Tobu Zoo Park – 19 septembre 2024
Quel pied de se lever à 7h30
Le parc n’ouvre qu’à 9h30, si on y arrive pour 10h, ce sera très bien. Notre logement est situé en plus à proximité de la ligne directe pour Tobu. Petit déjeuner express et nous partons pour le parc qui, nous l’espérons, soit un peu moins fréquenté que Tokyo Disney Sea.
Nous arrivons à la gare de Tobu vers 9h45. Nous avons le choix entre attendre le bus ou bien y aller à pied, 15 minutes de marche. Nous choisissons la marche. Le temps est couvert mais il fait relativement chaud
Nous arrivons proche des parkings du parc, ou du moins des parkings non officiels, qui proposent des places à prix réduits. Autant vous dire que ces parkings sont déserts. Nous beugons pour trouver l’entrée du parc. Une vieille dame qui garde l’un de ces parkings, voyant nos têtes, se doute tout de suite que l’on cherche l’entrée. Elle nous guide avec gentillesse.
Et bah voilà, encore un parc où l’on aurait du arriver plus tôt !! Regardez moi tous ces gens qui font encore la queue pour rentrer !!
…

Nous arrivons à la gare de Tobu vers 9h45. Nous avons le choix entre attendre le bus ou bien y aller à pied, 15 minutes de marche. Nous choisissons la marche. Le temps est couvert mais il fait relativement chaud

Et bah voilà, encore un parc où l’on aurait du arriver plus tôt !! Regardez moi tous ces gens qui font encore la queue pour rentrer !!

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Nous prenons nos entrées en caisse après s’être fait bousculer par toute cette foule et peinons à voir l’horizon. Va falloir être rigoureux pour pouvoir tout faire


On fait d’abord une file d’attente interminable pour se prendre en photo devant une décoration du parc, avant de taper un sprint vers Regina II 

Toute personne devancée dans une allée est une potentielle personne en moins dans la file d’attente devant nous !



Bon, trêve de plaisanterie, on va bien être peinard aujourd’hui. Nous n’avons pas encore vu Kawasemi tourner, j’espère qu’il sera bien ouvert. Nous déambulons tranquillement à la découverte des différentes attractions et des zones du parc. Nous avons la possibilité de faire un tour de pédalos dans des cygnes
Aaahh, les pédalos, ça rappelle des bons souvenirs du Danemark ça ! Ils n’ont pas l’air d’être ouvert pour le moment, et la gueule des bateaux fait un peu de la peine.


Regina II lui l’est bien. Seul wooden du trip d’ailleurs. Et les 4 opérateurs n’attendent que nous. 4 opérateurs pour trois guguss, on est bien servis. Ça va être mort pour tester le dernier rang si les règles sont les mêmes qu’à Himeji Central Park.



Et… bonne surprise, c’est open bar
On se met où l’on veut !! Eh bien le premier rang d’abord, et puis après on fera le last ! Conception Intamin mais train GCI confortable, on se laisse de la marge, marge pas vu par l’opérateur qui prend son temps pour checker trois laps bars et qui appuie à peine dessus. Noice !
La first drop est très bonne, on décolle assez bien ; s’en suit le virage qui fait perdre un peu de vitesse mais sans gravité. Une nouvelle drop et un camel back un peu gentillet mais qui passe bien. On a de nouveau un virage assez large, qui va faire perdre encore un peu de vitesse, mais on en reprend par la suite. Oh, la photo on-ride ! Qui n’a pas flashé. A mon avis, c’est cassé. Grande hélice sur la droite avant de parcourir la dernière ligne droite finale, ponctuée de plusieurs camels back et un virage très faible pour se remettre droit vers les freins finaux.
Pour un wooden, il passe très bien. Étant assez sensible à ce type de montagne russe, j’ai trouvé que les vibrations étaient tout à fait supportables. Le parcours, globalement, est intéressant, à noter qu’il y a quelques temps morts dû aux grands virages.

