Tokyo Disney Sea – 18 septembre 2024
6h, nous voilà reparti pour le resort… Nous retrouvons nos petites ruelles…
… nos mille et une marches…
… le trottoir où il y est interdit de faire du moonwalk…
… où il faut cette fois-ci prendre le monorail (payant !) pour accéder à l’entrée du parc. Nous arrivons un poil plus tard qu’hier.
Nous passons devant les travaux du futur Space Mountain puis devant les hôtels, et enfin Tokyo Disney Sea.
Enfin, l’entrée est encore un peu loin et déjà bien encombrée par les visiteurs qui attendent. Et oui, comme hier, il est 7h20 :
Et sachant qu’il y a la même configuration de l’autre côté, il a donc autant de foule de l’autre côté qui attend
L’attente sera un peu plus pénible, peut-être dû à un manque de sommeil ou une foule plus mouvante.
Si vous y comprenez quelque chose…
Kris s’échauffe de nouveau pour chopper le plus de fast-pass. Nous foulons l’entrée après le contrôle des sacs et des billets vers 8h55. Toute la foule passe obligatoirement par la place centrale.
Cette année a ouvert Fantasy Springs. Cette zone nécessite obligatoirement un accès avec horaires. C’est celui-ci qu’on essaie de chopper en premier, avec succès, mais pas avant 11h40. Les créneaux pour y accéder sont assez larges : à partir de 11h40, on a 3h pour rentrer dans le land. Sympathique, mais intelligemment calculé : il suffit que le créneau horaire s’active lorsque l’on fait de l’attente pour une autre attraction… Et de l’attente il y en a déjà bordel
2h d’attente déjà pour Soarin ou encore Journey to the Center of The Earth

nous faisons comme hier : filons au fond du parc chopper un premier crédit. Et, aujourd’hui, journée très importante : je passe le cap des 500 !! 500, mon dieu, je n’arrive pas à y croire

Moi qui aurait préféré le passer sur Eejanaika pour marquer le coup… mais on choisit plus ou moins !
En chemin, Kris nous informe qu’il n’y a même plus de droits d’entrée La Reine des Neiges (à 9h05 pour un parc qui ferme à 21h, vous voyez la détermination des japonais !!). Oui, car une fois rentrés dans Fantasy Springs, c’est bien d’y être, mais il faut aussi un « droit d’entrée » (ou des fast-pass payants mais déjà épuisés) pour une des attractions présentes dans le land (4 pour le moment). N’étant pas fans de la Reine des Neiges, nous en choppons pour Peter Pan. Pas de regrets ! Vu qu’on a encore le droit de prendre un fast-pass, on choisit « 20 000 Leagues Under the Sea ». Il n’y avait plus que ça pour le moment. Toujours ça de pris ! On n’hésitera pas à prendre des fast-pass payants si besoin
Nous nous faufilons dans le parc, et sommes déjà conquis par ce que nous voyons (mettons de côté la foule) : des bâtiments aux styles méditerranéens, puis la zone Mysterious Island, avec son Volcan crachant du feu quelques fois par heure et ses véhicules qui ne cessent d’y sortir à une très bonne vitesse, ses rochers et son style Jules Verne.
Nous atterrissons dans la zone de la Petite Sirène, où
Flounder’s Flying Fish Coaster, un Togo nous attend, sans attente. L’aubaine ! Un +1 au confort passable pour me mener à 499. Fais-je le 500ème tout de suite ? Non, car pour le moment, Raging Spirit est fermé. Arg.
Nous filons de suite à
Indiana Jones Adventure : Temple of the Crystal Skull où l’attente n’est que de 50 minutes et situé dans la zone Lost River Delta. On devrait être dans les temps pour notre fast-pass prévu à 10h50. La première partie de la file d’attente se fait dans un parc à bœuf extérieur, assez ombragé.
A l’intérieur, on y est bien : ni trop chaud ni trop froid. Le temple est si bien réalisé ! De l’extérieur à l’intérieur, aucun détail n’est laissé de côté. C’est vraiment beau.
Vu qu’il faut quand même s’occuper pendant cette attente, on s’amuse à regarder toutes ces japonaises venues habillées trop kawaii à faire d’innombrables photos selfies. On se demande si elles sont plus là pour profiter du parc que pour booster leurs égo. En soi ce n’est même pas notre problème. Juste pour vous dire qu’on s’amuse à s’incruster sur leurs photos ; ça en fait rires certaines, moins d’autres. On essaie même d’imiter leur posture.
Je suis sûre on va devenir célèbres Kris !
Nous arrivons en gare, double quai s’il vous plaît ! On a bien attendu 50 minutes. A 12 par véhicules, nous sommes mis à l’arrière. On balance les sacs dans les filets en face de soi et roule !
Un dark-ride très prenant, une décorations détaillée. Des jeux de lumière, de sons et de vitesse. Tout est en japonais mais ce n’est pas contraignant. On ne sait pas où regarder vu que tout est à regarder, mais avec le rythme, on en perd quelques miettes. Le mouvement du véhicule est très bien maîtrisé. Le tour ne dure finalement pas très longtemps (3 minutes je dirais) mais c’est à ne pas louper !
Nous avons 20 minutes à tuer avant l’utilisation de notre fast-pass, et comme aucune attraction n’est en dessous d’une heure, nous en profitons pour faire un saut aux toilettes puis retournons sur nos pas, dans la zone Jules Verne, le monde y est de plus en plus conséquent ; on va éviter de se perdre dans cette foule. Restons groupir.
20 000 Leagues Under the Sea, 20 000 lieux sous les mers donc, n’est qu’à 45 minutes en file classique, en embarquement immédiat avec les fast-pass. Nous nous faufilons sous terre, embarquons dans un mini sous-marins et finissons comme le submersible Titan. Petite blagounette, notre sous-marin étant bien étanche, nous explorons les fonds de la mer, c’est assez bien réalisé





