UP.
Ça fait un bout de temps que ce TR est en stand-by, j'ai terminé un nouveau chapitre, donc je vous poste ça, mais avant, petite question...
EST-CE QUE lire ce récit vous tente toujours autant ?
- Je tiens à préciser que si je continue ce TR, la fréquence des posts continuera à être irrégulière en raison de la charge de travail que j'ai cette année.
- Je reprécise aussi que cette histoire commence à dater (ça va faire 2 ans que j'ai fait ce voyage !), mais je vais y inclure anachroniquement mon avis détaillé sur Taron et Klugheim (puisque je suis retourné à Phanta depuis).
- Enfin, sachez le, ce TR sera long, TRÈS long même. Mais il y aura toujours des images pour alléger le tout !
Si avec ça, vous êtes toujours tentés, je m'engage à le terminer, quel que soit le temps que cela me prendra ! Et ça pourra être long, j'ai tout rédigé mais il reste du tri à faire dans les photos, que je tiens par ailleurs à légender...
Allez, c'est reparti !
Chapitre 4 : WILDWASSERBAHN (ouais, j'ai pas trouvé de jeu de mots)
Owiiiiii, de la flotte !
Bon, première attraction aquatique du voyage ! Et elle est plutôt cool, apparemment.
Alors, qu'est-ce que ça vaut ? Ben c'est effectivement plutôt cool. Le parcours est long, pas trop mou, la descente en arrière est très rigolote, y'a un peu de théma par ci par là, quelques animatroniques, et ça mouille suffisamment. C'est pas Menhir Express, mais ça reste très bon pour un flume forain.
Ça coûte 5€, on l'aura fait une fois avec 5/10mn d'attente.
Faut avouer que pour du forain, c'est quand même bien massif.
Allez allez, on a digéré, retour aux sensations fortes, que diable ! Quoi de mieux pour se remettre en selle qu'un bon grand-huit ? Voyons voir, qu'est ce qui nous reste...
Ah, voilà ce qui sera parfait !
Chapitre 6 : Olympia tout court
Oukilébo
Ouais, bon, je suis mauvaise langue, Alpina Bahn n'a pas grand chose à voir avec son gros voisin en fait...
M'enfin quand on les voit tous les deux, et quand on voit la différence d'intérêt que les gens leur portent, c'est un peu l'impression qu'on a. Parce que bon, le pauvre grand-huit bleu, il se fait clairement éclipser par Olympia Looping ! A de nombreuses reprises on aura vu la file d'attente complètement vide, alors que le bestiau ne fonctionnait qu'à un train.
Et pourtant c'est dommage, c'est vraiment loin d'être une mauvaise machine ! Déjà il est très joli, avec une superbe gare ornée d'animatroniques très réussis. Ensuite, niveau parcours, ben on va étudier ça de plus près...
On embarque donc dans ces beaux trains Schwarzkopf, on abaisse les lap bars, et premier constat : c'est globalement confortable tout ça. Zou, on s'engage sur le lift... Ça grimpe en silence, puis arrivés en haut petite pre drop, remontée sans airtime, et on arrive à la descente twistée : très efficace à l'arrière, et avec une belle dose de G positifs dans le creux qui suit. Puis vient une grosse bosse avec un airtime disons... très discret. On ne décolle qu'au début du camelback, et on doit guère dépasser les 0G à ce moment là. En fin de journée c'est un peu plus puissant. Avec une lap bar bien désserrée ça reste rigolo.
Oukélébelle, la descente.
Demi-tour raisonnablement fourni en G positifs, virage à plat vers la droite, et on arrive à la seconde descente du circuit, qui s'engage dans un autre demi-tour, vers une zone de freins (inactivés, évidemment). Jusque là aucune vibration, mais pas mal de belles secousses dans les transitions ! Les trains étant confortables et sans harnais, c'est plus fun qu'autre chose.
S'en suivent encore quelques virages bien fournis en jerks, une deuxième zone de freins qui offre à sa sortie un petit airtime aux dernières rangées du train, et le parcours se termine par deux spirales au ras du sol assez avares en G positifs, séparées par un s-turn avec un léger airtime.
Voilà ! Alors, ça vaut quoi ? Ben c'est pas mal du tout. La sensation de vitesse est excellente du début à la fin, les G sont présents sans être extrêmes (c'est très familial), ça secoue pas mal sans faire mal et ça se fait sans trop de vibrations.
Train peu rempli = peu de paires de bras en l'air. C'est mathématique, mon cher !
Peut être cette désertion était-elle due à la météo un peu grisâtre...
Une bien bonne machine, un peu chère cependant (6€). M'enfin, on s'est pas privés de le faire 3 ou 4 fois, vu qu'il n'y avait jamais d'attente...
