KINGOLAND – 19 JUIN 2021
Et c’est reparti pour une nouvelle saison coasterienne tant attendue ! Comme l’année dernière, je l’ouvre avec Ewen et comme l’année dernière aussi, le déplacement se fera pour un petit parc très peu visité d’entre nous ~ à seulement 203 km de chez moi ~, à Plumelin dans le Morbihan. Nous ne serons pas seuls pour cette journée : Remy et Charlotte, de supers amis à qui j’ai filé le virus de la passion des parcs et coasters, seront là aussi !
————–
————–
6h. Dring dring. Déjà obligés de se lever alors que la veille nous nous sommes pas couchés très tôt… De plus le parc n’ouvre qu’à 11h. Qu’est-ce qui nous passe par la tête ? Ah oui, les horaires de trains, ce n’est pas nous qui les fixons.
Le train ? Ça se rejoint en train Kingoland ? Non, mais les amis oui. Ils étaient la veille à la Récré des 3 Curés. Point de rencontre à Lorient vers 11h30. Un peu de chemin nous attend avant de se retrouver ! Une petite marche matinale pour prendre le train de 7h55 direction Nantes. Une correspondance dans la ville nous permet de nous aérer. On décide alors de visiter le Jardin des Plantes et d’aller dire bonjour aux canards.
Le train ? Ça se rejoint en train Kingoland ? Non, mais les amis oui. Ils étaient la veille à la Récré des 3 Curés. Point de rencontre à Lorient vers 11h30. Un peu de chemin nous attend avant de se retrouver ! Une petite marche matinale pour prendre le train de 7h55 direction Nantes. Une correspondance dans la ville nous permet de nous aérer. On décide alors de visiter le Jardin des Plantes et d’aller dire bonjour aux canards.
(c) EwenJ
Il est déjà temps de reprendre notre train. Une correspondance inattendue à Redon fera que l’on sera une partie du trajet debout, avant de trouver de quoi s’asseoir. Le temps passe et notre arrivée à Lorient approche. Je suis si énergique, si enjouée de retrouver mes amis et de refaire des parcs ! Ça va être chouette ! Allez Ewen, bouge toi, on arrive là !
Oh wait – (c) EwenJ
Une fois sorti du train, deux choix : droite ou gauche. Au pif, droite. Et non, pas de bol, ils nous attendent à gauche. Sacs dans la voiture et zoum zoum !
Environ 40 min de voiture sépare Lorient du parc. C’est de la petite route en fin de parcours. Il est 12h15, les premières attractions pointent le bout de leur nez. Le temps est à chier… pardon local mais cela n’empêche pas d’avoir le parking bien rempli ! Que nenni, c’est juste que les gens s’amassent sur le devant du parking. Effet trompe œil, tant mieux !
Nous voilà face à l’entrée de Kingoland (ou KAINGOLAND si vous voulez vous amuser à écorcher le nom du parc) L’entrée est propre, sans plus. Un peu trop cubique.
Environ 40 min de voiture sépare Lorient du parc. C’est de la petite route en fin de parcours. Il est 12h15, les premières attractions pointent le bout de leur nez. Le temps est à chier… pardon local mais cela n’empêche pas d’avoir le parking bien rempli ! Que nenni, c’est juste que les gens s’amassent sur le devant du parking. Effet trompe œil, tant mieux !
Nous voilà face à l’entrée de Kingoland (ou KAINGOLAND si vous voulez vous amuser à écorcher le nom du parc) L’entrée est propre, sans plus. Un peu trop cubique.
Nous allons chercher nos entrées aux caisses – 18€50 par adulte – prenons un plan du parc et c’est parti pour la saison 2021 ! Les employés nous proposent les animations du jour : à 15h30, la danse des mascottes et à 16h, un spectacle. On verra ! Première mission : les toilettes. En même temps, on en profite pour faire un 1er tour du parc. Je m’attends à un Family Park bis mais c’est un parc plus développé qui se dévoile ! En effet, les allées sont goudronnées, les bordures bien délimitées. Pas d’ambiance fourre-tout. Nous passons devant la nouveauté 2021, le Splash Battle SBF, que nous testerons plus tard mais qui impressionne de par sa théma pour un si petit parc !
L’effet whaou continue en s’approchant d’Appolo SteamRocket. Ce Pinfari à harnais (s’il vous plaît ) a toute l’attention du parc : regardez ces bâtiments, ces faux murs de pierres.
