoires géantes of course !

Mais avant, un petit tour aux chiottes svp.

Tous les 5 côte à côte, la montée est assez puissante et rapide, tout comme l’arrêt de l’attraction. Comme dans mes souvenirs ! La durée parfaite pour profiter de planer sans avoir la gerbe. Antoine n’apprécie pas du tout. Je peux comprendre !

Stealth affichant, toujours fièrement, 0 minutes d’attente, nous nous offrons de nouveau un premier rang. Premier rang que 2 jeunes ont voulu nous piquer lors de l’ouverture des portillons. « WHOOH. What are you doin’ guys? Are you serious?! ». « Oh, you wanted the first row? ». Bah ouais du con, on n’a pas attendu ici pour regarder les trains passer. J’vous jure !​

On refile du coté d’Hyperia, une grue s’est installée au niveau du haut du lift. Voilà, c’était tout. On repart à Rush, où nous ne sommes plus que trois à y être, puis deux. Kris pourrait y passer sa journée. Peut-être pas quand même.​

Presque 17h, serait-il temps de passer à la boutique souvenirs ? Celle-ci propose pas mal d’objets divers et variés, dont des chaussettes. Je me refuse d’en acheter, estimant que j’en ai déjà trop. Mugs, magnets, tee-shirt… Vous devriez trouver chaussettes à vos pieds !​

———————–

Conclusion sur le parc :

La revisite a été bonne. On aurait préféré, évidemment, qu’Hyperia soit ouvert, mais c’était le risque (et au vu de la grande attente des britanniques pour le coaster, la visite n’aurait pas été si paisible que cela). Toutes les montagnes russes tournaient à deux trains malgré le parc vide. Ça faisait plaisir à voir.

The Swarm, Stealth ou encore The Walking Dead vieillissent bien. Rush est encore en pleine forme. Thorpe sait nous faire peur.

Le prix des consommation reste assez élevé, presque 6€ le donut avec topping, même s’ils donnaient envie, à un moment donné, faut pas pousser mémé. On est bien conscient que la consommation dans le parc représente une part non négligeable du chiffres d’affaires, et donc des bénéfices et donc des investissements futurs, mais il faut faire un choix. Quand aux goodies, le prix est raisonnable.

Je maintiens toujours le fait de visiter ce parc hors période scolaire et en semaine : tranquilité garantie !​

———————–

Nous retournons à notre appartement en passant au Saintsburry faire quelques courses. Après les avoir bazardé dans le frigo, nous repartons nous balader à travers les rues résidentielles, le vieux (et plus récent) cimetière.

Je dirais que c’est bucolique​

Nous marcherons au total presque 1h30, à faire le tour du pâté de maison, on ne voulait pas rester enfermer.

Dernier soir ici, c’est qu’on observe Hyperia jusqu’au coucher de soleil, en se disant que l’on n’a pas vu les ouvriers redescendre…​

… normal ! Car ils sont toujours dessus à 23h !​

 

[ArthurG'Parkfan]

La gestion de Thorpe Park nous avait permis de passer une bien meilleure journée que certains autres parcs dont Alton Towers !

C’est vrai que si Hyperia était ouvert, vous auriez eu des sacrées attentes là-dessus…

J’ai la même anecdote sur Walking Dead, même si je me suis habitué à ce genre de trucs, j’aime bien quand même savoir à l’avance s’il y a des acteurs ou non (ce qui n’était pas le cas ce jour-là !)

 

[Røyk]

La gestion de Thorpe Park nous avait permis de passer une bien meilleure journée que certains autres parcs dont Alton Towers !

C’est vrai que si Hyperia était ouvert, vous auriez eu des sacrées attentes là-dessus…

J’ai la même anecdote sur Walking Dead, même si je me suis habitué à ce genre de trucs, j’aime bien quand même savoir à l’avance s’il y a des acteurs ou non (ce qui n’était pas le cas ce jour-là !)

Ah c'est clair que si Hyperia avait ouvert, on aurait eu sûrement un peu plus de monde mais on aurait eu Hyperia !