Ensuite ? Ensuite on s'est dirigés vers ce qui me paraissait être un Capriolo Mondial. En fait, après m'être renseigné, j'ai découvert qu'il s'agissait d'une Turbine (de chez Mondial, toujours).
Chapitre 7 : Sirrocco
Bon, je dois dire que les booster, même si j'aime beaucoup ça, j'y vais toujours un peu à reculons, moi (du moins j'y allais en juillet dernier, parce que maintenant que j'ai bouffé du Vertigo jusqu'à plus faim, ça va je suis guéri). Et la réputation qu'ont les Capriolos (grosso modo : des machines parmi les plus intense que l'on peut trouver sur les foires) n'y arrangeait rien... Donc j'y allais à reculons, mais j'y suis allé quand même, dans ce gigantesque (70 mètres et des bananes, il me semble) Capriolo/Turbine/Booster/jenesaisquoi.
Ah, un booster ! Enfin, un Capriolo. Une Turbine. Un truc, quoi. Merde.
Un très gros truc en tout cas. Ça c'est du bel ('tention registre comique en approche) engin !
Alors, fidèle à sa réputation, le bidule ? En terme de puissance et d'intensité, franchement non. On a eu aucun de ces passages la tête en bas en rase motte si présumément dingue, donc forcément, ça nous a allégé le tour... Sans compter que niveau puissance, on est loin d'un booster Fabbri.
Par contre, là où on a été surpris, c'est en ce qui concerne toutes les autres sensations... Parce que oui, ce métier forain nous a énormément plu. Les nacelles tournaient sur deux axes différents (en plus du mouvement du bras), ce qui faisait qu'on pouvait se retrouver la tête en bas, face au Rhin, à plus de 60m de hauteur en tournant latéralement à une vitesse complètement folle ! On a eu droit en outre à de nombreuses et fantastiques plongées vers le sol, et tout un tas de retournement assez dingues, très désorientants et monstrueusement planants.
Même si c'était pas aussi intense que prévu, cette machine nous aura quand même donné une bonne grosse dose d'excellentes sensations !
C'est pas loin d'être mon flat ride forain (hors tours de chute) favori, d'ailleurs ! Je lui préfère un tantinet Konga, plus joli...
Allez, près ça on s'est dirigés vers le dernier flat ride qui nous intéressait dans cette gigantique foire :
Chapitre 8 : Tower of Terror
Oui, enfin la Power Tower II, quoi. Soit une sorte de free fall Maurer de 60 mètres de haut, dont la thématisation (plutôt réussie pour un flat forain) lorgne très sérieusement du côté de l'attraction Disneyenne...
M'enfin on est pas venus pour admirer sa déco ! Nous on est venus pour monter dedans, et s'y amuser un peu si possible, donc cessons de tergiverser inutilement, laissons de côté tout cabotinage superfétatoire ou ne serait-ce que légèrement infructueux, et passons sans plus attendre à un verdict solide sur les sensations que prodigue ce gros truc rose.
Du coup, c'est rigolo ? Oui ! Allez, on passe à la suite.
Quoi, c'est pas solide comme avis, ça ? Mmmmmbon, ok, je vais développer un peu...
Donc la Power Tower n'est pas vraiment une free fall au sens propre du terme, c'est à dire un truc qui nous ferait chuter librement. En fait, là, la nacelle est reliée tout le long du tour à un câble, qui la fait monter et descendre généralement plutôt vite, avec tout ce qu'il faut de petits moments à 0G, de guillis dans le ventre et cie. Alors c'est très soft globalement, mais ça reste aussi bien rigolo, et surtout c'est un cycle très long pour une tour de chute.
Un bidule qui compte les étages... J'ai déjà vu ça quelque part, mais où ?
N'empêche, elle est bien rigolote, cette Tower of Terror en mode forain.
DU COUP, verdict final sur cette fameuse Rheinkirmes ? Ben sans grosse surprise, elle enterre bien méchamment ce qu'on peut avoir en France... Oh, et je ne parle pas que des machines présentées (quoique... ça suffirait à soutenir un argumentaire), mais aussi de l'ambiance, merveilleusement conviviale et bien arrosée de bière. Donc quand on compare ça à nos fadasses foires sans âme, qui n'osent même pas se targuer d'être plus qu'une réunion de machines braillantes... Ben on peut se poser des questions !
Comme celle-ci par exemple, sempiternelle interrogation à l'origine de l’ancestrale querelle entre les zythophiles et les coasterfans :
Le secret des foires allemandes, c'est la bière ou les grands-huit ?
Les deux mon général !