La first drop est très bonne, on décolle assez bien ; s’en suit le virage qui fait perdre un peu de vitesse mais sans gravité. Une nouvelle drop et un camel back un peu gentillet mais qui passe bien. On a de nouveau un virage assez large, qui va faire perdre encore un peu de vitesse, mais on en reprend par la suite. Oh, la photo on-ride ! Qui n’a pas flashé. A mon avis, c’est cassé. Grande hélice sur la droite avant de parcourir la dernière ligne droite finale, ponctuée de plusieurs camels back et un virage très faible pour se remettre droit vers les freins finaux.
Pour un wooden, il passe très bien. Étant assez sensible à ce type de montagne russe, j’ai trouvé que les vibrations étaient tout à fait supportables. Le parcours, globalement, est intéressant, à noter qu’il y a quelques temps morts dû aux grands virages.

Nous renquillons avec un second tour, en last. On est par contre obligés de refaire la file d’attente, mais bon, on ne va pas se plaindre, on peut choisir sa place !
Le last est un poil meilleur : les airtimes se font mieux ressentir !
Nous quittons le train, pour laisser places à 4 autres riders, pas du tout japonais mais américains (avec les t-shirts de parcs et tout). Les américains ayant une vocation pour les woodens, ils vont sûrement camper dessus quelques temps.
Le last est un poil meilleur : les airtimes se font mieux ressentir !
Nous quittons le train, pour laisser places à 4 autres riders, pas du tout japonais mais américains (avec les t-shirts de parcs et tout). Les américains ayant une vocation pour les woodens, ils vont sûrement camper dessus quelques temps.
Et ils sont bien dedans (faut zoomer)
Nous poursuivons notre visite du parc, toujours aussi désert. Ça change d’hier. Nous ne voyons toujours pas Kawasemi donner signes de vie. Arg


Oui, il est vraiment tout seul dessus.
Il suffisait d’en parler ! Que voyons-nous ? Un superbe train pailleté vert filer droit sur des rails jaunes un poil délavés
Quelle aubaine ! Nous filons droit dessus. Pas d’attente, un choix de places conséquent, et un opérateur plus qu’heureux de nous voir. Il se propose même de nous prendre en photo !


On papote (un opérateur qui parle anglais !!), et nous demande d’où venons-nous. Il n’en fallait pas plus pour lui qu’on lui dise que l’on vienne de France. « Ahhh France, I love France you know. I came many years ago, I did Paris Aaahhh Pariiiiis, and le Louvreeeee Joconde. Yeah. Versaillesss with castle. And Mont Saint Micheeeeeel (oui comme ça) ». Ooh lui on va l’inviter à boire un coup ce soir 
Je ne sers pas du tout la lap bar, et l’opérateur s’en fout complètement. Après tout, il y a la ceinture, que je desserre sur le lift. Je vais reprendre les mêmes commentaires que j’avais fait en 2022 pour Piraten (très légèrement remodelés), car ça reste toujours une bombe. Petit mais puissant. J’adore vraiment ce modèle, dommage qu’il ne s’est pas plus démocratisé que ça.
« La drop, bien que la hauteur ne soit pas si élevée et sans courbure à 90°, fait un bel effet : on se soulève bien, merci la marge. Le virage qui en suit donne immédiatement le ton : c’est bien fourni en G. Nous remontons avant d’attaquer un changement de direction, EGF turn like. On valdingue dans les sièges, juste que qu’il faut.
C’est alors qu’on enchaîne les camel back et les virages, tous plus fournis en airtime, j’adoooooore ! Vraiment, c’est super bien dosé, on n’en loupe pas une miette ! Un petit sourire pour la photo finish (non pas de photo finish ici – snif) avant d’arriver sur les freins finaux, ébahis. C’est une pépite, une petite bombe. (Piraten) Kawasemi n’a rien en commun avec Alpina Blitz ; c’est dynamique de la gare jusqu’au freins finaux, la vitesse est constante, il y a (très peu) pas du tout de vibrations. Chaque éléments est ponctué d’airtime voire d’ejector. Bref, une excellente réussite »
Je m’en vais me balader quelques instants dans le parc pendant que les gars enchaînent les tours. Petit mais puissant.