Nous trouvons nos toilettes non loin d’une montagne russe qui fait parfois parler d’elle (allez savoir pourquoi). RAS, les toilettes sont propres.
Speed Chenille… Et si nous commencions par elle ? Nop, fermée pour cause de pluie. L’opératrice nous explique qu’à cause de la pluie, le train patine et n’avance guère. Aïe. Et vu la météo, on n’a plus qu’à croiser les doigts pour que la pluie s’arrête.
Speed Chenille… Et si nous commencions par elle ? Nop, fermée pour cause de pluie. L’opératrice nous explique qu’à cause de la pluie, le train patine et n’avance guère. Aïe. Et vu la météo, on n’a plus qu’à croiser les doigts pour que la pluie s’arrête.
N’est-elle pas si mignonne ?
Nous retournons sur nos pas et allons tester Apollo SteamRocket. Et là, ce n’est pas une simple file d’attente en zigzag qui nous attend, non ! Ce sont plusieurs pièces thématisées SteamPunk, avec ambiance sonore et visuelle, un coup on est dehors, un coup on est dedans, le tout avec des bassins crées de toutes pièces ! Mais alors, personne n’aurait parié sur une telle thématisation ! Attention, ce n’est pas Phantasialand non plus mais pour ce genre de parc (et qui plus est, pour ce genre de montagne russe), qui aurait fait autant d’effort ?
20 minutes d’attente (quand même !) alors qu’il n’y a pas grand monde dans la file. Voici le combo suivant qui vous permet d’en arriver là : 2,13 personnes par train en moyenne + deux trains sur le parcours + l’opérateur qui débute (et qui est seul) dans l’opération du coaster + arrêt lift + en bonus l’opérateur qui vient vous chercher sur les freins finaux (et avec le sourire ). Ça va que le technicien passait pour lui donner quelques conseils !
La gare et les trains sont thématisés, ah oui oui, ils ont mis le paquet ! Le parc a mis en place un petit panneau explicatif concernant la peinture : le coaster est en cours de reteinte mais ils ont préféré l’ouvrir au lieu de terminer les travaux et de condamner une attraction. On comprend alors mieux cette peinture aux couleurs cocorico.
A quatre dans le train, on contribue à faire avancer la file d’attente et à faire en sorte que le train aille plus vite ! Harnais baissés, le train s’élance dans un tunnel avant de retrouver la lumière du jour et grimper le lift. L’accroche n’est pas des plus douces. On monte, monte… et on s’arrête. Sous une bonne pluie en plus. Fallait que ça tombe sur nous
Le train redémarre au bout de quelques minutes. De là haut, on observe le parc qui est assez petit mais qui, mine de rien propose pas mal d’attractions (oui, on a regardé vite fait le plan mais pas en détails, ce sera après). Première drop et, surprise, on a un bon floatting tout du long. Est-ce parce que ça faisait longtemps qu’on n’avait pas ridé de coasters ? Non, on est tous unanime pour dire Ooooohhh Le petit plus ? La photo en bas de la drop. Hiiiii. Ah bah avec les masques on ne verra pas nos belles quenottes.
Demi-tour puis autre drop dans un autre bâtiment, qui nous chatouille à peine l’estomac. Hélice super large puis ligne droite pas très droite, de nouveau le droit à une hélice. Le reste est un peu saccadé. Anecdotique.
Nous arrivons sur les freins (c’est en réalité une chaine qui ralenti le train), assez sèchement. L’opérateur vient nous chercher. On rigole quelques secondes avec lui. Nous sortons du train et allons à la borne voir nos têtes. La photo est à 2€, ce qui est raisonnable (+ avec envoi par e-mail si on veut). On se cherche, encore et encore mais on ne voit pas notre train. On fini par apercevoir un semblant de bout de tête. On fait l’hypothèse que c’est notre train et que l’on est passé plus vite que notre ombre. Dommage !
Que dire de plus ? Toute cette thématisation pour cette attraction ? En tant que coasterfan, on se dirait presque que c’est du gâchis mais finalement je ne le pense ~ presque ~ même pas (un peu… quand même). Après tout, elle plaît au grand public : des filles devant nous étaient prêtes à faire demi-tour. Puis avec tout le budget thématisation qu’ils ont du dépenser, l’attraction est prévue pour rester de longues années.
On continue notre visite à l’opposé du parc, sur Gold Rush.