Je suis curieuse de savoir l’empreinte au sol de l’attraction et où nous situons-nous exactement.
Regardez-moi la beauté des décors :
Et maintenant, il faut attendre pour notre entrée à Fantasy Springs. Vu que nous avons utilisé notre fast-pass pour 20 000 Leagues Under the Sea, ça nous libère un nouveau créneau pour une autre attraction ! Et ce sera Raging Spirit à 19h ! RDV est pris ! Nous revenons dans la zone de la Petite Sirène, composée d’une partie extérieure et intérieure, pour déambuler et s’en mettre plein les yeux (et re-aller aux toilettes aussi).
Vous vous doutez bien que c’est la zone où il y a le plus de gamins, c’est bruyant mais cela ne nous empêche pas de s’amuser dans
Ariel’s Playground. Promis on n’a traumatisé personne.
Nous faisons de même pour la zone Aladin (Arabian Coast). Nous ne faisons aucune attraction de cette zone. En chemin, Antoine trouve par terre un serre-tête au chapeau de Magicien Mickey. Et cadeau !
A ce soir 19h, toi !
Il est 11h et nous avons déjà faim

Certains restaurants ne sont pas encore ouverts, d’autres culmine déjà à 1h d’attente ou sont sur réservation. Nous faisons alors 15 minutes d’attente à un stand de hot-dogs dans la zone d’Indiana Jones

C’est que ce n’est pas très épais, mais chaque visiteur n’en prenne qu’un à la fois. Ratio de limitation ? Peu d’appétit de leur part ? Viens mon tour de commander, … non, un seul ne sera pas assez, j’ai trop faim. J’en commande alors deux, et je suis sans soucis servie. Kris en fait de même, Antoine en prend trois. Nous nous posons sur un rocher afin de les savourer, tels des gros dalleux. En 15 minutes tout est mangé. Nous pouvons sereinement aller à Fantasy Springs.
Tout est mangé ! Parés !
Fantasy Springs est situé dans un cul de sac, accessible via un chemin unique en quittant soit le land Arabian Coast, soit Lost River Delta. Il est temps de découvrir cette nouvelle zone, plus que magnifiée par tous les fans. Nous passons dans une « grotte », scannons notre droit d’entrée et cap à la découverte !
L’entrée du Land
C’est vrai que ça en jette