Je ne sers pas du tout la lap bar, et l’opérateur s’en fout complètement. Après tout, il y a la ceinture, que je desserre sur le lift. Je vais reprendre les mêmes commentaires que j’avais fait en 2022 pour Piraten (très légèrement remodelés), car ça reste toujours une bombe. Petit mais puissant. J’adore vraiment ce modèle, dommage qu’il ne s’est pas plus démocratisé que ça.
« La drop, bien que la hauteur ne soit pas si élevée et sans courbure à 90°, fait un bel effet : on se soulève bien, merci la marge. Le virage qui en suit donne immédiatement le ton : c’est bien fourni en G. Nous remontons avant d’attaquer un changement de direction, EGF turn like. On valdingue dans les sièges, juste que qu’il faut.
C’est alors qu’on enchaîne les camel back et les virages, tous plus fournis en airtime, j’adoooooore ! Vraiment, c’est super bien dosé, on n’en loupe pas une miette ! Un petit sourire pour la photo finish (non pas de photo finish ici – snif) avant d’arriver sur les freins finaux, ébahis. C’est une pépite, une petite bombe. (Piraten) Kawasemi n’a rien en commun avec Alpina Blitz ; c’est dynamique de la gare jusqu’au freins finaux, la vitesse est constante, il y a (très peu) pas du tout de vibrations. Chaque éléments est ponctué d’airtime voire d’ejector. Bref, une excellente réussite »
Je m’en vais me balader quelques instants dans le parc pendant que les gars enchaînent les tours. Petit mais puissant.

C’est totalement désert. Ça fait limite peine à voir. Mais la majorité des attractions sont ouvertes. Service clients ++, mais je suis curieuse de voir le business plan et la rentabilité de ce parc. On est peut être tombé sur THE journée exceptionnellement vide.



Regardez cet homme heureux et libre. Il fait comme l’oiseau.
Après quelques tours dessus, nous passons au crédit suivant, posé sur sa dalle de béton : Tentomushi (coccinelle en français) un Tivoli Medium Zierer, des casses-dos comme on en a fait trop. Mais qu’on continue de faire (passion à la con).

And the last but not least, Diggy and Dougie’s Mine Coaster, un superbe coaster de conception japonaise à ne pas louper. Une thématisation aux petits oignons. Des sensations à couper le souffle, une douceur de ride à en faire pâlir Kawasemi ou encore Regina II.


Voilà pour le tour des coasters
Comme ça fait que une heure que nous sommes ici, nous allons nous égayer sur les autres attractions du parc. Il n’y a aucune attente aux attractions, ni à la cantine. Nous voyons Regina II tourner au loin, les américains sont toujours dedans.
Stove’s Adventure Cart est un circuit de karting, où l’on ne peut pas partir en même temps mais chacun son tour. Antoine, puis Kris et moi partons explorer le tour de cet étang pas très bien entretenu, tout comme la piste : bosses à cause des racines (bon OK, la nature a ses droits), trous, décorations délavées et j’en passe. Au moins, le kart est fonctionnel.

Stove’s Adventure Cart est un circuit de karting, où l’on ne peut pas partir en même temps mais chacun son tour. Antoine, puis Kris et moi partons explorer le tour de cet étang pas très bien entretenu, tout comme la piste : bosses à cause des racines (bon OK, la nature a ses droits), trous, décorations délavées et j’en passe. Au moins, le kart est fonctionnel.
Antoine s’octroie un tour sur Brunn’s GoGo! School Bus, une sorte de bateau caravelle, mais dans un bus scolaire. ERT complet.