Le train redémarre au bout de quelques minutes. De là haut, on observe le parc qui est assez petit mais qui, mine de rien propose pas mal d’attractions (oui, on a regardé vite fait le plan mais pas en détails, ce sera après). Première drop et, surprise, on a un bon floatting tout du long. Est-ce parce que ça faisait longtemps qu’on n’avait pas ridé de coasters ? Non, on est tous unanime pour dire Ooooohhh Le petit plus ? La photo en bas de la drop. Hiiiii. Ah bah avec les masques on ne verra pas nos belles quenottes.
Demi-tour puis autre drop dans un autre bâtiment, qui nous chatouille à peine l’estomac. Hélice super large puis ligne droite pas très droite, de nouveau le droit à une hélice. Le reste est un peu saccadé. Anecdotique.
Nous arrivons sur les freins (c’est en réalité une chaine qui ralenti le train), assez sèchement. L’opérateur vient nous chercher. On rigole quelques secondes avec lui. Nous sortons du train et allons à la borne voir nos têtes. La photo est à 2€, ce qui est raisonnable (+ avec envoi par e-mail si on veut). On se cherche, encore et encore mais on ne voit pas notre train. On fini par apercevoir un semblant de bout de tête. On fait l’hypothèse que c’est notre train et que l’on est passé plus vite que notre ombre. Dommage !
Que dire de plus ? Toute cette thématisation pour cette attraction ? En tant que coasterfan, on se dirait presque que c’est du gâchis mais finalement je ne le pense ~ presque ~ même pas (un peu… quand même). Après tout, elle plaît au grand public : des filles devant nous étaient prêtes à faire demi-tour. Puis avec tout le budget thématisation qu’ils ont du dépenser, l’attraction est prévue pour rester de longues années.
On continue notre visite à l’opposé du parc, sur Gold Rush.
Gold Rush est un Pinfari (encore un !) qui prend très peu de place au sol et qui a un petit parcours bien emmêlé. Le train fait deux tours. Avant de rejoindre le quai, vous passez dans des grottes (parfois méga sombres, alors faites gaffe de ne pas vous prendre un mur…). On décide de laisser passer un train pour avoir le premier rang. On regarde les visiteurs se serrer la lap bar le plus fort possible, avant de se rendre compte que ça ne se re-soulève pas (et l’opératrice ne veut pas prendre en compte leur demande de tout réouvrir ). Allez, bon ride tout écrasé !
Le devant du train est assez étroit, même moi qui ne suis pas grande galère a bien me mettre. C’est parti ! Le train prend de la vitesse, c’est fluide tout du long, peut-être un petit à-coup vers l’avant lors d’un des virages mais rien de bien méchant. Le freinage est doux et progressif. Sympa pour les enfants et la famille.
Presque 14h, il ne serait pas temps de manger ? Surtout que la pluie commence à battre son plein. Remy se prend un taco végétarien dans un mini-resto situé à côté de Gold Rush. Nous 3 retournons du côté de Speed Chenille, il y a moins de monde qu’au resto de l’entrée du parc. Ewen et moi nous étions fait des sandwichs et des cookies pour le dessert, que nous complétons avec une grosse barquette de frites. Qui résiste aux frites ? Nous trouvons une petite table à l’abris.
Que ça fait du bien de manger ! Après cette pause repas, nous ouvrons le plan du parc et décidons, en attendant que Speed Chenille daigne ouvrir, de regarder les flats et autres attractions à notre disposition : tacots, bûches, maison hantée, dark ride, bateau pirate… c’est que c’est une bonne petite panoplie que l’on a là ! Le parc est d’ailleurs divisé en 5 zones : steampunk, voitures, cirque, pirate et western.
Nous jetons notre dévolu sur Les Tacots. Même là, la file d’attente est toute mignonne et soignée (pas de photos, on était trop pressé de se faire conduire par Ewen à travers la campagne et Paris) !
Le parcours est assez long et prend pas mal de place au sol. On passe dans différents tunnels et univers, de la ferme à la forêt en passant par Pariiiiiiis.
Presque 14h, il ne serait pas temps de manger ? Surtout que la pluie commence à battre son plein. Remy se prend un taco végétarien dans un mini-resto situé à côté de Gold Rush. Nous 3 retournons du côté de Speed Chenille, il y a moins de monde qu’au resto de l’entrée du parc. Ewen et moi nous étions fait des sandwichs et des cookies pour le dessert, que nous complétons avec une grosse barquette de frites. Qui résiste aux frites ? Nous trouvons une petite table à l’abris.