Ça fait un bout de temps que ce TR est en stand-by, j'ai terminé un nouveau chapitre, donc je vous poste ça, mais avant, petite question...
EST-CE QUE lire ce récit vous tente toujours autant ?
- Je tiens à préciser que si je continue ce TR, la fréquence des posts continuera à être irrégulière en raison de la charge de travail que j'ai cette année.
- Je reprécise aussi que cette histoire commence à dater (ça va faire 2 ans que j'ai fait ce voyage !), mais je vais y inclure anachroniquement mon avis détaillé sur Taron et Klugheim (puisque je suis retourné à Phanta depuis).
- Enfin, sachez le, ce TR sera long, TRÈS long même. Mais il y aura toujours des images pour alléger le tout !
Si avec ça, vous êtes toujours tentés, je m'engage à le terminer, quel que soit le temps que cela me prendra ! Et ça pourra être long, j'ai tout rédigé mais il reste du tri à faire dans les photos, que je tiens par ailleurs à légender...
Allez, c'est reparti !
Chapitre 4 : WILDWASSERBAHN (ouais, j'ai pas trouvé de jeu de mots)
Owiiiiii, de la flotte !
Bon, première attraction aquatique du voyage ! Et elle est plutôt cool, apparemment.
Alors, qu'est-ce que ça vaut ? Ben c'est effectivement plutôt cool. Le parcours est long, pas trop mou, la descente en arrière est très rigolote, y'a un peu de théma par ci par là, quelques animatroniques, et ça mouille suffisamment. C'est pas Menhir Express, mais ça reste très bon pour un flume forain.
Ça coûte 5€, on l'aura fait une fois avec 5/10mn d'attente.
Faut avouer que pour du forain, c'est quand même bien massif.
Allez allez, on a digéré, retour aux sensations fortes, que diable ! Quoi de mieux pour se remettre en selle qu'un bon grand-huit ? Voyons voir, qu'est ce qui nous reste...
Ah, voilà ce qui sera parfait !
Chapitre 6 : Olympia tout court
Oukilébo
Ouais, bon, je suis mauvaise langue, Alpina Bahn n'a pas grand chose à voir avec son gros voisin en fait...
M'enfin quand on les voit tous les deux, et quand on voit la différence d'intérêt que les gens leur portent, c'est un peu l'impression qu'on a. Parce que bon, le pauvre grand-huit bleu, il se fait clairement éclipser par Olympia Looping ! A de nombreuses reprises on aura vu la file d'attente complètement vide, alors que le bestiau ne fonctionnait qu'à un train.
Et pourtant c'est dommage, c'est vraiment loin d'être une mauvaise machine ! Déjà il est très joli, avec une superbe gare ornée d'animatroniques très réussis. Ensuite, niveau parcours, ben on va étudier ça de plus près...
On embarque donc dans ces beaux trains Schwarzkopf, on abaisse les lap bars, et premier constat : c'est globalement confortable tout ça. Zou, on s'engage sur le lift... Ça grimpe en silence, puis arrivés en haut petite pre drop, remontée sans airtime, et on arrive à la descente twistée : très efficace à l'arrière, et avec une belle dose de G positifs dans le creux qui suit. Puis vient une grosse bosse avec un airtime disons... très discret. On ne décolle qu'au début du camelback, et on doit guère dépasser les 0G à ce moment là. En fin de journée c'est un peu plus puissant. Avec une lap bar bien désserrée ça reste rigolo.
Oukélébelle, la descente.
Demi-tour raisonnablement fourni en G positifs, virage à plat vers la droite, et on arrive à la seconde descente du circuit, qui s'engage dans un autre demi-tour, vers une zone de freins (inactivés, évidemment). Jusque là aucune vibration, mais pas mal de belles secousses dans les transitions ! Les trains étant confortables et sans harnais, c'est plus fun qu'autre chose.
S'en suivent encore quelques virages bien fournis en jerks, une deuxième zone de freins qui offre à sa sortie un petit airtime aux dernières rangées du train, et le parcours se termine par deux spirales au ras du sol assez avares en G positifs, séparées par un s-turn avec un léger airtime.
Voilà ! Alors, ça vaut quoi ? Ben c'est pas mal du tout. La sensation de vitesse est excellente du début à la fin, les G sont présents sans être extrêmes (c'est très familial), ça secoue pas mal sans faire mal et ça se fait sans trop de vibrations.
Train peu rempli = peu de paires de bras en l'air. C'est mathématique, mon cher !
Peut être cette désertion était-elle due à la météo un peu grisâtre...
Une bien bonne machine, un peu chère cependant (6€). M'enfin, on s'est pas privés de le faire 3 ou 4 fois, vu qu'il n'y avait jamais d'attente...