Les autres attractions du parc sont globalement foraines et peu embellies : bateau pirate, music express, avions volants – nous passons notre tour.
On veut faire la grande roue mais impossible de trouver l’entrée, et je crois que, de toutes manières, elle est en maintenance. On y trouve dans ce bâtiment du bordel et un timbre (tampon) à l’effigie du parc.
On demande alors des renseignements au service clients qui est situé non loin de là. Accueillante, la dame nous informe qu’elle est bien en maintenance. On demande aussi si c’est possible d’avoir un plan du parc. Oui, c’est possible, en échange de 10 yens (6 centimes), ça vaaaa, sauf que c’est juste une feuille A4 imprimée. Pas d’effort pour embellir un peu le truc
Nous reviendrons à Kawasemi plus tard, faisons un tour au zoo.
Mon dieu… On aurait du se renseigner avant
Les flamands roses sont en nombre, c’est assez petit comme endroits mais pas 100 % barricadé. Il est possible de communiquer en parlant animaux avec grâce à un boîtier (du moins on suppose), en échange d’une petite pièce. On rigole face à ce dispositif mais n’essayons même pas.
On veut faire la grande roue mais impossible de trouver l’entrée, et je crois que, de toutes manières, elle est en maintenance. On y trouve dans ce bâtiment du bordel et un timbre (tampon) à l’effigie du parc.
On demande alors des renseignements au service clients qui est situé non loin de là. Accueillante, la dame nous informe qu’elle est bien en maintenance. On demande aussi si c’est possible d’avoir un plan du parc. Oui, c’est possible, en échange de 10 yens (6 centimes), ça vaaaa, sauf que c’est juste une feuille A4 imprimée. Pas d’effort pour embellir un peu le truc

Nous reviendrons à Kawasemi plus tard, faisons un tour au zoo.
Mon dieu… On aurait du se renseigner avant

Les flamands roses sont en nombre, c’est assez petit comme endroits mais pas 100 % barricadé. Il est possible de communiquer en parlant animaux avec grâce à un boîtier (du moins on suppose), en échange d’une petite pièce. On rigole face à ce dispositif mais n’essayons même pas.

La star du zoo est un tigre blanc. Très mis en avant par le parc sur le site internet et dans les publicités du métro, nous allons de ce pas voir cette bête.
Bête enfermée dans une boîte de 50m² tout au plus, avec uniquement du gravier et un peu d’eau. Un choc. Comment peut-on garder en captivité un animal de la sorte ? Le pauvre est amorphe, n’a aucune place pour bouger et courir correctement. Pas un seul brin de verdure. Il est juste là, à être exposé. Ce n’est pas une peinture dans un musée… Il y a également un autre tigre blanc dans un box de taille identique. Ils ne peuvent même pas communiquer.
Bête enfermée dans une boîte de 50m² tout au plus, avec uniquement du gravier et un peu d’eau. Un choc. Comment peut-on garder en captivité un animal de la sorte ? Le pauvre est amorphe, n’a aucune place pour bouger et courir correctement. Pas un seul brin de verdure. Il est juste là, à être exposé. Ce n’est pas une peinture dans un musée… Il y a également un autre tigre blanc dans un box de taille identique. Ils ne peuvent même pas communiquer.

Donc, nous avons à gauche deux enclos de 50m² avec deux tigres blancs, et à droite une box de 200m² (youhou) avec… 7 lions et lionnes. Ah ouais. En fait les tigres blancs ont le droit au luxe. Les lions et lionnes ont de l’herbe et des rochers.

Nous avons donc le droit désormais au léopard qui tourne sur lui-même. Il devrait être content, il a un étage, lui !
Et les éléphants, quel sort leur réserve-t-on ? Un peu d’eau en guise de douche, de la terre, des marécages inaccessibles.
Oh, ça va ? Vous ne vouliez pas qu’on leur laisse 5 hectares non plus ?

Regardez-moi cet ours, qui a le droit à autant de nourriture qu’il veut si les visiteurs sont sympas.

Et ce p’tit singe, gardé en laisse. Il ne faudrait pas qu’il s’échappe !