Que ça fait du bien de manger ! Après cette pause repas, nous ouvrons le plan du parc et décidons, en attendant que Speed Chenille daigne ouvrir, de regarder les flats et autres attractions à notre disposition : tacots, bûches, maison hantée, dark ride, bateau pirate… c’est que c’est une bonne petite panoplie que l’on a là ! Le parc est d’ailleurs divisé en 5 zones : steampunk, voitures, cirque, pirate et western.
Nous jetons notre dévolu sur Les Tacots. Même là, la file d’attente est toute mignonne et soignée (pas de photos, on était trop pressé de se faire conduire par Ewen à travers la campagne et Paris) !
Le parcours est assez long et prend pas mal de place au sol. On passe dans différents tunnels et univers, de la ferme à la forêt en passant par Pariiiiiiis.
Mêêêêêêê
A peine descendu des Tacots que le miracle se produit : ouverture de Speed Chenille !! L’opératrice est en train d’essuyer les rails, et demande même d’autres serpillières à l’une de ses collègues car avec un chiffon, ce n’est pas suffisant…
Speed Chenille fait parti de mes tout premiers crédits, l’ayant déjà ridé il y a plus d’une décennie et demie (comment je me sens vieille en disant ça) à Fami PARC. A mon plus grand regret, je n’ai pas retrouvé de photos malgré mes fouilles archéologiques.
Nous prenons place aux rangées de devant. Pas de lap bar, rien. Le train s’élance à une vitesse phénoménale d’une trentaine de kilomètre/heure (calculée au doigt et au vent), virage à droite, camel back un peu cassant, virage très léger à gauche puis de nouveau un virage à droite et passage en gare. Le train fait trois tours pour notre plus grand plaisir. Uuuuiiii, oooouuuhhhh, eeeeeeyyyy. Oooohhh déjà fini Concrètement, ça change des classiques chenilles que l’on croise tout le temps. Ça reste essentiellement pour les enfants… essentiellement. Parce qu’on décide immédiatement d’en refaire un deuxième tour, cette fois-ci au last. Pas plus de sensation à déclarer !
Remarquez aussi que le parc a apporté son lot de verdure à cette petite chenille (ça change des 2 aloe vera cramés depuis Mathusalem de Wanted Dalton du Parc Spirou )
On continue notre tour des flats, et jetons notre dévolu sur Crazy Taxi, un Demolition Derby Zamperla. Jamais fait alors c’est l’occasion de tester ! La aussi, la file d’attente est thématisée, avec effet visuels et sonores. Un très bon point de plus. On prend chacun un véhicule (on se le permet, il n’y a personne dans la file), espérant tous se croiser à divers endroits pendant le ride.
On continue notre tour des flats, et jetons notre dévolu sur Crazy Taxi, un Demolition Derby Zamperla. Jamais fait alors c’est l’occasion de tester ! La aussi, la file d’attente est thématisée, avec effet visuels et sonores. Un très bon point de plus. On prend chacun un véhicule (on se le permet, il n’y a personne dans la file), espérant tous se croiser à divers endroits pendant le ride.
Ça démarre doucement, ça ne tourne pas trop vite (tant mieux) mais un effet monotone s’installe : on croise les mêmes personnes aux mêmes endroits. On arrive à se taper dans les mains avec Ewen mais je ne croiserai jamais de « près » Charlotte ou Remy. Je suis assez mitigée sur ce flat. Cela dit, l’effet « on va se rentrer en collision » est présent au démarrage de l’attraction.
Juste à côté se situe Pistone Tower, une free fall familiale. Ce n’est pas tellement une free fall car la nacelle est retenue à des câbles pendant les descentes. Oui, les descentes car il y en a 5 ! C’est rigolo, ça chatouille légèrement le ventre et, comme la free fall est en hauteur, on a tout un panorama sur le parc.
Juste à côté se situe Pistone Tower, une free fall familiale. Ce n’est pas tellement une free fall car la nacelle est retenue à des câbles pendant les descentes. Oui, les descentes car il y en a 5 ! C’est rigolo, ça chatouille légèrement le ventre et, comme la free fall est en hauteur, on a tout un panorama sur le parc.
