Des chasseurs de crédits à l'ouest d'ici
Ouvert en 1971, Magic Kingdom est le premier parc de Walt Disney World, et le second parc Disney après le Disneyland d'Anaheim. Véritable pilier de l'industrie parconautique, il est purement et simplement le parc le plus visité du monde et assoie facilement sa notoriété et son impérialisme sur ses concurrents, puisqu'il oscille autour des 19-20 millions de visiteurs annuels. Rien que ça. Nous partons donc à l'assaut d'un parc qui nous est à la fois complètement étranger et tout à fait familier. Et cette sensation qu'on peut parfois avoir d'être à la maison est assez déroutante !
Pas de doute, il s'agit bien de Magic Kingdom.
Le temps n'est pas au beau fixe mais ils prévoient une amélioration dans la journée. Alors que beaucoup de gens s'enfoncent vers Tomorrowland (Space Mountain, Stitch Great Escape, Autopia, Monsters Inc...), nous prenons la route opposée, vers Frontierland, histoire d'y tester Splash Mountain ! Ah oui, mais y a 90 minutes malgré le temps de merde, et la programmation des fast pass est déjà très tardive. Sans plus attendre, nous en récupérons et continuons notre route non loin de là, vers le BTM local.
Qu'est-ce qu'on attend ? Qu'il y ait moins de monde ? Ouais, ça ça ne va pas être possible.
C'est fast-pass ou c'est 90 minutes monsieur.
De loin l'attraction phare du parc, prise d'assaut toute la journée quelle que soit la météo !
Mais ne vous méprenez pas, commencer par un petit +1 du matin n'est pas pour me déplaire non plus !
20 minutes d'attente, on devrait survivre.
Vous pensez qu'on a le même à la maison ? Et ben pas du tout !
C'est parti Popol.
Alors, Big Thunder Mountain ? Ce qui fait la force du nôtre, en plus de sa longueur, c'est sa localisation géniale sur cette montagne à l'apparence inaccessible. Ici, il n'y a pas cet argument de poids, bien que l'intégration soit franchement propre. Il faut aussi savoir que ce BTM a un layout presque 2x plus court que le nôtre, et que le ride dure 26 secondes de moins. Un brin molasse me direz-vous. Oui, vous répondrai-je ! D'autant qu'il manque la meilleure partie du nôtre, c'est-à-dire la cavalcade dans le noir après le troisième lift pour nous ramener vers la station. Ici, après ce même lift, on a droit à une dénivelée de 5 mètres, un virage, et bon retour m'sieurs/dames. Insuffisant. Enfin, pour sa défense, cette version est de 12 ans l'aînée du nôtre.
DLP 1 - MK 0
Ça manque un peu d'inclinaison tout ça.
Retour à la maison, avec un crédit de plus au compteur !
Pour la suite, c'est du côté de Fantasyland que ça se passe. Et ne me faites pas l'affront de me demander une comparaison entre leurs attractions et les nôtres dans ce land. Surtout pour celle qui suit.
Bon... Prêtons-nous au jeu... Déjà, notre façade est plus jolie.
Pour le reste, hein... C'est Small World. Et ça dure 10 putains de minutes.
Avec la musique qui rend dingo et tout le bordel.
J'imaginais par contre une version plus auto-centrée. À l'américaine.
Au final cette version est assez identique à la parisienne.
Leur fantasyland fait le job.
Des décors détaillés qui soulignent la patte Disney.
Passons à une autre attraction phare du land, j'ai nommé Haunted Mansion, le Phantom Manor local. L'attraction a vu le jour en même temps que le parc, et est la petite sœur de la version californienne ouverte 2 ans plus tôt (1969). Elle a été conçue par Walt Disney himself, bien aidé par ses équipes qui réalisaient alors une prouesse dans le domaine. Cette version est hélas beaucoup moins riche que son homologue parisienne, souffrant d'un background moins riche et ne disposant pas de cette aura sombre et mélancolique qui sied pourtant si bien à la nôtre. Ici, le manoir est une maison de retraite pour fantômes SDF... Soit.