Ensuite ? Ensuite on s'est dirigés vers ce qui me paraissait être un Capriolo Mondial. En fait, après m'être renseigné, j'ai découvert qu'il s'agissait d'une Turbine (de chez Mondial, toujours).
Chapitre 7 : Sirrocco
Bon, je dois dire que les booster, même si j'aime beaucoup ça, j'y vais toujours un peu à reculons, moi (du moins j'y allais en juillet dernier, parce que maintenant que j'ai bouffé du Vertigo jusqu'à plus faim, ça va je suis guéri). Et la réputation qu'ont les Capriolos (grosso modo : des machines parmi les plus intense que l'on peut trouver sur les foires) n'y arrangeait rien... Donc j'y allais à reculons, mais j'y suis allé quand même, dans ce gigantesque (70 mètres et des bananes, il me semble) Capriolo/Turbine/Booster/jenesaisquoi.
Ah, un booster ! Enfin, un Capriolo. Une Turbine. Un truc, quoi. Merde.
Un très gros truc en tout cas. Ça c'est du bel ('tention registre comique en approche) engin !
Alors, fidèle à sa réputation, le bidule ? En terme de puissance et d'intensité, franchement non. On a eu aucun de ces passages la tête en bas en rase motte si présumément dingue, donc forcément, ça nous a allégé le tour... Sans compter que niveau puissance, on est loin d'un booster Fabbri.
Par contre, là où on a été surpris, c'est en ce qui concerne toutes les autres sensations... Parce que oui, ce métier forain nous a énormément plu. Les nacelles tournaient sur deux axes différents (en plus du mouvement du bras), ce qui faisait qu'on pouvait se retrouver la tête en bas, face au Rhin, à plus de 60m de hauteur en tournant latéralement à une vitesse complètement folle ! On a eu droit en outre à de nombreuses et fantastiques plongées vers le sol, et tout un tas de retournement assez dingues, très désorientants et monstrueusement planants.
Même si c'était pas aussi intense que prévu, cette machine nous aura quand même donné une bonne grosse dose d'excellentes sensations !
C'est pas loin d'être mon flat ride forain (hors tours de chute) favori, d'ailleurs ! Je lui préfère un tantinet Konga, plus joli...
Allez, près ça on s'est dirigés vers le dernier flat ride qui nous intéressait dans cette gigantique foire :
Chapitre 8 : Tower of Terror
Oui, enfin la Power Tower II, quoi. Soit une sorte de free fall Maurer de 60 mètres de haut, dont la thématisation (plutôt réussie pour un flat forain) lorgne très sérieusement du côté de l'attraction Disneyenne...
M'enfin on est pas venus pour admirer sa déco ! Nous on est venus pour monter dedans, et s'y amuser un peu si possible, donc cessons de tergiverser inutilement, laissons de côté tout cabotinage superfétatoire ou ne serait-ce que légèrement infructueux, et passons sans plus attendre à un verdict solide sur les sensations que prodigue ce gros truc rose.
Du coup, c'est rigolo ? Oui ! Allez, on passe à la suite.
Quoi, c'est pas solide comme avis, ça ? Mmmmmbon, ok, je vais développer un peu...
Donc la Power Tower n'est pas vraiment une free fall au sens propre du terme, c'est à dire un truc qui nous ferait chuter librement. En fait, là, la nacelle est reliée tout le long du tour à un câble, qui la fait monter et descendre généralement plutôt vite, avec tout ce qu'il faut de petits moments à 0G, de guillis dans le ventre et cie. Alors c'est très soft globalement, mais ça reste aussi bien rigolo, et surtout c'est un cycle très long pour une tour de chute.
Un bidule qui compte les étages... J'ai déjà vu ça quelque part, mais où ?
N'empêche, elle est bien rigolote, cette Tower of Terror en mode forain.
DU COUP, verdict final sur cette fameuse Rheinkirmes ? Ben sans grosse surprise, elle enterre bien méchamment ce qu'on peut avoir en France... Oh, et je ne parle pas que des machines présentées (quoique... ça suffirait à soutenir un argumentaire), mais aussi de l'ambiance, merveilleusement conviviale et bien arrosée de bière. Donc quand on compare ça à nos fadasses foires sans âme, qui n'osent même pas se targuer d'être plus qu'une réunion de machines braillantes... Ben on peut se poser des questions !
Comme celle-ci par exemple, sempiternelle interrogation à l'origine de l’ancestrale querelle entre les zythophiles et les coasterfans :
Le secret des foires allemandes, c'est la bière ou les grands-huit ?
Les deux mon général !
FIN DU LIVRE 1