En attendant la parution de la prochaine journée, je vous invite à relire notre 3HOT trip Gaulois, les photos sont également revenues

 

[Røyk]

Chessington World of Adventures – 15 mai 2024​

Le temps est au beau fixe, et au ménage aussi. Il est l’heure de laisser cet appartement, qui nous aura offert une belle vue sur Hyperia. Le miracle n’a pas eu lieu, laissons les techniciens bosser pour assurer l’ouverture en temps et en heure… (oops).

Sandwiches préparés et bagages pliés dans ce sac de courses qui ne fait que de se décomposer à vue d’œil, nous blindons le coffre de nos affaires et partons en route pour Chessington WoA. 25 minutes de route, on ne sera pas à l’heure pour l’ouverture mais ça ne devrait pas poser problème. Un bon souvenir s’en dégage, j’espère y passer une journée au moins similaire à 2019, avec une nouvelle montagne russe en prime

Ça bouchonne dans les derniers centaines de mètres, on arrive à destination. On prend le premier chemin qui nous indique le parc, personne au barrière, ça paraît étrange, on a du prendre le parking pour les hôtels. On demande à la nana qui gère le parking si on peut rester là, it’s OK. On tourne pour trouver une place mais nous nous plantons de route et… sortons du parking. Allez, un tour gratuit. Et comme par hasard, un flot de voiture s’agglutine devant l’entrée du parking

On finit par trouver une place sur le parking VIP à presque 20 € mais qu’on ne paiera de toutes façons pas grâce au pass Merlin Gold, et entrons par l’entrée annexe. Crème solaire sur le bout du nez, ça nous évitera le nez rouge. J’ai fait pété le short, le vent est frisquet ce matin mais ça va se réchauffer !

Pas de plan de visite, il y a 5 montagnes russes (RIP Scorpion Express) à assurer pour les first timers, deux pour Kris et moi. Le parc était tellement vide lors de ma visite que je m’étais amusée à faire presque toutes les attractions, donc je sais lesquelles on peut switcher et celle qu’il faut faire !

Kris a un souvenir du SeaLife et d’un bac où des crevettes peuvent vous « manger » les doigts. Aucun souvenir de ça (je sais qu’il était possible de toucher les étoile de mer à la fin de la visite) mais ça attise notre curiosité. On commence par ça et, effectivement, on arrive vite au petit bac, où deux employées proposent et surveillent les crevettes Lavage de mains obligatoires avant ET après. Kris, puis Jojo et Guillaume essaient, elles ne sont pas très coopératives. C’est mon tour, elles s’accrochent vite. Elles m’aiment. Que du love. Ça chatouille effectivement, tout en douceur.
​

Nous prenons le temps de regarder tous ces poissons et petits requins, puis regagnons le soleil anglais. Les gars sont curieux de savoir ce qu’il y a derrière Room on the Broom – A Magical Journey. un TRAQUENARD. Passons notre chemin.

Nous nous avançons plus au centre du parc, passons dans les différents quartier puis la partie plus boisée, où s’y trouve l’entrée de Vampire. 30 minutes d’annoncées, bon, on va faire autre chose en attendant que ça diminue. C’est pas comme si on entendait un B&M rouler pas très loin…
​

… Ne serait-ce pas la dernière montagne russe du parc parc fraîchement ouverte l’année dernière, Mandrill Mayhem qui pointe son nez ? La zone est toute neuve, bien arborisée et sonorisée. La montagne russe enlace toute la zone, ça reste étrange de voir une montagne russe de cet acabit. La zone compte également deux autres attractions, dans la gamme gerbotron familial On passe notre tour.​

Nous descendons au fond de la zone, où se trouve la gare, pas grand monde, on zigzague pas mal à travers les décors, qui rappelle bien les films, avant de pouvoir atteindre le quai en embarquement quasi immédiat. On choisit d’être du côté gauche du rail… ou droit si vous voulez vous mettre au dernier rang qui est inversé. C’est vrai que pour un shuttle, ça doit apporter un plus ​

Bref, avant le lancement du train, la gare s’assombrit, une petite musique et bande-son retentisse, vooouuu le train part en arrière, à une vitesse exceptionnellement peu rapide, repasse en gare un peu plus rapidement. De notre point de vue, on est déjà septique alors même que nous n’avons pas encore nos fesses dedans.