De plus, l'aspect du manoir n'est pas aussi marquant et l'humour peut-être trop omniprésent. On aurait voulu, ici, un peu plus de gravité. Pour contredire l'adage, l'herbe n'est pas toujours plus verte chez le voisin !
Avouez que la piaule de Norman Bates envoie un peu plus de boudin !
L'oncle Picsou ou oncle Jacob, on ne saurait dire.
Posez votre main sur un instrument de cette plaque pour l'entendre retentir.
Il n'a pas l'air de la plus grande fraîcheur celui-ci.
La préfecture n'aurait jamais autorisé ça chez nous. Des morts dans le jardin, franchement...
Ce personnage a été inventé pour le nanar avec Eddie Murphy :
Le manoir hanté et les 999 fantômes.
Allons donc faire un tour vers Peter Pan's Flight, qui s'avère être globalement le même que chez nous. À une différence près, et elle est de taille ! On ne doit pas attendre 58h pour monter dessus ! Malgré l'affluence générale, on aura fait à peine 10 minutes avant de grimper dans une nacelle !
Ils doivent phaser les ricains chez nous quand ils voient
que ça ne descend jamais sous les 45 minutes cette connerie...
10 minutes plus tard, nous y voilà.
Evidemment, rien de révolutionnaire, on a déjà vu ça quelque part... Après avoir quitté le pays imaginaire, nous continuons notre marche dans Fantasyland pour tomber nez-à-nez avec le chantier de Seven Dwarfs Mine Train, dont voici quelques photos.
Vous ne rêvez pas, c'est bien le crédit qui ouvrira en 2014... Disons que ça va légèrement plus vite que Ratatouille !
C'est quand même un joyeux bordel ce chantier.
1 an avant, le lift est déjà en place.
Et ça c'est prévu pour quand à DLP ?
Un peu de recul pour se rendre compte de l'ampleur du bazar.
Prochaine étape, Adventureland, qui propose quelques classiques des parcs Disney. La véritable différence avec DLP, c'est que j'ai écris "classiques" au pluriel. Car peut-on considérer la cabane des Robinson et Indy comme des classiques ? Bof. POTC ? Oui. 1 attraction sur 3, c'est déjà pas mal diront certains...
Mais alors, qu'y a-t-il d'assourdissant ici ?
Rien de vraiment assourdissant, mais au moins deux rides qui font le job, aussi âgés soient-ils. Ils dégagent un charme certain et on s'y engage pour l'un avec la certitude de la valeur sûre, pour l'autre avec la curiosité du parkfan respectable. La première de ces attractions, c'est bien entendu Pirates of the Caribbean. Il s'agit à nouveau de la seconde version, ouverte en 1973, soit 6 ans après l'originale d'Anaheim (1967).
L'entrée se situe prêt du parking de fat mobiles.
Ça y est... Je l'ai en tête...
L'attraction ne dispose que d'une simple et très courte drop, à l'instar de la première chez nous, et s'avère être un condensé de ce que nous connaissons, raccourcissant le voyage de 3 minutes en regroupant au maximum les scènes clefs du ride. Hélas, la musique typique de l'attraction a été remplacée çà et là par les envolées écrites par Hans Zimmer pour le film (avec lequel j'ai beaucoup de mal). Pas de resto bordant le ride, des décors moins riches, des bateaux trop proches les uns des autres, pas mal de petites choses qui nous font préférer la version parisienne. On notera cependant la présence de quelques animatroniques au rendu exceptionnel, et des effets météorologiques très élaborés. Aussi, le faux plafond hideux que l'on retrouve chez nous a été camouflé. Un détail et pas des moindres quant à l'immersion ! Mais, après BTM, mon coeur penchera aussi du côté de Paris pour POTC.
Embarquement immédiat pour Tortuga.
Ça n'a pas l'air d'aller des masses Benny.
Brume, fumée, pluie... Les effets sont vraiment très jolis.
Sinon, pour le reste, on ne connait que trop bien.
On se croirait à la maison.
Cet animatronique est bluffant de réalisme, y compris dans ses mouvements.