Beaucoup de princesses, princes et autres personnages Disney y sont représentés, qu’ils soient récents (La Reine des Neiges) ou anciens (Blanche-Neige, Cendrillon, Peter Pan etc.). La zone est blindée, ça circule assez bien malgré cela. Nous ne tardons pas trop à accéder à la file d’attente de notre unique attraction faisable ici :
Peter Pan’s Never Land Adventure. 70 minutes. Paf.
(photo prise après que nous soyons sortis de l’attraction)
La file d’attente « extérieure » est un gros parc à bœuf sous une pseudo-grotte, en long allez-retour, avec quelques zig-zag pour faire croire qu’on avance plus que de réalité. Dans cette attente, nous décidons d’acheter des fast-pass pour d’autres attractions du parc. Kris est très tenté par Soarin, Antoine et moi moins. On préférera lâcher 13 boules pour un piou-piou sur Toy Story (en y repensant…). Nos attractions respectives seront chacune à 15h !
Mais nous avons la joie de découvrir plus tard une file d’attente intérieure encore réussie, mêlant décors, écrans, et un parc à bœufs qui l’est beaucoup moins. On y retrouve les références aux films.
Nous avons le droit à un pré-show, entièrement en japonais et non sous-titré. Après cela, on nous donne des lunettes et arrivons à quai quasi immédiatement. A 16 par gros bateau, nous sommes assignés au fond, en espérant qu’on puisse tout voir.
Le dark-ride est un incroyable condensé de technologies : les écrans sont hyper fluides, pas un seul pixel flous, on se croirait même à certains endroits dans un flying theatre ! Le bateau se déplace sans le moindre à-coup, on se plonge dans l’histoire très rapidement. Bluffant ! Le tour dure longtemps. Verdict : à ne pas louper

– Ça change du Peter Pan fait la veille
Nous ressortons de là, plus que conquis, et profitons désormais du land. L’ensemble est très vert et fleuri. Le sens du détail fait mouche. Bien que l’univers des attractions soient différentes, le tout est fait avec cohérence et nous transitionnons de zones en zones fluidement. Seule la montagne de la Reine des Neiges est « gâchée » -en fonction du point de vue- par les grues du chantier de Space Mountain. Mais ça n’est que temporaire.
Le land comporte aussi un hôtel, des restaurants blindés où il fallait (limite) réserver et quelques zones de jeux comme le gros bateau pirate.
Une des attractions, Ratpunzel’s Lantern Festival, n’est qu’à 10 minutes d’attente. Même si nous n’avons pas de droit d’entrée dessus, on tente quand même. On se fait recaler une première fois

on retente, puis un employé, très sympathique et se débrouillant en anglais, nous prend à part 15 minutes pour nous expliquer, avec un grand sourire, que ce sera non et re-non. Bon, on aura essayé !
Après avoir scruté le moindre recoin de la zone, nous décidons de partir et faire un peu de places pour les visiteurs suivants.
Qu’est-ce que nous pouvons faire en attendant 15h ? Le temps commence à se couvrir. Nous découvrons le land Port Discovery et ayons l’idée(bile) d’attendre pour
Aquatopia. 40 minutes, ça nous laisse de la marge pour nos fast-pass puis pour déambuler dans le parc. La file d’attente est peu intéressante, mais ce qui l’est encore moins, c’est l’attraction en elle-même.
A trois côte à côte (c’est déjà ça de pris) dans une grosse bouée guidée par GPS, nous avons plusieurs possibilité de chemins, avec à la clé, plusieurs « effets spéciaux » possibles. On est bien sûr tombé sur le parcours le moins intéressant, à faire des avances-recules, tourner sur soi-même, aucun effets spéciaux, puis revenir à la gare.
C’est vraiment le flop cette attraction, qu’est-ce qui nous a pris de la faire