Le train a fini son tour, tout le monde descend et c’est à nous. Calés au milieu, nous abaissons ces harnais toujours regrettables (à quand la vraie modernisation dessus ?), attendons un check-up et le petit show avant le départ. On regarde la gare, les trains depuis notre point de vue ; les caches-roues font trop plastique, mais ça fait son travail dans l’ensemble. Le check-up est là, mais pas le pré-show. Je sais juste que le train va très prochainement partir en entendant un « Clkc », chargement du lauuuuuuunch, qui est très gentillet. Nous montons brièvement sur la flèche, pas trop de hauteur non plus et repartons vers l’avant pour un second launch un poil plus puissant, histoire de dire que le train doit quand même parcourir un tracé quoi. Ça roule, même si ça vibre déjà. L’in-line twist passe bien, deux-trois vagues histoire de ne pas faire une grand ligne droite avant de passer sur un launch qui redonne un micron de vitesse sur la spirale montante, pour la redescendre ensuite, sens inverse. Mon amour pour les tracés pris à l’envers. Là ça passe, c’est là où j’accepte que le parcours ne soit pas trop « sensationnel ».

Fin du tour, nous sortons direction la boutique souvenirs, du choix mais, comme en 2019, rien qui claque au yeux. Enfin si : le prix. C’est exorbitant

Et alors ce tour ? Je… ne sais pas quoi en dire. Avoir un Wing B&M comme montagne russe familiale (je ne peux pas classer ça en « thrill »), c’est un peu rester sur sa faim : voir ces rails imposants, et quand on sait ce qu’on peut faire avec ce genre de modèle. Même si ce n’est pas ma gamme préférée, on attend plus d’un Wing. Enfin, B&M chercher à se diversifier, la compagnie a déjà trouvé deux parcs pour tester, sûrement d’autres vont suivre ?

Mettons-nous à la place d’un visiteur : ça en a fait crier beaucoup, ça fonctionne donc pour la majorité !

Nous ne sommes pour le moment pas tentés pour un second tour ; nous quittons la zone pour nous rapprocher de Dragon’s Fury. Sans moi. 15 minutes d’attente, ça me laisse largement le temps d’aller aux toilettes, de vous regarder avancer dans la file d’attente et de me poster aux meilleurs endroits pour vous prendre en photo !
​

C’était sans compter que 4 adultes ne peuvent pas monter dans un seul wagon. Les voilà 2 par 2, faut que le train soit bien positionné au moment du passage… allez, j’y crois !​

C’est presque ça… C’est la seule photo sur les 10 prises qui fut correcte…​

Trêve de plaisanterie, nous nous dirigeons vers Kobra, le Disk’O, qui en 2019, ne comptait pas comme un crédit, maintenant si. Au vu de la rotation du disque, je ne risque pas de faire une galette.
​

Pas d’attente, les gens devant nous se placent un peu n’importe où sans optimiser l’espacement. Arrive notre tour d’être placés, mais pas de place côte à côte. On demande si on peut attendre le prochain tour. L’opérateur fait mieux : il casse les pieds à tout le monde pour gratter 5 places alignées Le service client. Sauf au moment de serrer les lap-bar ; heureusement que j’arrive à toujours gratter un peu de place là-dessus.

Kobra a le syndrome de Discobélix : une rotation lente, une huitaine de vas et viens avant de passer la bosse, deux allers-retours concrets et retour au bercail. Amplement suffisant !

Nous allons au fond de la zone, pensant que ça allait rejoindre d’autres chemins ; ce n’est qu’un cul de sac. Demi-tour, on n’a plus rien à faire ici (pas tentés par les chaises volantes, ni par les autos-tamponneuses). On passe vite-fait par la boutique souvenir du coin, horriblement cher.

Nous nous dirigeons vers la zone des tigres, où se situe également le flume. Flume fermé, canal à sec. Bon, cherchons les tigres à observer Un y en a un assez planqué, qui fait dodo. Laissons-le tranquille.