Chez nous, la première drop suit cette scène. Ici, c'est le quai de débarquement qui arrive derrière.
Bienvenue à Disney.
Les tapis ne sont pas à côté d'une grosse boîte bleue mais sont bien intégrés dans la zone.
Les amateurs de rafiots ne seront pas laissés pour compte.
De même pour les amateurs de radeaux.
Tout ça est bien joli, avec Haunted Mansion que vous pouvez distinguer au fond.
Vous y trouverez également le mythique Jungle Cruise, qui vaut surtout pour son côté nostalgique.
Bon, faut prévoir un peu de temps, c'est 9 minutes de Boat Ride cette histoire.
Avec une des scènes les plus plagiées de l'Histoire des parcs d'attractions.
Tranquille Emile.
Ah, puis y a la cabane locale aussi. Mouais. Pas nécessaire.
Je ne saurais que vous conseiller de passer votre chemin devant Enchanted Tiki Room.
Un show d'animatroniques infernal et interminable, le tout en chansons...
...dont les américains connaissent les paroles par cœur. Beau moment de solitude pour notre fine équipe.
Retour à Frontierland, et s'il y a une attraction devant laquelle vous ne devez pas passer votre chemin, c'est bien Splash Mountain. Une attraction qui mêle flume et dark ride avec humour et génie, et avec une musique infernale mais jouissive Made in Disney, totalement entêtante, que vous n'aurez de cesse de fredonner pendant tout votre séjour. L'attraction ne propose pas un taux d'humidité incroyable (ça peut même être assez sec), mais propose un parcours loin d'être avare (plus de 10 minutes, 5 drops, la dernière culminant à 18 mètres pour 70km/h !), fourmillant de détails inscrits dans une théma bluffante, le tout dans des embarcations fort agréables (deux places côte-à-côte, c'est tellement plus convivial !), et dans une ambiance détonante ! La meilleure attraction du parc, sans aucun problème. Une des meilleures attractions du resort, et un Top Disney. Le jour où on aura un truc aussi fun chez nous...
Retour à Frontierland.
C'est l'heure d'aller tâter du gros ride !
Le côté cartoon est vraiment bien rendu. L'attraction vit d’interactions incessantes.
La file et la gare sont magnifiques et sont tout aussi vivantes que le reste du ride.
Les drops ne seront pas toujours annoncées par des lifts, il y aura aussi quelques surprises...
L'attraction tire son inspiration du film musical "La mélodie du sud", sorti en 1946. Zip-a-Dee-Doo-Dah en est issu.
À la flotte Maurice !
Les allées sont bien sûr très animées.
Un petit coup de Railroad pour se rendre à Tomorrowland.
Le land est très encombré, un peu comme chez nous, et fait bien plus pastoc que le reste du parc. On préférera évidemment le design de notre Space Mountain, mais on leur échangerait bien ce qu'il y a à l'intérieur de la structure, n'en déplaise à BenJ et Flo ! Pour le reste, aucune attraction n'a retenu notre attention. Le raison d'être du land, c'est Space Mountain, point à la ligne.
Tomorrowland que voici.
Monsters Inc, un show à la Stitch Live! en plus relou.
Stitch's Great Escape. Un show à la Armageddon en aussi relou.
Et l'Orbitron local, à l'arrêt ici.
Ah ! Là par contre on cause !
Space Mountain, ouvert en 1975, est un double crédit Arrow franchement fendard, aussi kitsch que fun, tape-cul sans trop l'être et suffisamment long pour que le plaisir ne laisse pas place à la frustration. On s'est marrés comme des baleines dans ce bordel, et pourtant c'est con comme la lune ! Virage, drop, drop, virage, etc... le tout dans le noir total, sans possibilité d'anticipation. Le charme rustique de la bête et son aspect assez wild n'ont pas manqué de nous réjouir. L'amicale des amateurs d'Eurosat s'y retrouvera certainement, les autres pesteront ardemment ! Et puis ces trains d'un autre âge... Ouais, je suis conquis.
La file d'attente est un brin minimaliste.
Les fameuses embarcations.
Avec petit dossier en simili-cuir pour les amateurs de SM que nous sommes.