(c) EwenJ
Niveau de flemmingite aiguë pour le recadrage : 58 459 654 – (c) EwenJ
Nous retournons à Gold Rush pour un ride au last. A croire que cet incroyable enchaînement de flats et la digestion m’ont remué l’estomac, je viens à en avoir la nausée sur la montagne russe. Et la petite fragile est de retour !
On retourne à l’entrée du parc où se trouve La Maison Hantée. C’est une maison hantée (ah bon ?) à parcourir à pied. Pas d’attente, l’opérateur vous ouvre une porte pour vous mettre dans une pièce soooombre afin d’expliquer les consignes de sécurité. Une fois tout écouté (pas du tout) une autre porte s’ouvre et à nous la maison hantée. Ambiance sonore (certains bruits ont été volontairement rajoutés durant le parcours ), animatroniques, écrans numériques, des effets trompe œil, il y a même un étage et des clowns (attention à ceux qui n’aiment pas les clowns, je suis sérieuse, ils sont très bien foutus ). Pendant notre chemin, Charlotte se pose même la question de savoir s’il y a un chemin alternatif.
Comme nous sommes de courageuses personnes, nous y retournons immédiatement pour en avoir le cœur net. Fausse alerte, c’est juste un renfoncement. En conclusion, c’est marrant à faire ; ça reste assez familial dans l’ensemble.
Restons dans le thème de l’indoor et faisons Old West Shooting, leur dark ride interactif. Pas d’attente là non plus. A 4 dans le wagon, qui aura le plus gros score ? On commence, pour rentrer dans la salle, par se prendre le rideau en plastique. Nos pistolets font « tantan tantan ». Le parcours est plutôt long, c’est globalement bien fourni en décors mais on voit le plafond en tôle. De retour en gare, on se reprend un rideau de plastique et percutons gentiment le wagon devant nous. Mon score : 1 point. Euh… Mon pistolet ne bugerait pas, par hasard ? Seul moyen de le savoir : recommencer.
Second score : 4 points. Ok, c’est juste que je suis nulle. Quoique j’ai multiplié mon score initial par 4.
15h30 ? Le temps passe vite quand on s’amuse ! Un petit tour sur Timber Splash, ça vous dit ? L’eau est plutôt transparente mais une mousse abondante nous interpelle. Qui a renversé son fut de bière ?
Restons dans le thème de l’indoor et faisons Old West Shooting, leur dark ride interactif. Pas d’attente là non plus. A 4 dans le wagon, qui aura le plus gros score ? On commence, pour rentrer dans la salle, par se prendre le rideau en plastique. Nos pistolets font « tantan tantan ». Le parcours est plutôt long, c’est globalement bien fourni en décors mais on voit le plafond en tôle. De retour en gare, on se reprend un rideau de plastique et percutons gentiment le wagon devant nous. Mon score : 1 point. Euh… Mon pistolet ne bugerait pas, par hasard ? Seul moyen de le savoir : recommencer.
Second score : 4 points. Ok, c’est juste que je suis nulle. Quoique j’ai multiplié mon score initial par 4.
15h30 ? Le temps passe vite quand on s’amuse ! Un petit tour sur Timber Splash, ça vous dit ? L’eau est plutôt transparente mais une mousse abondante nous interpelle. Qui a renversé son fut de bière ?
4 personnes dans une bûches sans séparation au milieu. Une seule volontaire pour aller devant (et c’est suffisant) : moi. Le parcours avant le lift et la drop est long et sans ambiance sonore. Pour avoir l’histoire de l’attraction, il faut regarder le mur tout du long : tout est illustré. Pas si bête la théma pas chère !
Lift, puis drop. Faites votre plus belle position, la photo est là ! *Schliiiing* Légère vague sur mon visage et le devant. Ça va, je suis équipée de mon tout nouveau imper’. Cette fois-ci, on est bien sur la photo
Lift, puis drop. Faites votre plus belle position, la photo est là ! *Schliiiing* Légère vague sur mon visage et le devant. Ça va, je suis équipée de mon tout nouveau imper’. Cette fois-ci, on est bien sur la photo
Prêts pour la descente aux enfers ?
Pony Express se situe juste en face, et, chose assez inhabituelle, deux adultes peuvent monter sur un même cheval ! Que ne fut pas pour le plus grand bonheur de Remy. « Charlotte, attends, moi, j’arriiiiiiiive » . Très beau moment d’amour, qui me laissa seule, sur le quai, attendant le cheval suivant.