Assez vu, nous rebroussons chemin de ce zoo. Ce qui nous lance sur le débat de la captivité des animaux dans les zoos, et le ressenti de chaque population. Nous n’avons pas vu d’enfants dans le parc, mais bien plusieurs groupes scolaires dans le zoo. Cela n’a pas l’air de les choquer. Ils étaient même contents. L’éducation n’est pas la même.
12h, nous nous posons au Restaurant Carnival, où pour moins de 6 €, nous avons un repas, et très bon. Manque plus que le dessert. Je m’en vais à un snack prendre des Sponge Cake en forme d’ourson en pensant qu’ils étaient plutôt gros et pour partager. Quand j’ai vu la taille des crottes, j’ai tiré la gueule
Un petit tour au Game center Carnival, jouer à quelques jeux dont un jeu de rapidité où celui qui perd se fait exploser la main (et qui perd à deux reprises ? Kris
), nous retrouvons aussi les toupies Beyblades, ça faisait un bail que je n’avais pas joué à ça. J’ai le chique de lancer la toupie en dehors de la piste de jeu.
12h, nous nous posons au Restaurant Carnival, où pour moins de 6 €, nous avons un repas, et très bon. Manque plus que le dessert. Je m’en vais à un snack prendre des Sponge Cake en forme d’ourson en pensant qu’ils étaient plutôt gros et pour partager. Quand j’ai vu la taille des crottes, j’ai tiré la gueule

Un petit tour au Game center Carnival, jouer à quelques jeux dont un jeu de rapidité où celui qui perd se fait exploser la main (et qui perd à deux reprises ? Kris

Que serait des vacances sans terror house ? Une est spécialement installée à l’occasion d’Halloween (oui, à croire que chez eux, c’est coutume de la commencer dès septembre) : UFO Dome. Nous entrons dans le hall, deux opératrices nous accueillent, et nous font lire les consignes qui sont assez bien traduites. Dont une : demi-tour interdit. Ma foi ! Je pose une question existentielle : « Is there actors inside ? ». Une des opé me regarde alors avec un sourire et me lance « Mmmm maybe ! » puis appuie sur une sonnette. OK ! Préparez-vous à vous faire surprendre ! .. mais attendez, il y a vraiment un mec qui attendait que trois guguss viennent faire la terror house ?? ‘tain il doit se faire chier.
On ne change pas un ordre qui gagne : Antoine tout devant, Kris en sandwich et moi derrière.
Les décors sont en nombre, c’est assez prenant, la musique est très basse mais lugubre. Nous marchons, marchons, sans entendre un seul bruit d’humains autre que nous. … Antoine se met à reculer avec un peu de sursaut. Par réflexe, Kris crie. Par réflexe, j’hurle. « Ah le gars est juste passé furtivement devant moi ». Nous continuons, puis arrivons à la sortie. Ooh je les connais les sorties, c’est là où il y a le dernier jumpscare. Ça n’a pas loupé. Celui-ci est pourtant tout doux, une main effleurant à peine mon épaule, et un « ooouuuhh » de fantôme sorti de l’acteur, me refait faire un bond de kangourou. Je ne me reprends pas de cadran de porte cette fois-ci. Les deux opératrices sont hilares. J’ai du refaire leur journée.
Nous prenons de nouveau nos quartiers à Kawasemi, notre opérateur-poto japonais n’est plus là, mais il n’y a toujours personne, alors c’est le plaisir de rider jusqu’à plus soif !
On ne change pas un ordre qui gagne : Antoine tout devant, Kris en sandwich et moi derrière.
Les décors sont en nombre, c’est assez prenant, la musique est très basse mais lugubre. Nous marchons, marchons, sans entendre un seul bruit d’humains autre que nous. … Antoine se met à reculer avec un peu de sursaut. Par réflexe, Kris crie. Par réflexe, j’hurle. « Ah le gars est juste passé furtivement devant moi ». Nous continuons, puis arrivons à la sortie. Ooh je les connais les sorties, c’est là où il y a le dernier jumpscare. Ça n’a pas loupé. Celui-ci est pourtant tout doux, une main effleurant à peine mon épaule, et un « ooouuuhh » de fantôme sorti de l’acteur, me refait faire un bond de kangourou. Je ne me reprends pas de cadran de porte cette fois-ci. Les deux opératrices sont hilares. J’ai du refaire leur journée.
Nous prenons de nouveau nos quartiers à Kawasemi, notre opérateur-poto japonais n’est plus là, mais il n’y a toujours personne, alors c’est le plaisir de rider jusqu’à plus soif !


