Fin de Walygator Parc - Tribunal de Metz
"le parc va ce transformer en Parc fantôme"
Ha bon? il ne l'es pas déjà?
"le parc va ce transformer en Parc fantôme"
Ha bon? il ne l'es pas déjà?
Billetterie et manèges: ça schtroumpfe à Walygator !
Après la bataille judiciaire, une explication d’homme à homme. Dépossédés mercredi de Walygator, les Le Douarin n’ont pas apprécié qu’un repreneur tente de récupérer, le jour même, la billetterie. Des plaintes ont été déposées.
l était convenu de parler projet, attractions, emplois, travaux, nom et date d’ouverture. Des sujets inhérents à tout rachat d’entreprise. Et des questions, il n’en manque jamais quand il s’agit du parc d’attractions de Maizières-lès-Metz, grand pourfendeur de propriétaires et de fonds publics depuis sa création, en 1989. Mais la journée d’hier n’a ressemblé en rien à celle rêvée par les nouveaux propriétaires du site, choisis mercredi par la chambre commerciale de Metz (lire RL d’hier). Ils voulaient s’atteler à la tâche et prendre les premières mesures indispensables au rétablissement du site ; ils ont passé leur temps à la gendarmerie ou aux côtés « des autorités », selon leurs mots. La faute à une nuit sous tension.
Le choix du tribunal acté, l’un des nouveaux repreneurs a foncé, mercredi soir, à Maizières-lès-Metz. Entouré d’agents de sécurité, Eric Lucas voulait récupérer la billetterie du parc Walygator. Une volonté dictée par la crainte de voir les billets et les walypass distribués gratuitement par l’équipe des anciens propriétaires. Un vrai risque financier pour les nouveaux acquéreurs, qui ont annoncé leur volonté d’accepter, à l’avenir, tous les possesseurs de ces sésames.
Trois camions dans la nuit
Les frères Le Douarin n’ont guère aimé l’arrivée de l’assureur messin, propriétaire des lieux depuis mercredi minuit seulement.
La suite des événements est décrite dans plusieurs plaintes. Eric Lucas affirme avoir été menacé de mort par les frères Le Douarin. Ceux-ci ont répliqué par une plainte pour le vol de la billetterie, qui a été « mise en sécurité » selon Eric Lucas.
Plus tard dans la nuit, trois poids lourds ont quitté l’enceinte de Maizières-lès-Metz, sous le regard des gendarmes. Ouvertes à la demande des militaires, les remorques étaient remplies de matériels appartenant aux anciens propriétaires, d’après la version officielle.
Face à ce dossier classé sensible, le procureur de la République a saisi, hier en fin de matinée, « la brigade de recherches de Metz , a confirmé dans l’après-midi, Pierre-Yves Couilleau. Pour l’heure, je n’ai été informé d’aucune garde à vue. »
Ces nouvelles investigations s’ajoutent aux enquêtes déjà en cours à la section de recherches de Metz. Les gendarmes spécialisés dans les affaires financières ont été chargés de regarder de près des transferts de fonds supposés entre la trésorerie du parc Walygator et d’autres établissements de nuit, achetés ces derniers mois par les deux forains.
Alerté par l’administrateur judiciaire qui a épluché les comptes de l’entreprise durant la période de redressement judiciaire, le parquet de Metz soupçonne en effet que ces sociétés ont été rachetées avec l’argent de Walygator. Une possible explication des difficultés financières rencontrées par le parc en 2012. Plus sûrement que le climat…
yoyo212 a dit:Houlala, ça ressemble à la reprise d'un club de foot cette histoire. Pleins d'annonces pour la saison a venir, de l'argent frais, de nouveaux joueurs, etc, etc mais ce ne sont pas des Qataris !
Je me trompe peut être mais, si ils le veulent vraiment, ils font déjà une première erreur en voulant changer une mascotte pour une autre. La communication dans cette reprise doit être primordial pour ramener du monde et neutre au possible dans un premier temps, l'identité dois venir par la suite et pas être imposée dès le départ, qui plus est, par une mascotte qui cible, infantilisent et qui fera fuir les familles bien pensantes, certains ados, ... (en gros la mascotte c'est pas trop 2013 mais le croco , au bûcher !)
nan ?