Allons plutôt voir les tortues, qui courent (oui oui), tortues situées juste à côté du baby flume Nous croisons un gars (employé ? visiteur ?) vêtu d’un attirail digne d’Indiana Jones, amusant ! Ça nous fait penser que Tomb Blaster n’est pas très loin et qu’il serait sympa d’y aller faire un tour. L’attraction a reçu une rénovation globale en 2020.
​

L’embarquement est quasi immédiat (merci le gamin qui ne veut pas rester assis dans le wagon – et le père qui insiste pour que le gamin puisse faire l’attraction sur ses genoux) le ride est long et prenant. Les décors, la bande-son et les lumières à viser sont en nombre et la bataille des points est féroce. Antoine explose tout le monde, on ne change pas les bonnes habitudes.

Nous remontons vers le centre du parc et passons de facto devant RattleSnake, la Wild Mouse du parc… fermée. Et bien comme il faut : cadenas, file d’attente pas nettoyée, c’est limite si le lierre n’envahiraient pas les rails. Ça m’a l’air SBNO tout ça.

On commence à avoir faim, ça tombe bien, non loin de là on a une petite zone de pique-nique avec des tables en plein cagnard. On en bouge une pour la mettre à l’ombre et c’est par-fait. Sandwich jambon-beurre ou rosette-beurre, le choix est varié et goûtu !

Pour la digestion, nous nous dirigeons vers la zone animalière. J’avais fait le Safari en 4*4, pourquoi pas en faire un tour ? Ah bah fermé. Ça en fait des attractions fermées !! [NB : après vérification, le site internet de Chessington tient à jour les jours de fermeture pour maintenance et Zufari / Tiger Rock / Rattlesnake étaient bien en maintenance…].

On se contentera d’aller sur les différentes passerelles et bulles d’observations pour voir les zèbres, rhino, dik-dik, lémuriens…​

14h30. C’est pas le tout mais nous n’avons toujours pas posé nos fesses dans Vampire Nous traversons le parc pour retourner dans la forêt hantée et, surprise, l’attente n’est qu’à 10 minutes. Dont 5 pour parcourir toute cette file d’attente que l’on ne peut pas couper, mais qui offre des points de vue sur la montagne russe.
​

Une dizaine de personnes à tout cassé dans la gare, un train de sorti, ça nous laisse le temps de regarder Dracula « jouer » ses plus beaux morceaux au piano. Morceaux gâchés par une bande-son superposée dégueulasse.​

On ne nous laisse pas le choix de nos places (RIP, je l’avais eu en 2019) et sommes assignés au centre. Pas d’amélioration sur l’assise : toujours deux barres qui vous rentrent dans le dos.

Le parcours passe moins bien que dans mes souvenirs ; 5 ans se sont écoulés aussi…, l’apparition de quelques à-coups et d’avancer en mode « accordéon » Les wagons se balancent toujours bien cela dit.

Personne n’a envie d’en refaire un second tour.

Nous quittons la forêt pour de bon, et retournons dans la zone Jumanji. Les gars repartent faire un tour du Wing ; je n’en ai aucune envie pour ma part, préférant lézarder au soleil sur un banc.

J’observe quand même les trains passer, histoire de les prendre en photo. Je crois les reconnaître, je mitraille jusqu’à m’assurer qu’ils soient dessus. Puis le tour d’après, j’ai l’impression de les revoir. Merde, c’est bien eux que j’ai pris en photo ? Je re-mitraille de nouveau.​

Après retrouvailles dans la boutique, oui, ils ont bien fait deux tours d’affilés tellement il n’y avait personne.

Nous revenons sur la place principale, nous disant qu’en 4h, nous avions fait le tour de ce qu’on voulait voir. On se prend des boissons froides / chaudes (chères mais le pass aide à diminuer la note) et décidons de faire une dernière zone animalière non faite : chimpanzés, lions, otaries…
​

Il est 16h, nous quittons le parc.
​

————————–

Conclusion sur le parc : un sentiment mitigé. Oui, il n’y avait personne dans le parc mais ce n’est pas la meilleure visite de parc que j’ai vécue, loin de là (et pourtant très bien entourée !!). Peut-être que les attractions en maintenance et ayant l’air abandonnée n’ont pas aidé. Les attractions sont familiales, Jumanji ne relève pas tellement le niveau (à nos yeux).