On aurait du s’en douter rien qu’en la regardant.
Nous traçons notre chemin vers American Waterfront, et montons sur le bateau marcher un peu, pour avoir différents points de vue sur le parc mais aussi sur la ville. C’est sur ce bateau que l’on peut avoir une vue sur le Mont Fuji. Malgré les nuages, on peut le distinguer.
Pas le Mont Fuji
Nous approchons de l’heure de fast-pass respectifs, nous nous séparons et établissons un point de rencontre fixe pour se retrouver. Kris s’en va faire Soarin’, Antoine et moi faire
ToyStory Mania!. On zappe 100 minutes d’attente pour se retrouver en deux-deux à la gare, tout en pouvant profiter un peu de la décoration de la file d’attente.
Le parcours est long et le système un peu tant décrié car qui peut vite faire mal aux mains est plutôt bien calibré ; c’est bien lubrifié, ce qui permet de viser un nombre de cibles optimal en un temps record (je parle pour Antoine of course). La 3D est fonctionnelle, quelques bugs à certains endroits. Résultat des courses : est-ce que ça valait 13 balles ou 100 minutes d’attente ?
Petite déambulation dans le land Mediterranean Harbor, où nous ne profitons même pas pour faire un tour de Gondole, que nous n’avions pas fait à Venise en 2023. Au moins ici, ça nous aurait rien coûté
Nous retrouvons un peu plus tard Kris, qui a apprécié son tour sur Soarin «
mais ça ne valait pas 2h d’attente ». …
Et
Journey to the Center of the Earth, ça les vaut ? L’attraction iconique du parc n’a jamais désempli depuis ce matin, et même les fast-pass payants se sont évaporés en un claquement de doigts.
C’est parti pour un début de file d’attente modulé comme hier, au gré des opérateurs pour éviter que ça dégueule dans les allées. Quand bien même celle-ci est pourvue de thématisation, de décoration, d’ambiance musicale, la file d’attente « fixe » est affreuse ; je ne sais pas si ça a été fais exprès lors de la conception mais on a l’impression de tourner en rond, de repasser trois fois aux mêmes endroits

Le plafond n’est pas très haut et ça peut devenir vite étouffant.
La file d’attente est coupée en plusieurs séquences : après un passage dans un authentique ascenseur (faut bien descendre !), nous n’arrivons pas encore au quai, où il faut encore attendre. La machinerie est là pour nous divertir pour plusieurs bonnes minutes.
Nous arrivons enfin au quai

les trains ont un design assez particulier ; à 6 dedans, nous avons de la chance avec Kris d’être devant. Les sacs sont posés juste sur le sol du wagon
– petit aparté sur les contrôles de sécurité : on n’a pas été embêté par ça – et les lap bars nous laisse un jeu conséquent. Le train part vite, et sommes rapidement mis dans l’ambiance de l’attraction : décors, bande-son haletante, animatroniques, nous regardons émerveillés tout ce que nous pouvons. Nous devons échapper à la bête qui sommeille en ces lieux : le train prend une vitesse soudaine, le bruit des roulements est à son comble, le train sort du volcan, procurant un très beau floatting. Nous faisons encore plusieurs dizaines de mètres à haute vitesse avant de ralentir et de rentrer en gare.
Cette attraction est vraiment à ne pas louper et vaut les 2h d’attente !
Il fait encore jour, mais les premières lueurs de la nuit font leurs apparitions. Que reste-il à faire de si important ?
La Tower of Terror, évidemment ! Encore une fois, c’est un bâtiment de toute beauté. Nous reprenons un hot-dog avant de nous taper les 90 minutes d’attente.
La première partie de la file, en extérieur, permet de s’imprégner de l’ambiance que veut donner l’attraction : qu’un danger nous guette, qu’il vaudrait mieux faire demi-tour. La nuit tombe vite, laissant place aux jeux de lumières.
Nous restons une bonne heure dehors, avant de pouvoir rentrer dans l’hôtel. L’intérieur est soigné, nous passons deux salles d’avant d’être invité dans un pré-show, présenté par une opératrice, qui s’est volatilisée à la fin de celui-ci. Bien joué le tour de passe-passe. Nous arrivons dans une salle aux décors de trouvailles archéologiques, mais aussi celle de la répartition des gens dans les ascenseurs. Que disait le marin déjà ? « Run away before you can’t » (un truc comme ça, c’était uniquement en japonais). J’ai donc suivi les conseils du marin : je me suis barrée avant de monter dans l’attraction.
Des regrets ? Oui, et non. Dire que j’ai fait déjà fait la TOT à Paris et que j’ai fait trois fois la Hollywood Tower à MovieLand et que là, je n’ai pas trouvé le courage d’y monter… Je suis vraiment bizarre des fois
J’attends une bonne dizaine de minutes les gars dans la boutique souvenirs, qui finissent par apparaître sur la photo on-ride. Les gars ont bien apprécié ce tour.
La nuit est bien tombée, laissant place à une toute autre ambiance !
Et voilà, 19h, l’heure d’aller faire le 500ème ! Quelle émotion. Nous arrivons devant
Raging Spirits… Et il se met à pleuvoir ET à avoir de l’orage. F*ck