Le chemin menant vers la sortie de l'attraction se compose d'autre chose que de taule et d'écrans rétroéclairés.
Il y a même quelques scènes intéressantes, comme celle-ci et le panorama fictif de la baie vitrée.
Ah oui, on a failli oublier les tondeuses à gazon.
Pause déj' au Starlight Café et direction Fantasyland.
Fantasyland qui se trouve finalement être le land le plus fourni (un peu comme d'habitude), sans pour autant être le plus qualitatif (un peu comme d'habitude). Néanmoins, pour réconcilier les briscards avec le concept de ce land magie et bisounours, nous trouverons un crédit, et pas des moindres. Il s'agit ni plus ni moins (ni plus, surtout) que de Barnstormer, un Junior Vekoma mettant en vedette Dingo et son avion visiblement hors d'usage. Qu'ajouter de plus si ce n'est que ça fait +1 ? Rien, évidemment.
Alors non, Casey n'est pas un crédit ici, mais une aire de jeu aquatique pour mioches.
Ce qui nous intéresse, c'est Barnstormer.
+1 que voilà.
Dont voici le garage et son transfert track, pour les amateurs de technique.
Embarquement immédiat, dans un train garanti sans filet de pêche !
(Seuls les vrais savent)
Et force est de constater que la full credits du jour est à nouveau un succès.
Le land fait plus carton et cartoon que chez nous, mais reste dans l'ensemble assez joli.
Mais décidément, l'intégration de cette tour...
On retrouve quelques impérieux des lieux, comme ces Tea Cups.
Ce carrousel.
Et le Dumbo local, avec 2500 ans d'attente, comme d'habitude. Un jour, faudra m'expliquer.
Y a aussi de la réhab' comme chez nous, mais en plus propre.
Bon, mais aller voir des bustes de présidents ricains, ce sera pas possible pour nous, merci quand même.
Alors, il nous reste 3 attractions à torcher par ici. En allant récupérer des fast-pass pour Winnie the Pooh, nous découvrons la bonne idée qu'a ici MK de fournir des "fast-pass surprises" pour réguler le flux de visiteurs. Nous aurons donc récupérer des pass pour Winnie, et pour Philarmagic, ce qui nous fera gagner une vingtaine de minutes d'attente. On ne crachera pas dessus !
Encore une bonne idée qu'on n'a pas eu chez nous, tiens.
Alors, kézako ?
Il s'agit donc d'un film en 3D narrant les péripéties de Donald qui donnera vie aux instruments d'un orchestre symphonique en usurpant discrètement le chapeau de magicien de Mickey. Bien sûr, vous vous doutez que tout ça ne peut que partir en cacahuète (enfin, gentiment). Les instruments joueront les grands thèmes des films Disney dans lesquels Donald se trouvera plongé. Ayant perdu le chapeau magique, il doit se démerder pour trouver la sortie de ce capharnaüm. Y a des l'humour, ça casse pas 3 pattes à un canard (je vous ai dit qu'il y avait de l'humour), mais c'est gentillet et ça passe le temps. Pas un incontournable, mais s'il s'agit d'attendre entre deux fast-pass, allez-y sans sourciller.
Le sas avant d'accéder à la salle.
Et ladite salle qui peut contenir pas mal de monde mine de rien !
S'en suivra le Dark Ride Winnie the Pooh, très similaire à nos Blanche-Neige et Pinocchio, en cela que c'est bien plus mauvais. Déjà que c'est pas bien réjouissant chez nous... La majorité de la déco en carton-pâte du parcours n'a aucun fucking rapport avec Winnie l'ourson, dépeignant un univers cartoonesque fluorescent, avec des animaux plaqués sur des plaques cartonnées, tout de rose colorés, et éclairés par des lumières bariolées un brin psychées. C'est naze à souhait, et c'est 25 minutes sans fast-pass. On a bien fait de les prendre tiens !
Différence notable avec Paris : les opérateurs sourient.
Un petit coup de fast-pass plus loin...
Et nous voilà dans... Hein ? Quoi ? C'est ça Winnie l'ourson ? Ah ouais quand même !