Qu’importe, moi, au moins, je peux faire mes cascades sur mon cheval ! A ne pas reproduire. (c) EwenJ
Pause pipi et goûter les enfants ! On retourne au snack du midi se poser, Remy se prend un panini huile de palme. Pour les amateurs, ils n’y vont pas de main morte sur les doses !
16h20 et on n’a toujours pas testé la nouveauté 2021 : Octopus Splash Attack. Remy déclare forfait et passe son tour, préférant nous prendre en photo. Pas d’attente. A quai, nous nous disposons de sorte à être face à face. Filles contre Ewen. Qui va gagner ? A la millième de seconde où l’on a compris que l’on pouvait s’asperger dès la gare, c’était fini, l’amitié n’existait plus : des vagues d’eau étaient échangées, nos cheveux ressemblaient plus à des éponges, nos visages se métamorphosaient.
Ewen quitte la gare, pas nous… Et là c’est le drame. Le capital fun de l’attraction chute brutalement. Impossible de l’arroser. Nous quittons à notre tour la gare. On va le rattraper ! En attendant, nous essayons de viser les cibles, généralement ça déclenche des effets. On les cherche encore à l’heure actuelle.
16h20 et on n’a toujours pas testé la nouveauté 2021 : Octopus Splash Attack. Remy déclare forfait et passe son tour, préférant nous prendre en photo. Pas d’attente. A quai, nous nous disposons de sorte à être face à face. Filles contre Ewen. Qui va gagner ? A la millième de seconde où l’on a compris que l’on pouvait s’asperger dès la gare, c’était fini, l’amitié n’existait plus : des vagues d’eau étaient échangées, nos cheveux ressemblaient plus à des éponges, nos visages se métamorphosaient.
Ewen quitte la gare, pas nous… Et là c’est le drame. Le capital fun de l’attraction chute brutalement. Impossible de l’arroser. Nous quittons à notre tour la gare. On va le rattraper ! En attendant, nous essayons de viser les cibles, généralement ça déclenche des effets. On les cherche encore à l’heure actuelle.
Quand je vous dis que les visages se métamorphosent... Plus regard de tueur tu meurs. (c) Remy
Nous nous rapprochons d’Ewen mais impossible de le toucher. En réalité, il est impossible de le toucher tout du long du parcours : les jets ne sont pas assez puissants et les trains sont trop éloignés. J’en profite alors pour faire les critiques : la manivelle n’est pas pratique ; elle s’arrête tous les demi-tour. La poignée n’est pas confortable : elle « coupe » la main. Elle aurait pu être arrondie pour une meilleure prise. On a beau viser les cibles, rien ne se passe ou alors elles ne détectent pas l’eau.
C’est fun, ouais. Ouais… Non. (c) Remy
C’est seulement une fois arrivés en gare que nous retrouvons nos âmes de guerriers et se foutons sur la gueule.
C’est un flop (flip flop, eau, plouf, vous voyez le jeu de mot ? …) dans nos cœurs. C’est dommage car il y a tellement de travail sur la thématisation ! Mais si ce n’est pour s’amuser qu’en gare puis plus rien tout du long du parcours, c’est chiant, non ?
Les plus téméraires enchaînent avec Nasa Rescue, l’enterprise (sans moi donc, déjà testé, déjà désapprouvé).
C’est un flop (flip flop, eau, plouf, vous voyez le jeu de mot ? …) dans nos cœurs. C’est dommage car il y a tellement de travail sur la thématisation ! Mais si ce n’est pour s’amuser qu’en gare puis plus rien tout du long du parcours, c’est chiant, non ?
Les plus téméraires enchaînent avec Nasa Rescue, l’enterprise (sans moi donc, déjà testé, déjà désapprouvé).
Retour sur Apollo SpeedRocket où, finalement, ce sera la seule attraction à avoir de l’attente (15 minutes cette fois-ci) tout du long de notre journée. Je suis derrière pour ce tour, ça ne change pas grand chose. Pour la photo, on n’a même pas vu un bout de train dessus. Des réglages sont à prévoir !
Comme si on n’était pas assez trempés, on va s’enjailler sur Les Bumpers Splash. Théma plage, ça apporte un peu de soleil et de chaleur. Oui, ces bouées pneumatiques où l’on peut s’arroser toute la durée du « tour » (pas comme sur le Splash Battle). L’eau du bassin est à revoir par contre.