Ça risque de fermer tout ça.
Que nenni ! C’est un parc géré à l’occidentale, donc pas grave la pluie, à bat l’orage ! Nous scannons nos pass et switchons une queue qui avoisinent les 90 minutes. Il pleut de plus belle, les éclairs sont présents, mais nous sommes bien dans le train. Je ride sans mon poncho, je le mettrai après coup. C’est tellement agréable de se prendre la pluie pendant le lift.
Le parcours est identique à celui de Paris, mais passe comme une lettre à la Poste : aucun à-coup, un temps mort au même endroit, un loop serré et un parcours déjà fini. L’emballage de la montagne russe est, une fois n’est pas coutume ici, encore très travaillé.
C’est donc trempés que nous ressortons de là, sans pour autant avoir froid vu qu’il fait encore 29 degrés. Je m’équipe de mon poncho pour ne pas transformer mes vêtements en éponges. Et c’est un 500ème de validé

19h20, remis de nos différentes émotions, nous regardons ce que nous pouvons encore faire : c’est que les attractions culminent encore entre 1h et 2h d’attente. Mais le spectacle du soir est pour bientôt. Nous quittons définitivement le land Lost River Delta pour revenir à Mediterranean Harbor, sous l’ébahissement des japonais toutes les 15 secondes à la vue d’un éclair




C’est vrai qu’ils sont beaux. Nous trouvons un endroit où regarder le spectacle nocturne, qui a lieu sur l’eau et dont la fin se clôture par un feu d’artifice.
Pluie, feu d’artifice … ? Vous voyez la douille ? Les bateaux sont pourtant déjà prêts… bah à rentrer

La musique était déjà là mais la météo aura eu raison du spectacle. Les bateaux rentrent, tout en nous faisant « coucou ».
Nous n’avons pas le choix que de nous dire que la journée est presque finie : nous faisons un tour dans les boutiques souvenirs, sans cette fois-ci trouver notre bonheur. J’ai bien fait d’acheter hier. La fatigue commence à arriver ; nous prenons le chemin de la sortie.
Pour les collectionneurs de plans, le parc n’en distribue pas mais nous avons réussi à en gratter UN auprès du guests service
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Conclusion sur le parc : Comment décrire ce parc ? On ne vient pas à Tokyo Disney Sea pour ses montagnes russes. La thématisation, l’agencement est incroyable. Il y a tellement de choses à voir, à regarder, à s’y poser. La liberté de créer du fait que le parc n’appartienne pas à Disney rend ce parc splendide. Comme dit, je n’ai fait que Disneyland Resort Paris, je ne peux pas comparer avec les autres parcs Disney mais le cahier des charges étant différent, je suppose qu’on ne puisse pas retrouver un tel parc Disney ailleurs !
A propos des attractions, à part Aquatopia, rien n’est à jeter : les darks-rides sont incroyables, poussés, travaillés !
Pour la restauration, nous n’avons littéralement mangé que des hots-dogs, qui étaient très bons pour ce que c’est. On ne pourra pas vous conseiller sur les restaurants.
DisneySea est victime de son succès, malgré le fait que nous avons visé en pleine semaine hors vacances scolaires. Nous avons réussi (à peu près) à faire tout ce que l’on voulait (8-9 attractions sur 26 – hors attractions indoor pour enfants), mais grâce à une organisation « stricte » (arriver tôt, ne pas louper le coche des fast-pass, gérer les temps d’attente)… Ça n’aurait pas été de refus de pouvoir profiter d’une autre attraction de Fantasy Springs. Malgré cela, nous avons pu pleinement profiter de la beauté du parc.
C’est propre, les employés sont tous accueillants, souriants.
Ce parc est absolument à visiter !
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Nous repartons conquis de notre journée, on va arriver encore bien tard à l’appart’. Demain c’est Tobu Zoo Park, sur une ligne directe de train en plus. On devrait avoir moins de monde, on ne va pas s’y précipiter.