Bon sang, mais qu'est-ce qu'il vient de se passer ?
Petite pause prêt de la fontaine représentant ce bon vieux Gaston.
La taverne de la Belle et la Bête a été recréée pour venir ripailler.
Et la déco du coin est plutôt sympa !
On passe à la suite du programme !
Dans la lignée des Dark Rides moyens de gamme de Disney, on trouvera Under the Sea, un dr sur la petite sirène ouvert il y a quelques mois à peine. Il s'agit d'un omnimover (à la Phantom Manor) avec des animatroniques d'un autre âge et beaucoup d'incrustations sur écrans, qui trace les grandes lignes du dessin-animé. Bon, chez moi, il part forcément avec un handicap : le film me casse les roustons et la musique me file des boutons. Oups. L'autre problème, plus objectif ce coup-ci, c'est que même s'il utilise la technologie des écrans, qui ne fonctionne véritablement que s'ils prodiguent une sensation de réalité (cf. Harry Potter et Spiderman), le ride pourrait avoir 10 ans qu'on ne serait pas étonnés. Mais il a ouvert en décembre dernier, et on est en mai. Ça fait mal. Et pour un Dark Ride, ça ne pardonne pas. Dommage d'avoir tant soigné l'extérieur pour y abriter ça. M'enfin. Pour comparer, c'est à peine meilleur qu'un Blanche-Neige.
Quelques photos de l'extérieur, avec le début de la file d'attente.
Qui serpente dans cette grotte, prêt de la cascade.
Avouons que tout cela est quand même soigné !
Et là, tout va se gâter. Déjà, la gare est affreuse.
Quant aux animatroniques, une photo sera plus parlante que des mots.
L'emploi des écrans, c'est pas ça qu'est ça non plus.
La scène me gave, la chanson me gave, ça dure 3 minutes, c'est Bingo.
On aurait pu s'attendre à une scène avec une grosse Ursula vénère
apparaissant telle la baleine de Pinocchio, mais non.
Ça va finir en enculette dans la barquette.
Peut-être la meilleure utilisation en terme de perspective qu'ils aient pu faire des écrans... Ouais...
Et ben voilà ! On a fait le tour de Magic Kingdom ! Quel verdict peut-on en faire ? Est-ce mieux que chez nous ?... Pas vraiment, et ça me casse le cul de l'avouer. Pour autant, je troquerai leur parc contre le nôtre sans réfléchir une seule seconde, parce qu'ils ont quelque chose qu'on n'a pas : Splash Mountain, qui atomise tout sur son passage, que ce soit au MK ou à DLP. Leur version de Space Mountain, plus cheap, est aussi bien plus fun à rider que notre machine à torture. Il a certes pour lui la durée moyenne des rides, qui doit facilement taper dans les 6/7 minutes. Ce qui pêche le plus se trouve du côté de Pirates, de BTM et d'Haunted Mansion. Trois grands classiques Disney, dont nous possédons certainement les versions les plus abouties. Thématiquement, c'est assez inégal, avec un Tomorrowland pas franchement ragoutant, un Fantasyland à la fois chiadé et carton-pâte, et des Adventureland / Frontierland fidèles à eux-mêmes : c'est-à-dire sublimes. Mais si ce n'est Splash Mountain, le parc n'a pas d'argument de poids pour nous faire revenir tout de suite. Ça manque absolument d'un autre hit, et cet remarque est valable pour tous les parcs Disney de WDW. Surtout avec la concurrence environnante.
Le Fantasyland carton-pâte, c'est en partie ça.
Pour le reste, c'est de l'entretien au poil de cul.
N'est-ce pas ?
Un coup de château, parce que j'en ai pas mis beaucoup, et qu'on est à Disney bordel de bite.
C'est bon ? Contents ?
Oui, d'accord, voilà, l'arrière.
Allez, il est temps de rentrer à l'hôtel et d'aller piquer une tête dans la piscine bordel.
Pendant que certains rentrent en bateau...
Et que d'autres rentrent en bus...
D'autres encore rentrent en fat mobile.