On va toujours bumper mais avec des voitures cette fois-ci. Crash Car est le nom de leur autos-tamponneuses. La théma est sur les diners américains. On avance dans la file d’attente, une petite fille me double. Alors-toi, tu vas m’entendre. Je la prends par l’épaule, et lui dis « Tu ne doubles pas » . « … pardon… » d’une voix penaude. Je préfère.
Ewen embarque avec moi et m’apprend qu’un adulte l’a doublé dans la file d’attente. Je ne savais pas qu’on avait atterri en Pologne Quoi qu’il en soit, on a cassé des cous et des colonnes vertébrales, c’était sympa !
17h30, on est toujours là ? Le parc ferme dans 30 min, on s’en va faire le classique Galion Pirate, mais sans moi en fait.
Sur le chemin, Ewen nous présente son attraction favorite de la journée : Les Tacots
Je suis juste là pour la photo de groupe, après je me casse de la file
Les courageux moussaillons prennent place à l’avant dernier rang. Le bateau prend vite de la vitesse, je ne compte même pas le nombre de balancement mais j’ai bien fait de ne pas monter dedans.
Je crois qu’il y en a une aussi qui regrette… Ah la jeunesse, elle apprendra de ses erreurs
17h50. Allez, un dernier tour sur Gold Rush ? On réussi à avoir le dernier train de la journée, et de nouveau au premier rang ! Ouh ouh, c’est chouette !
Dernier passage aux toilettes et un petit tour à la boutique souvenirs, qui propose quelques trucs mais rien de transcendant. On repartira les mains vides.
1h30 de route nous attend pour rentrer sur Nantes, où la moitié du temps je gromnolerai « gngn j’ai envie de vomir » . Spoil : je n’ai pas vomi.
1h30 de route nous attend pour rentrer sur Nantes, où la moitié du temps je gromnolerai « gngn j’ai envie de vomir » . Spoil : je n’ai pas vomi.
------------------
Conclusion de la journée : Kingoland est parc agréable à visiter, propre, loin d’un parc fourre-tout comme le Parc de la Vallée et plus développé que Family Park. Gros points verts sur la thématisation apportée sur de nombreuses attractions, et même sans thématisation, les attractions ne sont pas « posées là » : il y a toujours une petite touche d’intégration. Les employés sont sympathiques et arrangeants ; certains étaient en cours de rodage mais ça se comprend, c’était le 3ème jour d’ouverture du parc de 2021. Niveau restauration, il y a trois « restaurants », ça reste du fast-food (nuggets / frites / tacos / hot dogs …). Les tarifs sont corrects.
C’est cependant dommage d’avoir apporté autant de soins à des attractions qui commencent à se faire vieille (coucou Apollo) ou, au contraire, d’avoir une attraction flambante neuve et de ne pas y trouver son compte en terme d’amusement. Le parc est globalement dans une bonne dynamique ; s’il veulent encore s’améliorer sur l’intégration des attractions, ils peuvent faire en sorte de ne plus voir les fondations et cales de Gold Rush, d’Apollo SteamRocket ou encore Pony Express.
Nous n’avons pas testé le cinéma 6D, la réalité virtuelle : manque de motivation et pas intéressés. De même, nous n’avons pas assisté à la Danse des mascottes ni au spectacle. Il y a aussi tout une panoplie d’attractions pour enfants en bas âge au centre du parc, de quoi bien les occuper.
Si vous êtes de passage dans le coin, un petit tour dans le parc ne vous fera pas de mal
C’est cependant dommage d’avoir apporté autant de soins à des attractions qui commencent à se faire vieille (coucou Apollo) ou, au contraire, d’avoir une attraction flambante neuve et de ne pas y trouver son compte en terme d’amusement. Le parc est globalement dans une bonne dynamique ; s’il veulent encore s’améliorer sur l’intégration des attractions, ils peuvent faire en sorte de ne plus voir les fondations et cales de Gold Rush, d’Apollo SteamRocket ou encore Pony Express.
Nous n’avons pas testé le cinéma 6D, la réalité virtuelle : manque de motivation et pas intéressés. De même, nous n’avons pas assisté à la Danse des mascottes ni au spectacle. Il y a aussi tout une panoplie d’attractions pour enfants en bas âge au centre du parc, de quoi bien les occuper.
Si vous êtes de passage dans le coin, un petit tour dans le parc ne vous fera pas de mal