Les souvenirs et la bouffe sont hors de prix (presque 10 € le magnet par exemple…). Les employés font leur travail.

Le parc est à découvrir si vous ne l’avez jamais fait et que vous êtes dans les alentours, mais la revisite peut attendre une autre montagne russe plus sensationnelle.​

————————–

Nous prenons la direction de Northamptonshire, presque 3h de route nous attendent, mais au moins, ça permet de couper en deux la route d’Alton Towers.

Nous sommes en pleine heure de pointe, et donc en plein bouchons sur le gros périph’ qui fait le tour de Londres, on passe juste à cote de l’aéroport d’Hearthrow, juste au moment où un avion va décoller whooaa et… un camion passe et casse toute la vue et la magie. Pas de bol. Les bouchons se dispersent et nous continuons notre chemin.

Nous arrivons dans la réserve, le plein est nécessaire, c’est mon tour de payer, presque 70 € (55 £). J’arrive fièrement (ou pas) à la caisse pour payer et… code de carte invalide Mmmm. Je retente. Code invalide. J’ai l’air fine comme ça. Le gars me dit de tenter en sans contact, mais les cartes françaises sont bloquées jusqu’à 50 € (car en Angleterre, le sans contact est jusqu’à 100 £, soit 116 € !!). Eh bien surprise, ça passe. Le blocage des 50 € est fait depuis les TPE et non depuis la carte…. Malin !

Nous reprenons la route puis faisons une pause dans un supermarché faire quelques emplettes pour ce soir. Roulés à la saucisse et salade ont été votés à l’unanimité. Mais le premier supermarché ne propose vraiment pas grand chose, surtout des gâteaux, bonbons, chocolats et cie… Le second sera le bon.

Nous arrivons dans notre petite bourgade du soir, où il se met à flotter. Tant pis pour la balade du soir. On aura assez à faire en cuisinant et s’amusant !​

L’un des lits est vraiment peu confortable, on s’enfoncerait limite comme dans du sable mouvant, aspiré par le dessous du lit. On vérifie ce qu’il ne va pas : 15 lattes de cassées. Ah bah avec ça, il n’y a plus qu’à mettre le matelas par terre et prévenir la proprio, qui s’excuse une bonne vingtaine de fois car elle n’était pas au courant…​

 

[Thib8]

C'est toujours cool de lire tes TR avec ta dose d'humour et de passion débordante et avec tes avis sur ces parcs - vraiment sympa votre périple en Angleterre chez les great britanniques
Je vais d'abord te commenter au sujet de Thorpe Park que je devrais faire l'année prochaine - dommage que vous y soyez allés avant l'ouverture d'Hyperia !
Super photo prise de Colossus, même complètement dingue avec toutes ces vrilles successives - vu comme ça, ça donne quand même bien envie de le faire, malgré toutes les sales critiques qu'il reçoit ! Et au niveau des autres coasters, bahhhhh, ça donne envie tout simplement !! Pour la variété surtout !
Pour les autres parcs, Paultons, la zone dinosaure est très jolie et à l'instar d'un Plopsaland a été bien réalisée ( j'ai adoré Dinosplash même si vieillotte cette attraction a du charme ) et en regardant tes photos, c'est mignon tout plein et bien thémé !
Et le parc Lego, ça n'a pas l'air foufou niveau coasters mais le fait de se balader dans le parc, découvrir ces pièces et montages lego et statues très colorées fait retomber en enfance
Et pour ton dernier parc, Chessington, dommage que ton sentiment et que ton expérience soient mitigés ! Je ne connaissais pas du tout, mais tes photos ( le renard attendrissant ) et les deux coasters mandrill wing et sa zone jumanji ainsi que le vampire suspended et la forêt hantée attisent ma curiosité, et demandent à voir si ça vaut le coup de faire ce parc un jour !

 

[Denis]

Pour RattleSnake c'est moche il a rouvert 2j après vous selon coaster count ( je l'ai loupé aussi quand j'ai fait ce parc...)