Satisfaits de nos rides, nous faisons une dernière attraction, en chemin vers la sortie, s’appelant Galaxy Walkers. Une sorte de walk-throught éducatif avec au début un labyrinthe de miroirs. Puis s’en suit deux choix de chemins, et donc des énigmes différentes à résoudre. De mémoire, c’est un peu traduit en anglais et on a réussi du premier coup !
« Satisfait » de notre journée concernant les montagnes russes, nous nous dirigeons vers la sortie du parc – au détour d’une machine à glaces pour ceux qui veulent.
« Satisfait » de notre journée concernant les montagnes russes, nous nous dirigeons vers la sortie du parc – au détour d’une machine à glaces pour ceux qui veulent.
Les employés commencent déjà à installer les guirlandes lumineuses dans les arbres, signes d’une ouverture hivernale. Nous quittons le parc sous les coups de 14h30.
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Conclusion sur le parc : le choc visuel de passer de Tokyo DisneySea à Tobu Zoo Park. En soi le parc est propre (pas de déchets) mais les allées ne sont pas très jolies (rafistolées de partout), l’atmosphère y est sans âme – malgré la gentillesse des opérateurs. Le fait que le parc soit désert et la météo grise n’a pas aidé.
Donc en résumé, nous avons un très bon wooden Intamin, un excellent steel Intamin, et deux kiddies qui sont bien là pour égayer les gamins inexistants dans ce parc. Ou du moins pas dans cette zone. Le restant des attractions est très classique.
Les commentaires Google prêtent à sourire « environnement aussi naturels que possible ». Des graviers, un enclos bien trop petit je n’appelle pas ça « naturel », encore moins faire un effort. Le parc est malgré tout très bien noté, nous n’avons pas la même vision du bien-être animal.
Il y a quand même pas mal de monde pendant les vacances apparemment, car la journée que l’on a vécu n’est pas du tout rentable pour eux.
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Nous avons l’après-midi devant nous, et c’était prévu comme ça ; maintenant nous pouvons aller à la SkyTree. Dans notre maladresse du retour, nous loupons la station pour prendre le train direct vers la SkyTree, et la station à laquelle nous nous sommes arrêtées ne permet pas de prendre ce fameux train. Demi-tour toute ! On patientera en mangeant une glace.
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Conclusion sur le parc : le choc visuel de passer de Tokyo DisneySea à Tobu Zoo Park. En soi le parc est propre (pas de déchets) mais les allées ne sont pas très jolies (rafistolées de partout), l’atmosphère y est sans âme – malgré la gentillesse des opérateurs. Le fait que le parc soit désert et la météo grise n’a pas aidé.
Donc en résumé, nous avons un très bon wooden Intamin, un excellent steel Intamin, et deux kiddies qui sont bien là pour égayer les gamins inexistants dans ce parc. Ou du moins pas dans cette zone. Le restant des attractions est très classique.
Les commentaires Google prêtent à sourire « environnement aussi naturels que possible ». Des graviers, un enclos bien trop petit je n’appelle pas ça « naturel », encore moins faire un effort. Le parc est malgré tout très bien noté, nous n’avons pas la même vision du bien-être animal.
Il y a quand même pas mal de monde pendant les vacances apparemment, car la journée que l’on a vécu n’est pas du tout rentable pour eux.
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Nous avons l’après-midi devant nous, et c’était prévu comme ça ; maintenant nous pouvons aller à la SkyTree. Dans notre maladresse du retour, nous loupons la station pour prendre le train direct vers la SkyTree, et la station à laquelle nous nous sommes arrêtées ne permet pas de prendre ce fameux train. Demi-tour toute ! On patientera en mangeant une glace.

Le mieux est de réserver en avance ; nous avons choisi l’heure de monter pour voir le coucher de soleil. Parfait pour voir la ville sous plusieurs luminosité pendant un laps de temps réduit !





On finira la soirée dans un restaurant à la sortie de notre station de métro, proposant des gyozas à en tomber par terre. Demain, le réveil va piquer.