Nouvelle journée avec un seul parc : Plohn. La raison principale était de tester El Toro.
On arrive, grande file d’attente pour les caisses. Joris et Siluj sont dans tous leurs états, le stress les gagne, on commence à en avoir l’habitude.
L’entrée coute 22 euros, prix assez correct. Bon on commence par quoi El toro ? non place au repas. A noter que le repas était bon et à un prix plus que correct pour un parc.
Premier ride : SilverMine, un coaster pas très intéressant et désagréable quand on est deux dans le wagon.
On enchaine ensuite avec une ballade dans les bois où l’on retrouve différents contes, on tombe sur leur mini free fall thématisé préhistoire très bien intégré.
Et si on allait rire un coup dans les jeux que propose le parc. C’est parti pour un tour dans leur maison folle super bien intégré, forcement ça tourne vite au n’importe quoi avec l’équipe présente. Forcement on enchaine avec une course de tapis.
Bon ce n’est pas de tout ça si on testait El Toro ? C’est parti pour un premier tour au milieu du train. Tout s’enchaine parfaitement, on décolle à chaque changement de direction, moindre bosse. Une bon wooden comme je les aime.
On fait quoi ? Une envie de refaire El Toro est présente mais on va finir de visiter le parc.
Il reste quoi de beau à faire :
Un kiddie posé sur l’eau, avec quelques décors avant le lift.
Notre première pomme du trip… Heureusement en groupe c’est plus marrant ce genre de crédit.
Le flume local n’est pas le plus humide rencontré, mais donne une bonne vue sur El toro.
On se ballade, pour finir la journée par une petite dizaine de tour d’El Toro pour tester toutes les places. Bilan l’arrière c’est encore meilleur. Je l’ai préféré à l’arrière qu’au premier rang.
Au final Plohn est une bonne surprise. Le cadre est super agréable, très boisé. Le parc regorge de petit coin sympathique. Puis il y a El Toro qui est là. Puis le rapport qualité prix est bon, même si il y a beaucoup d’attractions pour les enfants.
Après cette bonne journée, préparation mentale pour enchainer un Churlzupark.
